En mon maire : le seul élu que je connaisse vraiment.
Non
C'est au contraire au peuple qu'il faut donner un rôle plus grand : moins de rôle aux représentants, et plus aux consultations directes.
Il faudrait rendre transparente l'action d'un élu. Il faudrait rendre obligatoire pour lui de répondre aux questions que ses électeurs lui posent.
Une mauvaise chose
Toute tentative de biaiser le suffrage est mauvaise, si une telle mesure est conforme à une volonté générale alors les cumulards ne seront plus élus, s'ils le sont c'est bien qu'une telle mesure n'est pas conforme à la volonté générale.
Election par circonscription mais pas de scrutin majoritaire à deux tours : un scrutin à un seul tour comme au Royaume-Uni. Comme ça tout arrangement entre-parti se fait en toute transparence et avant le scrutin.
Oui
100 députés et 100 sénateurs suffiraient.
Associer un référendum à toute élection nationale : les gens sont plus motivés s'ils choisissent des décision que s'ils élisent des représentants.
Oui
Pas de remboursement de campagne si le seuil n'est pas atteint : pour forcer les candidats à répondre vraiment aux aspirations réelles.
Un seul moyen : le RIC. Référendum systématique à chaque élection nationale.
Oui
Supprimer le verrou parlementaire, supprimer la liste des thèmes interdits. Rendre obligatoire l'usage annuel du référendum.
Un seul moyen : le RIC. Référendum systématique à chaque élection nationale.
Le CESE pourrait avoir en charge le fonctionnement et la traduction en acte d'une consultation permanente telle que celle de ce grand débat.
Oui
Rendre les nominations et les décision plus transparentes au CESE
Sanctionner très durement les élus qui favorisent le financement ou le favoritisme d'une religion. (Horaires de piscine aménagés, menus spéciaux dans les cantines, baux préférentiels, célébration d'une fête religieuse aux frais du contribuable) Donner une vrai liberté aux écoles confessionnelles.
Le minimum serait de les lister ces "valeurs" !
Cesser de rendre toute initiative déclarable, obligatoire et procédurier : plus de liberté !
Favoriser surtout la fondation et le maintient de familles stables.
Considérer la famille comme une personne morale, conserver le concept de "foyer fiscal", promouvoir le mariage, l'achat de résidence principale, renforcer la liberté d'éducation.
Rendre obligatoire et possible tout contact administratif avec un agent physique : désastreux exemple du service des Cartes Grises !
Les pires incivilités sont celles que l'Etat laisse commettre sans intervenir : l'insécurité, la drogue.
Plus de présence, plus de sanctions, partout. L'Etat est plus empressé contre les manifestations parisiennes que contre les trafics des banlieues. De la même façon : il y a plus de contrôleurs sur les lignes de trains vers Versailles que vers Trappe.
Eduquer mieux ses enfants.
Les discriminations anti-chrétiennes : on fête l'Aïd ou la fin du Ramadan dans des mairies, on supprime l'usage du poisson le vendredi on crée des menus sans porc. Discrimination anti-hommes : on m'a refusé une augmentation au motif que j'étais un homme, on m'a refusé sur une liste municipale au même motif.
Supprimer tous les "les organes de luttes" (Halde, CRAN, SOS-Homophobie) car ce sont en fait des organes militants. Appliquer la même loi pour tous : les délits existent il suffit de les sanctionner.
Oui
Pour recevoir de aides il faut contribuer. Réserver toute aide sociale, médicale ou éducative aux cotisants de plus de 2 ans de cotisation. (comme font certaines mutuelles)
Plus de transparence surtout : qui décide ? Qui paye ? Combien ? Tout est tabou, secret, verrouillé.
Non : il faut déjà revoir les obligation d'asile : c'est devenu une véritable filière. Quand aux quotas : oui mais pas par le parlement : par le peuple.
Cesser toute prestation sociale : ça débranchera la pompe : seuls les vrais persécutés viendront.
Casser le communautarisme
Tout serait réglé par la seule instauration d'un référendum annuel obligatoire. C'est la revendication majeure d'une immense partie des français, c'est sur ce point précis que sera jugée la sincérité de ce grand débat.