Les conseillers départementaux et les députés. Ils connaissent très bien leurs mandants, et sont très capables de faire le lien et la synthèse entre les intérêts locaux et l'intérêt général. A l'exception de quelques inévitables crapules qui ne cherchent que leur intérêt personnel… notre personnel politique est majoritairement estimable et compétent. Je note qu'actuellement l'échelon régional a trop peu de domaines de compétence (les lycées, la formation professionnelle, c'est insuffisant).
Oui
Les syndicats. Le pouvoir actuel fait l'impasse sur le dialogue avec les organisations syndicales. C'est une erreur qu'il pourrait bientôt regretter.... si ce n'est déjà la cas. La démocratie représentative a besoin de corps intermédiaires élus. C'est structurel.
L'éducation civique. Ce lien est-il rompu? La crise actuelle a pu le faire croire. Mais les "gilets jaunes" les plus assidus sont souvent des non électeurs, dont les propos montrent qu'ils ont des connaissances civiques assez faibles. D'un côté les élus doivent sans cesse rechercher le meilleur contact avec les citoyens qu'ils représentent.. D'un autre côté il faut par tous les moyens (éducation nationale, canaux d'information nationaux, réseaux sociaux divers) augmenter le savoir des citoyens en matière d'organisation politique du pays. Le traitement de l'instruction civique (ou éducation civique) par l'école aujourd'hui est très insuffisant.
Une bonne chose
Parce qu'on ne peut pas efficacement courir après deux lièvres à la fois.
Une dose, la plus petite possible, de proportionnelle dans l'élection les députés et des sénateurs. 1) Sont-elles si mal représentées, les différentes sensibilités politiques? En effet un parti comme le Rassemblement national est "mal représenté" par trop peu de députés pour un important potentiel d'électeurs. Mais ce n'est pas un hasard. C'est pour la simple raison qu'il est dans l'incapacité de nouer des alliances au plan local. L'élection majoritaire à deux tours actuellement en vigueur n'est pas si injuste qu'on le dit parfois. Elle empêche utilement des formations marginales ou dont les motivations sont simplement protestataires de parvenir au pouvoir. 2) Plus on augmentera la dose de proportionnelle, et plus on affaiblira le lien entre les élus et le "terrain", entre les élus et leurs mandants. 3) Une proportionnelle intégrale serait la garantie d'une paralysie du pouvoir, le retour assuré à une régime d'instabilité dommageable. (Mais après tout, peut-être ceux qui réclament des élections proportionnelles ont-ils quelques idées derrière la tête…)
Non
Il n'est pas non plus souhaitable de réduire le nombre de députés et de sénateurs, alors que la population augmente.
Rendre le vote obligatoire.
Non
Non parce que c'est absurde et purement démagogique. Dans la vie, il faut savoir choisir. Le vote blanc, c'est le vote de la paresse intellectuelle, et du manque de volonté. En outre le vote blanc, par définition, ne vote (ne veut) rien. On ne peut donc pas le prendre en compte.. En démocratie, celui qui ne vote pas (abstention ou vote blanc) choisit de fait le vote de la majorité.
L'éducation.
Non
None
Les obliger à lire les rapports de la Cour des comptes et des Chambres régionales !!!
Je ne sais pas.
Oui
En les incitant fortement à faire mieux connaître leurs travaux.
D'abord nous mettre d'accord sur le concept de laïcité.
Je ne comprends pas la question. La compréhension et le respect des valeurs ne peuvent être que l'effet de l'éducation. Education civique et leçons de morale (mais oui !) à l'école.
Un vrai service civique obligatoire filles et garçons.
Expliquer aux enfants des cités qu'il ne faut pas caillasser les pompiers, et pourquoi.
Ouvrir l'école, plus encore.
Faciliter davantage les prises d'engagement des jeunes dans les actions de bénévolat (pompiers, protection civile, Croix-Rouge).
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Ne pas les accepter passivement.
L'homophobie, phénomène de loin me semble-t-il, le plus répandu.
Vaste programme. Eduquer, encore et toujours.
Oui
Contrepartie non obligatoire sous forme de TIG
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Oui, c'est la meilleure solution.
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None
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