Beaucoup d'information est déjà disponible mais il faut vulgariser. Un état simplifié de la répartition des impôts pourrait être annexé à la déflation ou à l'avis de l'impôt sur le revenu
En simplifiant et supprimant toutes les exceptions et contradictions, il sera moins facile de faire échapper les bases d'imposition à l'impôt national. Sur la TVA : arrêté les taux réduit simplement par corporatisme... Restaurer le principe de produit de première nécessité Sur l'impôt sur le revenu : que tous les revenus soient taxés de la même manière : travail et capital. Eventuellement fusionné avec la CSG mais maintenir la progressivité (créer des tranches supplémentaires sur les très gros revenus y compris du capital) Repenser l'impôt local notamment avec la suppression progressive de la taxe d'habitation. Basé l'impôt local sur la vraie valeur locative n'est pas dénué de sens. Réduire les dispositifs de défiscalisations qui soit n'entre pas dans le domaine de compétence de l'impôts (quotient familial => préféré la redistribution via la CAF), soit qui ne sont que des subventions déguisées (prestations à domicile, défiscalisation des investissements immobiliers = subvention au promoteur qui nourrit l'inflation sur l'immobilier). Simplifier l'impôts et le rendre compréhensible au citoyen. Sur l'IS : envisager une progressivité et envisager un mécanisme permettant que l'impôt ne sorte pas de France
Je ne suis pas sûr qu'il faille baisser les impôts. Eventuellement l'IS mais que toute les entreprises payent effectivement le taux ou le barème.
Augmenter les impôts|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Ce n'est pas tant les conditions d'attribution que de fusionner (et donc simplifier) les aides sociales quit à instaurer une progressivité (palier, taux d'effort...)
1. Santé 2. Vieillesse 3. Handicap 4. Famille 5. Logement (éventuellement il conviendrait mieux de limiter l'inflation et que le travail permette de se loger plutôt que d'aider)
Santé Education (de la maternelle à l'université / recherche) Sécurité (intérieur et extérieur) Justice
Faire le ménage dans les impôts et taxes existantes (plus de 120 d'après la cours des comptes) mais créé quelques impôts compréhensibles (base et taux), sur les grands axes de l'économie : pour les personnes physiques : consommation (= TVA), revenus (et tous les revenus), patrimoine (tout au long de la vie ou lors de la transmission), vie locale (sur la base du logement ou de la composition familiale), etc. pour les personnes morales : impôts sur les sociétés basés en partie sur le chiffre d'affaires et en partie sur le bénéfice, sur le patrimoine / foncier occupé. Les taxes spéciales de types TIPP, alcool, tabac ne pourraient-elle pas être simplement quelques points de TVA ? D'autres taxes sur des spécialités (réseaux, commerce) pourrait être des spécificité de l'impôt sur les sociétés plutôt que des taxes à part entière.
Maire
Oui
associations de consommateurs pour faire des propositions (voire propositions de loi ou d'amendement) associations spécialisées reconnues d'utilités publiques pour faire des propositions pour rendre fonctionnel des proposition de loi ou faire remonter les vraies problèmes de la société syndicats (mais pas dans la configuration actuelle) reconfigurer en association de salariés
supprimer les syndicats dans leur configuration actuelle et rendre obligatoire l'adhésion (fin de la discrimination) à une association de salariés afin que les actifs voire retraités puissent être représentés au sein d'une organisation (ce qui permet de dialoguer)
Je ne sais pas
A la fois les élus peuvent se recentrer sur leur seul mandat qui peut être très lourd. A la fois les élus nationaux rencontre peu les citoyens et se déconnectent des problématiques locales. Le non-cumul aurait peut-être pu être envisagé pour certaines strates : élus exécutif des régions, département et communes de plus 30 000 ou 50 000 habitants.
Favoriser l'élection direct représentant et limiter les listes. Les élus sont responsabilisés et attachés à leur territoire électoral. S'ils sont élus Au sein des communes : supprimer les communes en tant qu'entité administrative mais conserver le maire qui sera cette fois élu par les citoyens (et non plus par le conseil municipal) et les maires constitueront l'assemblée délibérante des EPCI devenus collectivités territoriales. Les périmètres électoraux pourraient même être infra communal (quartier, arrondissement...) Je suis favorable à la suppression du département Au sein des régions : conserver le canton (voire canton remodelé) comme découpage électoral et l'élus du canton viendra constituer l'assemblée délibérante de la Région. A l'Assemblée Nationale : peut être envisager une représentation proportionnelle fonction des résultats nationaux.
Oui
Je suis favorable à la suppression du Sénat quit à augmenter le nombre de députer voire qu'il y ait un groupe de députés issu du scrutin proportionnel qui puisse assurer le en tout ou partie le rôle du Sénat (contrôle, l'amendements, contre proposition etc.) mais au sein de l'Assemblée Nationale
Rendre le vote obligatoire. Notre pays nous donne beaucoup de droit, il est normal que les citoyens ait des obligations
Oui
C'est compliqué mais pourquoi ne pas envisager qu'à compter d'un pourcentage significatif de vote blanc (30% à voir) le vote soit invalide et réorganisé. En attendant, le gouvernement en place ou un gouvernement restreint issu de l'Assemblée nationale gère les affaires courantes.
Consulter des associations ou prendre en compte des pétitions citoyennes organisées et collectées par des associations ou autres élus qui à partir d'un certains nombres de signatures (1 000 000 pour le niveau nation ou autres seuil, 50 000 au niveau régional, 10 000 au niveau intercommunal) puisse faire l'objet d'un débat à l'assemblée délibérante concernée et soit faire l'objet d'un projet de loi ou de délibération, soit faire l'objet d'une fin de non recevoir mais publique afin que le citoyen puisse apprécier les motifs.
Non
None
Au niveau territorial : en cas d'élection directe d'un élu sur un périmètre restreint et qui est membre d'une assemblée délibérante, cet élu pourrait disposer d'un budget limité à exécuter sur ce périmètre et utiliser sur la base d'une consultation citoyenne : réunion publique, sondage téléphonique ou internet... Au niveau national : difficile de mettre en oeuvre une concertation ou alors via une dotation versée aux collectivités locales et que les maires devront dépenser selon le processus de consultation ci-dessus. Cette dotation devra ou pourra être dépenser dans des services de l'Etat déconcentrés (police nationale, gendarmerie, préfecture, service des impôts...)
Pas de rôle particulier mais consulter et écouter, lire les rapports des associations (cf. ci-dessus)
Oui
Suppression du Sénat (cf ci-dessus) Suppression des Conseils mais constitution de commissions (éventuellement éphémères) constituées d'élus nationaux et de représentants d'associations reconnues d'utilité publique et désignés par les élus en fonction des sujets à étudier.
Laisser les religions livrent leur vie sans s'immiscer. Cesser de parler de telle ou telle religion. La laïcité permet au citoyen de pratiquer sa religion en toute liberté. L'Etat et les collectivités territoriales n'ont pas à favoriser la pratique d'aucune religion sinon on crée de la jalousie, de l'incompréhension, voire du favoritisme. Principe de séparation de l'Eglise (des Eglises) et de l'Etat. La religion relève du domaine privé.
L'éducation et l'école laïque et obligatoire : enseignement de l'éducation civique qui explique ce qu'est un citoyen, une République, une démocratie, des droits ET des DEVOIRS.
L'éducation
La politesse : bonjour / au revoir / s'il vous plaît / merci (aussi important que lire / écrire / compter) Le respect des règles, des droits et des devoirs (mais peut-être avoir moins de règles ou des règles compréhensibles) Le respect des avis et opinions (y compris à la télévision et dans les médias premiers éducateurs de France) Sanctionner les supports relayant les informations fausses, diffamantes, insultantes, incitant à la haine (raciale et autres) Faute de pouvoir responsabiliser les individus, les diffuseurs doivent être responsables des "bêtises" qu'ils diffusent.
L'éducation
L'éducation
Cf. ci-dessus L'éducation (du coup l'instituteur, professeur des écoles, professeurs doit être revalorisé et doit pouvoir se faire respecter : droit de sanctionner. Pour se faire, ils doivent être protéger par leur hiérarchie)
Eduquer via l'école
Adopter les comportements civiques ci-dessus.
None
Ne pas focaliser sur les différence et éduquer. Mon enfant de 4 ans - garçon - se moque d'enfiler une robe de princesse ou du prénom slave, asiatique, maghrébin, ou autres de son copain ou sa copine, de sa couleur de peau. Donc si à 4 ans il n'y a pas de discrimination, l'éducation les crée. L'école doit tenter lutter contre les discrimination mais malheureusement l'Etat ne peut pas tout
Non
None
Pas de soucis avec la politique migratoire de la France. Par contre nous avons créé un espace européen - Schengen - et les polices aux frontières sont restées nationales. Soit les frontière sont de compétence européenne et l'Europe dispose des moyens pour gérer la politique migratoire de l'espace de libre circulation, soit les frontières sont de compétences nationale avec les forces de polices nationales. L'incohérence est le problème.
Pas d'avis. Pourquoi cette responsabilité ne serait pas celle du gouvernement ?
Transfert de cette compétence à l'Europe
L'éducation et en premier lieu l'apprentissage le langue et l'éducation civique (droits, devoirs, obligations et fonctionnement de la République).
None
Elle est trop compliquée et imbriquée. Les missions doivent mieux réparties pour le citoyen sache à qui s'adresser et surtout que l'administration qui porte la charge d'une mission puisse l'assumer.
Oui
Oui et non. Il doit être décidé si l'Etat est le bon échelon ou la territoriale mais pas un petit peu des deux. Et si une mission est confiée les moyens doivent être donnés sinon assumer de ne pas faire.
Oui
None
Sécurité sociale : déclaration d'arrêt de travail (y compris à l'employeur)
Oui
Oui
Que les administrations se parlent ou que pour 1 mission il n'y ait pas plusieurs administrations interlocutrices. Je ne connais pas les maisons du service public mais là où j'habite, il y a bien les prises de rendez-vous ou les agents polyvalents de la mairie pour les services municipaux, les agents polyvalents de la préfecture pour les services de la préfecture et les agents polyvalents de la CAF pour les services de la CAF, etc. pour chaque administration.
La Poste, la petite enfance, le péri-scolaire, la DGFiP, eau, assainissement, collecte et traitement des ordures ménagères, équipements sportifs et de loisirs de proximité
la justice (y compris la partie pénitentiaire) : soit plus de moyens humains soit moins de procédures (mais ce qui semble délicat puisque la procédure semble être garante du respect du droit) la sécurité : pourquoi Gendarmerie + Police Nationale + Police Municipale ? l'Etat doit rester maître de la sécurité quit à disposer de police de proximité en lieu et place de la Police Municipale. Pourquoi maintenir le double commandement gendarmerie et police nationale (cf. un reportage réalisé sur les attentats où M Cazeneuve fut obliger de hausser le ton pour faire taire les querelles) la petite enfance : les multiples administrations intervenant dans le secteur rend compliqué l'organisation de la garde d'enfants (CAF, Conseil Départemental, Commune ou EPCI, DGFiP (déduction fiscal)), sans compter les opérateurs privés mais largement soutenu par le public (CAF, déduction fiscale, subventions locales...) la sécurité sociale (santé) : pourquoi conserver 3 procédures pour les arrêts de travail ? Obliger les médecins à télétransmettre (remboursement de soins, arrêts maladie (y compris à l'employeur). la santé (si on considère la santé comme un service public) : réintroduire des centres de santé de proximité avec des accueils ou garde 7/7 et 24/24 proche des gens. On ne demande pas d'avoir des CHU de niveau X mais pouvoir voir un médecin le dimanche ou en pleine nuit peut rassurer et sans avoir à faire 50 km ou plus. Des maisons de santé au niveau intercommunal pourrait être pertinent. Quant à la problématique "on trouve où les médecins ?" le termes "libéral" de leur activité n'est que pour l'organisation de leur travail mais pour la rémunération il s'agit de la sécurité sociale et donc des cotisations. Des contraintes géographiques comme d'autres professions "libérales" (notaires, pharmaciens, établissement titulaire de licences IV...) seraient bienvenues en contrepartie des impôts qui les rémunèrent. Et réinterroger le numerus clausus ? La presse indiquait que 25% des médecins exerçant en France avait un diplôme étranger, peut-être que nos universités françaises pourraient simplement apprécier si l'étudiant est compétent ou non et donc capable d'exercer la médecine ?
Oui
Non
None
None
Oui
les former, les responsabiliser et les payer pour prendre des responsabilités. Leur offrir un encadrement adhéquat et aussi accepter que les agents ne sachent pas tout, tout de suite. Pour autant, l'agent qui suit le dossier est responsable de sa clôture (à lui de recueillir l'information et la solution pour le citoyen même s'il ne l'a pas).
Oui
En cas de maintien du concours, adaptés ceux-ci aux compétences spécifiques et nécessaires au fonctionnement de l'administration : Arrêter les administratifs tous juristes Sur le fonctionnement, si les différentes administrations pouvaient collaborer, échanger et construire des solutions ensemble plutôt que de se nuire et pourrir des projets protégeant les intérêts de SON administration sans penser aux opportunités.
Se parler et co-construire des projets utiles aux citoyens chacun dans son domaine de compétence. Ramener du service public (physiquement) sur ces territoires quit à utiliser des propriétés de la Poste, de la SNCF ou de la Défense qui sont les plus importants propriétaires sur le territoire et y créer des points d'accueil du citoyen ou des maison du service public, peu importe. Un lieu où le citoyen qui a un problème, une question peu venir.
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encore la coordination entre les administrations et le : "c'est pas moi c'est la commune" qui s'enchaine après le "c'est pas moi c'est l'Education Nationale". Au final tout semble fonctionné vis-à-vis de l'enfant mais la relation vis-à-vis de l'adulte est parfois compliqué.
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La biodiversité et la disparition de certaines espèces
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Non
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Oui
J'essaie de ne pas gaspiller : petits gestes du quotidien (éteindre les lumières, éteindre l'eau...). Prendre autant que possible les transports en commun.
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Oui
La copropriété
Oui
Marche à pied
Les transports en commun|Le vélo
Chaque personne physique ET SURTOUT MORALE
Contrainte financière voire taxation pour financer les surcoûts que la France s'impose.
Il ne faut pas faire de choix radicaux du tout .... Il faut mixer les ressources afin de pouvoir s'adapter afin de ne pas détruire tout 1 ressource : tout nucléaire = uranium => épuisement de la ressource, tout solaire = silicium, tout éolienne = épuisement du foncier et de l'espace aérien, tout gaz = épuisement de la ressource (yc le biogaz). La mixité est la clé.
Votre message a bien été envoyé.