J'adore les conclusions des travaux de la Cour des Comptes et son indépendance vis à vis des politiques. Il faut donner un véritable pouvoir et un poids contraignant aux travaux de la Cour des Comptes. C'est un des rares organismes qui contrôle l'utilisation des deniers publics. Une partie des thèmes d'analyse de la Cour des Comptes pourrait faire l'objet d'une suggestion d'initiative citoyenne.
La fiscalité sur les salaires est devenue insupportable. Pour les salariés, les augmentations durement négociées auprès de son employeur sont taxées au taux marginal si bien qu'après les charges sociales et l'IRPP au taux marginal, on se demande pourquoi on se démène autant dans son travail pour mériter une hausse de salaire. A peu près 50% de ce que cette augmentation coute à l'entreprise part en charges sociales et environ 15% de plus en impôts. Seul à peu près 1/3 me revient avant TVA, .... Ce faisant je n'ai accès à aucune aide (cantine, transport, ...) ni à la CAF qui s'attribue désormais en fonction des conditions de revenu. L'IRPP est devenu délirant (baisse du quotient familial, hausse des tranches d'imposition, ...) et supporté par une minorité de citoyens. Il faut bien prendre en compte que les salaires sont en grande partie le fruit du travail et des efforts fournis durant toute une vie depuis la scolarité. Les salaires ne sont pas des avantages perçus sur le dos des autres citoyens, il ne s'agit pas d'une rente provenant de la détention d'un capital hérité. Alors pourquoi tant d'acharnement ?
L'IRPP sur les salaires, La TVA sur les produits de première nécessité et sur les dépenses contraintes. La CSG sur les petites retraites
Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Penser à taxer davantage la nouvelle économie dont les salaires sont versés à l'étranger mais qui réalisent leurs bénéfices en France.
Les allocations familiales car en la matière c'est la double peine, d'un côté contribuer plus à l'effort à raison de ses revenus mais de l'autre en recevoir moins pour la même raison. Pas très fairplay mais devons-nous également financer les aides en faveur des migrants non autorisés ?
Accompagnement et financement de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées. Fixer un revenu minimum à un niveau décent. Harmoniser les aides perçus car il existe des strates d'attribution des aides entre la commune (cantine, garderie, ...), le département, la région (transport, ...) et l'état qui rendent les concitoyens inégaux. Les hausses du salaire minimum doit être ajustées sur la base d'une inflation calculée uniquement sur les produits de première nécessité + EDF, Gaz, eau (en exclure les les voitures, les IPhone, les écrans plats et autres).
Aucun impôt supplémentaire bien au contraire il est urgent de les réduire drastiquement et de revenir sur un taux de prélèvement se rapprochant d'une moyenne européenne.
Les strates administratives sont trop nombreuses, ainsi que les organismes, les commissions, les institutions, les hautes autorités, les conseils, les émanation des ministères enfin toutes les commissions Théodule crées à chaque évènements et qui ne sont jamais remises en cause car on y trouve les amis de gens influents ou qui l'ont été. Chacune d'elle génère des salaires cossus, des retraites dorées, des clauses de départ avantageuses, des voitures de fonction, des appartements de fonction parfois, des notes de frais incontrôlées, ...bref la gabegie. Il y a aussi une urgence, faire le ménage dans les niches fiscales ce qui n'est jamais facile car dans chaque niche, il y a, semble-t-il, un chien qui grogne.
Le maire en raison de sa proximité
Non
None
L'histoire de notre démocratie démontre que dans bien des cas l'intérêt des politiques passe avant l'intérêt général (rémunérations copieuses, emplois fictifs, cumul des mandats, retraites dorées, indemnités diverses parfois cumulées avec un emploi dans le privé, accaparement des postes d'élus ou d'assistants par des fonctionnaires en disponibilité de la fonction publique, ...). Cela ne se limite pas aux élus mais également à tous ceux qui sont payés de près ou de loin par l'état : les associations gouvernementales ou non, les partis politiques, les syndicats, des hauts fonctionnaires, les membres des commissions, des organismes, des institutions, des conseils (cf le conseil économique, social et environnemental), les fonctionnaires honorifiques (ambassadeur des pôles) des serviteurs de l'état, quelle foutaise !
Une bonne chose
Comment honnêtement admettre qu'un élu soit aussi efficace tout en étant député, maire, conseil régional, intercommunalité.. et cumuler toutes les indemnités et tous les privilèges et avantages associés.
De la proportionnelle Faciliter l'accès à des citoyens venant du privé
Oui
Conseillers régionaux, départementaux, communaux, intercommunalités.
Rendre le vote obligatoire sous peine de non versement des aides Tenir compte des votes blancs
Oui
De la même manière qu'un vote normal
Consulter les citoyens sur des thèmes choisis (cf Suisse)
Oui
Commencer par définir les thèmes qui peuvent être soumis à la consultation citoyenne
Mettre en avant les conclusions rendues par la Cour des Comptes et surtout les rendre contraignantes pour les institutions contrôlées avec une procédure de suivi.
Le CESE aucun Le Sénat est superflu, vieille réminiscence d'antan avec des élus par des grands électeurs
Oui
Suppression du CESE qui n'est de toute façon que consultatif et dont les travaux
L'application des principes de laïcité ne doit tolérer aucune souplesse. Il faut que les représentants religieux reconnaissent et promeuvent les valeurs de la République et se détachent des influences extérieures. Il faut accompagner et encourager la pratique de religions apaisées et non prosélytes. Il faut que tous reconnaissent le droit individuel à pratiquer ou non une religion selon un mode personnel et non dicté. Un exemple, les services publics ne doivent pas plier face aux communautarismes. Il est indigne que certains hommes, employés par l'état, par application de leurs croyances, refusent de travailler côte à côte avec des collègues féminines.
Nous sommes dans une société de digitale où tout se sait et chaque transgression d'un citoyen en vue donne une image catastrophique d'une société où tout est permis pourvu que l'on ne soit pas pris. La morale est écornée et cela touche des élus, des chefs d'entreprise, des syndicalistes, des hauts fonctionnaires, .. Par ailleurs, l'ascenseur social est en panne mais pas celui de l’entregent. Les privilèges sont attribués aux personnes de réseau et la majorité des citoyens souffrent d'un sentiment d'injustice commis à leur dépend : emplois fictifs, emplois familiaux, détournements divers, avantages indus, ...
Plus d'égalité (pas d'égalitarisme), plus de transparence, de morale et d'exemplarité
L'honnêteté et le respect
Dès qu'il y a tentation, les principes sont oubliés. Cela va de l'employé de bureau qui dérobe des fournitures dans son entreprise à la rentré des classes de ses enfants, de l'employé des services techniques de mairie qui utilise des ressources collectives pour restaurer son logement, au responsable d'entreprise qui utilise une CB pour des dépenses personnelles, à l'élu qui passe des marchés publics en contrepartie de la construction de sa piscine. Comment enrayer ces comportements ? Sont-ils tous aussi graves ? La seule solution est le respect, l'exemplarité, la transparence individuelle, forcée s'il le faut et surtout celle qui vient d'en haut. Les élus, les dirigeants, les représentants, les journalistes, les enseignants, tous ceux qui détiennent une autorité se doivent à une intégrité absolue. Dans certains pays le comportement civique est une obligation face aux incivilités, aux jets de déchets ou de mégots dans la rue, des pieds sur les banquettes, ... Je pense qu'il nous faudrait remettre en vigueur certaines règles du vivre ensemble et cela dans tous les territoires de la République.
Attribuer des décorations, par des conseils de bénévoles de quartier, de commune, par les entreprises, par les administrations elles-mêmes
Souvent des petits riens qui agacent, un crachat au sol, un papier, un emballage ou une canette jetée parterre, des pieds sur une banquette dans le métro, une conversation à haute voix au smartphone dans le métro, une bousculade pour une place assise dans le métro sans un mot d'excuse, se faire doubler dans une file d'attente sans un pardon, ...
L'incivilité est le corollaire de l'individualisme et la tolérance à outrance. La solidarité suppose la connaissance de l'autre ce qui ne se fait plus. Le liant social autour d'une vision commune de la société s'est effritée, les valeurs ne sont plus partagées. Il faut que collectivement les citoyens redéfinissent des valeurs à défendre, un pacte social et cela m'étonnerait que travail famille patrie ou liberté, égalité, fraternité ressortent du chapeau.
Soyons modernes, une application smartphone pourrait être un début #balancetonIncivisme
Aucune en ce qui me concerne ou dont j'ai eu connaissance.
Toujours pareil, le respect de l'autre
Oui
Modulation des allocations familiales, des APL, de l'ARE, ...
N'accepter que la migration autorisée c'est à dire qu'une demande préalable est déposée et qu'une décision des autorités a été donnée.
Oui il le faut
Aider comme nous le pouvons à la source et proposer des critères de sélection pour une intégration
Peut-on encore aujourd'hui intégrer davantage dans de bonnes conditions ? D'éduquer, de former à un métier et d'employer ? Qu'est-on capable de proposer à de nouveaux migrants si ce n'est de la misère ici aussi ? du communautarisme par défaut d'une intégration sérieuse à la société Française ? Pour plus d'efficacité et de justice, il nous faut régler nos soucis et ne pas verser dans l'angélisme.
Transformer l'accession à la citoyenneté, réviser l'attribution de la nationalité Française, supprimer la notion de droit de naissance.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Appliquer sans concession la notion de pollueur payeur. Fiscaliser lourdement les industries polluantes, les transports routiers, rendre beaucoup plus fiable le ferroutage (à passer en gestion privée avec mission de service public), le fret maritime, les compagnie aériennes Favoriser les circuits courts par une fiscalité agressive sur les biens produits loin des lieux de consommation.
Non
None
Oui
Transport en commun ou en 2 roues, tri sélectif, consommation de produits locaux, consommation de produits de saison
Fiabilisation des transports en commun (problèmes liés aux incidents techniques ou aux grèves). Recrutement par les entreprises sur un périmètre limité de manière à réduire les temps de transport ce qui suppose de faciliter la mobilité géographique pour les salariés.
Rendre fiable et plus confortable les transports en commun
Oui
le bois
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
None
L'employeur, le département et la région
Aucune idée sinon maintenir les travaux de la COP
Organiser une fiscalité écologique qui reste acceptable par les contribuables au regard de la problématique du pouvoir d'achat. Celle-ci doit en outre être programmée sur une période suffisamment longue pour que les consommateurs changent leurs modes de consommation et ne soient pas pris en otage d'un changement soudain de la fiscalité écologique.
Votre message a bien été envoyé.