Il faudrait pouvoir disposer en ligne d'un "bilan" annuel de l'utilisation des impôts, à la condition que des instances citoyennes aient pu être associées à l'élaboration et au contrôle du document,, en dehors des instances gouvernementales, afin que le bilan ne soit pas un document de "communication" à sens unique
Une fiscalité juste, c'est une fiscalité répartie sur TOUS, selon ses CAPACITES contributives ( l'exonération totale n'est pas une contribution et doit demeurer l'exception).. Une fiscalité efficace est une fiscalité acceptée, de préférence indolore et non fraudable. La TVA est de ce point de vue un excellent outil, à condition d'être entièrement revu : la TVA nouvelle devra être plus légère sur les produits de base ou de première nécessité, et alourdie pour les produits de luxe, de prestige ou notoirement nocifs pour la santé publique. Il faut : abaisser sensiblement la TVA sur les produits de base dans le domaine alimentaire et domestique (la vie de tous les jours, TVA 2%)....Elle dit être réduite aussi sur les dépenses d'eau, de gaz, d'électricité, du moins sur une première tranche de consommation. Il faut la maintenir à 5,5% pur les autres produits déjà frappés de ce taux. Il faut créer des taux nouveaux, en particulier : 25% sur le vin et les alcools jusqu'à 20°, ainsi que sur tous les produits "haut de gamme" dans tous les domaines : tel portable, ordinateurs( ça ne veut pas dire 25% sur tous les ordinateurs, mais uniquement sur les ordis haut de gamme), appareils photo, matériels et accessoires de loisirs de loisirs haut de gamme, voitures, etc.... un taux de 30% sur les produits très très haut de gamme : chevaux de courses, voitures de prestiges, montres, bijoux, maroquinerie, mode de haut de gamme (exemple : les gans à 18000 euros de chez Hermès, ou montre à 43000 euros (vu sur internet ), et enfin un taux de 35% : yachts, jets privés, meubles et objets de prestige vendus en enchères, chevaux de course, etc... La fiscalité doit être alourdie de manière forte sur le tabac.
Déjà dit, baisser l'IRPP ou le supprimer, à défaut de le réformer... Supprimer les taxes parasites vraiment injustifiées : taxe sur les abris de jardin par exemple
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|je le répète : mieux contrôler l'attribution des aides et allocations
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Logement, électricité gaz , eau, ... Pour la santé, mieux responsabiliser les bénéficiaires : en Allemagne, le fumeur supporte un abattement de ses remboursements de soins pour rhumes et bronchites récidivantes dues à son comportement : le remboursement est rétabli si le malade cesse de fumer
Plus d'impôt pour financer tout ce qui touche au logement, au chauffage, à l'eau, gaz, electricité
OUI : pour la TVA, comme pour l'IRPP ou la CSG, il ne faut pas en arriver à une exonération totale : CHACUN doit participer ! Une participation zéro n'est pas une participation ! Il faut aussi mettre fin aux exonérations en cascade : exemple : le fait d'être non imposable entraîne une avalanche d'exonérations complémentaires et supplémentaires, lesquels mis bout à bout, assurent à leurs bénéficiaires un revenu final supérieur à celui d'un citoyen imposable.
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Protection de l'enfance. Ce thème majeur a fait l'objet d'une charte internationale de protection de l'enfance, en 1989. Depuis cette date, de grands principes sont énoncés, et des obligations mises à la charge des Etats signataires. Mais ce texte reste formel et théorique et il n'a pas de traduction concrète dans le quotidien des enfants. D'une manière générale, je pense que les droits des parents sur leurs enfants sont trop larges, trop hégémoniques, et s'exercent le plus souvent sans contrôle de quiconque, et sans le moindre avis de l'enfant. Cela commence avec le choix du prénom, parfois farfelu, et qui traduit davantage un caprice parental, voire un humour mal placé, comme ce monsieur BLAISE, que ses parents avaient prénommé Pascal !(histoire vraie !) Certes, l'enfant à sa naissance ne peut agréer le prénom qu'on lui donne... Du moins pourrait-il avoir à donner son avis plus tard, à 12 ans, et exiger que son premier prénom soit mis en deuxième position.... Les choix des parents sont trop souvent arbitraires dans bien d'autres domaines : choix du mode d'éducation... pédagogie comportemental... éveil... loisirs... nutrition... choix des activités... scolarité... Il est étonnant qu'on définisse partout des normes et des procédures rigoureuses devant conduire à l'excellence... .. et qu'on laisse l'enfance dans un empirisme parental complet... Sans formation, sans information, sans le moindre contrôle ! Certes, la charte de 1989 prévoit que l'enfant pourra être consulté..mais seulement lorsqu'il est impliqué dans des procédures judiciaires particulières... Jamais dans la vie familiale quotidienne, où la famille est considérée, à tort, comme un sanctuaire confidentiel où nul n'est fondé à exercer le moindre contrôle.. La chose est aggravée par les séparations les divorces, les nouveaux compagnons imposés du jour au lendemain et sources de troubles graves chez beaucoup d'enfants... Je ne suis pas un spécialiste de ces questions et me garderai de porter ici des jugements négatifs ou à hasarder des solutions... Je propose seulement que l'on puisse réfléchir sur ces sujets.... Dans la protection de l'enfance, je n'oublie pas non plus l'alcoolisme et le tabagisme familial, desquels nous détournons trop souvent les yeux... Et ces deux drogues, tabac et alcool, voire cannabis et autres, sont encore pire pour les enfants lorsqu'il s'agit des femmes enceintes ! Là, c'est l'existence entière d'une vie à venir qui est réellement compromise dans le silence assourdissant de la société. On peut aller en prison si on emploie de l'amiante.. on est dans l'impunité si on administre alcool, tabac ou drogue un petit d'homme !..... De quelle utilité est la charte de 1989 alors ? Aucune ! Il faut y penser. Mieux , des actions de formation, d'information et de sensibilisation devraient être impératives pour les futurs parents... Des concertations entre familles ou entre famille et école, en y associant les jeunes concernés, devraient être systématiques au moment de toute orientation, changement d'établissement, de filière, afin de limiter les décisions arbitraires ou inadaptées des parents......Protéger l'enfance, c'est le faire aussi de manière concrète.. De ce point de vue, je note qu'une scolarisation très précoce des enfants , comme cela a été décidé récemment, est une bonne chose et va dans le bon sens.... Protéger l'enfant, mieux l'accompagner vers l'âge adulte, c'est faire une meilleure république demain...
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