Simplification du CGI. Les parlementaires doivent s'éloigner du terrain pour cesser de prêter l'oreille aux représentants d'intérêts particuliers, de leur accorder des avantges peu visibles et ainsi de travailler contre l'intérêt général.
Poursuivre les fraudeurs. Cesser de transiger avec les gros contribuables qui ne paient pas leurs impôts. Réduire les niches fiscales qui rendent le code général des impôts totalement incompréhensible.Revoir la fiscalité des entreprises qui semblent nettement avantager les plus grosses entreprises qui délocalisent leur production.
L'IRPP devient très lourd pour les 10% qui en paient 70%.
partager le travail, prendre en compte la réduction du travail disponible avec la numérisation de la société
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Santé. Chômage
Transition énergétique. Il faut un signal prix couplé avec une information systématique des adultes sur les questions environnementales.
Cesser de considérer les dépenses comme des charges alors que beaucoup sont des aides, des transferts et que la qualité des services publics semble se détériorer partout notamment à la suite de la réduction des personnels. Toutefois cesser de dépenser dans les domaines produisant des externalités négatives irréductibles par rapport à la transition énergétique, cesser de dépenser pour le transport routier, pour le transport aérien intérieur, cesser d'aider la production agricole de nature industrielle, notamment les élevages.
Je me méfie de la décentralisation car là où je réside elle ne fonctionne pas. La commune est entre les mains de la même famille depuis 45 ans. La troisième génération est en place. Il faut limiter l'accaparement des mandats par une même famille.
Oui
Davantage de sièges dans les institutions dans lesquelles elles sont déjà représentées. Avec un pouvoir décisionnel quand leur représentant n'a qu'un rôle de conseil. Les représentants des travailleurs doivent avoir plus de pouvoirs dans les entreprises.
Limiter le nombre de mandats dans le temps, le nombre de mandats par famille, notamment en ligne directe. Voire les interdire dans une circonscription donnée. Introduire une dose plus importante de proportionnelle dans les élections locales. Veiller à ne pas enterrer les affaires pénales qui touchent les élus. Augmenter la durée des peines d'inéligibilité afin d'éviter que des escrocs notoires puissent acheter les voix et obtenir des réélections successives. Mieux contrôler l'intervention des lobbys auprès des parlementaires. Sanctionner durement les conflits d'intérêt. Ceci est également vrai des personnes travaillant pour les agences diverses qui doivent être indépendantes.
Une bonne chose
Il permet un renouvellement de la classe politique. Un homme politique qui se considère comme un professionnel ne peut plus représenter ses électeurs. Je suis favorable à la réduction du nombre des élus lesquels devraient se contenter de fixer des caps, déterminer des stratégies qui seront ensuite mises en oeuvre par des fonctionnaires ou agents publics non fonctionnaires, les élus vérifiant la conformité des décisions prises au quotidien avec les stratégies qu'ils auront mises au point. Cette organisation permet à l'élu de poursuivre une carrière non politique et donc de représenter les électeurs; Cela garantit aussi la réinsertion de l'élu dans son domaine professionnel à la fin d'un mandat par conséquent cela permet de limiter le nombre de mandats dans la durée sans modifier considérablement le statut de l'élu.
Je pense qu'il y a un débat au niveau national entre majorité et opposition. Peut être conviendrait il d'introduire une dose de proportionnelle mais je ne suis pas favorable à une forte dose. Je pense que l'exécutif doit avoir l'appui d'une majorité claire. Au niveau local, je pense que la démocratie ne fonctionne pas. Les droits de l'opposition sont quasiment inexistants du fait de la loi et également de la jurisprudence du juge administratif. C'est grave dans la mesure où la décentralisation avance. Il est anormal que des compétences de plus en plus nombreuses soient transférées aux collectivités locales sans montée des droits de l' opposition et sans limitation de la durée des mandats dans le temps. Je répète que je suis tout à fait favorable à l'interdiction du cumul d'un mandat de parlementaire avec celui d'exécutif local. Il faudra d'ailleurs peut être revoir la loi afin d'empêcher les modalités de contournement de la loi. Ce qui peut complexifier la loi, mais la complexification des lois résulte du refus de ceux à qui elle s'applique de la respecter...Comment l'éviter?
Oui
Environ 35 000 communes, cela me parait encore beaucoup, même si leur nombre a un peu baissé récemment. Je suis totalement favorable à l'intercommunalité contrainte dans la mesure où l'intercommunalité ne s'est pas développée de façon satisfaisante lorsqu'elle était prévue sur une base volontaire. Je comprends l'attachement de beaucoup à la commune. Mais en fait ce que veulent les gens c'est trouver des interlocuteurs près de chez eux. La disparition souhaitable de nombreuses communes ne s'y oppose pas. Il faudrait simplement prévoir des services intercommunaux dans les anciennes communes. Je reconnais comme tout le monde l'avantage de la proximité pour les démarches administratives. Toutefois en France et sans doute ailleurs, proximité veut aussi parfois dire favoritisme, clientélisme...Je trouve cela totalement insupportable dans un Etat décentralisé. C'est la raison pour laquelle je suis opposée à une crispation sur le périmètre de la commune et tout à fait favorable aux évolutions récentes en matière d'intercommunalité. Ce qui me fait de plus en plus douter de la nécessité de maintenir le département. Je suis favorable à sa disparition au niveau des métropoles. , voire plus. L'émiettement français pousse aux infrastructures inutiles, à la concurrence entre collectivités locales que je crois être source de gâchis et non d'émulation. Je prendrai un exemple caricatural. Dans les zones de moyenne montagne, il fallait une station dans chaque village il y a quelques années...et maintenant la neige se fait rare. Les remontées mécaniques rouillent...Les paysages sont défigurés par des équipements qui vont tomber en ruine. Ou il faut dépenser encore plus pour fabriquer de la neige artificielle. Un non sens écologique dans une période où la fabrication d'énergie pose de nombreux problèmes...Les exemples de concurrence stérile et coûteuse pourraient être multipliés. Pour résumer je suis pour l'intercommunalité avec à terme disparition des communes actuelles, pour la région et l'Etat. Bien que simplifié le fameux mille-feuilles territorial est encore trop complexe. Les électeurs ne connaissent pas les compétences des différents niveaux d'administration locale; Il est facile de s'en rendre compte quand on distribue des tracts pendant les campagnes électorales. En outre il y a trop de possibilités de délégations. Plus personne ne sait qui fait quoi. Si en plus un établissement public exerce aussi des compétences sur le même territoire, cela devient encore plus opaque et inconnu. La déconcentration doit accompagner la décentralisation. C'est vital d'avoir un Etat qui reste fort dans les collectivités locales. C'est un contre poids .
Je pense que la limitation des mandats actuellement applicable est une bonne chose. Il faut y ajouter la limitation dans le temps, et au sein des familles; Sinon les électeurs deviennent fatalistes et ne se dérangent plus le jour des élections.
Oui
Je ne sais pas. Mais pourquoi pas considérer qu'au delà d'une proportion de vote blanc à déterminer, la liste ou la personne qui arrive en tête n'est pas élue. Par exemple prévoir un second tour lorsqu'un candidat ou une liste totalise 50% des votes lors du premier scrutin et qu'une proportion X d'électeurs a voté blanc. Je dois dire que je suis incapable de répondre à cette question. Mais une réflexion doit pouvoir être lancée. Elle existe peut être déjà. je ne suis pas au courant.
Je suis très dubitative. Notre société est très plurielle; Dans n'importe quel groupe il y a des oppositions saines, des discussions. Je constate à mon grand étonnement que ceux qui parlent beaucoup de participation éprouvent des difficultés à écouter; La démocratie participative, c'est bien, mais c'est difficile. Les référendums sont souvent des échecs cuisants. Je vois autour de moi des personnes qui veulent participer mais qui ne participent pas aux procédures existantes, style enquête publique. Il est très difficile de les motiver; Ils sont beaucoup dans la dénonciation. Il y a des idées intéressantes , par ex. les budgets participatifs dans les collectivités locales ou EPCI. Dans ma commune, l'idée est contournée par une grosse publicité de la majorité sur l'existence du budget participatif lequel ne représente qu'une proportion dérisoire du budget total...une idée: instaurer l'obligation de mettre en place un budget participatif, lequel correspondra à une proportion X du budget total hors dépenses contraintes (remboursement de l'emprunt...)
Je ne sais pas
Il est vrai que ce type de procédures existe dans plusieurs pays. Quand elles existent la participation n'est pas toujours garantie. (US, Suisse) Une question / pourquoi ne parle t'on jamais en France de la procédure d'initiative citoyenne prévue par le traité sur l'UE? Voir la non prise en compte des signatures françaises dans la procédure relative à l'eau qui avait pourtant été initiée par une personne de nationalité française, je crois qu'elles étaient arrivées hors délai....C'est quand même un comble que nous demandions ceci et que nous n'utilisions pas les procédures existantes....
Donner plus de moyens aux CRC et à la Cour des comptes. Possibilité pour une proportion X de citoyens au niveau de l'Etat, des collectivités locales de saisir Cour des comptes ou CRC. Le juge aurait alors obligation de répondre aux citoyens, d'exercer un contrôle...je pense notamment au cas des collectivités locales dans lesquelles la pression fiscale s'intensifie alors que la recette fiscale n'est pas utilisée. Violation du principe d'annualité budgétaire.
C'est une question qui me gène vraiment car je vois là un conflit difficile à résoudre entre intérêt général et intérêt local. C'est la question de savoir à quel niveau d'administration les arbitrages doivent être rendus. J'entends bien le discours de Mme Jacqueline Gourault. En même temps je n'aime pas le parlementaire qui demande qu'une disposition législative soit adoptée car en fait sans le dire il défend un intérêt local. Les parlementaires doivent défendre l'intérêt national. Je m'interroge sur le fait que le député de la circonscription de ma région d'origine dans laquelle l'industrie automobile est bien implantée s'oppose à la limitation de la vitesse à 80km/h sur les routes bidirectionnelles, demande des possibilités d'adaptation locale si la vitesse limite devait être conservée et défend l'idée que le législateur permette ici et là que sur des tronçons d'autoroute la vitesse limite soit fixée à 140. Ce député est par ailleurs membre, voire vice-président de la commission du développement durable. Je désapprouve. La limitation de vitesse permet d'économiser de l' énergie, de polluer moins. et surtout de sauver des vies humaines. C'est vrai sur la totalité du territoire national. Il faut se méfier de ce type d'attitude. C'est bien de vouloir défendre un territoire. Mais cette noble intention ne doit pas cacher une forme de lobbying pour des intérêts particuliers...
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Je suis moyennement favorable au sénat. Il a tendance à s'opposer aux évolutions indispensables. Il est quand même un facteur d'immobilisme.
Je suis pour le dialogue. Pour une réflexion sur les jours de congé. Favorable à la loi sur l'interdiction de cacher le visage. Je suis pour la répression pénale des mutilations rituelles. Je souhaite rappeler que nous vivons sous le régime de la liberté religieuse et non sous le seul régime de la liberté de religion et que les non-croyants existent aussi.
Par la loi, par le débat, par la non relégation économique...Le débat devrait aussi porter sur le monde de l'entreprise. et sur la démocratie dans l'entreprise.
Que la contestation des décisions prises par la majorité puisse permettre d'amender ces décisions. C'est un peu creux, mais comment renforcer l'engagement citoyen si ce dernier constate que son engagement ne sert à rien, ne débouche sur rien...et puis il y aura toujours des gens qui ne voudront pas participer.
Respecter les lieux collectifs en les maintenant propres Respecter les limites de vitesse; Je sais que le non respect est selon les cas une contravention ou un délit. Le problème est que de nombreuses infractions ne sont pas poursuivies. L' Etat doit être ferme. Avec la tolérance vis à vis de ces infractions, on a le sentiment que ne pas respecter ces limites est une simple incivilité; C'est intolérable. SURTOUT MAINTENIR LA LIMITE DE VITESSE A 80Km/h
En respectant soi même les règles. Je ne vois pas trop ce que peut faire le citoyen conscient. Il subit. Le législateur doit trouver les moyens de réduire les inégalités.Elles génèrent de la colère qui se traduit par des incivilités;
Je suppose que cela se traduit dans les CV. Après c'est à chaque employeur de penser que ces expériences sont intéressantes. je ne sais pas si on peut aller plus loin.
Troubles de voisinage divers. Bruit. Pollution. Cela me rappelle le voisin qui en zone rurale exploitait un dépôt de déchets automobiles , faisait bruler les pneus. Le service de l'Etat compétent a simplement constaté que les autres voisins ne portaient pas plainte. J'étais la seule. Les voisins baissaient les bras. Pensaient qu'il fallait laisser vivre cet exploitant. Il s'agissait bien d'une ICPE clandestine. L'Etat n'est pas intervenu. Le site a fermé car son exploitant est décédé. Donc il faut que les services de l'Etat soient en mesure de faire respecter la législation. Autre exemple: à la Défense, un groupe électrogène exploité sans déclaration par une grosse société. Encore un problème d'ICPE installation classée pour l'environnement. Il a fallu environ 3 ou 4 ans pour obtenir le changement du dispositif. Les services de l'Etat n'intervenant pas auprès de l'exploitant de cette installation elle aussi clandestine. C'est grâce à la saisine de la CADA que j'ai pu avancer. Encore un exemple qui montre que l'Etat renonce à faire respecter les lois. Ce sont en fait des infractions qui finissent par apparaitre comme des incivilités eu égard à la tolérance de l'Etat face à ces violations .....
Je ne sais pas quoi répondre à cette question quand l'Etat n'est même pas capable de constater des agissements qui constituent de vraies infractions. Alors les incivilités sont un problème, c'est sûr. Mais moindre.
Je ne sais pas....la société est fractionnée. Les injustices se creusent. Cela crée une atmosphère favorable aux incivilités.
Discrimination d'accès au logement dans une commune (Puteaux) dont le budget est élevé, dont l'office de HLM est je crois public, contrôlé par la majorité aux affaires depuis environ 45 ans...
Limiter le nombre de mandats des élus locaux et nationaux dans le temps
Non
Le problème ce ne sont pas les allocations de solidarité mais une économie qui crée de moins en moins d'emplois. Ou des emplois non rémunérateurs. Je ne veux pas d'une société comme la société américaine dans laquelle de nombreux habitants vivent dans des taudis au fond des bois, dans laquelle la caissière du petit supermarché local mange le reste de la pizza que vous abandonnez parce qu'elle a faim, d'une société dans laquelle les septuagénaires sont obligés de travailler pour survivre (vu aux Etats Unis...)
Il y a l'urgent et le moyen terme. Je ne sais pas si nous pourrons vraiment définir une politique migratoire. Les changements climatiques vont intensifier ces déplacements.
Je ne vois pas comment nous nous en sortirons autrement.
Rémunérer à un prix décent les services fournis par les habitants des pays pauvres. Les laisser travailler pour eux-mêmes. Cesser de les piller (uranium, métaux rares etc....). Cesser de soutenir les chefs d'Etat qui se maintiennent au pouvoir par la force, la ruse, la fraude, le clientélisme.....Lutter contre le changement climatique qui les frappe déjà plus que nous. Contribuer à rendre la vie vivable dans les pays d'origine travailler à la stabilisation de la population mondiale. Donner l'exemple. Ne pas se féliciter quand la natalité augmente. C'est plutôt une catastrophe.
Le travail, le logement, l'éducation...désolée mais ce n'est pas original....
Un problème essentiel n'est absolument pas évoqué ici, c'est la démocratie dans le monde du travail, singulièrement dans le secteur privé. La conception du grand débat traduit une vision totalement libérale de la société. Le seul objet de la réflexion est le secteur public et de son contrôle. Celui des activités privées est laissé de côté. Pourtant la crise de 2008 est partie du secteur privé. Donc cela fausse tout le débat. Pouvoir exorbitant des dirigeants de société et des gros actionnaires.
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Non
La démocratie locale n'est pas assurée. Il faut faire une pause dans les transferts pour améliorer la démocratie locale. Il faut aussi simplifier les possibilités de délégation entre collectivités et EPCI, plus personne ne sait qui fait quoi.
Non
Ma mère est centenaire. Elle est chez moi car j'ai suffisamment d'espace. Mais si je n'en n'avais pas, il faudrait qu'elle soit en Ehpad. Or ces établissements sont sont hors de prix. La concurrence entre gestion publique, associative et privée ne fait pas baisser les prix. En région parisienne il y a de la place; C'est le signe que beaucoup d'établissements sont hors de la portée financière des habitants. Il semble y avoir un surinvestissement stérile qui explique notamment les prix exorbitants. Je pense qu'il faut une justice plus rapide. Désolée mais cela va à l'encontre de ce qui est fait aujourd'hui c'est à dire la réduction des coûts. J'ai vu un TI débordé. (problème de tutelle).....mais des individus de bonne volonté.
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Sur l'écran je trouve toutes ces propositions intéressantes. Mais je pense que le débat doit aussi inclure les entreprises privées. J'ai rencontré des difficultés très importantes avec la banque après le décès de mon père. Pas tant de difficultés avec les administrations. Il faut imposer des règles aux grandes entreprises qui ont bâti de véritables 'administrations' inefficaces et totalement déconnectées de la population. Cependant nous ne pouvons pas nous passer de nous adresser à elles. C'est un vrai problème totalement évacué de ce débat.
Pendant ce qu'on a appelé la crise post électorale en Cote d'Ivoire (Le président Gbagbo refusant de reconnaitre sa défaite électorale), mon fils et ma belle fille camerounaise étaient à Abidjan. Ils n'étaient pas encore mariés. Pour les accueillir ensemble quand la violence devenait insupportable, je devais faire valider par la maire de ma commune le certificat d'hébergement d'un étranger. Extrêmement difficile. Proximité ne veut pas dire réactivité. Le code pertinent fixe un délai. La maire refusait de le respecter. J'ai du me battre pour obtenir un tampon sur le dépôt du dossier chaque fois que je l'ai fait en situation d'urgence en menaçant d'attaquer le refus -non réponse équivalait à refus à cette époque. Aucune humanité. Attention à trop de décentralisation. Les citoyens peuvent être démunis devant les tyrans locaux. L'exercice des recours prend trop de temps en situation d'urgence, laquelle ne sera pas nécessairement reconnue par le juge administratif en l'occurrence....
Le groupe Poste.
Oui
Oui
Avec l'administration fiscale, il est relativement facile de communiquer. Le gros problème pour moi ce sont les banques. Pourquoi avoir fait un questionnaire totalement déconnecté de ces réalités? Démission de l' Etat qui refuse d'encadrer l'activité des entreprises privées? Autre difficultés: les entreprises de réseaux et la gestion des abonnements. Problème des délégations de service public.
Absence de réponse et nécessité de recourir à la CADA pour avancer. Il faut arrêter de réduire les dépenses de personnel...
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Je n'ai rien constaté pour l'instant. mais oui sur le principe.
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Il ne faut surtout pas aller vers moins d'administration (terme entendu au sens large). Le moins d'administration génère des retards et des coûts....ex: un TI débordé (demande d'habilitation familiale, ma mère de 100 ans étant hors d' état de gérer ses affaires. J'ai constaté: Problème des délais. Perte d'une pièce du dossier. Heureusement j'ai pu prouver leur erreur car envoi par internet. Jugement dont le libellé a du être corrigé en raison d'une faute matérielle. Impossibilité d'obtenir des récépissés des pièces déposées physiquement. N'ont plus de temps. Cela fait beaucoup. Il faut revoir les rapports entre les grandes entreprises dont les Français ne peuvent plus se passer avec leurs clients. Problème du libéralisme et de la gestion privée de services publics ou de services qui ne sont pas publics mais indispensables.
Là encore poser la question des entreprises privées... Ne pas concentrer tous les services dans les centres urbains ce qui rend la population dépendante de la voiture ....
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Pas de difficulté pour ma petite fille rentrée de l'étranger
Difficultés pour mon fils rentré du Cameroun récemment. Indemnité de chômage non versée alors qu'il y a droit. Problème de date
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C'est difficile. Inscription extrêmement difficile pour une couverture santé de ma belle fille qui est camerounaise. Elle pourrait obtenir la nationalité française mais ne fait pas la démarche car son pays refuse d'accepter les bi nationaux. Donc elle n'est pas prête à abandonner sa nationalité pour acquérir la nationalité française. Solution: convaincre ces Etats qui refusent la bi nationalité à ceux qui ne sont pas proches du pouvoir (en l'occurrence Cameroun). Il y a des bi-nationaux, mais ils osnt proches du pouvoir dictatorial de cet Etat.
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déréglements climatiques et la perte de biodiversité, et chimie dans la chaine d'alimentation
Je ne vois pas pourquoi choisir un seul item. Je pense qu'il faut au moins en citer 2. Les autres sont également importants. Il faut rajouter le problème de la pollution de l'eau, des océans. Tout est interconnecté. Plus on tarde plus les problèmes deviennent complexes à résoudre et plus le risque de révoltes va augmenter face à des mesures indispensables à prendre. Donc il faut .changer de mode de vie. Modifier les critères d'évaluation de la santé économique d'un pays. Si le PNB est conservé, en retirer toutes les activités économiques qui engendrent des dégradations de l'environnement.
Oui
Le changement est visible. La hausse de la température est claire. Chaque année elle est mesurée. En été la vie en ville devient pénible. Mais cela fait surtout craindre le pire pour l'avenir, notamment pour ceux qui naissent aujourd'hui et leurs parents. Conditions de vie dégradées, révoltes, troubles sociaux. insécurité. La pression migratoire va s'accentuer.
Oui
Laisser la voiture au garage. La partager. Actuellement nous avons une voiture pour 9 personnes. Envisager de ne plus en acheter. Acheter des produits alimentaires locaux directement au producteur. Quand ce n'est pas possible, choisir ceux qui proviennent des lieux les plus proches (ex:riz de camargue et non d'Asie). Réduire l'achat de vêtements. Privilégiez ceux qui semblent avoir été fabriqués dans l'UE. Mais méfiance vis à vis des étiquetages. Donc le mieux est de ne pas en acheter. Rejeter les innovations systématiques. Ne pas changer de portable. Faire le tri. Faire un peu de compost sur le balcon. En faire davantage.
J'habite en logement collectif. La décision ne m'appartient pas. Pression auprès du syndic pour réduire la consommation d'énergie. Abaissement de la température du logement est le sacrifice qui me coutera le plus. Mais j'ai déjà installé depuis de nombreuses années des double fenêtres en double vitrage. Je l'ai fait car le niveau de bruit est trop élevé; Ce qui est la rançon du choix de vivre en ville pour réduire les trajets.
Je reproche aux méfias de mentionner les questions d'environnement à la fin des bulletins d'information au niveau des faits divers. La population française est peu sensibilisée. Je le regrette. Je pense que les reculades actuelles du gouvernement vont dans ce sens. Donc la question telle qu'elle est posée est absurde.
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Au niveau collectif, du solaire et du petit éolien. Notre immeuble est peut etre piégé dans un contrat de fourniture de chaleur avec un délégataire de service public . Il y a une affaire qui est pendante devant les tribunaux depuis des années. une instruction qui n'avance pas mais qui n'est pas close. mettant en cause le délégataire et les élus locaux.....
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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En ville je n'ai personnellement pas de problème.
A la campagne, la situation est mauvaise. Les communes sont trop individualistes. Les élus de l'intercommunalité ne se préoccupent pas de ces questions; Tout passe par la route. Les élus locaux ne sont pas motivés. Pourtant ils ont le pouvoir dé décision. Donc il faudrait que l'Etat encadre mieux les transferts de compétences . Mais ce n'est pas à la mode de dire cela. Donc c'est un cercle vicieux.
Mener une vraie politique de transition énergétique ce qui n'est pas le cas. Nous en restons au discours. respecter les règles adoptées au niveau de l'UE. Ce n'est pas la transition énergétique, mais en matière d'eau nous sommes régulièrement condamnés par la CJUE. Comment pouvons nous être leaders? Nous savons organiser des réunions mondiales. Mais cela ne suffit pas.
Faire l'éducation des adultes. Ne pas croire que tout passe par l'école et que les enfants éduqueront leurs parents. Cessez de parler d'écologie punitive. Elle le sera nécessairement car nous avons trop tardé à prendre les bonnes décisions. L'écologie punitive est le résultat de l'attentisme de la classe politique et des citoyens qui élisent ces personnes. Et il est évident que la transition ne pourra pas intervenir si les inégalités continuent à se creuser. Vivant surtout en ville et aussi à la campagne, je souhaite souligner les avantages dont disposent les personnes résidant en dehors des grands centres urbains: prix de l'immobilier bas .Donc il faudrait peut être cesser de considérer que les urbains sont les gagnants et que les autres sont les perdants. Les habitants des zones peu denses ont fait le choix d'y vivre. ILs sont piégés par la voiture. Mais cela fait une bonne cinquantaine d'années que l'on écrit partout qu'il faut redensifier la ville pour diverses raisons...dont le problème énergétique. et que le choix de la maison individuelle peut être problématique. La démagogie a piégé ces gens. Les élus locaux de petites communes qui continuent à n'envisager la vie que par rapport au territoire étroit d'une commune et qui font tous leurs lotissements là où il n'y a pas de service. Encore responsabilité des élus locaux qui ont accepté de développer des zones commerciales sinistres et inaccessibles autrement qu'en voiture.
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