Une information concise et claire doit être transmise par l'état et les élus locaux sur l'utilisation des impôts. Elle doit indiquer les objectifs, faire des comparatifs, et montrer les évolutions dans la durée.
La fiscalité est déjà très progressive pour les actifs salariés. Mais l'assiette n'est pas assez large. Tout le monde devrait payer un impôt sur le revenu, même s'il est faible. Le 1% des plus riches échappent à cette fiscalité car ils peuvent se payer des experts en fiscalité.
Impôts sur les sociétés. Le chantier est également énorme pour simplifier le système fiscal. On crée des niches mais on n'est pas capable d'arrêter quand elles se révèlent inefficaces ou obsolètes.
Reculer l'âge de la retraite|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
1/la retraite: supprimer les régimes spéciaux, augmenter l'âge de la retraite et instituer un système complémentaire au régime de répartition qui est un modèle à bout de souffle du fait de la baisse inéluctable du ratio actifs/retraités 2/ sortir d'un chômage endémique, en améliorant la mobilité (formations, aides d'entreprises, diminution des durées d'allocations, accompagnements...). 3/ dépenses de santé: plus de transparence sur la façon dont l'argent est dépensé. Il faut responsabiliser les patients (dresser des bilans annuels pour les informer de ce qu'ils dépensent en proportion de ce qu'ils cotisent) et le corps médical (améliorer la gestion des hôpitaux, les organisations de travail, faire des économies d'échelle, parcours d'incitation pour combattre les déserts médicaux).
On peut améliorer sans forcément augmenter les moyens humains!
Dans l'état actuel des choses, les impôts sont trop élevés.
Il est inadmissible de peiner à trouver quelques milliards d'économie lorsque nos niveaux de dépenses sont devenus astronomiques. On parle de quelques % au pire. La lutte contre le gaspillage devrait être regardé de plus près, mais il faudrait en parallèle rehausser le niveau de formation économique dans nos écoles et universités.
Je suis confiant dans la démocratie représentative. La démocratie participative ne peut être qu'un complément et doit être utilisée avec circonspection. Elle exige un certain niveau d'éducation civique
Oui
Les organisations syndicales sont faibles. Elles s'inscrivent trop dans un rapport de force et sont trop peu représentatives de la sphère d'activité professionnelle. Il faut s'inspirer des modèles nordiques et réintroduire le sens du consensus et du compromis. Quant aux associations, elles ne doivent pas fragmenter les revendications et les représentations.
Un peu plus de système proportionnel, plus d'implications syndicales/associatives/territoriales dans les processus d'élaboration et de mise en oeuvre des grandes orientations politiques. Réintroduire un septennat présidentiel mais unique.
Une mauvaise chose
Perte du sens des réalités. Il faut des hommes de terrains. Le concept de député-maire avait du bon. Mais il doit exercer sans faire de clientélisme.
Plus de proportionnelle surtout au niveau local.
Oui
Réduire le millefeuille administratif en privilégiant les régions et les inter-communalités.
Inciter en instituant une sorte de permis de vote à point.
Oui
Au dessus d'un certain seuil de votes blancs, on annule le scrutin.
Le referendum citoyen doit être réservé à des sujets nationaux de société (PMA, euthanasie, jury populaire, laïcité... par exemple), ou encore à des sujets locaux (cf aéroport de Nantes!), mais en aucun cas à des sujets régaliens ou qui touchent à l'économie.
Oui
C'est possible. Mais le vote citoyen pour entériner doit être supérieur à 10%
C'est aux structures administratives et aux élus de faire correctement leur boulot. A eux de trouver les moyens de consultation qui sont adéquats à leur niveau. Ils doivent être à l'écoute de tous leurs clients et pas seulement de leur clientèle. Ils doivent aussi faire un retour (objectif) sur expérience.
Etre aussi une force de proposition et pas seulement de consultation.
Oui
Eviter le surplus ou l'embouteillage administratif (pas de doublon). Le sénat a un rôle important jouer en matière territoriale (relais social et économique).
Il faut d'abord appliquer les principes existants et les inculquer à l'école! (cours d'éducation civique, histoires comparées des religions...)
Lorsque les principes de laïcité sont bafoués, notre justice ne doit pas être complaisante.
Le citoyen oublie qu'il a aussi des devoirs, dont le premier est de respecter les règles républicaines de savoir vivre en France et non pas celle de sa communauté
Respect, sens de la collectivité, sociabilité, sens moral, altruisme, responsabilité.
Le service citoyen tel qu'il est conçu est une fausse bonne idée. On n'induit pas des changements de comportement en 2 mois. Ce service doit être muri et préparé par des actions pédagogiques initiées pendant la scolarité (cours d'éducation civique, réalisations et actions collectives...)
Mettre en avant les exemples positifs. Faire des bilans, pas seulement qualitatifs (on se fait souvent plaisir) mais critiques avec des critères pertinents et mesurables. Pourquoi n'arrive-t-on toujours pas, dans la fonction publique, à faire évoluer les parcours en introduisant les bilans de compétence?
Impolitesse, laisser-aller, individualisme, fraude, homophobie, inégalité des droits H/F....
Justice moins partisane et moins laxiste. Plus de travaux d'intérêt collectifs donnés aux délinquants. Des prisons plus modernes et plus nombreuses en faisant si possible du sur-mesure (s'inspirer des modèles d'Europe du Nord) et en accompagnant les réinsertions.
L'éducation familiale et l'éducation scolaire. Il faut donc faire évoluer l'enseignement et responsabiliser davantage les parents.
Aujourd'hui ceux qui partent de France ne sont pas forcément ceux qui crient le plus à l'injustice raciale ou religieuse. Dénoncer par confort moral ne va pas forcément se traduire par un meilleur partage des valeurs. Les études sociologiques sérieuses ont la réponse à votre question. La quantification serait plus pertinente si on autorisait la prise en considération de critères de segmentation plus variés et elle permettrait de mettre en oeuvre des plans d'action plus efficaces pour réduire les discriminations.
Eviter la victimisation et la repentance. Attention à la discrimination positive, elle a ses limites.
Oui
Toute action "au bénéfice de" doit s'accompagner d'une réciprocité
L'immigration a toujours été guidée par des raisons économiques pas très honorables (donner aux émigrés des boulots faiblement qualifiés et refusés par les Français de souche). Il vaut mieux des émigrés moins nombreux mais mieux intégrés et plus heureux que beaucoup de sans papiers. La capacité d'accueil dépend beaucoup de la santé économique du pays d'accueil. Actuellement, la France est économiquement fragile, peu dynamique, avec un chômage de masse.
Oui
D'abord trouver avec les pays source d'immigration des accords de développement pour fixer leur population.
Nos émigrés doivent suivre une initiation (apprentissage de la langue et des règles républicaines). Developper la mixité sociale pour éviter le repli identitaire, développer des plans Borloo, s'appuyer sur des représentants ouvert d'esprit et porteurs de valeurs "républicaines" qui soient issus de ces communautés pour encadrer le mouvement. L'islam doit se réformer de l'intérieur et on doit les aider dans ce travail, avec compréhension mais sans naïveté.
Notre démocratie n'est pas la seule à déraper mais nous avons beaucoup de handicaps. L'ascenseur social ne fonctionne plus. Les valeurs travail et mérite ont été trop piétinées au détriment d'un égalitarisme malsain.
L'état est beaucoup trop centralisé et sollicité avec des doublons dans nos structures administratives. Notre législation est trop complexe et trop abondante.
Oui
Revoir le mille-feuille administratif en supprimant des strates et redéfinir les missions territoriales sur la base d'un découpage qui ne soit pas électoral mais en symbiose avec les orientations économiques des grands bassins d'emploi
Oui
Il y a des économies d'échelle à trouver (mutualisation des moyens). Il est très curieux que les regroupements suivent un schéma d'intercommunalité qui est variable selon les services.
Le numérique doit être développé dans tous les secteurs mais parallèlement il faut inventer de nouveaux canaux pour les personnes âgées qui ne maitrisent pas internet. Les services téléphoniques sont déficients (chers, pas fiables).
Non
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On est très en retard en France sur l'existence de plate-formes publiques capables de délivrer des conseils ou accomplir des formalités. Attention toutefois à la polyvalence: dans notre maquis législatif, les choses sont complexes et donc peu adaptées à l'exercice d'expertises polyvalentes
Evolution trop lente, donc les effets sont peu significatifs.
Santé, emploi, éducation
Oui
Non
None
Renouvellement de concession dans un cimetière: un parcours ubuesque avec des demandes de papiers totalement aberrantes
Oui
En les responsabilisant et en les valorisant, sinon ils pantouflent.
Oui
Ne pas critiquer les énarques (c'est très à la mode et démagogue) mais réformer l'enseignement à l'ENA pour leur donner une expérience de terrain (en liaison avec la sphère privée).
Il faut que l'état puisse réguler afin de corriger des déséquilibres économiques (des systèmes de subvention à l'image des aides européennes accordés à des pays en cours de rattrapage). Mais attention, il faut aussi des contreparties.
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Trop de nivellement par le bas et des programmes scolaires inadaptés
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Le patient devrait connaître ce qu'il coûte à la collectivité et ce qu'il reçoit en contrepartie. Ce serait édifiant et il changerait peut-être de comportement. D'autre part, la gestion des hôpitaux peut être grandement améliorée. A titre d'exemple, mais parmi tant d'autres, la défection pour les vaccins en France est proprement scandaleuse et coûteuse. Comment se peut-il qu'une partie du corps médical soit complice de cet état de fait. Le vaccin contre la grippe devrait être obligatoire dans les EHPAD, dans les hôpitaux. Une vigilance devrait être mise en place dans les établissements scolaires.
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Tout est lié (la pollution de l'air est responsable en partie des dérèglements climatiques, lesquels provoquent des crues et sécheresse etc etc)
Actions préventives (favoriser des modes de production industriel présentant un bilan carbone positif) et actions correctrices (aménagement des bassins avec des ouvrages appropriés, application de critères de construction adaptés...)
Oui
Etés plus chauds, biodiversité en diminution dans la nature environnante
Oui
Je vis en maison. J'arrose mon jardin avec un système de récupération d'eau des pluies, j'ai investi dans une PAC et j'ai modernisé mes doubles vitrages, je n'utilise qu'un seul véhicule à essence (pour un couple)
C'est d'abord un problème de cohérence de comportement. Comme je suis de la vieille école et hors du marché du travail (retraité), je suis peut-être plus discipliné pour appliquer des règles d'hygiène de vie simples, même lorsqu'elles sont un peu contraignantes (économiser l'eau, l'électricité...)
Rien n'est simple lorsque le financier s'en mêle. Je veux bien faire des efforts si j'ai la conviction que ces efforts seront aussi partagés par les autres
Oui
Le solaire ou la géothermie seraient encore plus écologiques mais ces solutions se heurtent soit à des problèmes techniques (géothermie) ou des problème de rentabilité (solaire). Ce sont des investissement lourds et on ne peut pas changer de système tous les 4 matins.
Oui
Les transports en commun existent mais ils seraient encore plus efficaces et attractifs si les liaisons et les capacités en parking étaient mieux conçues sur les plateformes terminales. Les transports gratuits sont une fausse bonne idée.
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Les élus ont un rôle essentiel dans l'élaboration d'une politique de transport en commun. Mais elle doit s'appuyer sur et travailler en bonne intelligence avec des opérateurs privés.
Je crois plutôt qu'on a des enseignements à aller chercher dans les démocraties du nord quant à la mise en oeuvre et l'application. En revanche, sur le plan énergétique industriel, il ne faut pas abandonner la filière nucléaire.
OUI. Tout commence, pour la prise de conscience, par l'éducation. Mais l'écologie est une science et ne doit être ni une posture ou ni une utopie. Les débats scientifiques sont trop souvent biaisés. Notre enseignement doit renforcer notre sens critique dans ce domaine. J'ai souvent des doutes sur un sursaut collectif quand je vois nos trottoirs souillés par des étrons canins et des débris de poubelles. La vitrine française n'est pas toujours reluisante et exemplaire!
Votre message a bien été envoyé.