Impliquer tous les citoyens vis à vis de l'impôt, par une individualisation de l'impôt, plus de progressivité et un impôt négatif pour les plus bas revenus (en contrepartie d’une suppression des aides équivalentes). Donner la possibilité à ceux qui payent d’allouer une partie de leur impôt à des investissements dans des projets proposés par l’état.
Toujours individualisation de l'impôt et fusion des aides avec un impôt négatif (ou revenu universel, pourquoi pas une fusion CSG-IR) et progressif. Définir un âge pour l’accession à cette aide quelque soit le foyer puisque l'impôt serait individuel. Considérer en contrepartie tout don, aide ou héritage des familles comme revenu imposable. De même pour la retraite, augmentation de l'impôt négatif à partir d’un âge ou d’un nombre de points cotisés. Et imposition progressive des revenus liés aux revenus du capital du retraité. Imposition sur le revenu et non sur le capital car il freine l'investissement. Pas d’ISF ni d’IFI mais plus de progressivité pour les hauts revenus en échange.
Les impôts basés sur de charges fixes (taxation du carburant, de l’immobilier par exemple) ou le capital. Limiter les effets de seuils.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Réduire la dépense publique en modernisant l’administration. Simplifier les aides et la rendre progressive sans effet de seuils. Proposer une retraite progressive à temps partiel pour ceux qui souhaitent diminuer leur temps de travail plus tôt tout en continuant à travailler plus vieux.
Il faut surtout simplifier le système en le fusionnant à l'impôt et en réduisant l'administration.
Revenu minimum (chaumage, retraite). Formation professionnelle.
Pour une éducation plus flexible et plus moderne. Pour des soins plus personnalisés et plus accessibles.
Il y a un effort à faire sur la dépense de fonctionnement de l'administration. Il faut simplifier le dispositif fiscal et d'aide.
Il y a trop de complexité, trop d’administration, ce qui coûte chère pour l'état, les particuliers et les entreprises. Cela force l’état à faire des économies sur les services. Il faut simplifier l’administration dans l’ensemble (impôts aides sociales…) investir pour la numériser, cela permet d'offrir des services directes plus performants pour le même coût (moins de papiers et plus de professeur et d’infirmiers). Il faut aussi revoir le management au seins des services et décentraliser la prise de décision. Par exemple offrir plus d’autonomie à la gestion, au recrutement et à la méthode pédagogique des établissements scolaires pour être au plus près du terrain, permettre les initiatives et pouvoir recruter des professionnels comme enseignants
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Non
L’offre numérique est faible en dehors de la possibilité de payer ses impôts. Un service numérique complet avec un accompagnement pour les différentes démarches serait vraiment bénéfique
Tous. Pour les particulier et les entreprises. Se déplacer devrait relever de l’exception pour traiter des cas complexes
Non
Non
Il faut investir dans les nouvelles technologies. Cela permettra de diminuer les coût de fonctionnement de l’administration mais aussi de proposer des outils performants comme par exemple des outils pédagogiques pour les enseignants qui pourront personnaliser et améliorer la qualité de leurs enseignements.
Cela évolue bien mais pas assez vite au vue des évolutions technologiques aujourd’hui.
L’éducation. Trop centralisé trop rigide. Il faut donner des outils numérique et rendre les management au niveau des établissement pour laisser les initiatives naitrent et rendre le métier d'enseignant plus attractif. La santé pour les mêmes raisons.
Oui
Non
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Les questionnaires à remplir trois fois avec des situations qui ne correspondent pas à ma situation et l'obligation de le répéter au téléphones avec un conseiller.
Oui
Voir plus haut. Un management et des prises de décisions plus proche du terrain, moins de hiérarchie décisionnelle.
Oui
Le conseiller ne doit pas être un simple remplisseur de QCM, il doit réellement apporter des conseils sinon un serveur informatique peut mieux faire le travail. De même un gérant d’établissement scolaire ne doit pas être un comptable mais un vrai entrepreneur qui souhaite innover et proposer une pédagogie moderne en accord avec le terrain.
Rendre les parcours public privé plus facile, limiter les statuts, recruter non pas sur un concours national mais sur des entretiens individuels à l’échelle locale et des critères de compétences. Et je le répète, investir dans le numérique.
Dans l'ensemble trop de formation accès sur le diplôme et non sur les compétences.
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Il faudrait faciliter la possibilité d'avoir une carrière hybride, être salarié tout en étant autoentrepreneur par exemple. Pas encore simple suivant les clauses des employeurs.
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Un point particulier pour l’éducation. Les problèmes constatés dans l'enseignement supérieur pour le recrutement post BAC sont a mon avis symptomatiques des problèmes de l’enseignement secondaire qui n’est plus en phase avec la société, poussant les élèves à rester généralistes jusqu’au bac sans expérience professionnelle, ne leur donnant aucun moyen de se projeter dans un métier concret. Il y a certainement des efforts à faire dans l’enseignement supérieur pour accueillir convenablement chaque étudiants mais l’effort de fond qu’il faut faire c’est de donner plus de place aux métiers avant le bac tout en laissant aux élèves la possibilité de se réorienter tout le long de son parcours. La révolution technologique pousse chacun d’entre nous à changer de métiers et faire évoluer ses compétences tout le long de sa carrière, l'enseignement devrait être aussi souple que ce que la vie nous demandera à l’avenir. En apprenant un métier plus tôt par exemple par des stages réguliers le long de leur parcours les élèves d’une part se construiront en tant qu’individu en interagissant socialement dans un cadre professionnel, d’autre part ils se projetteront davantage dans leur avenir professionnel et pourront être plus proactif sur leur orientation.
La pollution de l'air
Favoriser les investissements dans la transition écologique et le technologie propres. Par l’impôt sur les sociétés et le financement participatif.
Non
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Oui
Déplacement perso et domicile travail à vélo et transport en commun. Favoriser les achats de produits moins polluants, manger moins de viande. Achat de l'électricité avec garanti de production renouvelable.
Plus d'aménagement pour les vélos en ville. Développer l’offre écologique pour les produits du quotidien, diminuer les emballages. Plus d'information pour le consommateur sur l'impacte environnemental des entreprise dans tous les domaines (ex: banques qui investissent dans des entreprise propres ou pas, impacte CO2 de la production des produits).
Il faudrait surtout que des offres alternatives et accessibles existent. Il faut encourager les investissements dans ce sens. Exemple : faire du “zéro déchets” reste très compliqué et onéreux. en dehors de villes il n’y a pas d’alternative à la voiture et la voiture électrique reste chère et la technologie n’est pas encore propre (batterie).
Oui
Je suis locataire, il faudrait inciter les propriétaires à rénover leur immobilier locatif
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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La ville et la région pour le transports (bus, tram, métro, ter) et l'aménagement des voies
Investir dans les solutions électriques et la production d'électricité renouvelable. Développer un savoir faire pour rendre l'écologie rentable et attractive.
Il faut motiver l’investissement des entreprises dans la transition écologique. Les initiatives personnelles ne suffisent pas par rapport à l’urgence climatique. L’état doit inciter les entreprises par exemple en les classant par impacte environnemental, et instaurant un bonus malus sur la taxation des dividendes en fonction de ce classement. Cela orienterait les investissements vers entreprises propres.
Votre message a bien été envoyé.