Simplifier et flécher les différentes taxes et impôts et respecter ce fléchage pour plus de lisibilité, de pédagogie et de compréhension - rendre compte chaque année synthétiquement du montant total des impôts et de leur usage, aussi bien au niveau national que régional ou local : la taxe sur les carburants pour les actions de mobilité et d'énergies renouvelables, la taxe sur l'électricité pour les actions sur les réseaux électriques, la maîtrise de la demande en électricité et les énergies renouvelables (et par exemple pas pour le fleurissement de la commune pour la part communale), la CSG pour les actions sociales, les taxes d'habitation et foncière pour les actions locales (bâtiments publics, routes, écoles), la taxe sur les transports pour la mobilité et les transports, les péages pour les routes et autoroutes, les impôts sur le revenu pour les services publics d'état (école, justice, police, hôpital), la TVA pour la dette et les services publics. Les taxes seraient mieux acceptées si elles étaient comprises et bien utilisées sans avoir le sentiment d'être dupés et trompés.
Elargir l'impôt sur le revenu à tous, même symboliquement (10 € par an pour les foyers les plus démunis), pour rendre les citoyens responsables face à l'impôt. Augmenter le nombre des tranches de l'impôt sur le revenu pour plus d'équité. Ne pas supprimer la taxe d'habitation qui participe au financement des services publics locaux, mais il est nécessaire de la simplifier et de la rendre plus juste en prenant en compte les revenu, la composition de la famille et pas seulement la valeur locative. Et tenir compte des habitants en résidence secondaire. Il faudrait également réduire les niches fiscales, les rendre plus compréhensibles et lisibles, les orienter et surtout obliger ceux qui en bénéficient à réinvestir en France ou dans la transition de la France l'argent gagné grâce à ces niches fiscales. Sinon cela apparaît comme une injustice car seuls les riches peuvent bénéficier des niches fiscales et s'enrichissent grâce à elles. Elles doivent avoir un sens et une utilité pour tous et ne pas profiter qu'aux riches. Tout en gardant un subtil équilibre pour que les riches ne quittent pas la France. L'ISF n'est pas forcément à rétablir mais s'il est supprimé, il faut également obliger les riches qui bénéficient de cette suppression à investir en France. Sinon cela paraît totalement inéquitable... Les frais de succession doivent également dépendre des revenus. Pour les entreprises, imposer toutes les entreprises sur le chiffre d'affaires réalisé en France même si le siège social est à l'étranger pour plus d'égalité entre les entreprises dont le siège est en France et les autres. Limiter les salaires des chefs d'entreprise et les dividendes versés à un pourcentage des bénéfices. Augmenter les salaires en proportionnalité de l'augmentation des dividendes.
La TVA est à la fois l'impôt le plus égalitaire car il touche tout le monde, mais également le plus inéquitable car il touche au même niveau tout le monde, quels que soient ses revenus.... Remettre à jour la liste des produits de première nécessité par rapport à l'évolution de la société et réduire plus la TVA sur ces produits ? En contrepartie augmenter la TVA sur des produits vraiment pas indispensables et de confort qui nous sont rendus nécessaires par une société consumériste et matérialiste ? Favoriser par la baisse de la TVA les produits made in France (possible ou concurrence déloyale ?) ? Favoriser par la baisse de la TVA les services locaux qui créent de l'emploi local (artisans, restauration etc). Réduire la TVA/ taxes sur les produits pétroliers qui donnent vraiment l'impression d'une taxe injuste (plus l'essence est chère, plus la taxe rapporte !)
Ne plus parler en années pour la retraite mais en trimestres. Il me faut XX trimestres. Si j'ai commencé à 15 ans, je pars à la retraite à XX ans et si j'ai commencé à 28 ans, je pars plus tard à la retraite. Supprimer l'âge minimal de départ à la retraite qui crée de l'injustice. Plus on commence tôt, plus on cotise, mais plus on travaille longtemps car on n'a pas le droit de partir à la retraite même si les trimestres sont réalisés. Rajouter des trimestres pour la pénibilité du travail mais augmenter un peu les cotisations pour les personnes concernées pour ne pas donner l'impression qu'ils sont des privilégiés qui partent plus tôt alors que les autres paient pour eux. Supprimer les systèmes de retraite spéciaux, même pour les élus. Les élus cotisent et attendent comme tout le monde d'avoir cotisé leurs trimestres pour toucher leur retraite. Pour les Présidents, suppression de la retraite à vie, sauf si preuve d'aucune activité en parallèle permettant de gagner de l'argent. Il est inadmissible que les Présidents consultants touchent en plus une retraite payée par le contribuable !!! Limiter mensuellement les émoluments des politiques cumulards. Pour les aides sociales, prendre en compte les revenus. Il n'est pas nécessaire d'aider financièrement pour les allocations familiales ou le logement des personnes au dessus d'un certain revenu mensuel. Pour les HLM obliger les locataires à partir à partir d'un certain niveau de revenu mensuel pour libérer les places pour les familles qui en ont vraiment besoin.
Les aides familiales et sociales doivent toutes être assujetties à des conditions de revenus. Pour les HLM, obliger ceux qui dépassent les revenus pour en bénéficier à partir dans le privé pour laisser la place aux familles dans le besoin.
Santé - Dépendance - Handicap - Logement
Santé (hôpitaux) - Dépendance - Handicap - Logement
Ne pas supprimer la taxe d'habitation qui permet de financer les services publics locaux. Les services locaux doivent être financés localement par les usagers et habitants et non par une subvention dépendant de la volonté de l'Etat, issue de contributions nationales. Clarté, lisibilité, proximité et responsabilité des gens face à l'impôt.
Des représentants locaux et de proximité. Je n'ai pas confiance aux politiciens professionnels issus des partis qui agissent dans le sens du parti et uniquement par carriérisme et intérêt personnel, et non dans le sens de l'intérêt général. Les politiciens issus des partis sont par principe opposés aux idées des autres partis, même si elles sont bonnes. Ils n'ont aucun sens de l'intérêt général et agissent pour le pouvoir. Et ce positionnement commence à se retrouver au niveau local en raison de la tendance au gigantisme des collectivités qui professionnalise la politique. La politique devrait être une étape dans une vie composée également d'expériences dans le privé, dans le public, qui permettent de connaître la réalité du terrain. La politique ne devrait pas être un métier.
Non
Non car ce ne sont pas des représentants élus et que les associations et organisations sont noyautées par des extrémistes et les partis politiques. Il faudrait cependant laisser plus de place à la société civile. Comment aider les associations citoyennes à être représentées par des représentants élus ? Par un financement pour aider à accéder aux élections ?
Plus de proximité et moins de politique politicienne. Des représentants élus qui représentent la société civile.
Une mauvaise chose
Les députés et sénateurs sont coupés du terrain et de la réalité. Un député ou un sénateur devrait pouvoir exercer un mandat local unique. Aujourd'hui les députés et sénateurs sont à Paris et peu sur le terrain, d'où une déconnexion et la sensation que les décisions sont prises par des élites parisianistes. Même si elles sont aujourd'hui plus issues de la société civile, elles sont happées par le rythme parisien et se laisse bercer par le pouvoir parisien.
Introduire plus de proportionnelle, avec cependant des limites pour éviter la prise de pouvoir des extrémistes de tous bords.
Oui
Députés et Sénateurs. Mais pas de suppression du Sénat qui représente un contre-pouvoir des collectivités.
Les citoyens sont déconnectés du pouvoir par le manque de proximité (ils ne connaissent plus les candidats aux élections) et par un trop grand éloignement des politiques publiques, un manque de lisibilité de l'impôt... Les citoyens n'ont plus confiance dans des politiciens politisés et des partis qui pensent à eux avant de penser aux citoyens. Revenir à plus de proximité, moins de partis, plus de représentants sans étiquette, des politiques et des impôts clairs, lisibles et justes. Plus de représentation des sensibilités politiques. A quoi bon voter si de toute façon vos sensibilités ne sont pas représentées et si les partis une fois en place donnent l'impression d'agir pour eux, avec une vision à court terme (les prochaines élections), et pour leur égo ? Réintroduire à l'école plus d'explications sur le fonctionnement de l'Etat et le rôle du citoyen (droits et devoirs)
Oui
Je ne sais pas mais le vote blanc exprime un positionnement politique à prendre en compte.
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Je ne sais pas
Je ne connais pas les mécanismes du RIP....
Le référendum est une initiative intéressante mais à limiter dans un premier temps au niveau local. Les citoyens ne sont pas mûrs au niveau national pour voter pour la question posée et non pour ou contre celui qui pose la question... Les citoyens ne semblent pas mûrs non plus pour accepter une décision majoritaire qui ne va pas dans leur sens. Commencer par rééduquer à travers des référendums locaux et en introduisant dans les écoles ou les entreprises des référendums afin d'éduquer les enfants et de rééduquer les citoyens à la démocratie participative ?
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Oui
Réduire le nombre de représentants, introduire la société civile, élire les membres du CESE (qui ne doit pas être un endroit où on atterrit par copinage ou pour avoir un poste dans une carrière politique...
Plus de clarté et de fermeté dans les règles qui sont à ce jour incompréhensibles. Plus de compréhension mutuelle aussi et de tolérance.
Plus d'éducation des enfants à l'école, plus de mixité dans les écoles dès l'enfance pour apprendre à connaître l'autre, à ne pas en avoir peur et à ne pas développer de préjugés et d'idées préconçues.
Remplacer le service militaire par un service civil dans une association écologique ou d'aide aux autres.
Tri des déchets, mobilité douce, respect et tolérance, aide et entraide,
Education et prévention
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Violence - actes racistes et antisémites - irrespect des idées des autres (intolérance) - non respect de l'environnement (ordures, dégradations...)
Education et prévention
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Racisme vis-à-vis du nom et de la couleur
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Vote au niveau local de tous les habitants, même étrangers, car les questions les intéressent et c'est un moyen d'intégration.
L'évolution actuelle tend à supprimer la proximité. Et en éloignant le citoyen du pouvoir et des décisions, le citoyen se déresponsabilise, a l'impression d'être désaisi des décisions et refuse les décisions. La tendance à l'élargissement des Régions, des intercommunalités et des communes fait perdre le sens de la politique locale. Et l'acceptation de la politique. Le mille feuilles, loin de se réduire, augmente. Qui sait aujourd'hui qui fait quoi entre les communes, les intercommunalités, les métropoles, les pôles métropolitains, les départements, les régions, l'Etat et les syndicats divers et variés ??? On complexifie, et on laisse la place à des politiques professionnalisés et aux techniciens de la fonction publique, au détriment de l'expression politique locale. Il est nécessaire de reprendre le chemin arrière : des communes pour le quotidien/école/routes/bâtiments publics/éclairage public (mais suppression des communes de moins de 1000 habitants qui n'ont plus de sens aujourd'hui - seuil à définir) - des intercommunalités mais à taille humaine (faire 100 km pour une réunion intercommunale est une aberration, notamment écologique !) pour le développement économique, la transition énergétique et la mobilité locales, les projets de territoire ; la Région (mais à taille humaine car faire 7h de route d'un bout à l'autre d'une région est également une aberration...). A voir la place pour le Département ? Et limiter les schémas et plans en tous genre qui nécessitent de dépenser des sommes astronomiques dans des études mais sans réalisation concrète derrière. Quel est le sens des SCOT, PLU, PLUI, SRCAE, SRADDET, schéma de mobilité, schéma du logement, schéma de la santé, et ce en réitérant l'exercice à tous les niveaux (Région, Département, intercommunalité) ??? Les aides sociales ne doivent plus être gérées par le Département mais revenir à l'Etat car c'est une dépense nationale qui doit être équitable dans toute la France.
Non
Mais il faut reclarifier les compétences. L'Etat, c'est la santé, le logement, la police, la justice, l'école, le social. Les autres compétences peuvent être transférées mais avec la fiscalité qui va avec, une fiscalité fléchée, claire, juste et équitable. Pas de dépendance des collectivités vis-à-vis des dotations. Attention également au saupoudrage des subventions et au clientélisme local.
Non
Personnellement internet me suffit mais des points service public de proximité devraient être développés pour les personnes moins à l'aise avec internet. Et pour justifier le montant des impôts et recréer le lien entre l'administration et le citoyen. Par exemple, un mini-bus pourrait sillonner un territoire et se poser par demi-journée ou journée dans les communes pour faire le relais des services publics ? (à priori vu les formules présentées ci-dessous, cela existe, mais jamais entendu parler chez nous...). La principale difficulté réside dans les services postaux (les facteurs pourraient-ils récupérer courriers et colis affranchis ?) et les impôts sur le revenu au moment de la déclaration d'impôts. Dans les services publics, se pose également la question des transports inexistants dans certains territoires.
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Non
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Le développement global des services publics sur internet est de mon point de vue positif.
SNCF
Non
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Les dossiers de demandes de travaux ou de permis de construire.
Oui
En poursuivant leur formation et en les rendant plus capables de traiter plusieurs sujets.
Oui
L'évolution de carrière grâce aux concours est injuste. Un excellent fonctionnaire mais peu doué en rédaction peut stagner au niveau de sa carrière car il n'arrive pas à obtenir les concours. Et donc se démotiver. D'autres fonctionnaires moins méritants au quotidien peuvent progresser car à l'aise en rédaction. Les concours internes sont trop formatés sur la rédaction et pas assez professionnalisés. On favorise dans la fonction publique l'académisme, l'intellectualisme et la théorie, au détriment de l'expérience et du concret. Avec le risque d'une fonction publique "dans sa bulle" et coupée des réalités extérieures. Notamment la fonction publique d'Etat issue d'un moule, souvent parisien, totalement déconnecté et établissant des règles et normes complexes inapplicables. Les normes pèsent trop sur le pragmatisme. Instaurer des primes au mérite pour récompenser et valoriser les fonctionnaires méritants.
Une formation plus concrète. Des fonctionnaires issus de milieux plus divers et variés (notamment les fonctionnaires des ministères, préfectures, cabinets...). Une mobilité accrue pour permettre plus de mélange et de mixité. Un fonctionnaire d'état devrait passer quelques années dans la territoriale et vice-versa pour sortir de leur microcosme, mieux se comprendre et mieux comprendre les réalités du terrain. Décomplexifier car aujourd'hui la complexification de la fonction publique (avec la multiplicité des normes, décrets, schémas) met la politique dans les mains de techniciens et de politiques professionnels qui ont plus en tête leur carrière politique que le service public et l'intérêt général, avec souvent derrière des partis politiques.
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La problématique de la sectorisation. Par exemple, personnellement, un lycée public inaccessible non desservi par les transports publics et l'impossibilité d'accéder à un autre lycée public desservi par les transports publics pour des raisons de sectorisation. Obligation d'aller dans le privé... Idem pour l'école maternelle, celle de secteur étant située 12 km en sens inverse de la direction domicile - travail et l'école maternelle située sur le trajet du travail n'étant pas accessible par refus de dérogation. Où est la transition énergétique dans ces situations ??
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Des remboursements de santé rapides et une bonne transmission aux mutuelles. Des difficultés pour obtenir de la part des mutuelles les montants de remboursement sur devis.
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La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Interdire les pesticides et glyphosates - soutenir une agriculture bio et moins intensive et aider les circuits courts et locaux - lutter contre les espèces faune et flore invasives
Oui
Développement des allergies, notamment au pollen - problèmes de santé liés à la pollution (asthme, toux,...) - difficultés supporter les périodes de canicule - effets de la sécheresse sur les potagers
Oui
Réduction des déchets - voiture au bioéthanol - circuits courts et locaux - privilégier le bio et / ou le made in France - gestes simples du quotidien (économie électricité et eau) - potager permaculture - produits d'entretien et de soin faits maison - écoconduite
Pour le véhicule, il faudrait.....des transports en commun. Pour le chauffage, la problématique est la source d'approvisionnement (pas de gaz de ville, pas de possibilité de géothermie, problème de stockage pour les pellets...). Je ne vois donc pas de solution pour améliorer le système de chauffage actuel
Plutôt que de taxer les pollueurs, il faudrait "récompenser" les efforts : une TVA plus faible sur les véhicules les moins polluants, sur les moyens de chauffage les plus écologiquement acceptables, sur les travaux de rénovation énergétique..., associé à une aide pour les moins aisés. Les crédits d'impôts sont aujourd'hui illisibles et peu accessibles mais ils peuvent aussi être une incitation financière, mais elle ne concerne que ceux qui paient l'impôt... d'où un sentiment d'inéquité
Oui
Personnellement, la problématique n'est pas la volonté mais l'accessibilité des sources d'approvisionnement.. Pas de gaz de ville. Trop tard pour la géothermie dans une construction ancienne. Pas de place pour stocker les pellets de bois...
Oui
Un transport à la demande aux horaires adaptés. Des covoitureurs disponibles aux mêmes horaires que moi. Ce n'est pas que je n'ai pas envie, c'est que les systèmes actuels ne me permettent pas de les utiliser au vu de mon habitat en zone rurale et éloignée.
Les transports en commun|Le covoiturage|Le transport à la demande|Le vélo
Les collectivités sont les mieux à même de développer ce type de solution, car elles connaissent le tissu local. Sauf pour la SNCF et le train... Après les collectivités doivent avoir les moyens financiers et disposer d'une taxe fléchée
Je suis assez pessimiste sur l'idée d'une prise de conscience mondiale. Se concentrer d'abord sur chez nous et montrer l'exemple. Il faudrait pouvoir pénaliser les produits qui ne respectent pas des critères que la France fixerait (niveau de TVA, droits d'importation,...)
Ne pas oublier la rénovation énergétique des bâtiments.
Votre message a bien été envoyé.