Date de publication : 2019-02-23
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

personne, tous les représentants connus jusqu'ici ont vite dérivé pour ne s'intéresser qu'à eux-mêmes et à leur carrière.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Faire en sorte que les choix des citoyens lors des référendum soient appliqués sans que les représentants élus ne modifient ces choix !

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Pour permettre à chacun de s'occuper de la tâche que les citoyens lui ont confiée. Cela n'empêche pas les contacts entre élus pour faire remonter de la base au sommet les problèmes rencontrés par la population.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

une part de proportionnalité dans le parlement (Assemblée nationale et Sénat)

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

les conseillers départementaux ou les conseillers des communauté de communes ...

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Lorsque les élus ne s'arrogeront pas le droit de croire que leur pensée est la pensée citoyenne mais redeviendront de véritables représentants du peuple et de sa volonté, les électeurs retourneront aux urnes ; ils n'auront plus la sensation d'être floués à chaque fois.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

il faut le prendre comme l'expression d'un choix (ou d'un non choix = rejet) : celui ou celle qui ne rassemble pas suffisamment de voix doit comprendre qu'il lui faut trouver de nouvelles idées pour attirer le plus grand nombre.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Permettre l'émergence d'un référendum d'initiative citoyenne dont les modalités doivent être pensées pour que chacun s'y retrouve, et soumettre toutes les questions de société à référendum : le mariage pour tous, la PMA, le suicide médicalement assisté, l'Ecole, ...

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Peut-être avant consultation faudrait-il qu'il y ait information. Ensuite, il n'est pas possible d'entrer dans le détail systématiquement, mais proposer et demander aux citoyens leur avis sur les grandes orientations du budget me semble être un bon point de départ, quelle que soit l'institution (communes, régions, Etat, ...)

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Elles doivent être le reflet de la volonté et des choix faits par celles et/ou ceux qui les ont élues.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Faire en sorte que le C.E.S.E. ait une part importante de membres élus issus de la société civile et une part moindre de sages pour aider à la construction d'une réflexion.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Soit l'Etat devient totalement laïque et tout signe ostentatoire est interdit (voile islamique, ...), y compris dans la rue qui reste à priori un espace public, soit l'Etat français assume son héritage de 2000 ans de christianisme et impose un cadre à toutes les religions. Il faut donc moderniser la loi de 1905.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Il faut pour cela que les représentants et les élus de la République soient irréprochables pour que les fameuses valeurs intangibles puissent ensuite s'imposer à tous.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Donner aux personnes qui s'engagent ou qui essaient de s'engager le sentiment de ne pas se battre pour rien, d'être entendus.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Établir pour tous, à différents moments de la vie, un temps de vie en collectivité.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Il existait avant des classes transplantées où dès l'école élémentaire (voire maternelle), les enfants apprenaient de façon plus concrète le "vivre ensemble". Pourquoi ne pas développer ce genre d'activités pour terminer par un service citoyen véritable.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Rendre les élus de la République plus accessibles aux citoyens, plus pédagogues quant à leur(s) action(s) en favorisant les rencontres. Moins de temps dans les assemblées, quelles qu'elles soient, et plus de temps dans leur circonscriptions, au plus près du terrain.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Toutes ! Il faudrait se donner les moyens de faire appliquer les lois existantes avant d'en proposer d'autres toujours plus liberticides mais qui ne servent à rien parce qu'elles ne sont jamais appliquées.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Faire appliquer les lois existantes !

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Il faudrait que chacun passe à la réflexivité sur ce qu'il lui arrive de faire dans la société pour mieux comprendre l'autre ; mais cela reste un vœu pieu ; peut-être faudrait-il commencer par donner confiance aux citoyens dans la société pour ne pas qu'ils se recroquevillent sur eux-mêmes ou dans leur sphère proche.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

La position sociale, sorte de discrimination entre pauvres et "riches", à laquelle il faut ajouter la "discrimination positive" qui sous prétexte d'ne aider certains, créent chez les autres le sentiment d'abandon : pour qu'une société fonctionne, il faut que tous soient traités par les institutions sur un pied d'égalité.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Faire en sorte que le mot "égalité" de la devise de la France redevienne vrai pour chaque citoyen : les institutions doivent traiter tout le monde de la même façon, sans proposer la moindre discrimination comme elle le fait actuellement.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Demander aux bénéficiaires de ces allocations de rendre un service à la hauteur de ce que la société donne pour les aider à ne pas sombrer.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La politique migratoire actuelle n'est pas clairement définie et se trouve donc difficile à comprendre. Pour ce qui concerne l'immigration, le droit du sang est à rétablir, en favorisant ensuite l'accession de ceux qui sont en France depuis longtemps à la nationalité qui doit être un choix conscient et non subi.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Il semblerait souhaitable que l'immigration devienne une immigration choisie, avec un nombre et un niveau de diplôme en relation avec les besoins réels du pays, et que cette immigration soit temporaire ou conduise à la demande de nationalité

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Rétablir le droit du sang et supprimer les doubles nationalités. Rétablir les frontières. Supprimer le rapprochement familial. Aider les pays qui le demandent en matière d'agriculture localisée, de formation sur place d'étudiants (implantation de grandes écoles dans les pays à forte migration) pour leur permettre de se développer et, par voie de conséquence, de ne plus avoir besoin de migrer (cette liste est non exhaustive).

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Travailler pour qu'un islam européen voit le jour plutôt que de laisser se développer un islamisme qui ne peut qu'entrer en conflit avec notre société : le mode de vie qu'impose l'islam n'est pas compatible en l'état actuel, avec notre société européenne.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

non, il faudrait plus de temps et de place pour développer tout ce qui est évoqué ci-dessus