Date de publication : 2019-02-26
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

None

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Reconnaître les syndicats de salariés comme force de propositions, et ne pas les contraindre uniquement à discuter des propositions du gouvernement ou du patronat

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

None

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

None

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Au-delà de la mixité hommes-femmes, c'est la représentation des différentes classe sociales qui fait défaut. Pour l'obtenir, un véritable statut de l'élu, avec obligation de réintégration dans son emploi à l'issue de son mandat, lorsqu'il s'agit de salariés, et une protection proche de celle des délégués syndicaux.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Tenir les engagements pris dans les campagnes électorales,

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

None

12. Si oui, de quelle manière ?

None

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Solliciter l'avis d'assemblées citoyennes, pourquoi pas, avec des émissions utilisant les grands médias publics, en évitant les débats où tout le monde s'étripe et en privilégiant l'apport d'experts aux avis différents et qui se respectent dans la discussion.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

Je suis opposée aux référendums, dans la plupart des cas, car il s'agit d'une réponse binaire à une question souvent complexe (exemple Brexit) ; mais le résultat d'un référendum doit être respecté (vote 2005 sur les traités européens)

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Recenser l'avis des parties concernées (les corps intermédiaires) pour élaborer des textes à partir de ce qu'ils vivent et non pas leur proposer des textes déjà élaborés ; revenir aux "propositions" de lois par les élus et limiter les "projets" de lois par le gouvernement.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Revaloriser le rôle législatif de l'assemblée nationale et limiter celui du gouvernement

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Favoriser et valoriser les rencontres inter-religions qui se pratiquent à l'échelon local

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Non

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

L'obtention de titres de séjour ne repose sur aucune règle établie, et reste très subjective. Des personnes très intégrées (langue, éducation des enfants, activité associative, travail (même si sans-papiers) ) sont rejetées sans raison valable.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non, cela ne me semble pas nécessaire

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Éducation et logement

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Donner aux étrangers, quelle que soit leur nationalité, le droit de vote aux élections territoriales. Ils participent à l'économie d'une collectivité (commune, département, région) et à ce titre doivent pouvoir participer aux choix et orientations de cette collectivité. Ce droit de vote n'interfère pas avec les votes nationaux, où ils doivent, s'ils le souhaitent pouvoir participer dans le pays dont ils ont la nationalité (de même que les Français résidant à l'étranger peuvent voter aux élections nationales françaises). Ce droit de vote n'a pas à être réservé aux étrangers de l'UE, et peut être un facteur d'intégration, atténuant le sentiment d'être des "laissés pour compte". Il s'appuie que les chiffres prouvent que les étrangers rapportent plus à la collectivité qu'ils ne lui coûtent.