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La justice fiscale passe par une refonte de l'impôt sur le revenu en augmentant les tranches pour arriver jusqu'à la confiscation de ceux qui dépassent un revenu indécent (sans les mettre obligatoirement en prison comme le font les Japonais avec Ghosn). Cela revient, bien entendu, à rétablir l'ISF. Maintenir la taxe d'habitation pour tous, afin de compenser la baisse des dotations financières de l'Etat vers les communes, dont c'est un des principaux moyens de financement. Bien entendu, faire la chasse aux fraudeurs et obliger les patrons du CAC 40 à payer leurs impôts en France. Pour les sportifs domiciliés fiscalement ailleurs, qu'ils jouent pour les pays où ils paient leurs impôts : je ne leur reconnais pas le droit de nous représenter, eux qui ont bénéficié de tous les avantages de notre République sociale et qui refusent de s'acquitter de leur dette envers elle. Ces prélèvements permettraient de supprimer la TVA, impôt le plus injuste qui soit et qui taxe de la même façon indifféremment le milliardaire ou l'indigent. Nationaliser sans indemnité ni rachat les autoroutes qui deviendraient gratuites, comme il était prévu à l'origine. Cela fait déjà deux baisses importantes qui influeront fortement sur le pouvoir d'achat des ménages qui manifesteront alors bien volontiers leur consentement à l'impôt, d'autant que, la disparition du CICE permettra d'orienter les sommes ainsi récupérées vers l'amélioration des services publics plutôt que vers des cadeaux aux actionnaires.
La TVA et la CSG pour les vieux (dont je suis)
Augmenter les impôts
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Oui
Les syndicats, qui doivent avoir un rôle aussi important que les actionnaires.
De l'honnêteté ? C'est sûrement le plus difficile.
Une bonne chose
Ayant été seulement conseiller municipal délégué, je ne vois pas comment j'aurais pu remplir simultanément un autre mandat.
La proportionnelle doit être intégrale et sans limitation inférieure de résultat. Par exemple, avec le nombre de députés actuels, 1% représenterait au moins 5 députés, voire 6 en fonction des répartitions. Quand on parle de dose, on fausse déjà le résultat.
Non
Limiter le nombre d'élus signifierait éloigner encore davantage les représentants des citoyens qui les ont élus. Si en plus ils ne font pas de compte-rendu de mandat, comme la plupart, comment s'étonner que les gens s'éloignent du Politique ? Non, ce qu'il faut limiter, c'est le nombre de ministres
Aucun cumul de mandat (même conseiller municipal associé à un autre mandat comme c'est encore possible) ; Pas plus d'un mandat du même type dans le temps ; Vote obligatoire ; Prise en compte du vote blanc (si majoritaire, la consultation est nulle et non avenue) ; Statut de l'élu.
Oui
Ma réponse va être très courte : OUI, absolument. Cela me permettra de ne plus voter nul. Mais il est indispensable de reconnaître à ce vote la légitimité qu'il mérite : si le vote blanc atteint 50%, le scrutin est nul et non avenu. Et pour que cela reflète bien l'opinion, il faut rendre le vote obligatoire et pénaliser financièrement ceux qui se refusent à ce droit civique (cette pénalité existe déjà pour les élections sénatoriales).
C'est une question redondante et qui n'aurait pas lieu d'être posée si on mettait en pratique toutes les préconisations que j'ai précédemment énoncées : un seul mandat de même type dans le temps, maintien du CESE et des CESER (où ceux qui siègent pour représenter la société civile sont mandatés par leur organisation). Ainsi, c'en serait terminé de ceux qui vivent de la politique en s'accrochant à un fauteuil, voire un strapontin pendant des décennies. Cela créerait un appel d'air et chaque citoyen aurait la possibilité de se porter candidat, à condition que ce ne soit pas conditionné par la fortune, personnelle ou partisane. Participer à la vie civique apparaîtrait comme un acte normal et non plus réservé à quelques « happy few » qui maîtrisent les codes. Et donc, seule l'élection pourra donner la légitimité. Bien entendu, cela passe encore par le renouveau de l'éducation civique à tous les niveaux de l'enseignement. Je ne sais pas si la réforme annoncée du bac va dans le bon sens.
Je ne sais pas
Le référendum peut apparaître comme quelque chose de démocratique. Il a été parfois utilisé sous la cinquième république avec divers succès. La constitution a été approuvée par ce biais. Un vote négatif a conduit de Gaulle à la démission (grande honnêteté !). L'entrée du Royaume-uni a été adoptée par référendum (on voit où cela a mené). Mitterrand a mis son cancer en avant pour faire approuver Maastricht. Le TCE, pour lequel les droites sarkozyste ou socialiste avaient fait campagne, a largement été repoussé ; on a vu ce que ça a donné. La votation citoyenne organisée contre la privatisation de la poste ne l'a pas empêchée, malgré l'écrasant score des opposants. Alors référendums/plébiscites ou RIC ? Je n'en sais trop rien. Pour approuver la constitution, absolument, OUI. Mais pour les autres questions, je m'en remets aux propositions que fera la constituante qui amènera la VI° République.
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Le Sénat, comme l'Assemblée nationale, ont le pouvoir législatif. Lorsqu'une proposition de loi émane du Sénat (comme celle sur le désarmement unilatéral il y a plus de 25 ans), c'est la sénat qui devrait avoir le dernier mot. Il est rare que les deux assemblées aient la même majorité - et lorsque cela fut le cas lors du précédent quinquennat, cela n'a pas servi à faire adopter des réformes promises depuis des décennies comme le vote des étrangers – donc un contre pouvoir peut être utile, comme aux Etats unis d'Amérique du nord. Bien entendu, et comme dit plus haut, afin d'encourager les citoyens à s'engager en Politique, pas plus d'un mandat dans le temps (éventuellement 5ans député + 6 ans sénateur, ça suffit comme ça – comme disait un des slogans du Parti de Gauche jadis). Le CESE représente, selon moi, la vraie vie ; syndicats et associations y ont toute leur place et bien sûr ne devraient pas y siéger d'anciens élus que l'on a trop tendance à y recaser. Comment les transformer ? Ce n'est pas à moi mais à une assemblée constituante de le proposer.
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Je me contente pour cette question de reprendre le communiqué du 17 janvier 2019 du Collectif Laïque National : Le Collectif récuse la formulation utilisée dans cette lettre sur plusieurs points, lourds de conséquences pour notre République: - La laïcité est un principe constitutionnel avant d’être une valeur. - Elle est plébiscitée et vécue très largement par la population et ne fait pas l’objet de débats en dehors de cercles restreints d’activistes. - Ce qu’elle permet est avant tout la paix civile et l’égalité des citoyens sans avoir à prendre en compte leurs croyances ou convictions. - Elle n’est pas une simple coexistence des convictions ou des cultes, mais la liberté de conscience de chacun et le facteur de son émancipation. - La condition nécessaire à cette égalité est le principe juridique de séparation (intitulé de la loi du 9 décembre 1905) qui n’implique aucun autre lien avec l’État que la garantie par la République du libre exercice des cultes. Toute altération de ce principe serait un retour à la logique bonapartiste du concordat de 1801. Pour renforcer la laïcité, le Collectif Laïque National rappelle que le meilleur moyen consiste à respecter et appliquer les principes de la loi de séparation, ainsi qu’à prévoir son extension à tout le territoire de la République.
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Aller vers une école de la coopération et non vers une école de la compétition.
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Les reconnaître par une VAE.
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Sanctionner lourdement tous les auteurs de violences, même s'ils ont un uniforme ou s'ils ont usurpé des fonctions d'autorité.
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Le mépris de ceux qui ont ne serait-ce qu'une once de pouvoir.
Un salaire à vie ?
Non
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Déjà, je ne suis pas d'accord avec l'affirmation qui précède la question : « Notre pays a toujours su accueillir ». Notre pays a importé des travailleurs lorsqu'il en avait besoin : mineurs polonais ou italiens, travailleurs du bâtiment portugais ou maghrébins,...Lorsque l'Algérie est devenue indépendante, les harkis ont été parqués dans des camps honteux ; les traducteurs afghans sont abandonnés à la répression mortifère dans leur pays que nous avions envahi avec d'autres. Dans ma jeunesse au moment de la guerre d'Algérie, dans le quartier cosmopolite de la Goutte d'or, le racisme n'existait pas. Il y a une trentaine d'années, il existait des classes d'accueil pour accueillir les élèves non-francophones, qui pouvaient intégrer les classes normales au bout d'un an ; il me semble que maintenant, inclusion oblige, les élèves allophones vont directement dans les classes de leur niveau, ce qui ne facilite pas leur intégration. Oser parler de « nos obligations d'asile » prêterait à pleurer quand on voit les procès intentés à ceux qui manifestent leur solidarité pour l'accueil des réfugiés. En revanche, ce qui pose problème et angoisse les citoyens, c'est ce regroupement persistant de réfugiés qui ne veulent pas rester chez nous et qu'on empêche de franchir la Manche pour aller vers le pays d'immigration de leur choix. Maintenant que les perfides d'Albion ont quitté l'Europe, qu'ils reprennent leurs frontières et qu'ils n'obligent pas notre pays à leur servir de tampon. Les Corses ont proposé plusieurs fois d'accueillir les bateaux ayant sauvé des réfugiés du cimetière méditerranéen, pourquoi ne pas leur faciliter la réalisation de cet accueil fraternel ? Les objectifs annuels sont déjà en bonne voie avec la scandaleuse augmentation des droits d'inscription pour les étudiants étrangers ; heureusement, certaines universités, soucieuses de leur devoir d'accueil, d'instruction et de recherche ont refusé cette sélection par l'argent.
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Et si on commençait par montrer l'exemple et réduire le nombre des ministres ? Tous ne sont pas indispensables, il n'y a qu'à voir les réponses aux députés : « Ma question s'adresse à tel(le) ministre... » et c'est un (e) autre qui répond. Donc visiblement il y a des économies à faire de ce côté-là. Il n'y a pas trop d'échelons (à part peut-être les intercommunalités) et il faut redonner aux mairies leurs anciennes prérogatives : cela devient le parcours du combattant pour se faire établir CNI ou passeport. Les départements ont acquis une maîtrise sur le plan social et il serait néfaste de vouloir leur retirer ce pouvoir d'aider les plus en précaires, mais pour cela il faudrait rétablir les dotations que Sarkozy avait commencé de réduire. Visiblement la fusion de plusieurs régions n'a pas contribué aux économies, au contraire : voir en région Occitanie. Cela n'a pas non plus facilité les relations avec les citoyens : j'ai posé une question concernant les lycées girondins, la réponse est venue six mois plus tard de Limoges ! Au plus près des citoyens : c'est le maire. Encore faut-il le considérer comme le représentant des citoyens de sa commune et non comme le bras du pouvoir central : les préfets sont là pour cela. Toutefois, il faut limiter les mandats pour éviter de construire des féodalités locales qui risquent de tourner au clientélisme, à l'opposé de toute démocratie vertueuse. Cependant, une grave erreur avait été faite par Peillon qui a tenté de retirer certaines prérogatives de l'Education nationale au profit des communes.
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Pour organiser le nouvel Etat, il faut réunir d'urgence une assemblée constituante (cf. L'Avenir en commun). Qu'ont fait les trois derniers présidents ? Eloigner les lieux de décision des citoyens, par les intercommunalités, par les métropolisations, par la fusion des régions, alors que ce que réclament les citoyens, c'est de la proximité ! Au risque de passer pour un archéo, mais ça j'assume complètement, on peut se rappeler le début de l'ère Mitterrand avec les lois de décentralisation (Defferre), les ZEP (Savary),...qui allaient véritablement dans le sens du progrès, contrairement à ce qu'ont commis les successeurs dans leur volonté de détricoter au plus vite les conquis du Conseil National de la Résistance. Cela se poursuit au nom d'une pseudo rentabilité comptable par la fermeture des écoles rurales, des gares même dans des villes importantes comme Mérignac, la fermeture des maternités avec tous les problèmes engendrés par les transports pré-accouchement, la fermeture des services d'urgence, la fermeture des postes, la fermeture des accueils des finances publiques (mouais, ça ça plaît aux GJ qui les murent), la désertification médicale des campagnes...Il veut d'autres exemples le méprisant en campagne ? Donc, pour répondre simplement à la question, il faut faire exactement le contraire de ce qu'on nous inflige.
Oui
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Quant à l'administration, les structures existent pour en débattre : ce sont les syndicats et en particulier la CGT qui vient de confirmer sa première place dans la fonction publique.
Oui
Non
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Oui
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Le recrutement de non-fonctionnaires dans l'éducation nationale par le chef d'établissement ne va pas dans le bon sens : un service public doit recruter des fonctionnaires !
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Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
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Oui
Voiture hybride, vélo, compost,...
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En 2012, un candidat au moins réclamait le SMIC à 1 700 € ; revu par la CGT en 2019, il est évalué, pour une juste rémunération du travail fourni, à 1 800 €, avec aucune pension de retraite en dessous de ce minimum. Si le SMIC était réévalué à ce taux (soit une augmentation équivalente proportionnellement à ce qui était arrivé en 1968 après les grèves avec occupation des entreprises), cela relancerait la consommation, au contraire de ce qu'avait prôné le précédent président de droite (Hollande), l'offre. On peut offrir quelque chose, si les moyens ne suivent pas, l'offre tombe à l'eau, alors que le contraire fonctionne : plus d'argent permet de « remplacer sa vieille chaudière ou sa vieille voiture ». Mais alors, bon dieu, où ça coince ? Ah oui ! Les actionnaires ! Augmenter le SMIC va mécaniquement agir sur les salaires supérieurs (même s'il s'agit d'augmentations uniformes et non proportionnelles) et nous aboutirions à ce qu'on appelle la redistribution des richesses
Oui
Ne pas être exclu des aides.
Oui
Mais le tram se trouve à 4,3 km et le plus proche arrêt de bus est à 20 mn de marche.
Les transports en commun|Le vélo
La métropole bordelaise devrait faire comme d'autres villes et proposer les transports en commun gratuits : "Liberté, Egalité, Gratuité !"
Je ne pense pas que tout le monde ait la même vision de ce que représente la transition écologique. D'après moi, elle passe d'abord par la réhabilitation du transport fluvial et le développement du ferroutage, tel qu'il existe par exemple en Suisse, nos voisins non-européens. Si certains préfèrent continuer d'encombrer nos routes et autoroutes, alors oui, ce sont ceux-là qui devront être lourdement taxés. Les voitures électriques sont loin d'être la panacée, au contraire : leurs composants mettent gravement la planète en danger. Où en est-on sur le moteur à eau ou à hydrogène ? La réhabilitation des HLM, les nouvelles constructions de bâtiments publics devraient utiliser des techniques qui débouchent sur une énergie positive. Il paraît que c'est ce qui existe au lycée Vaclav HAVEL de Bègles en Gironde. La fin de l'énergie nucléaire, serpent de mer qui revient à chaque élection sans progresser d'un iota au cours des mandats doit réellement être envisagée. Si elle apparaît propre, les déchets dont on ne sait que faire sont un bien mauvais cadeau pour les dizaines de générations à venir. Les éoliennes, les hydroliennes, les panneaux photovoltaïques, la biomasse,...autant de pistes qui, si elles sont explorées, sont loin d'être exploitées pour faire baisser notre empreinte carbone. La reconversion des usines d'armement en des fabriques de nouvelles technologies permettrait de ne pas trop dépenser. Et surtout, arrêter de brader nos joyaux industriels comme par exemple nos barrages hydroélectriques. Le financement est un faux problème qui est simplement un prétexte à ne rien faire.
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Votre message a bien été envoyé.