Date de publication : 2019-02-01
Code postal : 76420

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

None

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

l'impôt sur le revenu est plus juste que la TVA qui est payé au même taux quelque soit les revenus du contribuable.Une tranche à 60% pourrait être envisageable.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

None

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

taxer et contrôler efficacement les produits importés qui ne respectent pas nos normes sanitaires sociales et environnementales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

None

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

None

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

None

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Taxer le kérosène et le fuel des transports maritimes Ce sont des mesures de bon sens que tous le monde trouve logique. mais, à l'évidence, impossible à mettre en œuvre par nos dirigeants. Cette impuissance est révélatrice de l'incapacité de nos gouvernants à se mettre d'accord entre eux sur des mesures d’intérêt général. Ces taxes pourtant rapporterait à la majorité des peuples, pourrait avoir une bonne incidence sur le réchauffement climatique en limitant l’essor exponentiel du transport aérien et des circuits commerciaux parfois complétement aberrants. Mais la somme des intérêts particuliers des états ne rejoint pas l’intérêt général du monde, il sera donc impossible comme sur plein d'autres sujet d'aboutir à un consensus mondial. Là aussi, il faut du courage à nos gouvernants pour trouver des accords au minimum avec quelques partenaires européens pour amorcer le processus. C'est cette impuissance qui engendre la colère. Qui dirige le monde ? Augmenter le taux de la taxe sur les transactions financières et l'élargir aux transactions infra-journalières (dont le trading haute fréquence représente 50% des transactions sur le CAC 40). Alors que l'on constate au niveau mondial un emballement du volume de ces transactions qui s’opèrent de façon quasiment automatique tout à fait néfastes à l'économie réelle. Bien sûr on va rétorquer que la France ne peut faire cela toute seule. Cette impuissance à assez duré!! le gouvernement va bien agir isolément sur les GAFA! Il faut trouver un minimum de pays européen pour ce mettre d'accord sur cette taxe Tobin. Le courage manque aux politiques, c'est ce qu'on leur reproche ou alors si ce n'est pas un manque de courage, c'est pire, c'est une vision opportuniste à courte vue, mêlée d'une complicité avec les milieux financiers. 523 millions d'euros de dépenses publiques pour la répression du trafic du cannabis 1,3 milliard d'Euros de recettes fiscales si l’État en contrôlait la vente selon les estimations en 2014 de Terra Nova. La législation actuelle sur la consommation est tellement répressive qu'elle n'est pas appliquée et la France, malgré son arsenal répressif est le pays le plus gros consommateur par tête. Les zones de non droit créées par le trafic dans les quartiers sont insupportables pour ceux qui les subissent au quotidien. Encore une fois nos politiques manquent de courage. Ils savent que l'opinion publique par ignorance, par peur, est défavorable à cette mesure. Ils se contentent d'une politique répressive inefficace et coûteuse. On patauge en plein immobilisme depuis des décennies. Un débat national est indispensable sur ce sujet.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

la réponse n'est pas en qui mais en quoi et c'est en des institutions qui permettent un bon équilibre des pouvoirs et qui évite ses dérives.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Pas spécialement, par contre il y a une chose intangible: le pouvoir quel qu’il soit corrompt. -Si il était décidé une nouvelle étape dans la décentralisation, il serait nécessaire de s'assurer d'un contrôle de légalité efficace. La décentralisation ne va pas sans un contrôle de légalité. Or les lois de décentralisation de 1984 avaient mis en place une décentralisation avec un système de contrôle de légalité par les Préfets qui pour des raisons budgétaires à été de plus en plus allégé au fil du temps perdant de plus en plus son efficacité. C'est pourtant un système qui fonctionnait bien car beaucoup plus souple que le recours aux tribunaux administratif en cas de litige. Étant cadre dans la fonction publique territoriale, j'ai vécu le délaissement du contrôle exercé par les préfectures et donc les dérives de plus en plus fréquentes par rapport au droit notamment en ce qui concerne le droit de l'urbanisme et la gestion du personnel dans cette fonction publique. La conséquence est là aussi de fortes inégalités de traitement d'un territoire à l'autre.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

L'élection des présidents des intercommunalités au suffrage universelle direct, Il me paraît complètement anormal avec le pouvoir que concentre maintenant ces personnes qu'elles soient pas encore élues directement. La plupart du temps leur noms n'est pas connu des gens qu'ils administrent s'ils ne sont pas en même temps le maire de la ville centre comme c'est le cas pour Rouen,

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Oui mais pas suffisant:Une vraie limitation des mandats dans le temps pour les communes de plus de 10 000 habitants: 3 mandats maximum, la promesse de M. Macron en la matière n'a pas été tenue

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

None

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

La participation des citoyens sera uniquement fonction de la foi que ceux-ci auront envers ceux qui sont censés les représenter. Il faut donc un regain de confiance envers les institutions et donc les réformer. Le problème est que par les temps qui cours les citoyens ont soit l'impression que l'on ne les respectent pas, soit l'impression que nos gouvernants sont dans l'incapacité de résoudre les questions se posent à eux.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

suffrage exprimé pris en compte dans le pourcentage globale des votants

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

1/l'introduction dans les assemblées élues d'une partie de représentants de la population tirée au sort. Les qualités requises pour se faire élire ne sont pas les même que celles nécessaire pour gérer les affaires une fois que l'on est au pouvoir. Conquérir le pouvoir suppose une certaine forme d'esprit. Sans vouloir trop généraliser , l'homme politique doit avoir une ambition personnelle qui se situe au dessus de la moyenne, donc tourné vers son propre intérêt. Savoir se faire élire c'est savoir « communiquer » savoir bien parler c'est même savoir jouer avec la réalité et même ne pas hésiter à faire de « belles promesses » Une fois élus à c'est l’honnêteté qui prime et la bonne gestion le sens du bien public et de l’intérêt général, Une autre raison importante est le fait que les élus dans notre démocratie sont de plus en plus rarement issus des classes moyennes et défavorisées de la société. Le tirage au sort permettrait donc, même si cela ne serait pas statistiquement toujours le cas d'introduire d'autres types de personnalités dans les assemblées, plus aptes à contrebalancer ou contrôler le pouvoir des élus.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

None

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

l'introduction du tirage au sort: système à étudier...

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

None

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

None

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

None

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

None

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

je suis pessimiste car seule une gouvernance mondial permettrait d'apporter une réponse. la somme des intérêts particuliers n'ayant jamais rejoint l’intérêt général je ne vois pas comment une décision raisonnable pourrait émerger.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

None

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

None

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

None

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

None

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

None

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

En limitant l'importation de produits ne respectant pas nos normes environnementales, et sociales. L'objectif dans la lettre du Président qui consiste à « rebâtir une souveraineté industrielle, numérique et agricole » est louable. Cependant l'unique solution proposée serait « d'investir dans les savoirs et la recherche» . Le rôle de l’État ne doit pas se borner à toujours plus de savoir et de recherche comme seul objectif. Quoique l'on fasse, avec l’accélération du progrès technologique, une partie de la population aura de plus en plus de mal à suivre et décrochera. (de ce point de vue l'objectif de la dématérialisation complète des documents administratifs en 2021 est une aberration) L’État et l'Europe doivent rebâtir une souveraineté industrielle, numérique et agricole, soit, mais pas seulement essayant de réduire cette fracture. L’État doit aussi modérer les effets pervers du libéralisme débridé: -En faisant en sorte que soit mis en place des contrôles sérieux permettant de s'assurer que les normes en vigueur dans notre pays pour les produits importés soient respectées. Aussi bien les normes sociales, sanitaires, qu'environnementales. Nous savons tous, par exemple, dans quelles conditions sont produits les vêtements importés du Bangladesh, nous savons tous que les enfants africains meurent dans les mines au Congo pour extraire les métaux rares qui sont utilisés dans nos téléphones portables. Ce sera à la fois un bon moyen de lutter contre la misère, les dérives environnementales à l'extérieur de nos frontières et à coup sûr un bon moyen de rapatrier des emplois en France. Bien sur, à cela on va rétorquer que cela équivaux à instaurer une certaine restriction en matière de libre échange, certes mais le libre échange n'a de libre que si les contraintes sont identiques de part et d'autre des deux parties. En réalité ce « libre échange » dans beaucoup de cas n'a de libre échange que de nom. On sait très bien, par exemple, que les tribunaux américains sont en matière économique loin d'être équitable quand il s'agit de juger une entreprise US contre entreprise étrangère. Personne ne doute que quand la chine veut conquérir un marché elle n'hésite pas injecter massivement des capitaux d'état, et les exemples similaires sont pléthoriques. Je suis conscient qu'une telle politique ne peut être mise en œuvre en un jour, mais elle doit constituer au moins un objectif clair et affiché.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Taxer le kérosène C'est une mesure de bon sens que tous le monde trouve logique mais, à l'évidence impossible à mettre en œuvre par nos dirigeants. Cette impuissance est révélatrice de l'incapacité de nos gouvernants à se mettre d'accord entre eux sur des mesures d’intérêt général. Cette taxe pourtant rapporterait à la majorité des peuples, pourrait avoir une bonne incidence sur le réchauffement climatique en limitant l’essor exponentiel du transport aérien. Mais la somme des intérêts particuliers des états ne rejoint pas l’intérêt général du monde, il sera donc impossible comme sur plein d'autres sujet d'aboutir à un consensus mondial. Là aussi, il faut du courage à nos gouvernants pour trouver des accords au minimum avec quelques partenaires européens pour amorcer le processus. C'est cette impuissance qui engendre la colère. Qui dirige le monde ?