Date de publication : 2019-02-25
Code postal : 63200

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

None

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

None

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

None

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

None

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

None

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

None

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

None

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Ça va plomber le budget de la France Près de 6,2 milliards d'euros devraient être dépensés pour ces olympiades parisiennes. Trois milliards seront consacrés à l’organisation, une somme financée par le COJO (comité d’organisation des Jeux olympiques) via une dotation du CIO, le sponsoring et la billetterie. Les trois milliards restants concernent la construction d’équipements sportifs et les infrastructures non sportives, et seront versés à parité par des fonds privés (page 12 de la synthèse de l'étude de faisabilité, en PDF). Mais les partenariats public-privé peuvent entraîner des coûts à long terme, en cas de manque à gagner. A titre d'exemple, l'Etat a payé 110 millions d'euros en quinze ans au consortium du Stade de France, construit pour la Coupe du monde 1998. Compte tenu des sommes en jeu, comment ne pas être sceptique, comme c'est le cas de nombreux économistes et intellectuels, comme Jean-Marie Brohm et Fabien Ollier ? "L’organisation des Jeux pourrait grever encore plus les finances publiques mobilisées dans des constructions sportives sans réelle utilité sociale pour la majorité de la population", écrivaient-ils en octobre, dans une tribune parue dans Libération. Et de regretter que ces fonds ne servent pas dans d'autres dossiers, citant pêle-mêle les restrictions budgétaires dans l’hôpital public, le logement social, les transports en commun, l’éducation, la recherche scientifique ou la culture. "Nous constatons que les JO sont l’occasion d détourner les (déjà maigres) budgets publics", s'indigne également un collectif d'opposants, dans le texte de sa pétition en ligne. Dans certains cas, l'organisation de la compétition peut même avoir des effets négatifs sur la santé économique du pays organisateur. Alors président du Comité international olympique (CIO), en 2011, Jacques Rogge avait reconnu que les surcoûts liés aux travaux engagés pour les JO d'Athènes de 2004 avaient contribué à augmenter la dette de la Grèce : "2 % à 3 % de la dette extérieure du pays a augmenté en raison du coût des Jeux." 2... sans compter les dépassements budgétaires Parlons des surcoûts, justement. Certains économistes évoquent un phénomène de winner’s curse ou "malédiction du vainqueur de l'enchère". Equipements, cérémonies, infrastructures non sportives... Chaque ville candidate est contrainte de surenchérir avec un projet plus mirobolant que les autres, ce qui l'oblige à accepter de payer un coût trop élevé. Voici comment les Grenoblois ont dû verser un surcroît de taxes locales jusqu'en 1992, pour couvrir le déficit entraîné par l'organisation des Jeux d'hiver, vingt-quatre ans auparavant, explique Wladimir Andreff, professeur d'économie à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne. Les chercheurs précisent que les coûts d'organisation sont plutôt respectés. Le problème vient davantage des coûts liés à la réalisation des équipements, et notamment des infrastructures non sportives. Pour Paris 2024, plusieurs d'entre elles devront être construites (page 30 de l'étude faisabilité, en PDF) : un village olympique de 3500 logements à l'Ile-Saint-Denis (1,7 milliard d'euros), un village des médias dans une extension du parc des expositions de Villepinte, un centre aquatique près du Stade de France et une salle de 7 000 places à Bercy, dans la capitale. Les promoteurs du projet répondent que 70% des infrastructures nécessaires existent déjà, et que budget de la piscine et du village olympique, par exemple, étaient déjà prévus dans le financement du Grand Paris. L'ampleur de ces chantiers est-elle correctement évaluée ? Le moindre retard ferait exploser les coûts. Et jusqu'ici, la quasi-totalité des olympiades ont donné lieu à des dépassements, parfois très importants : les JO de Londres ont coûté 14 milliards d'euros, contre 6 prévus initialement ; ceux de Sotchi ont coûté quelque 50 milliards d'euros, au lieu des 12 prévus, comme l'expliquait le professeur d'économie Alexandre Delaigue dans son blog Classe éco, en 2013. Peut-on vrai croire que Paris sera une exception ? Autre inconnue : le coût de la sécurité, dans un contexte marqué par les attentats. Celui-ci pourrait également exploser. Deux mois avant le début de l'Euro 2016, son budget était passé à 24 millions d'euros, contre 12 dans le projet initial. Certes, les JO de Los Angeles, en 1984, font exception : pas de dépassement de coût et un bénéfice financier. A l'époque, la ville était la seule candidate en lice pour organiser l'épreuve ; elle n'a pas eu besoin de sous-évaluer les coûts pour l'emporter et avait toutes les cartes en main pour négocier avec le CIO. 3Ça ne fera pas plus de monde dans les clubs de sport Selon La Croix, l’objectif après les JO est d'atteindre 20% de licences supplémentaires au sein des fédérations de sport olympiques, paralympiques et scolaires. "Le premier intérêt d’un projet olympique et paralympique est de contribuer à la structuration et au développement du sport dans le pays hôte", estime en effet le comité de campagne. Parmi les Franciliens nés entre 1985 et 1995, un quart des sondés déclare avoir débuté une activité sportive après un événement médiatisé. Mais cette estimation mérite d'être nuancée. Certes, les JO de Londres ont stimulé la pratique sportive dans l'année qui a suivi la compétition. Mais quatre ans après, en 2016, une étude britannique dressait un tableau nettement moins enthousiaste en Angleterre : seuls 15,8 millions de personnes pratiquaient un sport ou de l'exercice au moins une fois par semaine. Non seulement ce nombre n'a pas progressé, mais il a même baissé de 0,4% par rapport à 2012, explique la BBC (en anglais). Le média britannique avait noté un recul de la pratique sportive dans cinq des neuf régions anglaises. Ministre des Sports lors de la victoire de la candidature londonienne, en 2005, Richard Caborn avait lui-même jugé ces derniers chiffres "décevants". La question reste tout de même débattue, car l'interprétation dépend également du point de référence. Phil Smith, directeur de Sport England, rappelait à cette occasion que plus de 1,7 million de personnes supplémentaires pratiquaient régulièrement un sport en Angleterre par rapport à l'année d'obtention des JO, en 2015. En France, le Centre national pour le développement du sport (CNDS) a dévoilé le plan Heritage 2024 pour encourager la pratique sportive. Bon courage à lui. 4On ne sait pas du tout combien ça va vraiment rapporter La victoire de la candidature de Paris à l'organisation des Jeux olympiques de 2024 pourrait générer jusqu'à 10,7 milliards d'euros de retombées et près de 250 000 emplois pérennes, selon une étude d'impact (PDF) réalisée par le CDES, parue le 1er juin. Pour le tourisme, cela représenterait autour de 3,5 milliards d'euros. Le scénario est optimiste, puis le bénéfice serait près de dix fois plus important que celui de l'Euro 2016, évalué à 1,22 milliard d'euros par le même centre. Mais ces estimations sont critiquées par certains observateurs. Interrogé après l'Euro 2016 par franceinfo, l'économiste Richard Duhautois affichait son scepticisme, car plusieurs effets entrent en compte. L'effet de substitution, par exemple : un touriste qui vient pendant les JO ne viendra pas le mois suivant, ou alors, il dépensera dans l'événement ce qu'il ne dépensera pas ailleurs. Pendant les JO, son hôtel peut très bien appartenir à un groupe, et une partie des profits quitte alors la France. Selon lui, les études d'impact ne prennent pas assez en compte ces "fuites". 5En plus, vu la menace terroriste, c'est tendu Thomas Bach, président du CIO, a certes concédé que "le terrorisme n'est pas une menace contre Paris seulement, mais une menace internationale", en avril 2016. Mais la question demeure sensible dans un pays déjà frappé à de nombreuses reprises par des attentats, et ce, malgré le relatif succès de l'Euro 2016, si l'on excepte de violents affrontements entre supporters russes et britanniques à Marseille, notamment. Le groupe Etat islamique avait d'ailleurs envisagé de frapper la compétition à l'aide d'une voiture piégée, selon France Inter, qui a pu consulter les PV d'audition de Mohamed Abrini. Lors des Jeux de Rio en 2016, rappelle Slate, 85 000 policiers ou officiers devaient être mobilisés, pour un budget évalué à 400 millions d'euros. A titre de comparaison, l'opération Sentinelle mobilise 7 000 militaires dans toute la France, dont la moitié en région parisienne. Et le pays a déployé 50 000 policiers et gendarmes pour sécuriser les bureaux de vote lors de l'élection présidentielle. Maintenant que la candidature de Paris est retenue, la France devra encore augmenter le dispositif pour assurer la sécurité de l'événement, alors que les forces de l'ordre se plaignent aujourd'hui d'être au bord de la saturation. 6Et puis, bonjour les perturbations au quotidien ! La construction des nouveaux sites et de nouvelles routes, nécessaires aux JO, devraient générer d'importants travaux dans une partie de l'agglomération parisienne. Autrement dit, davantage de circulation d'engins de chantier, de poids lourds, et des axes fermés en raison de ces travaux, etc. Pas sûr que le réseau routier parisien, déjà très embouteillé, apprécie. Ni celui des transports en commun, qui sera également touché.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

None

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

None

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

None

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

None

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

None

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

None

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

None

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

atteinte aux biens et à la personne,

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Refonder la politique de sûreté publique sur la base du triptyque prévention, dissuasion, sanction et réaffirmer son caractère national En finir avec la politique du chiffre et supprimer les primes aux résultats dont les montants seront redistribués progressivement aux différentes catégories d'agents Restaurer la police de proximité en refondant les objectifs des polices municipales et affirmant la distinction entre les missions nationales et locales Faire l'évaluation des lois sécuritaires, abroger les dispositions inefficaces et renforcer les politiques de prévention Démanteler les BAC qui ne font que du flagrant délit et ne permettent pas d'assurer une bonne relation entre la police et la population Intégrer au service public certaines fonctions de sécurité aujourd'hui privatisées (sécurité aéroportuaire notamment) Faire la police républicaine En finir avec la police et la justice à deux vitesses en augmentant nettement les effectifs de police en charge de la délinquance en col blanc en lien avec le fisc, les douanes et la justice financière Donner la priorité au démantèlement des trafics (drogues, armes, prostitution, êtres humains…) et à la lutte contre la délinquance financière, la corruption et le terrorisme Désencombrer l'action policière par la contraventionnalisation de la consommation de stupéfiants et la légalisation de l'usage du cannabis Améliorer l'accueil du public et diminuer le temps d'attente pour la prise en compte d'une plainte ainsi que les durées d'investigation ensuite, faire évaluer la police avec des questionnaires de satisfaction des usagers Apaiser les conflits existants au sein de la police par des instances de dialogue interne Réécrire le code de déontologie et insister sur son importance lors de la formation des forces de police, et rétablir les missions de défense des libertés et de la République supprimées par Manuel Valls en 2014 Interdire les Taser et Flash-Ball, ainsi que les grenades de désencerclement pour favoriser la désescalade des affrontements Renforcer les moyens humains et matériels des forces de sécurité, en quantité et qualité Mettre en place un plan d'amélioration qualitative de la police et de la gendarmerie Recruter des agents administratifs pour libérer policiers et gendarmes aptes à aller sur le terrain et qui travaillent sur des postes administratifs Ramener les effectifs de policiers et gendarmes à ceux de 2007 Doubler les effectifs de la police technique et scientifique Supprimer le statut précaire et peu qualifié des 11 000 adjoints de sécurité en permettant la formation et la titularisation de celles et ceux qui le souhaitent Porter à deux ans la durée de formation des élèves gardiens de la paix Lancer un plan de rénovation et de construction de commissariats de police pour lutter contre la clochardisation du bâti et l'abandon de certains territoires Dotation des services en moyens techniques et matériels suffisants, renouvellement général du parc informatique sous contrainte de sécurité des échanges

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

étre un témoin attentif, aider, venir en aide aux victimes, étre solidaire, témoigner, alerter les autorités compétentes, accompagner et soutenir les victimes, intervenir si et uniquement si c'est possible,avoir un comportement intelligent: filmer, enregister pour pour avoir des preuves, donner et faire diffuser des consignes et des conseils de sécurité

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Non

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

None

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

None

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Les règles de calculs des congés payés et les dates imposées pour les jours fériés sont trop contraignantes et mal adaptées. Nous proposons que ces règles soient assouplies ou simplifiées pour permette à tous les salariés de prendre des congés. Proposition 1 : Garantir un nombre de jours fériés fixe. C'est la règle dans de nombreux autres pays. Le nombre de jours fériés par an et fixe et leur date effective est ajustée en fonction des week-ends. Ainsi si un jour férié tombe un jour autre que le lundi ou le vendredi, le lundi ou le vendredi le plus proche est férié. Cela évite les "mauvaises années" où des séries de jours fériés tombent le week-end ou en milieu de semaine et garantit un certain nombre de week-end de trois jours tous les ans. C'est favorable au tourisme et garantit les mêmes congés pour tous. Proposition 2 : Autoriser les congés en CDD La loi travail a heureusement abrogé la règle qui imposait d'attendre parfois près d'un an pour prendre des congés lorsque l'on démarrait un CDI. Pour les CDD, les congés restent un problème. Nous proposons donc d'autoriser la prise de congés pour les salariés en CDD en leur appliquant les mêmes règles que pour ceux en CDI. Proposition 3 : Garantir la prise de congés Etablir pour règle que les salariés prennent au moins une partie obligatoire de leurs congés, par exemple la moitié, au cours de l'année ou de la période de contrat. Si ces jours ne sont pas pris en fin d'année ou de contrat imposer le paiement par l'entreprise au salarié des jours obligatoires non pris à un taux fortement majoré. Ceci dans le but d'inciter les salariés à prendre des congés et d'éviter que les entreprises y fassent obstacle. Enfin, permettre le report d'une partie des congés non pris sur l'année suivante. Proposition 4 : Harmoniser la durée des congés Depuis les 35 heures, nous ne sommes pas égaux en matière de congés. Pour restaurer un peu d'équité, nous proposons l'adoption d'une sixième semaine de congés pour tous et la suppression, pour ceux qui en bénéficient, d'un nombre correspondant de RTT.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

None

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

None

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

None

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

None

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

None

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

None

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'air

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

ÊAXE I - Donner toute sa place à la nature dans les politiques publiques, du national au local• Préconisation 1 : La prise en compte de l’érosion de la biodiversité doit être présente dans l’article un de la Constitution au même titre que l’enjeu climatique dont l’inscription est prévue dans le cadre de la révision constitutionnelle.• Préconisation 2 : L’enjeu biodiversité doit être pris en compte de façon transversale dans l’ensemble des politiques publiques applicables à la ville (aménagement, logement, transport, santé, agriculture...). • Préconisation 3 : La politique du logement doit intégrer les objectifs de biodiversité et de nature en ville, en commençant par remettre sur le marché une partie des trois millions de logements vacants.• Préconisation 4 : Les approches conjointes « biodiversité-climat » doivent être privilégiées dans les politiques urbaines. L’enjeu biodiversité et les solutions basées sur la nature doivent être partie intégrante des stratégies d’adaptation des villes au changement climatique.• Préconisation 5 : Une politique structurée de la biodiversité, du national au local, doit être mise en place en s’appuyant sur une nouvelle SNB ambitieuse pour 2020-2030, un rendez-vous annuel du « Plan nature en ville », des stratégies régionales (SRB) et locales (plan biodiversité des villes) cohérentes• Préconisation 6 : Les moyens nationaux dédiés à la biodiversité doivent être renforcés, notamment ceux de l’Agence Française pour la Biodiversité (AFB).• Préconisation 7 : Le financement de la nature en ville doit veiller à mobiliser toutes les ressources disponibles (fonds européens, appels à projets opérés par l’ADEME) en complément des fonds nationaux et régionaux.ÊAXE II - Connaître et faire connaître les bienfaits de la nature en ville • Préconisation 8 : La recherche en France sur la biodiversité doit être renforcée (création d’un programme de recherche dédié au MTES, intégration plus importante de la dimension nature en ville dans le contrat d’objectifs du MNHN...) et élargie autour du lien santé et nature.• Préconisation 9 : La formation à l’environnement et à la nature doit être renforcée en définissant une politique nationale d’éducation à l’environnement et à la nature, en renforçant l’enseignement relatif à la biodiversité dans différents cursus et filières et en intégrant dans la formation initiale des métiers du bâtiment la qualité environnementale.• Préconisation 10 : En matière d’emplois liés à la biodiversité, l’AFB pourrait identifier les besoins liés à la nature en ville pour une meilleure insertion de la biodiversité dans les métiers et emplois, veiller à une continuité et à un parcours cohérent aux différents stades des formations et développer qualifications et certifications.• Préconisation 11 : Les « expériences de nature » doivent être soutenues, notamment grâce aux sciences participatives, dans les écoles, les villes, les entreprises afin de reconnecter avec la nature une population majoritairement urbaine.• Préconisation 12 : L’apport des associations agréées de protection de la nature doit être davantage reconnu et soutenu par un dispositif financier pérenne au niveau national et local.ÊAXE III - Répondre aux besoins des habitantes et habitants et accueillir une nature en ville efficiente• Préconisation 13 : Des espaces verts et bleus, qualitatifs et efficients pour la biodiversité, doivent être développés de manière ambitieuse (règles de remplacement des jardins supprimés, désimperméabilisation d’espaces, préservation des bois communaux...).• Préconisation 14 : Les villes devraient développer une gestion écologique de tous les espaces verts de la ville et inciter acteurs et actrices privés à la gestion écologique.• Préconisation 15 : Il faut encourager davantage de nature « comestible » en ville en développant la plantation d’arbres nourriciers, en fixant des objectifs de création de jardins collectifs et familiaux et en accompagnant le développement d’une production agricole urbaine et périurbaine respectueuse de l’environnement.• Préconisation 16 : Les citoyennes et citoyens doivent être impérativement associés à la préparation, la conduite et l’évaluation des politiques de nature en ville, cette participation étant synonyme d’adhésion et de succès.ÊAXE IV - La nature comme élément structurant du projet d’aménagement urbain• Préconisation 17 : Les SCoT, PLU et PLUi doivent intégrer les milieux naturels comme éléments structurants de l’aménagement urbain, en visant notamment, et dans la mesure du possible, une proportion autour de 30% d’espaces végétalisés de pleine terre et une renaturation compensatrice de toute destruction d’éléments naturels en milieu urbain.• Préconisation 18 : Toute opération urbaine devrait promouvoir le bâtiment durable à biodiversité positive.• Préconisation 19 : La définition et la mise en place d’une véritable politique publique pour protéger le patrimoine « sol » et assurer sa restauration est nécessaire.ÊAXE V - La ville au cœur de la solidarité écologique des territoires• Préconisation 20 : Les enjeux de nature et de continuité écologique doivent être intégrés dans les documents de planification territoriale et notamment dans les futurs SRADDET. Les documents existants doivent intégrer la dimension de trame nocturne.• Préconisation 21 : Des mesures fortes doivent être prises pour stopper l’artificialisation des terres (mise en œuvre des recommandations du Comité Economie Verte, suppression des aides les plus néfastes à la biodiversité, mobilisation des EPF pour le maintien des trames naturelles, fiscalité plus favorable aux espaces naturels).• Préconisation 22 : De nouvelles solutions pour organiser la solidarité économique ville-campagne doivent être identifiées comme la mobilisation de ressources fiscales et économiques pour rémunérer les services environnementaux rendus et encourager des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

None

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

None

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

None

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

None

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

None

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

None

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

None

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None