Date de publication : 2019-01-24
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

En le maire. Le maire est souvent chez lui et est apprécié. Souvent, il est même réélu pendant des années et des années dans les villages. C'est un acteur proche des gens, qui connaît les difficultés des français (et qui les rencontre même, car ce n'est pas difficile aujourd'hui d'assumer la gestion d'une municipalité...). C'est la personne à qui on pense en premier à aller voir lorsqu'on rencontre un problème et c'est la personne aussi la plus facile d'accès pour discuter et envisager des solutions. Mais, compte tenu de ce qu'aujourd'hui nous vivons, et du manque de confiance en les politiciens, et je dirais même (je l'ai entendu, partout autour de moi, personne ne croit plus en les politiciens), je crois qu'en vérité, le peuple français doit pouvoir, également, compter sur lui-même pour se représenter lui-même. Il faut une sécurité, un moyen pour le peuple français, quand l'élu est incapable d'agir à l'image de ce que voudrait le peuple, d'agir par lui-même, de prendre la parole et de peser dans le débat et les décisions. Cela aura pour effet également d'obliger les élus à se soucier un peu plus du peuple, parce qu'on doit le dire très clairement : quand on a le pouvoir de tout faire sans que la population ne puisse dire quoi que ce soit, on se fiche de ce que le peuple peut dire. Un politicien n'est pas forcément bon "parce qu'il a été élu".

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Je dis « oui » par principe, car à l'origine ces organisations étaient censées servir l'intérêt de ceux qu'ils représentent, et donc, ils doivent pouvoir aller donner leur avis et peser. Je vois les associations et les syndicats un peu comme les avocats du peuple. Mais il est évident qu'aujourd'hui plus personne n'a confiance dans les associations et les syndicats, et que cela ne changerait rien de leur donner plus d'importance. Aujourd'hui, c'est mon avis et ce que j'ai pu entendre aussi autour de moi, beaucoup croient que les syndicats et les associations servent une idéologie politique plutôt que l'intérêt général. Et cela pose un vrai problème dans une société démocratique et fortement syndicalisée. Entre autre, il y a une crise de la représentativité dans toutes les structures et organisations.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Question difficile à répondre, parce que le lien s'est brisé à cause de 40 ans de politiques. A force de se sentir rejetés, inutiles et ignorés par les politiciens, beaucoup se sont mis en tête qu'un politicien dans sa nature est mauvais et cherche à nuire. La seule manière de renouer avec le peuple, c'est de s'adresser à lui et de le laisser prendre la parole et décider. La politique ne se renouera avec le peuple que lorsque ce peuple aura le sentiment être d'écoute et de ne pas élire des personnes pour un rien, pour au final que les promesses ne soient pas tenus ou que le politicien oublie qui il sert. Je pense pour ma part que le recours fréquent au référendum pour les grandes questions et tout ce qui pourrait toucher à la vie du citoyen est une manière de tendre le bras vers cette réconciliation, parce que par le référendum, on porte de la considération à la population et on affirme que la population n'est pas là pour regarder, mais aussi pour être acteur des décisions. Forcément, on ne peut pas dire que cela sera facile de renouer avec le citoyen. Cela prendra, je pense, des années et il faudra que chaque politicien joue le jeu, qu'il fasse l'effort nécessaire (chose plus difficile).

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Je ne sais pas

6. Pourquoi ?

J'ai coché « je ne sais pas », car mon avis est partagé. C'est une bonne chose, car on ne peut pas être député et assumer des fonctions supplémentaires. Le travail à l'Assemblée demande d'être disponible à temps plein pour assumer sa fonction de représentant de la Nation. Cependant, je pense que c'est une erreur d'interdire le cumul des mandats au Sénat. Dans notre Constitution, le sénateur est le représentant des territoires. Je pense qu'être Maire et Sénateur est un atout, par exemple. Parce que le Maire est la personne la plus proche des territoires et la plus compétente pour venir apporter la parole du territoire. Je pense qu'il est difficile de bien représenter les territoires, sans être au cœur de ces territoires.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

La proportionnelle intégrale aux élections législatives est à mon goût la meilleure manière d'avoir une Assemblée représentative de l'opinion des citoyens et de représenter toutes les sensibilités politiques. Il n'y a pas d'autres manières d'y arriver.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Cela va de soit que si on propose la proportionnelle intégrale, il faut baisser le nombre de députés et de sénateurs.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Un citoyen ne votera que s'il a le sentiment que son vote sera utile. La plupart ne votent pas, parce qu'ils n'ont plus confiance en le politique. Ils croient que c'est une perte de temps. Qu'ils votent ou qu'ils ne votent pas le résultat sera le même. Qu'aller voter blanc de toute façon, ça ne changera rien (ce qui n'est pas faux). Les élections précédentes démontrent que l'abstention est constamment en hausse, et c'est dangereux en démocratie.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Oui, parce qu'un citoyen a le droit de ne pas croire en les candidats qui se présentent. Le vote blanc est démocratique. Le peuple n'a pas à choisir le moins pire constamment. Les 50% de vote blanc atteints, je pense que l'élection devrait être réorganisée et que les candidats qui ont été rejetés par ce vote blanc ne devraient pas avoir le droit de se présenter.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Le référendum d'initiative populaire pour abroger ou mettre en vigueur une loi. Recourir régulièrement aux référendums. Rendre obligatoire le référendum pour toute modification constitutionnelle (car je pars du principe que la Constitution est quelque chose de sacré pour la Nation, et que sa modification est lourde de conséquences, que seul le peuple devrait pouvoir autoriser la modification de celle-ci, parce qu'elle est la sécurité du peuple vis-à-vis des dérives et le centre de tout notre droit, donc la ligne directrice que suit le pays).

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Il faut totalement modifier ce processus anti-démocratique. Le peuple doit pouvoir lui-même déclencher une initiative sur proposition de 500.000 électeurs. Le peuple n'a pas à avoir l'aval (signatures) des députés et sénateurs, alors que ce sont les élus qui sont au service du peuple et non l'inverse.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Interdire tous les signes religieux ostentatoires dans les lieux publics, excepté pour les ministres de culte comme prévu par la loi de 1905. Ne créer aucun favoritisme religieux que ce soit dans les écoles ou ailleurs. Lutter contre le fondamentalisme islamique qui incite à la violation des règles de Laïcité en faisant oublier aux fidèles que la France n'a pas, contrairement aux nombreux pays où la charia est appliquée, de religion d'État et qu'elle est neutre.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Pour ce qui est des étrangers, ne pas accepter déjà des personnes qui viennent avec l'intention de garder leurs valeurs contradictoires avec la République et expulser ceux qui, malgré notre hospitalité, violent nos règles (donc manque de respect envers le peuple français). Pour ce qui est des français, je pense qu'il faut inciter les parents avant tout à éduquer leurs enfants selon les valeurs de la République, et ce, en coupant les allocations familiales (après avertissement). L'école doit aussi jouer un rôle important en transmettant l'histoire de France et ses valeurs, en apprenant dès le plus jeune âge à aimer la France.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

None

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

L'immigration est incontrôlée en France depuis longtemps. Parce qu'on ne peut pas contrôler l'immigration quand nos frontières ne sont elles-même pas contrôlées. Il faut savoir qui rentre et qui sort, et pour cela, il faut des frontières nationales. Lorsqu'on sait que des gens expulsées de France ont pu revenir grâce à l'espace Schengen sans que personne ne le sache, cela démontre que des frontières nationales sont urgentes autant sur le plan de la défense que de l'économie. Toutes les Nations du monde ont des frontières. Le but n'est pas de les interdire complètement, mais de veiller à la sécurité des uns et des autres en contrôlant qui peut entrer et qui peut sortir. Par ailleurs, une immigration incontrôlée fait que nous sommes vite débordés et incapables de nous occuper de tout le monde. C'est inhumain et coûteux. On ne peut pas accueillir toute la misère du monde. L'immigration doit être contrôlée, nous devons fixer régulièrement un taux d'immigration légale à ne pas dépasser selon nos capacités d'accueil (logement, emplois, etc...). Le but n'est pas non plus d'interdire l'immigration, mais de ne pas accepter toute l'immigration sous prétexte de guerre ou de crise économique. Nous devons choisir les plus méritants (quelqu'un qui vient pour travailler par exemple ou faire des études) et ne pas les garder sur le territoire s'ils n'ont plus de raisons d'y être. Il faut également veiller à l'assimilation des immigrants à nos valeurs, à nos lois, à notre histoire, notre culture et notre langue afin de préserver notre culture et veiller à ce que les immigrants puisse se reconnaître dans le peuple français (le communautarisme est l'ennemi d'une Nation unie dans un seul et même peuple). Il faut entre autre rétablir les visas et ne pas les distribuer à n'importe qui, mais aux plus méritants, qui apporteront un avantage à la France. Qui dit régulation de l'immigration légale, dit aussi, qu'il faut la plus grande des fermetés envers les clandestins. Être clandestin, c'est violé la loi. Et puisqu'on viole la loi de la France, on n'a plus rien à recevoir d'elle : violer les lois, c'est l'insulter. Il faut expulser immédiatement les clandestins. De cette manière, avec toutes ces solutions, nous pourrons retrouver la paix en France, protéger notre culture, éviter les discriminations crées par la méfiance et permettre à accueillir les immigrants dignement en ayant les moyens de leur offrir un emploi, un logement et tout ce qu'il faut pour qu'ils puissent vivre. Évidemment, qui dit aussi taux d'immigration légale, dit que les besoins des français devront être prioritaires avant celle des immigrants.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

None

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'air

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Faire de l'écologie en appauvrissant et en nuisant à la vie du peuple français est contre-productif. Parce qu'appauvrir et rendre difficile la vie des français, les privés de ce qu'ils possèdent ou possédaient, c'est apporter d'autres problèmes qui nuiront à notre société. Notre intérêt à tous est de sauver notre planète et de sauver l'humanité. Si nous créons plus de problèmes que l'on en résout, je ne vois plus aucun intérêt de sauver l'humanité, parce qu'elle serait divisée par le chaos et finirait par mourir elle-même à cause de problèmes diverses et variés, comme l'insécurité, la pauvreté et le désordre social. Nous devons sauver notre planète, seul endroit sur l'Univers où nous pouvons survivre, mais nous devons comprendre aussi qu'on ne peut pas le faire sans l'humanité elle-même et sans lui offrir une vie confortable, parce que, malgré tout, notre génération a le droit de vivre dignement et de ne pas subir les conséquences de ses ancêtres. Nous avons tous le droit à une vie digne et nous avons aussi le droit de mourir avec la satisfaction d'avoir eu une belle vie. Ce que je propose, c'est une écologie intelligente et qui s'oriente vers l'amour de la Patrie, parce que le patriotisme est ce qui réunit un peuple, la fierté est ce qui rend un français heureux d'être français, heureux de servir la Nation, heureux de contribuer à la construction d'un avenir meilleur dans le pays. Le Patriotisme est pour moi, et il l'est chez moi, l'élément motivateur dans une vie, et il lui donne même un sens. Actuellement, nous faisons face à la mondialisation, ce qui a pour cause de nuire à nos industries, parce que nos entreprises préféreront acheter des produits moins chers à l'étranger dû à nos normes sanitaires et sécuritaires que l'on impose à nos entreprises, mais que les importateurs étrangers ne respectent pas (nous devons même parler d'esclavagisme pour certaines industries, qui obligent leurs employés à dépasser leurs limites physiques pour produire de piètres produits à bas coûts). Je pense que la meilleure manière de faire de l'écologie est de produire français et de prioriser l'industrie française. Nous avons beaucoup d'entreprises, d'innovateurs qui vendent à pertes, parce que la concurrence étrangère est trop forte. Le protectionnisme est la meilleure manière de les protéger. Notre agriculture, qui est notre plus grand point fort en France, en aurait bien besoin et elle serait sauvée de cette concurrence déloyale qui tous les 2 jours cause le suicide d'un agriculteur français. Le protectionnisme aurait pour conséquence de réduire la durée des trajets, et donc de polluer moins. Ce qui peut être produit chez nous, il faut le produire et le protéger, parce qu'on est est fier de ce qui est français et parce que c'est notre intérêt économique, sanitaire et environnementale ! Ce qu'on ne peut pas produire chez nous, évidemment, on ne va pas l'inventer, il faut importer, en veillant à ce que ces produits respectent nos normes environnementales et sanitaires. Mais, je suis certain que l'industrie française est capable de produire plus si nous lui donnons les moyens d'exister et de survivre, si nous donnons le goût du Made in France à nos compatriotes. Plus nous serons en capacité de nous auto-suffire grâce aux talents de nos nombreux entrepreneurs français, plus nous polluerons moins et plus notre économie se portera mieux et plus les français seront fiers de leurs industrie : la fierté, c'est un élément important pour le moral d'un peuple et qui dit un peuple qui se porte bien moralement, dit un peuple prêt à faire plus, à s'intéresser à sa Nation, à consommer et à travailler. Plus une personne est malheureuse, plus ce mal-être risque de se propager et nuire au moral général de la Nation. Aimer la France, c'est aussi faire de l'écologie !

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Je ne ressens pas personnellement les conséquences (excepté la chaleur en été), mais je suis conscient de ce qu'elle cause chez d'autres et ailleurs.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Non

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

None

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Je crois que l'on ne peut pas empêcher ni convaincre quiconque de faire des gestes qui, pour moi, sont par ailleurs inutiles.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

None

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

None

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

None

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

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