1: faire naître (ou renforcer) la prise de conscience du citoyen de sa contribution au bien commun.Certes la fiscalité indirecte (TVA etc...) est une forme de contribution, mais une contribution spécifique obligatoire pour tous (même très faible, symbolique) pourrait aider à cette prise de conscience, donc instaurer l'impôt sur les revenus pour tous. 2: faire prendre conscience du taux de contribution de chacun au bien commun. Sans remettre en cause la solidarité entre les citoyens il est quand même surprenant de constater que bien souvent ceux qui contribuent le plus ne sont pas ceux qui consomment le plus des "services publiques". 3 :Mettre à disposition du citoyen (transparence) les différents budgets, depuis leur élaboration, jusqu' à leur "finalisation" ou concrétisation, en commençant par les budgets locaux (budgets de fonctionnement, d'investissement,financement des projets les plus divers etc...) jusqu'au "budget de l'état". On répondra que cette transparence existe, mais dans la réalité elle n'existe pas. Avoir accès aux documents comptables de sa commune est loin d'être une évidence, le parcours du combattant commence déjà à cet échelon!!! 4: en cohérence avec le point précédent, rendre obligatoire et sur simple demande d'un seul citoyen la communication de tous les documents comptables spécifiques aux différents budgets publics.
Soumettre à l'impôt (sur les revenus quels qu'ils soient: salaires, indemnités, allocations etc...) tous les citoyens.Rendre cet impôt davantage proportionnel, tout en fixant une limite à ce prélèvement obligatoire pour tous. Je ne trouve pas acceptable que puisse être prélevé à un individu, par exemple la moitié, de ses revenus (bouclier fiscal) même si ces revenus sont importants.Il est étonnant que l'on accepte qu'une heure d'activité humaine d'un individu puisse être rémunérée 10, 100,1000 fois plus que celle d'un autre.Ce n'est pas l'impôt qui doit qui "corriger" cette aberration de la loi du marché, mais le marché qui ne doit pas dicter sa loi.
la fiscalité indirecte, sournoise, incontrôlable, source te toutes sortes de fraudes.
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Nos élus sont payés par les contribuables. Je veux ici faire part de ma situation personnelle: enseignant (aujourd'hui à la retraite), j'exerçais dans un RASED (Réseau d'Aide aux Elèves en Difficultés). Amené à me déplacer d'école en école, parfois (souvent) distantes de 10km, voire plus, pour les "besoins du service", je ne pouvais exercer cette activité, que dans la mesure où je possédais un véhicule personnel (L'éducation nationale n'a pas de véhicules de fonction.). Il me fallait donc demander l'autorisation d'utiliser mon véhicule personnel pour les "besoins du service". (Formulaire spécifique à remplir et à adresser à l'Inspection Académique du département d'exercice). Une fois autorisé, je pouvais exercer cette activité. Mon administration (Inspection Académique toujours) appréciait (dans le cadre de son budgetconsacré au déplacement de ses personnels) le nombre de kilomètre que je pouvais être autorisé à parcourir, toujours pour les "besoins du service". (500,voire parfois 600 ou 700 kilomètres par an, soit environ 20 Km par semaine, 5 Km par jour de pris en compte, pour des déplacements réels de parfois 80 Km par semaine voire davantage( un déplacement à l'école qui se situe à 8 km de votre lieu d'affectation = aller-retour 16 km . Chaque trimestre je devais adresser à ma hiérarchie (toujours l'Inspection Académique) l'état de mes déplacements, renseignés en trois exemplaires et "à la main" (les photocopies n'étant pas aceptées) pour un remboursement (dérisoire) de ces frais de déplacement. Les kilomètres effectués au delà du quota octroyé n'étant, bien évidemment, pas pris en compte. Comme il a souvent été répété aux enseignants qu'ils ne travaillent pas pour l'argent, mais par vocation, user sa voiture et payer une grande partie de ses déplacement "de sa poche" n'est qu'une forme et une sorte de concrétisation de cette vocation. Que dire de nos élus et responsables, puisqu'ils sont tous dévoués pour notre bien. Aussi, Il me semble que cette règle, dans notre démocratie où les citoyens sont égaux, qui vallait (et vaut toujours) pour les "bas" fonctionnaires (puisqu'il y a des "hauts" fonctionnaires) devrait tout à fait être appliquée à tous nos élus (députés,sénateurs péfets, ministres,président des intercommunautés etc...etc...etc... Président de la République et "hauts fonctionnaires"). Il y a là de substantielles économies à réaliser: fini les voitures de fonction, fini les chauffeurs,fini les frais d'entretien et assurance de ces véhicules ,fini les hordes de véhicules qui accompagnent des "déplacements officiels"!
Personne. Je ne souhaite pas être représenté, je souhaite opiner, après éclairage sérieux (débats contradictoires). Élire (un représentant) n'est pas voter (donner son avis.)
Non
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Réduire au maximum le nombre d' élus et ne leur confier qu'un (ou quelques) mandat(s) précis, limité (s). Inscrire dans notre constitution la possibilité de recourir au référendum d'initiative citoyenne en toutes matières.
Une bonne chose
Le cumul des mandats ,dans une réelle démocratie, ne se conçoit pas .Avec le référendum d'initiative citoyenne il n'est donc pas concevable..
Les sensibilités "politiques" n'ont pas besoin d'être représentées, le citoyen doit pouvoir opiner sur tous les sujets sans représentant.
Oui
Tous.
Les citoyens participent peu aux élections parce que nous ne sommes pas en démocratie. Le RIC est le meilleur moyen d'obtenir la partition de ceux-ci.
Oui
Au delà d'un certain % (40% ?) le vote devient nul.
Instaurer le référendum d'initiative citoyenne en toutes matières.
Non
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Si nos élus (à tous les niveaux: commune inter communauté etc...) avaient souhaité consulter les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, en leur présentant, pour approbation,(après éclairage) les budgets de tous ordres (Fonctionnement, investissement, projets divers, subventions, utilisations de l'argent des contribuables ) de manière démocratique, la question ne se poserait pas.Comme elle est posée, il suffit de présenter aux citoyens ces budgets et de leur permettre d'opiner. Le RIC répond à cette interrogation.
Aucun, la consultation directe des citoyens suffit.
Oui
Les supprimer.
Il n'y a rien à changer la loi actuelle de 1905 convient parfaitement, il suffit de l'appliquer.
Éduquer les citoyens. Les enseignants y concourent de manière remarquable. Il suffit de respecter leur travail et de les soutenir quand ils rencontrent des difficultés au lieu de les discréditer comme on le constate continuellement.Supprimer les élus professionnels (nos élus actuels) qui sont les premiers à travestir ces valeurs.
Instaurer le référendum d'initiative citoyenne en toutes matières.
Il n'y a pas de comportement civique à promouvoir,ces comportement se développent naturellement quand les gens adhèrent au contrat social qu'ils adoptent. Ce contrat social trouve sa "mise en mots" dans ce qu'il est convenu d'appeler une constitution. Il conviendrait de proposer aux citoyens de "réécrire" ce texte fondateur.
Proposer aux Français de réécrire leur constitution et la soumettre par référendum pour adoption.
Permettre aux citoyens de participer aux décisions qui les concernent, qui vont les amener à concevoir, accepter le bien-fondé de leur(s) administration(s)
Il n'y a pas de "petite incivilité" ou de "grande incivilité". Chaque incivilité "acceptée" (par facilité, renoncement, démagogie, corruption" etc..) doit être sanctionnée. Une "petite incivilité" n'est que le premier pas vers une "grande incivilité".
Respecter et faire respecter toutes les règlementations qui ont été élaborées par les citoyens: règlement scolaire, règlement de la restauration scolaire, plan local d'urbanisme, code des collectivités territoriales, code civil, code de la santé publique etc.. etc... etc... Le sentiment d'injustice, de révolte, les conduites de défiance (incivilités) prennent leur source dans le fait que chaque jour les citoyens sont témoins des mensonges, des dérives, de la corruption à tous les niveaux (France complètement pourrie). La république irréprochable nous dit-on. On est bien loin du compte!
L'instauration du Référendum d'initiative citoyenne en toutes matières est le moyen de faire participer les citoyens aux prises de décisions .En participant, celui-ci développe le sentiment d'appartenir réellement à une communauté,trouve sa place dans cette communauté (ne s'y sent pas exclu comme c'est le cas en ce moment, pour la plupart d'entre-nous, en étant les témoins d'un pillage de ce bien commun que devrait être notre république).
La, les discrimination(s) institutionnelle(s) par l'argent, la corruption (argent: dieu, gourou des temps actuels) qui maintient la majorité des être humains dans un état de dépendance. Petit rappel: "Il y a trois sortes de violences. La première, mère de toute les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d'hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés. La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d'abolir la première. La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d'étouffer la seconde en se faisant l'auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres. Il n'y a pas pire hypocrisie de n'appeler violence que la seconde, en feignant d'oublier la première, et la troisième qui la tue" (Dom Helder Camara).
La réponse se trouve dans la question précédente.
Non
Une allocation est une conception horrible qui permet de maintenir les individus dans un état de dépendance, de soumission, de résignation.
Rien
Non
Agir pour que ces gens puissent trouver dans leur pays de vie d'origine des conditions de vie décente et leur faciliter la rédaction de leur constitution (contrat social) , en luttant contre la corruption de leurs dirigeants, en ne pillant pas leurs ressources, en ne les exploitant pas en vue de tirer des profits scandaleux (marchandisation de tout dans ce "Nouvel ordre mondial" - New world Order que vous connaissez bien.
En s'assurant que les candidats qui souhaitent intégrer notre nation, partagent notre contrat social (constitution réécrite comme indiqué précédemment), en leur permettant la maîtrise de notre langue, en les accompagnant, en les respectant, en ne les humiliant pas, mais aussi, en exigeant la réciprocité,
Inscrire dans notre constitution( article 3) recours au référendum d'initiative citoyenne en toutes matières et réécrire nous même les termes et articles notre constitution. Ce n'est pas aux représentants d'écrire les règle de la représentation.
Votre message a bien été envoyé.