Date de publication : 2019-01-30
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Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Rendre transparent le taux d'imposition réel des ménages et des entreprises. Rendre transparente l'imposition sur le capital.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Augmenter les impôts et taxes payés par les entreprises du CAC 40. Taxer à la sources les dividendes (30%). Créer un taux de TVA de 30 à 40% sur les produits de luxe (véhicules haut de gamme, hôtels 4 étoiles, nautique haut de gamme, bijoux de luxe, etc...).

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

La taxe d'habitation doit disparaître, remplacée par une taxe de séjour de luxe payée par les touristes.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Augmenter les impôts

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Les aides sociales ne doivent pas favoriser l'assistanat. Les fraudes à la sécurité sociale (fausses cartes vitales) doivent être combattues. L'acharnement thérapeutique doit être évité. La Sécurité sociale doit être réformée. Selon le livre des professeurs Debré et Even, la moitié des médicaments mis sur le marché sont inefficaces, 1/4 sont même dangereux. Il faut les remplacer par des produits naturels plus efficaces et sans effets secondaires.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Il faudrait rembourser le recours aux médecines douces et naturelles (phytothérapies, huiles essentielles, vitamines bio). Augmenter le minimum vieillesse et les pensions de retraites.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Pour l'éducation et la recherche publique. Pour la protection de l'environnement et l'écologie. Pour la transition énergétique.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faudrait fortement augmenter l'imposition des plus riches et des grandes entreprises, celles du CAC 40 et les multinationales (GAFA notamment). Il faudrait taxer le recours aux énergies polluantes. Il faudrait créer un taux de TVA de 30 à 40% sur les produits de luxe.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les élus locaux. Ils sont plus proches des citoyens et davantage accessibles.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Les associations d'intérêt général. Leur avis devrait être recueilli à titre consultatif dans les domaines en lien avec leur raison sociale.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Il faudrait diminuer le nombre d'élus et limiter strictement le cumul des mandats à UN seul mandat. Il faudrait lutter contre les lobbys occultes et renforcer les règles de lutte contre la corruption.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Un élu ne devrait pouvoir se consacrer qu'à UN seul mandat afin d'être efficace et responsable. Tout cumul quelconque de mandat ou de fonction porte très gravement atteinte à la crédibilité même de la démocratie représentative.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Il faudrait introduite la proportionnelle pour toutes les élections.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Le Sénat devrait être totalement supprimé, par la voie du référendum. L'élection des sénateurs au suffrage indirect constitue une atteinte très grave aux principes démocratiques, notamment celui de l'élection au suffrage universel. Les sénateurs ne représentent rien (ni les territoires locaux, les collectivité locales, ni les citoyens).

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Il faudrait introduire la proportionnelle aux élections.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Non

12. Si oui, de quelle manière ?

None

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Il faudrait renforcer considérablement la décentralisation en appliquant le principe de subsidiarité (lequel existe au sein de l'Union européenne).

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Il pourrait y avoir recours au référendum pour réformer les institutions.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Il faudrait recourir au référendum pour déterminer les grandes lignes d'une refonte fiscale totale afin de créer les conditions de l'équité fiscale en mettant fin aux niches fiscales et en renforçant l'imposition sur le capital et les revenus du capital, afin d'augmenter les dépenses publiques utiles et nécessaires (éducation, culture, écologie...).

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Le Conseil économique, social et environnemental a un rôle purement consultatif qui doit être sauvegardé. Le Sénat ne devrait avoir aucun pouvoir législatif, surtout en manière de réforme constitutionnelle. Diminuer le rôle du Sénat constitue une exigence démocratique forte, afin de rendre crédible le fonctionnement du parlement et de mettre fin au discrédit politique majeur entre les citoyens et les gouvernants.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Il faut au minimum mettre fin par référendum aux prérogatives anti-démocratiques su Sénat en matière constitutionnelle. Il faut réduire le nombre de Sénateurs et modifier leur mode d'élection, actuellement anti-démocratique.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La laïcité doit être considérablement renforcée. La laïcité émane des Droits de l'Homme. Le coeur de la laïcité est la liberté de conscience. La conscience est la dimension où l'être humain prend ses décisions fondamentales et choisit son mode de vie. La liberté de conscience que permet la laïcité est la source de toutes les libertés. Donc, sans laïcité, il n'y a pas de liberté possible. Il n'y a pas d'égalité ou de fraternité possible non plus, puisque les intégrismes religieux considèrent que leurs fidèles sont supérieurs aux autres et détiennent la seule vérité admissible. La seule manière de préserver la paix publique et le vouloir vivre ensemble, donc de préserver la démocratie, est de combattre l'idéologie des intégrismes monothéistes (tous les monothéismes, s'ils ne sont pas combattus, deviennent des intégrismes). Afin de dissuader l'obscurantisme et le fanatisme, il faut rendre non crédible les postulats monothéistes ; cela suppose de renforcer l'enseignement dans le système scolaire des vérités scientifiques essentielles et des valeurs de la démocratie. La liberté de conscience implique également la liberté de culte dans le respect de l'ordre public. Il est vital que le prosélytisme religieux, de toutes les religions sans discrimination, soit vigoureusement combattu et dissuadé. Les intégrismes doivent être rendus non crédibles par l'éducation, et par l'information du public.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Les valeurs de la République émanent des Droits de l'Homme, et sont partagées par toutes les démocraties véritables. Or, les valeurs des droits de l'Homme sont exactement le contraire des valeurs des intégrismes monothéistes (la croyance aveugle s'oppose à la liberté de conscience, la prétention de détenir la seule vérité révélée admissible s'oppose à l'égalité entre les citoyens quelque soient leurs croyances ou à l'égalité hommes-femmes, la haine de la Raison et de la science s'oppose au progrès et à l'épanouissement personnel). Il est impératif de faire respecter la laïcité (qui n'est pas l'athéisme) et de favoriser le renforcement d'un véritable humanisme laïc. Les valeurs de la démocratie doivent être enseignées à tous les niveaux du système éducatif.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Il faudrait modifier la Constitution et les institutions pour que les élus soient plus proches des citoyens et réellement représentatif (le Sénat devrait être supprimé par référendum). Le recours au référendum pourrait sans doute être favorisé. Il faut diminuer l'emprise des lobbys, lutter réellement contre les paradis fiscaux et les multinationales.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Le respect d'autrui est essentiel. Il faut respecter la vie sous toutes ses formes. Adopter un mode de communication non violent est important. Il faudrait lutter contre toutes les sources de stress. La pollution à tous les niveaux constitue une source de stress et d'atteinte à la santé, au respect de la personne humaine.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Pour développer le civisme, il faut restaurer le prestige et les moyens d'action des services publics. Les services publics favorisent le civisme et la cohésion sociale. La prospérité économique découle de la cohésion sociale et non pas l'inverse. C'est parce que la cohésion sociale existe que l'économie peut prospérer. Si la cohésion sociale s'affaiblit, il y aura risque accru d'attentats, de manifestations insurrectionnelles, et l'économie s'effondrera (par exemple en cas d'attentats de fanatiques, d'intégristes, les préjudices directs et indirects sont énormes : effondrement du tourisme, de la consommation., des investissements..). Donc, il faut renforcer les services publics : l'éducation (à la citoyenneté notamment), la sécurité, la justice, l'écologie, etc...

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Afin de valoriser l'engagement citoyen, il faudrait développer les contrats de service civique, les emplois-aidés, les formations civiques, et revaloriser les salaires et le rôle des fonctionnaires.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Il y a beaucoup d'incivilités liées au manque d'éducation et de conscience des individus. Il faudrait renforcer le rôle du système éducatif à tous les niveaux. Il faut développer le rôle de la sécurité routière et rétablir les radars et les limitations de vitesse à 80 km/h. Il faut réellement lutter contre le tabagisme passif. La règlementation sur l'interdiction de fumer dans les bureaux n'est pas respectée dans les services publics et les entreprises. Il faut absolument faire diligenter des contrôles sur place (rappel des interdictions, amendes). Il faut lutter contre l'alcoolisme. Il faut obliger les propriétaires d'animaux à éviter les nuisances de ceux-ci (ramassage obligatoire des déjections sur la voie publique...). Il faut lutter contre le bruit, notamment en milieu urbain. Il faut lutter contre le stress, cause profonde de toutes les maladies.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Il faut renforcer le service public de l'éducation à tous les degrés. Il faut lutter contre le tabagisme et l'alcoolisme en augmentant de 10% par mois pendant 3 ans les taxes sur le tabac et l'alcool, afin de sauver le système de sécurité sociale. La lutte contre le bruit doit être une priorité (contrôle des motos bruyantes à pots d'échappement trafiqués, des moteurs déréglés, repérage des chiens aboyeurs et amendes pour les propriétaires avec obligation de pose de colliers anti-aboiements; amendes aussi lorsqu'il y a déjection sur la voie publique). Il faut créer une taxe sur la possession d'animaux domestiques de compagnie, dont certains sont mieux traités et soignés que les êtres humains !

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Il faudrait que chacun fasse un travail sur soi pour intégrer les valeurs de respect de soi-même et d'autrui. On devrait favoriser les cours de yoga et de relaxation, la médecine douce et naturelle, afin de diminuer le stress subi et que l'on fait subir à autrui. Il devrait y avoir des cours de civisme dans le système éducatif et il faudrait promouvoir et subventionner des associations destinées à développer le civisme chez les adultes. Les infractions devraient faire systématiquement l'objet d'amendes.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

J'observe un phénomène de repli communautariste. Il apparaît que certaines populations dans certains quartiers urbains deviennent ségrégationnistes, en refusant les valeurs démocratiques et les modes de vie occidentaux.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Il faudrait renforcer la laïcité en appliquant strictement la loi du 9 décembre 1905 de séparation des religions et de l'Etat. Il faudrait inciter les entreprises à embaucher pour intégrer les individus par l'emploi, et pour cela taxer fortement à la source les dividendes versés aux actionnaires rentiers, car on constate objectivement que les grandes entreprises préfèrent distribuer des dividendes qui ont peu d'impact dans l'économie réelle, plutôt que de créer des emplois ou d'investir. Il faut lutter contre les délocalisations (en rétablissant des droits de douane élevés) et créer des emplois dans les énergies renouvelables et la transition écologique, et également cesser de supprimer des emplois dans les services publics.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Les allocations de solidarité devraient être subordonnées à l'obligation de respect de règles civiques élémentaires par leur bénéficiaires (respect du vouloir-vivre ensemble). Le versement des remboursements de la sécurité sociale devrait être subordonnée à un système de bonus-malus, incitant les patients à intégrer des règles élémentaires d'hygiène de vie (diminution du tabagisme, de l'alcoolisme et du surpoids, contrôlés par des analyses médicales objectives).

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La situation de l'immigration apparaît critique. Les populations immigrées ont été incitées à s'installer en France uniquement pour des raisons économiques, afin de favoriser le profit financier et l'enrichissement indu de certaines entreprises. L'immigration clandestine est très importante, car de grandes entreprises, qui sont souvent bénéficiaires de marchés publics, font appel à des sous-traitants qui préfèrent employer des immigrés clandestins pour réaliser davantage de profit illégitime, alors qu'il faudrait employer de préférence les immigrés en situation régulière pour favoriser leur intégration. Les grandes compagnies, multinationales et trusts du CAC 40, augmentent le recours à l'immigration afin de faire sciemment baisser les salaires et augmenter le chômage (en cas de chômage élevé, les salariés sont en situation de faiblesse). L'immigration clandestine générée par les grandes compagnies empêche l'intégration des immigrés en situation régulière, dont le taux de chômage est alarmant. Les grandes compagnies capitalistes ne respectent pas les droits humains. Le coût des fraudes sociales et fiscales équivaut à 90% du déficit budgétaire (étude publique de la direction générale du budget). La lutte contre l'immigration illégale doit constituer une priorité. Une partie des amendes infligées devrait être reversée au bénéfice de l'aide aux pays en développement.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui. Il apparaît sans doute nécessaire de fixer des quotas, et surtout de renforcer la lutte contre l'emploi clandestin et les fraudes sociales et fiscales, notamment en recrutant des fonctionnaires dans les ministères concernés. Les objectifs de lutte contre le travail clandestin doivent être contrôles par Parlement.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Il est essentiel de renforcer la laïcité et notamment l'enseignement des valeurs de la laïcité et de la démocratie. Il faudrait inciter financièrement les immigrés qui refusent sciemment de s'intégrer et de respecter les valeurs de leur pays d'accueil, à revenir s'installer dans leur pays d'origine, lorsqu'ils préfèrent cette option.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Chacun doit intégrer les valeurs de la laïcité et de la démocratie et accepter de s'y conformer. La mixité sociale doit être renforcée ; la politique d'urbanisme doit tenir compte de cet impératif. Cela suppose de renforcer les politiques publiques et les services publics favorisant l'intégration. Afin de maintenir la paix civile, il faut lutter contre le ségrégationnisme, et contre l'intégrisme et l'obscurantisme. L'attribution de la nationalité française ne devrait jamais être automatique et toujours obligatoirement subordonnée à des enquêtes démontrant l'intégration du postulant ; ce dernier devrait en outre être astreint à passer une série de tests aptes à démontrer son adhésion aux valeurs de la laïcité, de la démocratie, et sa connaissance suffisante de la langue, de la culture, et de l'histoire de la République. Les allocations familiales devraient être supprimées pour tous, nationaux et immigrés, afin d'être remplacées par des aides indirectes aux mineurs (frais de scolarité, cantine), afin d'éviter que des individus non intégrés vivent uniquement d'allocations familiales (et de logement) publiques, alors même qu'ils n'ont aucune volonté de s'intégrer et de respecter le vouloir-vivre ensemble. Il devrait y avoir des cours d'éducation parentale dispensés par des associations subventionnées et contrôlées, afin de favoriser le civisme dans un monde manifestement surpeuplé et où les valeurs humaines sont affaiblies par l'ultra-libéralisme et le capitalisme financier déconnecté de la société et de l'économie réelle.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Afin de sauver la démocratie et la citoyenneté, il est impératif de remédier à la crise écologique et environnementale en créant les conditions réelles de la transition énergétique. Les grandes compagnies capitalistes qui sont motivées par le seul profit à court terme au bénéfice d'une minorité d'ultra-riches (26 individus détiennent actuellement autant de richesses et de revenus que la moitié la plus pauvre de la population mondiale) doivent être contraintes d'agir afin de respecter l'environnement et d'investir dans la transition énergétique. Les revenus doivent être plus équitablement répartis. Les salaires doivent être augmentés et a minima automatiquement indexés sur l'inflation. L'intégration sociale précède l'intégration citoyenne.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

L'Etat apparaît encore trop centralisé, et son organisation est extrêmement hiérarchisée, laissant fort peu de place à l'initiative citoyenne.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Le principe de subsidiarité devrait être appliqué. l'Etat devrait se réserver les seules missions d'intérêt national et stratégique. Des études ont démontré que l'application du principe de subsidiarité et la décentralisation développent le sentiment de proximité démocratique et sont beaucoup plus efficaces pour renforcer l'économie, l'activité productive, et la création d'emplois

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

- Un accès plus lisible et transparent au service public de l'impôt (calcul des taux d'imposition...). - L'accès à tous en ligne aux documents d'urbanisme et permis de construire, afin de vérifier le respect de la loi et l'utilité publique des politiques d'urbanisme. - L'accès plus clair aux données publiques relatives à l'environnement et l'écologie (taux de pollution, etc...).

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Oui

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Oui

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

Il serait utile de regrouper les maisons de services publics en milieux rural, afin de limiter les déplacements et les démarches.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

La RéATE (réorganisation territoriale de services de l'Etat) a rendu plus claire l'organisation administrative et l'accès aux services publics (exemple : DDTM, ou DIRRECTE, guichet unique pour les entreprises).

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Il faudrait renforcer les services publics les plus utiles en créant des postes (l'éducation, l'enseignement supérieur, les hôpitaux publics) et regrouper les services publics les moins opérationnels ppur générer des économies d'échelle (fusion départements régions, diminution du nombre de communes).

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Oui.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Il faut sauvegarder les garanties statutaires d'indépendance des fonctionnaires et d'impartialité (loi déontologie du 20 avril 2016) afin de développer les fonctions de contrôle, et de respect des politiques d'intérêt général.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Il faudrait renforcer la formation continue des fonctionnaires et agents publics.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Il faudrait renforcer les services publics dans les territoires en difficulté, et concomitamment fusionner les collectivités locales (départements, régions).

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

sans objet

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

sans objet

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

sans objet

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Le non remboursement de soins d'ostéopathie m'a été opposé (centre de sécurité sociale). Cela est aberrant, car une séance d'ostéopathie permet d'économiser de multiples soins de kinésiologie, par ailleurs remboursés, alors que les kinésithérapeutes sont fort peu disponibles. Les soins relevant de la médecine douce et naturelle et de l'homéopathie, souvent plus efficaces et en tout cas moins onéreux, devraient être remboursés prioritairement. L'homéopathie est scientifiquement efficace (cela est prouvé par la physique quantique) et sans danger.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

sans objet

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

sans objet

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

sans objet

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

sans objet

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

sans objet

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

sans objet

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

L'Etat doit impulser la refonte globale de la Sécurité sociale. Le budget de la sécurité sociale est supérieur à celui de l'Etat et les gaspillages sont énormes. La médecine allopathique est souvent inefficace ; les effets secondaires des médicaments chimiques sont délétères, alors qu'il existe des remèdes naturels plus efficaces et sans danger. Les professeurs Debré et Even ont ont montré que la moitié des médicaments sur le marché ne sont pas réellement efficaces, et en outre un quart d'entre eux sont mêmes plus dangereux qu'utiles (le remède est pire que le mal). Le prix Nobel de médecine Richard Roberts a déclaré publiquement que les laboratoires pharmaceutiques ne mettent pas sur le marché les médicaments qui guérissent, mais les médicaments qui chronicisent les maladies, de manière à obliger les patients à consommer des traitements à vie. Les plus grands profits en Bourse sont réalisés par les laboratoires pharmaceutiques. Les citoyens contribuables subventionnent un système partiellement inefficace et délétère au détriment de la Santé publique. Seuls les médicaments présentant une innocuité réelle devraient être remboursées par la Sécurité sociale. Les médicaments naturels des médecines douces, sans effets secondaires délétères, devraient être favorisés (homéopathie, huiles essentielles, phytothérapies, molécule naturelles et non pas chimiques). Le système de Santé doit être réformé dans son ensemble, dans le respect de la Santé publique

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Il faudrait remplacer les énergies fossiles par des énergies renouvelables (solaire, usines marémotrice, géothermie, moteurs à eau ou à air comprimé)

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Les dérèglements climatiques affectent la santé humaine. Les vagues de chaleur et de sécheresse sont plus fréquentes et par ailleurs les phases d'inondations se multiplient. Les sinistres déclarés aux assurances augmentent. La pollution de l'air affecte la qualité de la vie et la santé.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

J'ai adopté une alimentation essentiellement bio-végétarienne. L'industrie de la viande est responsable de 20% des émissions de gaz à effet de serre et est la cause première de l'augmentation des cancers (au moins 1/3 des êtres humains affectés au cours de leur vie). Le budget de la sécurité sociale est devenu supérieur au budget de l'Etat en raison de l'insuffisante hygiène de vie de la majorité de la population. J'encourage l'agriculture bio. J'essaie aussi de sauvegarder les arbres ou d'en planter. Les arbres sont le plus important puis de carbone, de gaz à effet de serre.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

La forte taxation des industries polluantes, des systèmes d'énergie fonctionnant avec des gaz à effet de serre.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Recourir à des moyens de transport utilisant des énergies propres, non polluantes. L'énergie libre du grand scientifique Nikola Tesla doit être rendue accessible.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Utiliser l'énergie libre du grand scientifique Nikola Tesla

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Rendre plus fréquent les autobus

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Les collectivités publiques

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Faire prendre conscience que toutes les solutions existent déjà : énergie libre Nikola Tesla, moteurs propres, reboisements massifs d'arbres à feuilles caduques.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

En raison de l'épuisement des ressources naturelles et notamment des minerais et métaux, il faudrait taxer très fortement les résidences secondaires, les nouvelles constructions. Avant la fin du siècle, il y aura sinon épuisement des minéraux de fer, de cuivre, etc...