Date de publication : 2019-02-15
Code postal : 6230

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Cours d'économie au collège sur l’entreprise et l’économie en général avec des choses aussi pratiques que d’apprendre à lire un bulletin de paie, remplir une déclaration d’impôt, touts choses dont on a besoin dans la vie quotidienne. Savoir à quoi servent les impôts: où, comment et pourquoi.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

- Problème des exilés fiscaux: Il n’est pas normal que des sportifs appartenant à des clubs français, des artistes dont les revenus proviennent de spectacles ou produits divers vendus en France, des chefs d’entreprise dont le siège social est en France, ne payent pas leur impôt en France, sous prétexte qu’ils sont domiciliés à l’étranger. La solution est simple et ne nécessite pas des armées de contrôleurs, il suffirait d’appliquer la loi américaine qui imposerait l’obligation à tous les français quelque soit leur pays de résidence de déclarer leurs revenus et payer leurs impôts sur le revenu en France, après déduction des impôts payés dans le pays de résidence, quelqu’il soit (sous réserves de réviser les conventions internationales). Dan le même ordre d‘idée, il est incroyable de ne pas trouver à l’intérieur de l’Europe ni même en France le moyen de taxer les GAFA qui, à la face du monde, échappe à toute fiscalité, comparable à celle qui touche les entreprises traditionnelles, en sautant les frontières dont d’ailleurs celles de certains pays d’Europe s’ouvrent largement pour elles. - Complexité de la fiscalité : Tant que la loi fiscale, avec ses niches et exceptions aux principes généraux du droit, présentera une telle complexité, elle ne recevra pas le consentement des français. Ce qui n’est pas facilement compréhensible par tous, est forcément suspect pour beaucoup ! Chacun reconnait à l’impôt ses 2 fonctions légitimes : Financement de la dépense publique, et Redistribution en vue de réduire les inégalités et conçoit aujourd’hui qu’il faut y ajouter le financement de la Transition Écologique. Mais la complexité qui la caractérise est en elle-même une injustice puisqu’elle impose bien souvent le recourt à des spécialistes dont le coût, pour la plupart des contribuables, dépasse leur capacité financière. Comment justifier auprès des plus démunis la nécessité de recourir à des spécialistes pour être sûr de bien interpréter les textes et de les appliquer correctement, ou simplement de faire le bon choix entre tel ou tel régime, sans même parler d’optimiser leur impôts, ce qui n’est pas un « pêcher »., contrairement à ce que le discours général entretenu par Bercy laisse entendre. En effet, puisque la loi existe, il semble parfaitement humain et naturel, pour chacun de chercher à réduire le montant de sa facture dans le respect de la loi. Là encore, le recours pour ce faire, à des professionnels spécialisés et reconnus étant réservé à des contribuables fortunés, renforce le sentiment d’injustice face à l’impôt. - Fusion de l’Impôt sur le revenu et des Contributions Sociales, à l’exception exclusivement du chômage et de la retraite dont le financement doit rester à la charge des entreprises et des Actif devra être mise en chantier dans un climat social plus apaisé et dans une perspective de plus long terme (septennat). La santé individuelle et les autres charges sociales (allocations familiales et autres aides…) dûment contrôlées, voir réduites, devront être financées par le budget général. Ce nouvel impôt naturellement progressif (avec augmentation du nombre de tranches et alourdissement du taux des tranches supérieures) devra également inclure le plus grand nombre possible de citoyens avec abaissement du minimum de la 1ère tranche. Il faut tout simplement conserver en impôts directs l’Impôt sur le revenu acquitté par tous (avec un minimum couplé avec une compensation pour les contribuables les plus modestes), maintenir la Taxe d’habitation avec ses abattements et un minimum par tous les ménages équivalent à la TOM), Taxe foncière acquittée par tous les propriétaires. Les charges salariales et patronales doivent être baissées puisque limitées au financement de l’accident du travail et de la retraite. Ainsi il y aura une amélioration du pouvoir d’achat des salariés et dans le même temps une baisse du coût de la main-d’œuvre pour donner une compétitivité accrue aux entreprises françaises. - Enfin ne peut être omis du débat la baisse du coût global de la fonction publique, la réduction de nombre de fonctionnaire qui doit être sélective (( territoriaux, fonction publique, éducation nationale non enseignante ect…) doit s’accompagner d’une augmentation de leur rémunération notamment par une incitation financière à la recherche de la performance et la suppression des doublons, et la suppression de l’impossibilité du licenciement (fonctionnaire à vie pour tous ce n’est pas possible !). Rendre le système fiscal plus compréhensible et lisible, en réduisant fortement le nombre taxes en tous genres, et en supprimant l’impôt sur l’impôt (ex TVA s/ la TIP ectc… il y en a d’autres). - L’impôt ne doit pas tuer l'initiative en décourageant la recherche d’une amélioration du pouvoir d'achat. Pour cela, il faut libérer pour chacun, la possibilité de travailler plus pour améliorer sa situation, (sans avoir à supporter une taxation insupportable de ce revenu marginal, plutôt que d’encourager le recours aux aides extérieures. Pour cela il faudrait : . Supprimer pour les auto entrepreneurs toute taxation (la taxe de 23% est trop lourde), il faudrait qu'elle soit proportionnelle au chiffre d'affaire de l'année précédente et réduite à zéro pendant un délai minimum de ( 2 ans par exemple) tant que l’entreprise n’a pas fait la preuve de sa viabilité en dégageant un résultat d’exploitation positif et une trésorerie permettant à l’auto entrepreneur d’en vivre. . Exonérer certains emplois complémentaires à l’activité principale, jusqu'à des seuils réellement très attractifs, afin d’encourager l'engagement de chacun dans l'amélioration de sa situation par le travail. Il faut arrêter la machine infernale (RSI et consors…) et "libérer" le droit à travailler plus pour vivre - Chacun doit pouvoir transmettre à sa descendance le fruit intégral de son travail qui aura déjà été, sa vie durant, légitimement imposé. Même s’il est concevable d’imputer aux droits de succession une légitime fonction de redistribution, ils ne doivent pas être confiscatoire, tout au moins en ligne directe, quand il provient du travail et constitue une première transmission. Cette double imposition, comme celle dite anciennement sur « la fortune » est inique et démobilisatrice. Elle contribue à encourager ce climat général qui prévaut en France de dévalorisation de la réussite à un point tel que ceux qui l’ont obtenu n’osent pas le montrer et vont se cacher ailleurs. Il est honteux en France de réussir ! Est ce bien normal ? - Pour les salariés les cotisations de complémentaire santé, sont financées (en général) à 50 % par l'employeur, et la cotisations salariale est déductible du revenu imposable. Il n’est donc pas admissible qu’à l'occasion de l'augmentation de la CSG pour « aligner les retraités avec les salariés », la cotisation payée à 100% par ces derniers ne soit pas déductible quand, en plus, l’indexation des pensions est gelée, (leur indexation devrait être un droit constitutionnel !). C’est la double peine ! - Uniformisation de la fiscalité des parlementaires et des hauts fonctionnaires avec celle du contribuable « lambda », tant au niveau du régime des indemnités, des avantages en nature (logement, voitures de fonction ect…), des droits à la retraite et au chômage, des obligations de justifier toutes leurs dépenses pour en obtenir le remboursement que de la limitation (plafonnement) du cumul de leurs indemnités et pensions de retraite. La disparité de traitement est une injustice insupportable, tant pour le symbole, que pour la réduction des dépenses publiques.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

CSG

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Remédier à l’Insuffisance chronique des Contrôles de toutes les aides sociales. En dehors des chômeurs qui sont assistés, contrôlés et suivis par « Pôle Emploi », dont la compétence, en la matière, est d’ailleurs fortement remise en cause par beaucoup de personnes à la recherche d’un emploi, il semble anormal, en France, de parler de contrôle, auprès des fonctionnaires qui travaillent dans ces Services, notamment la Sécurité Sociale. Est ce bien normal ? • Que ce soit pour les cartes vitales, qui permettent le financement d’interventions lourdes à des personnes n’ayant jamais cotisé en France • Que ce soit pour les arrêts maladie abusifs • Que ce soit pour vérifier l’existence réelle des retraités d’outre mer et du Maghreb qui perçoivent des pensions de retraite sans avoir à justifier annuellement de leur existence

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Réserver la CMU aux personnes de nationalité française et non à n’importe quel résident de plus de 3 mois (c’est une vrai scandale, car cela ouvre la porte à n’importe qui, on voit même des Britanniques qui déclarent zéro revenu en France et qui bénéficient de la CMU et d'exonérations d'impôts locaux). On ne pourra jamais financer la santé du mon de entier venant passer plus de 3 mois de résidence en France. Plafonner les allocations familiales au delà de 3 enfants et les supprimer pour les revenus supérieurs à 10 000€/mois. Le RSA devrait être conditionné à la réalisation d'actions au profit de la Collectivité (association, travail pour les collectivités locales,...), La disparité, non seulement des régimes, mais des droits à la retraite, tant pour l’âge du départ à la retraite, que pour le calcul des pensions, est difficilement justifiable en dehors de toute référence historique. La situation est tout à fait choquante quand on compare les régimes salariés, fonctionnaires, artisans, commerçants, Agriculteurs ou Professions libérales. La remise en question de cette législation est la pierre angulaire de ce quinquennat, tant pour la sauvegarde des droits acquis par les retraités, que pour assurer l’avenir des actifs d’aujourd’hui. Il est injustifiable que des retraités ayant travailler toute leur vie en France n’aient pas, au moment de leur retraite, les mêmes revenus et les mêmes droits à l’aide médicale que des étrangers venus en France à l’âge de la retraite sans jamais y avoir travaillé ? Suppression du CICE pour les entreprises du CAC 40

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

les personnes dépendantes et les handicapés

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Ce n'est pas payer plus qui réglera ce genre de question, mais de dépenser mieux

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Avoir une meilleure gestion de la Dépense Territoriale en diminuant le nombre de couches administratives (commune, collectivité de commune, département, région, état, ...) et en responsabilisant chaque couche sur des domaines spécifiques, non partagés. Réduire le mille feuille des collectivités par la suppression des départements et des communes quand elles sont dans une intercommunalité et donner davantage d'autonomie aux régions avec la suppression de tous les doublons transparence complète de tous les revenus des agents de l'état surtout les hauts fonctionnaires. Même si la protection de patrimoine artistique français dont on veut éviter qu’il parte à l’Etranger est une préoccupation légitime, il est difficile de justifier l’exonération totale dont bénéficient les propriétaires d’œuvres d’Art, alors qu’on taxe la fortune immobilière qui contribue à entretenir un secteur lourd en emploi ( le Bâtiment) et nécessaire au logement des populations. Maintien du système actuel des pensions de réversion. Les femmes sont déjà suffisamment pénalisées par le congé parental et le travail à temps partiel pour élever leurs enfants, sans parler des différences de salaire et de carrière qu’elles n’ont pas à subir, une fois à la retraite, la baisse de la pension de réversion. Il serait dramatique de leur imposer une sanction de plus au moment de la retraite.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les Députés, faute de mieux.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

En limitant le rôle des syndicats à la défense des travailleurs c'est à dire des entreprises : leur sort est lié et protéger les seconds pour défendre les premiers n'est pas antinomique. Qui a tué la marine marchande françaises. Le rôle des Syndicats n'est pas de faire de la politique mais de chercher dans une démarche constructive et permanente à établir un vrai dialogue avec les représentants des entreprises en dehors du spectacle de la rue et en faisant de à la grève un usage de derniers recours et pas l'inverse.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Pour le Rétablissement de la confiance des citoyens et la sauvegarde de la Démocratie, le Pouvoir, même s’il en avait la volonté n’a pas les moyens, et pour cause, de redonner confiance aux citoyens dans les corps intermédiaires qui ont failli, c’est le cœur de problème. Mais par contre, les personnalités appartenant à ces corps qui ont gardé la confiance des électeurs et ont montré leur compétence, et ils sont nombreux, devront impérativement être appelés à coopérer à la reconstruction du tissu social. Il faut s’appuyer sur eux…

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

La coupure réelle, ou fondée, entre les élus nationaux et les territoires doit être impérativement corrigée et pour cela une modification de la loi du non cumul s’impose. Il n’est pas besoin de rappeler combien le mépris avec lesquels les avis des élus locaux ont été traités (Taxe habitation, Limitation 80 Km/h…) ou du moins l’éloignement dont ils ont souffert depuis 18 mois est à la fois une des causes du mouvement des « gilets jaunes » et une solution pour en sortir grâce aux dialogues que, seuls, ils sont en mesure de faire vivre aujourd’hui, comme demain. La piste à explorer semble être une le rétablissement de cumul d’un mandat local Mairie et Députation avec un plafonnement du cumul des rémunérations.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Rétablissement du SEPTENNAT L’élection concomitante du Président de la République et des députés n’est pas une mauvaise chose en soit, à condition que la durée de leur mandat ne soit pas la même pour éviter la reconduction d’un cycle infernal, ou rien ne peut changer, sans tout remettre en cause. Pour résoudre cette équation, il semble indispensable de revenir pour le mandat du Président à la durée de 7 ans non renouvelable. Cette modification permet, au bout de 5 ans, à l’occasion du renouvellement des députés une respiration démocratique faisant évoluer la majorité ou même, imposant une cohabitation qui, si elle n’était pas imaginable pour le fondateur de la 5ème république s’est avérée à l’usage tout à fait fonctionnelle.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

mairies et départements

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Le taux d'abstention est faible pour 2 raisons : un rejet des politiques et la non prise en compte des votes blancs dans les votes exprimés.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Responsabilité des Electeurs Elle ne pourra être engagée, et il est indispensable qu’elle le soit, responsabilité morale s’entend, qu’à la condition que les votes blancs soient comptabilisés d’une façon ou d’une autre, avec éventuellement l’obligation de participer au vote. Les dispositions du Code électoral sont hors de ma compétence, mais ils est évident que tant d’un Président, ou un Député sera élu à la majorité de 50% des votants, alors qu’il y a plus de 50% de « Votes Blancs », il ne sera jamais légitime aux yeux des électeurs. Les « votes blancs », qui se seront exprimés comme tels, devront être pris en compte et donc inclus dans les des votes exprimés. Naturellement cela pourrait amener à un 3éme tour ou à une nouvelle élection Et Là est tout le débat !!!!! mais il ne doit plus être éludé. PS : A titre de modèle, il apparait qu’en incluant les votes blancs comptés, dans le total des voix exprimées, le pourcentage en faveur de Monsieur Macron passerait de 66,1% à 60,3% et si on ajoute 50% des abstentions (hypothèse extrême), il tomberait à 51,3%, toujours majoritaire, contre 26,3% à Madame Le Pen, et 22,4% aux mécontents.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Le principe du référendum n'est pas à écarter, mais il doit être très encadrè pour éviter de devenir n'importe quoi

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

Le Rôle de la Cour des comptes La encore, comment concevoir que les rapports d’une telle institution, reconnue pour son impartialité et la compétence de ses membres restent « lettre morte ». Elle doit avoir les moyens juridiques d’imposer des mesures coercitives aux organismes pour réparer, et corriger les disfonctionnements qui ont été constatés, à défaut de sanctionner les responsables ? Cette question pose en filigrane le problème de l’irresponsabilité des fonctionnaires. Et ici, on ne parle même pas de celle des juges qui, tout en gardant leur parfaite liberté de jugement, (ce qui est à la base d’un état de droit) devraient avoir à rendre des comptes, quand c’est le cas, sur le mauvais fonctionnement des services placés sous leur autorité.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

None

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Interdire le prêche à des personnes qui ne sont pas de nationalité française et donc républicains, ainsi que le financement de lieux de prière par des puissances étrangères.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

le dialogue et l'ouverture aux autres à la condition qu'il y ait réciprocité.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

le bruit, la saleté, (déjections canines)

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

sanctionner les délits et multiplier les toilettes publiques et les entretenir

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Donner l'exemple

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

L'Antisémitisme

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

un travail d'utilité publique pour faciliter la socialisations des exclus du travail et leur éviter la mortelle oisiveté.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La situation est à la limite du supportable avec les immigrés qui ne viennent en France que pour des motifs économiques dans le but de profiter des aides sociales, de toutes sortes (allocations familiales pour les polygames entre autre, CMU, retraites ect...) la liste est longue ! Ils rendent la vie difficile aux autres et cela est inadmissible.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Réduire et contrôler les aides financières ainsi que les conditions du rapprochement familial qui constituent une aspiration continue et puissante et accompagner le retour en développant des accords de coopérations spécifiques avec les pays d’origine.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Faire un tri sincère et sérieux des véritables demandeurs d'asiles ( réfugiés politiques) et réserver à ceux qui expriment une réelle volonté d'intégrer notre communauté la possibilité de le faire, en leur donnant les moyens par l’apprentissage de la langue et de nos valeurs républicaines et un accompagnement dans la vie sociale pour leur permettre une véritable intégration

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Pour réduire les émissions de gaz à effets de serre, il faut dans l’ordre des priorités suivantes : 1) Travailler au niveau International avec l’Europe pour contraindre les grands pollueurs que sont les transports aériens, maritimes et routiers à réduire leur production de gaz à effets de serre. La priorité est donc de s'attaquer réellement à la fiscalité des carburants pour ces transports : le kérosène pour les avions (vols commerciaux et fret), le fioul pour les bateaux (croisiéristes et transport maritimes : un super-tanker pollue bien plus que des milliers de véhicules particuliers. Une réflexion sur une Taxation les produits importés d’autant plus élevée que le lieu de production est éloigné serait à développer. 2) Développer le ferroutage et dans le même temps, à titre d’incitation, taxer les transporteurs qui ne font que traverser notre pays : la suisse oblige le ferroutage et nous, rien? Cet argent pourrait permettre de financer le ferroutage et alourdir la taxation sur les poids lourds et les véhicules des sociétés nationales. 3) Pour les particuliers, il convient d'encourager la transition écologique de manière constructive et non punitive (ex : taxer les véhicules neufs polluants quand ils sont à vendre plutôt que ceux qui sont déjà sur le marché, subventionner le co-voiturage plutôt que de chercher à taxer le moindre revenu qui peut être produit). Pour les longues distances où le transport public est inexistant, il faut privilégier de façon incitative l’acquisition de véhicules électriques et hybrides plutôt que le tout électrique en rappelant que le bilan carbone du véhicule électrique est négatif notamment quand on tient compte du coût environnemental des batteries (production des métaux rares et leur retraitement).

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Non pas vraiment la mienne mais celles de beaucoup d'humains

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Je réduis l’usage de mon véhicule au strict nécessaire, je pratique autant que possible le tri sélectif ( les investissement en la matière des collectivités est largement insuffisant pour un tri sélectif efficace), je consomme des produits de saison et achète autant que possible des produits de l’agriculture écologique.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

ras

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Aides fiscales financées par la Taxation des pollueurs (Diesel et Entreprises) pour isoler les logements qui sont de vrais passoires énergétiques et favoriser le remplacement des chaudières à Fuel par des panneaux solaires (collectif et particuliers) et/ou l’installation de pompes à chaleur. Il devrait être entendu que toutes les taxes sur le fuel (tva incluse) devraient être consacrées exclusivement à ce financement. Pour les transports, Baisse du prix des voitures hybrides.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Oui le solaire collectif notamment sur la Côte d’Azur nous profitons d’un ensoleillement tout à fait suffisant

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

marche à pied (j’ai du temps), ou vélo si la météo le permet, transports publiques (par mauvais temps) .

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

RAS

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

- En dehors de la pratique réelle d’une politique cohérente et transparente, au niveau national, travailler concrètement à l’échelon Européen pour que cette Communauté puisse faire entendre d’une seule voix un discours clair et contraignant vis à vis des États pollueurs (US, Chine Brésil) et coopérer avec les pays en voie de développement (Afrique, Asie) tant au niveau financier qu’éducatif, en leur proposant des solutions propres et simples (Énergies renouvelables, Récupération et tri des déchets). - Pour pouvoir maintenir le parc nucléaire il faut développer absolument la recherche sur le retraitement (cf. Usine de la Hague) et le confinement des déchets nucléaires. - Développer les recherches et le développement sur des énergies propres et renouvelables: Hydrogène ( la recherche pour la voiture devrait être une priorité européenne), solaire et éolien, et favoriser la recherche appliquée en ces matières, en aidant les entreprises européennes investies dans cette recherche (Recours éventuel au protectionnisme européen, dans un 1er temps) à la fois pour la construction l’aménagement des sites, et le recyclage des installations en fin d'exploitation).

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

- L'écologie n'est pas qu'un problème financier avec des solutions financières. Il est nécessaire que nos enfants puissent être sensibilisés à ce sujet. L’Éducation Nationale, dans le cadre de sorties périscolaires, doit pouvoir faire découvrir nos jeunes les pollutions environnantes : plastiques en tous genres qui inondent nos espaces naturels, plages et rivières. - L’explosion du consumérisme et de l'obsolescence programmée qui va avec est une cause importante de la dégradation de l'environnement par l’utilisation excessive des ressources naturelles qu’elle implique et la production de déchets et polluants qui en résulte. Il est impératif, que les fabricants et les distributeurs soient contraints de fournir des pièces de rechange et un service de réparation sur plusieurs années. - Inciter à la conversion l'agriculture biologique en privilégiant les exploitations qui travaillent dans le respect des règles écologiques plutôt que les grosses exploitations qui accumulent les subventions et ne recherchent que l’optimisation des rendements, en encourageant le recours à la permaculture par une sensibilisation adéquate et les aides appropriées. Redonner aux européens l’accès aux graines ancestrales et le droit de les utiliser en lieu et place de celles des semences. Le maintien de tous ces engrais et pesticides reconnus dangereux (la biodiversité et nous ?) est injustifiable auprès des consommateurs ! Outre le problème écologique, ces produits induisent des coûts prohibitifs (traitement des eaux potables, maladies et hospitalisation - Retour aux 90 km/h et, dans le même temps, amélioration du réseau routier secondaire et pression sur les sociétés d’autoroute pour une diminution forte des péages pour les particuliers. Les contrôles routiers peuvent être renforcés et ils seront acceptés, à la condition qu’il soient réalisés pour la sécurité et non comme une taxation supplémentaire (Des radars exclusivement sur les tronçons accidentogènes et une plus grande cohérence des panneaux de limitation de vitesse, tant sur les autoroutes que sur le réseau secondaire)