Date de publication : 2019-02-02
Code postal : 56110

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

La répartition des dépenses par tranche de 1000 €, telle qu'elle a été affichée en préambule, est une excellente chose. Proposer un lien qui affinerait cette répartition serait un plus.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

None

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

None

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Allocations familiales

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

None

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Augmenter le prix du carburant pour financer la transition écologique.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Campagnes électorales. Réduire de manière importante le plafond des budgets et financements de campagnes électorales afin de limiter la surenchère de promesses parfois irréalisables et de programmes souvent irréalisés. Ca suffit les « publicités » trompeuses voire mensongères ! Retraite présidentielle. Je trouve tout à fait naturel de verser à un ancien président de la république une retraite à la condition qu’elle le soit à l’âge légal. Logement de fonction et autant d’assistants sont à supprimer. Aides sociales. Aider quelqu’un, une famille, qui, par les aléas de la vie, se retrouve en difficulté, est une chose naturelle. L’être humain est un animal social et sociable après tout. Mais il pourrait être envisager de figer ensuite lesdites aides malgré une « évolution » familiale pendant cette période de soutien social afin d’éviter les « calculs » de « revenu ». Un énième enfant ne devrait jamais être un calcul… Rien ne justifie qu’élever un 3 ème enfant soit plus onéreux qu’élever ses ainés. Linéarisation (voire suppression ?) des allocations familiales. La démographie à l’échelle de la planète explose et la pression sur les ressources naturelles devient insoutenable. A l’heure de la mondialisation, comment un pays, le nôtre, peut-il continuer de « financer » un essor démographique quand un autre, la Chine, appliquait, il y a peu encore, un processus inverse ? Allocations familiales dès le premier enfant et montant identique ( 100 € par enfant) pour chaque enfant, du premier au 3 ème, rien ensuite. Il est inconcevable, vécu personnel, qu’après un licenciement économique le montant de l’allocation chômage nette soit plus élevée que le salaire net précédent. Faire en sorte qu’une personne ,victime d’un aléa de la vie, soit motivée, par un dégrèvement ou une exonération de son impôt foncier, à conserver son bien en propriété, au lieu de retourner en location, et ne pas trouver intérêt, via les aides au logement, à s’en séparer. Discours entendu sur ce choix délibérément fait par l’intéressé lui même. Le manque à percevoir en exonération est moindre que le coût en aide au logement. Certaines aides sociales liées à une inactivité, RSA en tête, doivent être assorties d’un service civique comme le nettoyage des abords des routes par exemple. Cette occupation constante des « aidés » permettra d’éviter certains abus (travailler au noir en parallèle). Évasion fiscale. Rendre l’évasion fiscale inutile pour tout ressortissant Français (ou Franco-xxx) en mettant en place un complément d’impôt (revenu, ISF/IFI) à hauteur de ce qu’il aurait été s’il était resté en France, assorti d’une impossibilité de renoncer à la nationalité Française. Les récalcitrants, cessants d’être évadés pour devenir, de ce fait, fraudeurs, se rendront vite compte que, si renoncer à sa nationalité pour une autre n’est probablement pas facile, renoncer à jamais à poser, un jour, les pieds sur sa terre natale l’est encore moins. Sur les retraites. soumettre et proratiser leur versement à la présence du bénéficiaire sur le territoire de France (47 semaines minimum). Cesser de faire fonctionner l’économie de son pays (TVA sur la consommation essentiellement) tout ou partie de l’année en allant passer sa retraite sur un île, dans un pays exotique ou dans un pays de la péninsule Ibérique, c’est aussi ça l’évasion fiscale ! Une telle mesure pourrait sembler à certains être inacceptable, mais on ne peut pas crier au scandale face aux « 2 poids, 2 mesures » et s’en prévaloir ensuite. L’impôt. Réduire la TVA sur l’alimentation en produits frais et basiques (lait, pâtes, riz, huile, sucre, légumes, fruits, viande etc…) et l’augmenter sur les produits alimentaires industriels, cuisinés, ensachés, préparés etc… y compris l’eau en « plastique ». Le pot de pâte à tartiner n’est pas un produit de première nécessité, la pizza surgelée non plus ! Les abonnements sur la fourniture d’eau surtout mais aussi sur la fourniture énergétique sont exagérés et défavorisent par leur côté incompressible, les consommateurs aux revenus modestes et/ou qui fait attention. Il n’est pas logique de payer parfois plus cher d’abonnement que de consommation. Supprimer les abonnements, baisser, au cas par cas et selon la composition familiale, le tarif sur les premiers m3/kw et surtaxer au delà. Récompenser le comportement vertueux. Bon pour le porte-monnaie, bon pour l’environnement. Réinstaurer une TVA du luxe (yacht, bateaux de plaisance de plus de x mètres, voitures haut de gamme, téléphones cellulaire de plus de xxx €) en évitant les filières en difficulté cependant. A contrario, instaurer cette même TVA sur les produits « électro » bas de gamme non réparables ou réputés économiquement irréparables (dont la réparation la plus onéreuse dépasse 50% du prix de l’objet). L’impôt à la nation qu’était le service militaire avait également valeur d’enseignement du respect de l’autorité et du devoir. Rétablissons le, même sous une autre forme ! Les prestations sociales, qui ne seraient plus versées pendant cette période pour une partie de ceux concernés, contribueraient au financement. Les contraventions aux infractions routières devraient être proportionnelles au revenu. Il en est de même des infractions commerciales qui seraient proportionnelles au chiffre d’affaire. Maintenir le CICE en le réservant exclusivement aux TPE et PME. Les économies, s’il y en a, seraient affectées en partie aux réductions de charges sociales, en partie à la réduction de la dette et en dernière partie à financer des services régaliens. Justice sociale. En son temps, la pénibilité du travail a fait débat et n’est pas considérée comme elle se devrait de l’être. Cette prise en compte se heurte, en effet, à l’impossibilité de toucher ensuite aux « avantages acquis ». Il en va des cheminots dont la pénibilité du travail a depuis longtemps disparu. Les avantages acquis des uns ne sont-ils pas les inégalités sociales des autres ? Révisons ces acquis et soumettons la reconnaissance de la pénibilité à révision. Comme il en est de l’impôt sur le revenu avec la progressivité des pourcentages d’imposition, établir, à l’inverse, un pourcentage dégressif par tranches des pensions de retraite assortie d’un plafond absolu. Un plancher absolu serait une bonne chose. Je pense à certains commerçants (pour l’avoir été moi-même un certain nombre d’années) qui, pour diverses raisons en général et à cause des évènements du moment en particulier comme il en a été des évènements de décembre 1995, sont en grande difficulté et ne verront pas leurs trimestres validés. Double peine pour eux ! Retarder le départ à la retraite à 65 ans minimum. Concernant les primes d’activités proposées dernièrement sur les bas salaires, il est à prévoir que certains envisageront un divorce fictif « calculé » afin de pouvoir prétendre à ladite prime à laquelle ils n’auraient pas droit autrement. Ce phénomène existe déjà pour l’obtention de bourses scolaires. A propos des bourses scolaires, Leur attribution, basée sur le paramètre d’une situation familiale, ne prend pas en compte l’éloignement géographique du boursier par rapport à son domicile fiscal. Pour une situation fiscale donnée, la bourse sera la même pour l’étudiant résidant chez ses parents que pour celui dont les études nécessitent un éloignement conséquent et donc un autre logement. J’ai constaté par moi-même, dans le premier cas, l’utilisation de la bourse d’étude, en tout ou partie, comme argent de poche. Je reste favorable à l’exclusion des terres agricoles (mais pas viticoles) et de l’outil de travail dans la base de calcul de l’impôt sur la fortune qu’elle soit dite de solidarité ou immobilière. Une communication efficace consisterait à lister ce qui est pris en compte dans la base. Beaucoup ignorent, et j’en fais partie, si l’IFI ne concerne que l’immobilier et exclut toute autre patrimoine non immobilier (yachts, voitures de luxes etc...). Le seul énoncé de cet impôt prêtant à confusion, une précision officielle claire sur ce point me semble indispensable. Affecter les recettes aux dépenses et s’y tenir afin que chacun sache où va chacune de ses contributions.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

None

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

None

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

None

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

On ne peut faire bien qu'une seule chose à la fois, sinon le téléphone au volant n'aurait aucune raison d'être interdit !

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Réduite le millefeuille. Le nombre d'élus suivra le mouvement.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

None

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Pourquoi pas ! Ca serait la fin de l’anti vote et nous saurions alors le vrai pourcentage d’électeurs de notre nouveau président. Mais que son application ne permette en rien d’invalider l’élection. Quoiqu’il arrive, un président sortira des urnes au 2 ème tour.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

None

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Reproduire ce principe du grand débat sous la forme d'une consultation internet à mi mandat ainsi que quand une situation exceptionnelle le rend nécessaire.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

None

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Quand on entend les slogans scandés depuis plusieurs samedis, on peut en effet se poser la question...

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Le respect. Respect de l'autre, de son opinion, de sa liberté de s'exprimer. Le respect de nos institutions, de nos forces de l'ordre. Le respect du code de la route et des autres usagers.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Les incivilités routières. Les contraventions devraient toucher aussi le non respect des distances de sécurité.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Certaines aides sociales liées à une inactivité, RSA en tête, doivent être assorties d’un service civique comme le nettoyage des abords des routes par exemple. Cette occupation constante des « aidés » permettra d’éviter certains abus (travailler au noir en parallèle) et de maintenir le sens de l'effort.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Établir des quotas et des parcours de prise en charge et d'intégration dès l'arrivée.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Le "communautarisme", l'effet ghetto provoque la méfiance de la population locale. Une meilleure dissémination/répartition, à faible taux, sur le territoire engendrerait, en lieu et place de levées de boucliers, une forme de solidarité (naturelle chez l'Humain). On accepte mieux celui que l'on connait, que l'on croise tous les jours. De nombreux emplois ne sont pas pourvus faute de candidats. Former les arrivants à ces postes leur offrirait une opportunité d'intégration plus efficace.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Référendum. Conserver l’initiative du gouvernement. NON AU R.I.C. Je pense que beaucoup de nos concitoyens ne sont pas encore ou pas assez éduqués pour la chose politique dans son ensemble. Je considère en faire partie. Faire de la politique c’est être omniscient, or la science politique de chacun s’arrête à son propre budget et à ses propres déficits. Cependant, dans l’éventualité de la mise en place d’un RIC, prévoir une période de test (5 ans ?) avec un maximum de 2 référendums par année civile. Les 2 questions qui auraient réunies le plus grand nombre de signatures se verraient donc soumises à référendum l’année civile suivante, les autres étant annulées pour celle en cours. Un tel système obligerait nos concitoyens à réfléchir VRAIMENT à la priorité des choses. Si un référendum d’initiative citoyenne devait être initié, sous couvert, par un parti politique, à quoi bon l’appeler « initiative citoyenne » ? Une commission et des contraventions financières dissuasives seraient mises en place dans ce sens. Surtout pas de RIC révocatoire ! Citoyens non élus. Il en est ainsi pour la justice que certains citoyens, tirés au sort, deviennent jurés pour un temps. Il existe également des conseils municipaux des jeunes. Alors, oui ! Associer des citoyens à la décision publique aurait l’avantage à la fois d’initier certains d’entre nous à la difficulté et la complexité de l’exercice et à la fois de démontrer que la connexion entre les élus et la « réalité » existe. Trop de réformes n’ont pas été faites en leur temps au nom de la paix sociale, du corporatisme voire du lobbying. Il est temps de changer cela !

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

None

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

None

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Éducation Nationale

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Non

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Une meilleure formation. Trop souvent, à une demande, on obtiendra plusieurs réponses différentes sans jamais savoir laquelle est la bonne, et encore, quand on obtient une réponse autre qu'un numéro de téléphone qui nous conduira à un autre numéro de téléphone qui nous conduira à...

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Il m'aura fallut 3 rendez-vous avec Pôle Emploi et plusieurs mois pour, enfin, avoir un interlocuteur qui a entendu ma demande. Merci à celui-ci grâce à qui j'ai pu rebondir dans ma vie professionnelle. Mais quel persévérance, quelle ténacité il faut !

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Education nationale. Sans remettre en cause l’utilité de ce trésor qu’est l’éducation nationale, j’ai cependant le sentiment que le ratio dépense efficacité est loin d’être optimal. Notre langue, si belle, si complète, un outil merveilleux, n’est pas assez considérée. Sans une bonne lecture d’une notice bien faite, l’utilisation d’un outil ne peut être optimale. Dans la continuité, améliorer l’enseignement du calcul aux enfants. Il est inadmissible qu’une personne, jeune adulte, dotée d’un niveau d’étude de type bac professionnel, compte sur ses doigts pour savoir combien font 3 fois 8 et estime gagner du temps en utilisant la calculette de son téléphone portable (constaté par moi même). En outre, la remise à niveau de nos enseignants, légitime pour une éducation performante, ne devrait pas se faire pendant les périodes de cours et donc au détriment des élèves. Les « temps libres » de certaines catégories du personnel enseignant me semblent suffisants pour y caser aisément les stages dont ils ont besoin. Il en va de même pour les activités syndicales de leurs représentants. Autres. Combattre efficacement les fausses informations et désinformations, non clairement signalées comme telles, qui circulent sur les réseaux sociaux avec contraventions financières à tous ceux qui les colportent. Les centres d’information et d’orientation sont-ils encore d’utilité quand on sait la grande disponibilté des dites informations sur internet ? Il n’existe aucun droit sans un devoir qui lui soit associé. Il existe un "Défenseur des droits" mais pas un "Obligateur des Devoirs"... Les Français apprennent seuls et très vite les droits qui sont les leurs, y compris celui de manifester, mais il semblerait qu’ils aient plus de mal à connaître leurs devoirs comme celui de déclarer leurs manifestations. Un enseignement, dès le début de la scolarité primaire, de leurs devoirs de citoyen serait certainement une chose profitable à l’instar des leçons de civisme auxquels ceux de ma génération ont été initiés. Logement et sans abris. Alors qu’il existe les APL, la CMU, le RSA, autant d’outil pour que chacun ait un toit, comment se fait-il qu’il y ait encore des gens dans la rue? Gestion à revoir. Pôle Emploi. Devoir faire appel à des intervenants extérieurs, y compris sous forme de bénévolat, pour instruire des demandeurs d’emploi sur la façon de rédiger un CV, une lettre de motivation , la bonne manière de se présenter, au délà du fait que cet apprentissage pourrait être intégré dans les programmes scolaires, ne devraient-ils pas être du ressort du personnel de Pôle Emploi lui-même ? Trop d’inadéquation, parfois, entre les compétences et situations des demandeurs et les offres proposées. Suivi parfois calamiteux. Audit à prévoir ? Collectivités. Réduire le millefeuille administratif ! A contrario, entendant certains de nos élus justifer leurs revenus au regard du nombre d’heures trvaillées, 70 à 80 heures par semaine, on peut raisonnablement interpréter qu’ils cummulent l’équivalent de 2 emplois en 1 seul. Cette idée allant à l’encontre du principe des « 35heures », qui avait pour objectif de libérer des heures pour favoriser l’embauche, ne faudrait-il pas doubler les députés et diviser par 2 leur salaire unitaire, nous aurions alors pour les seuls députés, 377 chômeurs de moins pour le même coût pour l’état.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'air

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Rendre le comportement individuel plus vertueux.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Ce que je fais, rationaliser mes déplacements automobiles privés de plus en plus, adoucir ma façon de conduire et utiliser le régulateur qui optimise la consommation. Ce que je pourrais faire, sélectionner mes achats sur 2 critères, production locale et bannissement des plastiques à durée de vie éphémère.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Déjà fait.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Non

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

None

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Écologie automobiles. -Je suis pour le maintien des 80 km/h. Consommation en baisse, bon pour le porte monnaie et l’environnement. - Concernant l’automobile et le carburant : le raffinage permet d’obtenir, pour 10 litres de carburant type automobile raffinés, 3 litres de gazole/fuel pour 8 consommés (dont 5 litres importés par voie maritime entre autre) et 7 litres d’essence pour 2 consommés (dont 5 litres exportés par voie maritime encore). Ces ratios nous rendent inévitablement dépendants des besoins et surplus d’autres nations (USA principalement). Mettre en place une politique pour rééquilibrer le parc automobile dans le sens d’une autonomie en matière de raffinage serait à envisager. -Les moteurs Diesel et essence ont une pollution différentes et peu comparables, pourtant les taxes prévues lors de l’achat d’un véhicule neuf ne se basent, à ma connaissance, que sur un seul critère de pollution (les émissions carbonées) au détriment du moteur essence qui, lui, ne produit pas de particules et qu’il semble pourtant nécessaire de revaloriser au bénéfice de cette autonomie. Il en va de même pour les primes à l’achat qui ne tiennent pas non plus compte de cette autre pollution aux particules fines. 100 millions de litres consommés par jour en France, c’est 100 autres millions de litres qui traversent l’océan Atlantique chaque jour par des moyens réputés très polluants. Adapter l’existant autant que vouloir le changer à tout prix. - Dissuader les gros pollueurs. Mais qui sont les gros pollueurs ? JE SUIS le gros pollueur, moi, tous mes compatriotes et nos véhicules. La circulation automobile est le plus gros pollueur en France et probablement sur la planète. Nous utilisons nos véhicules parfois par nécessité et parfois sans aucun discernement. - 50% des Français vivent sur 95% du territoire. Pour cette frange de la population, l’utilisation d’un véhicule individuel n’est pas un choix mais une nécessité. Que ce véhicule soit une voiture est plus confortable, c’est indéniable. Les arguments, majoritairement entendus lors des premières manifestations et portant sur le prix des carburants, s’orientaient vers le coût des trajets domicile travail. Au cas par cas, établie sous la forme d’un quota fonction de la distance domicile travail et sur la base de 6 l/100 km pour l’essence et 5 l/100 km pour le Diesel par exemple (que ceux qui vont travailler avec un 4x4 à 20l/100 assument leur choix), une détaxation substantielle sur cette part de carburant indispensable serait à même d’apporter une solution à ce problème. En contrepartie, une taxation dissuasive sur la part de carburant au-delà de ce quota permettrait d’inciter nos concitoyens à mieux rationaliser les trajets non indispensables et ainsi réduire les émissions liées à l’utilisation souvent facultative et parfois abusive que nous faisons de nos véhicules. Cet aspect dissuasif pourrait même amener un regain d’intérêt pour les transports en communs. Afin de ne pas pénaliser les non actifs, retraités comme demandeurs d’emploi, un quota carburant, établi selon des zones géographiques et/ou urbaines/rurales, à taxation allégée pourrait également être prévu assorti de la même contrepartie au dela dudit quota. Par exemple sur la base de 1.30 le litre actuellement, nous aurions 0.90 € dans le cadre d’un quota, et 2.50 € au-delà. Chacun aurait une carte de paiement spécifique qui indiquerait à chaque utilisation le quota défiscalisé restant et qui cesserait de fonctionner au délà. Avant d’orienter les dépenses, au travers de primes, vers le matériel, qui sera dépassé dans 3 ans, investir sur l’amélioration des comportements. Là est, fondamentalement, la première étape vers la transition énergétique dans le domaine automobile. Ecologie autre. Le chauffage est un problème plus compliqué. Les plus démunis sont aussi souvent des locataires dont les propriétaires ne voient pas l’intérêt de changer un matériel qui fonctionne encore au bénéfice d’une consommation qu’ils ne payent pas. L’isolation est un problème similaire puisqu’il s’agit de travaux incombant aux propriétaires dont ils ne supportent pas les conséquences autant en terme d’inconfort que de surconsommation énergétique. Il semble que les aides proposées ne suffisent pas à motiver le déclenchement de tels travaux. Une taxe type carbone finirait par se retrouver reportée dans le montant du loyer souvent financé par les APL. Dans ces cas, une amende financière (annuelle ?) proportionnelle au montant du loyer serait à considérer. L’écologie passe aussi par la diminution de nos déchets et donc par faire durer nos objets. L’électro et sa fin de vie programmée mériterait une grande réflexion. Nos portes-monnaie, nos poubelles et notre atmosphère (transport maritime des objets concernés) s’en porteraient mieux. Taxe dissuasive sur les produits irréparables ou économiquement irréparables (dont la réparation la plus onéreuse dépasse 50% du prix de l’objet). Lutter contre l’emploi abusif des plastiques à courte durée d’utilisation (bouteilles, emballages… et gilets jaunes !!!). Intégrer dans les constructions neuves, un système de récupération d’eau de pluie pour alimenter les toilettes, les laves linge etc…