L'information sur l'utilisation est déjà plus lisible. Mais il faudrait peut-être rebaptiser le nom des impôts en fonction de leur utilisation et non de leur origine de prélèvement.
Je pense qu'il faudrait rendre davantage d'aides fiscales automatiques. Beaucoup de citoyens s'abstiennent de défiscaliser un certain nombre d'éléments car ils ne savent pas qu'ils en ont le droit ou ne savent pas quelle case remplir. Cela désavantage beaucoup les revenus déjà bas. Les produits de première nécessité devraient soit être défiscalisés soit bénéficier directement et intégralement aux producteurs. Tout achat effectué depuis le France devrait être taxé en France (je pense évidemment aux commandes en ligne mais aussi parfois en magasin). Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de taxer à outrance les grosses fortunes spécifiquement, en revanche la fructification qu'ils en font devrait pouvoir l'être en partie.
L'impôt sur le revenu puisque le salaire est déjà taxé.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Revoir les offres de marché signées avec les entreprises qui se délectent du profit outrancier qu'elles peuvent faire avec l'Etat (sous ses différentes administrations).
Une personne qui ne travaille pas mais qui fait garder ses enfants toute la journée (6h-20h), toute la semaine, toute l'année en ne payant qu'un petit minimum (parfois rien), ça me choque. Evidemment il faut permettre à cette personne de pouvoir chercher du travail mais on ne cherche pas du travail avant 8h du matin ni après 18h le soir. Et il faut bien sûr le chercher le travail. Concernant les droits pendant la recherche d'emploi il devraient être à part modulable : une personne qui accepte une proposition d'embauche (ponctuelle) dans un domaine qui n'est pas le sien devrait bénéficier d'avantages pour la bonne volonté dont il a fait part. Pour celles et ceux qui souhaiteraient se lancer dans entrepreneuriat (même micro) les droits (sur une année voire deux) devraient pouvoir être déblocables en une seule fois afin de servir d'apport (ou de salaire pendant les 1ers mois de la création de l'entreprise). Les droits pourraient atteindre l'équivalent d'une année ou deux même si la personne est maintenant en activité par la création de son entreprise.
La prise en charge du mal être (aussi bien chez l'enfant que chez l'adulte) personnel et au travail. En effet ce sentiment peut être une des causes de complications physiologiques par la suite, elle seraient ainsi évitables pour des coûts modiques.
Pour une décentralisation importante. Pour un grand chantier (ambitieux) environnement. Pour un plus grand nombre de fonctionnaires sur le terrain (enseignants, police, hôpital, ...)
Hier un pays respecté c'était un pays qui possédait des gens riches ou les attirait, aujourd'hui un pays respecté c'est un pays qui permet à ses citoyens de devenir moins pauvre et d'accepter ses riches. Pour cela il faut que le sentiment de fatalité/d'inévitable tombe à l'eau. Les personnes les plus riches peuvent se payer des personnes douées en fiscalité leur permettant de s'absoudre d'une partie de l'impôt tandis que les moins riches ne voient déjà pas forcément comment remplir correctement leur feuille d'impôt. L'Etat devrait être là pour tous, y compris pour trouver des solutions pour que ces moins riches (ou plus pauvres à votre convenance) puissent aussi trouver une épaule (pas un fiscaliste payé à prix d'or) pour que son pécule soit aussi bien gardé que celui du riche. Je pense qu'il faut trouver une façon d'automatiser davantage les coups de pouce à l'impôt (qui existent pourtant).
Les associations car ce sont elles qui sont le plus sur le terrain et dans les différents domaines.
Oui
Les organisations syndicales devraient avoir plus de poids dans les décisions prises dans leurs branches. Aucun changement ne devrait avoir lieu sans leur consentement. Mais charge à elles de ne pas porter des plateaux de revendications, plutôt des revendications plus individualisées. Charge à elles également de faire passer le message de la nécessité, parfois, de changer les habitudes des salariés ou patrons pour le bien commun (bien de l'entreprise mais aussi bien de ses employés).
Mener beaucoup plus fréquemment (et communiquer dessus) des séances ouvertes en présence de l'élu (ce qui permet de le rencontrer, de discuter avec lui ou pour le moins de le voir) et une plate-forme en ligne de sollicitations élu-administrés ou administrés-élu (régulée pour qu'il n'y ait que quelques sujets à suivre, moins de 5 en même temps).
Une bonne chose
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Il faut davantage de proportionnelle évidemment et à tous les niveaux. Pour limiter l'effet pervers de cette proportionnelle il faut encore plus favoriser le travail par groupes (de divers horizons). Ces groupes n'ont pas vocation à être fabriqués par lignées politiques, ces groupes doivent être hétéroclites de façon à ce que les discussions aient lieu avant les grands débats en direct.
Non
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Je ne suis pas étonné que la participation des citoyens aux élections soit faible. Beaucoup ont la sensation que, bien que les élections ne soient pas truquées, elles sont en partie décidées par les puissants appareils politiques (qui sont toujours affiliés à d'autre appareils non politiques en plus). Il s'agit de compétitions dans laquelle, presque, tous les coups sont permis. Le mode d'élection offre un avantage certain à ces appareils puisqu'il y a forcément un vainqueur (peu importe le nombre d'électeurs, de votants effectifs, de satisfaits). Il me semblerait plus juste que tous les votes soient pris en compte (y compris le vote blanc ce qui limiterait fortement l'abstention dans un premier temps), qu'il ne puisse y avoir un élu (ou une liste élue) que au-delà d'un certain pourcentage de votants même s'il faut pour cela avoir des élus par intérim en attendant. Je pense que l'élection ne doit pas se faire sur une journée seulement mais sur plusieurs jours (le jeu en vaut la chandelle). Les sondages et estimations ne devraient pas avoir leur place dans le débat public à ce moment là car ils sont nécessairement des moyens de pression de l'inconscient collectif.
Oui
Une élection ne pourrait pas aboutir tant que le vote blanc n'est pas inférieur à un certain pourcentage. Il serait donc un vrai moyen de pression pour les citoyens (car les modes de pression ne devraient pas être réservés qu'aux seuls gouvernants) face à la classe politique pour leur exprimer leur non adhésion. Aujourd'hui les citoyens sont trop confrontés au "choix" du politique "normal" face au politique "non recommandable". Par la reconnaissance du vote blanc ils auraient une possibilité (qui n'existe pas aujourd'hui) de dire qu'ils ne veulent ni l'un ni l'autre. Pour éviter, à nouveau, cette angoisse du mauvais côté qui passe à la fin parce qu'il n'y aurait pas eu assez de vote blanc, ce dernier devrait être comptabiliser en direct.
La démocratie participative débute par une démocratie qui se joue localement. Une plus grande liberté "législative" devrait être laissée aux administrations locales (régions ou départements) de façon à ce que chacun de ces échelons puisse faire vivre la participation en donnant rapidement des résultats concrets directs. Malheureusement une démocratie participative n'aura pas de dynamique si toutes les décisions sont encore prises à Paris, par des élus parisiens avec pour principal objectif (parce qu'ils sont nombreux c'est vrai) la préoccupation des parisiens. Un exemple actuels et délicats : la restriction à 80 km/h aurait pu être une décision locale prise à le suite d'une participation démocratique locale et elle aurait surement aboutie à autre chose qu'une restriction globale (plutôt une restriction par routes en fonction de leur danger accidentel puisque l'objectif annoncé était celui-ci).
Je ne sais pas
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Il faudrait déjà que l'argent public soit redistribué localement pour avoir une meilleure visibilité et autonomie. Des représentants d'associations et de syndicats devraient être sollicités en compagnie d'un ensemble de citoyens désignés (représentatifs de la population de cette localité) afin de discuter de l'utilisation des moyens publics. Si cette redistribution est faite localement je pense que les discussions concernant l'argent restant à plus haut niveau de l'Etat peut se faire en partie par une période régulière de concertation nationale (en ligne par exemple). Attention ce genre de consultation doit être pédagogiquement bien menée.
Le Sénat doit garantir le respect des règles de la constitution lors de l'établissement des lois, il doit être constitué de personnes hautement qualifiées notamment juridiquement. Le Conseil économique, social et environnemental doit être une représentation fidèle de la population afin d'imposer la plupart des sujets de discussion parlementaires.
Oui
Le Sénat ne doit pas nécessairement présenter un grand nombre d'individus. De plus il n'y a aucune justification à leur attribuer autant d'avantages financiers (surtout après leur mandat). La composition de CESE doit changer suffisamment fréquemment et de façon alternée avec les élection présidentielles (de façon à garantir une certaine homogénéité d'un mandat à l'autre).
Il faut une posture bien plus simple, directe et assumée de l'Etat face aux religions. La laïcité est l'acceptation de toutes les religions sur le territoire tant qu'elles respectent les conditions imposées par les lois de l'Etat. L'Etat et ses représentants ne doivent pas invoquer la religion comme raison de ses actions. De leurs côtés les religions ne doivent pas tenter d'interférer au respect des lois de l'Etat.
Je pense qu'il faut commencer par démystifier les religions et leurs pratiquants en admettant qu'à l'école on puisse parler de religion sous différentes formes (histoire, sciences, lettres, géographie, ...). La laïcité est encore trop perçue comme une interdiction de culte. De même dans les lieux publics la règle de l'état doit être simple vis à vis des citoyens (et non pas de leur rapport au culte) : Un citoyen doit être reconnaissable (ce qui l'empêche de porter un vêtement couvrant son visage et c'est valable pour les manifestations aussi), un citoyen ne doit pas imposer les pratiques de son culte à ses concitoyens mais puisque l'état reconnait le droit de culte, chacun doit bénéficier de facilités à la pratique de son culte.
Il faudrait donner l'occasion d'avoir quelques premières expériences de citoyenneté. On pourrait permettre/obliger un élève, durant sa scolarité, à effectuer un travail d'intérêt collectif, de préférence bénévole (pas d'obtention d'un diplôme sans cette validation). Convoquer une partie bien plus large de la population au moins une fois à fonctions citoyennes (jurys, assemblées, dépouillements, ...) et ces participations permettraient des avantages ou de conserver plus longtemps des avantages payés par la solidarité nationale.
Le bénévolat, les associations, le suivi/l'accompagnement des enfants (par des personnes non professionnelles). Le respect des lois plus que le non respect.
Par des avantages, notamment par les entreprises pour lesquelles nous sommes liés par des contrats (banques, assurances, fournisseurs, ...). Il existe parfois déjà des bonus-malus mais il s'agit surtout de malus que de vrais bonus. Permettre à toutes les associations une plus grande souplesse (notamment budgétaire) afin de faire vivre ce lien social direct et de proximité.
Amener toutes ces personnes à se rencontrer (les démarches en ligne sont très pratiques et nécessaires mais il ne s'agit que de réaliser une demande déjà bien construites). Les lieux de rencontre devraient être plus chaleureux et plus décondensés. Peut-être des personnels détachés sur des bassins de travail (pour pouvoir communiquer lors d'un temps de pause ou avant/après la prise du travail).
Sexisme, homophobie, racisme, conduite au volant. Il faut pouvoir punir facilement (grâce à des lois) mais il faut, pour tous ceux qui passent à travers, leur faire prendre du recul (par des campagnes publicitaires sur le ton de l'humour).
Promouvoir les gestes de civilités communes plutôt que de montrer toujours l'incivilité.
Intervenir par une simple remarque mais à chaque fois que cela est nécessaire.
Sexisme et homophobie.
Se rendre compte que ces comportements sont, sinon construits, bien propagés par la société mercantile (regardez de plus près les jeux, vêtements pour enfants et vous verrez comment depuis l'enfance nos enfants sont menés vers ce qu'ils seront plus tard). Amener ainsi les distributeurs à prendre en compte cette problématique éthique avant la problématique marchande. Je pense qu'il faut également trouver un moyen légal d'intervenir sur Internet. C'est évidemment un outil qui doit rester ouvert à tous et aux opinions. En revanche il doit être fermé aux jugements sur les personnes.
Non
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La France est un pays qui a construit sa réussite sur l'aide des populations étrangères entre autres je pense donc que nous devrions être un pays heureux d'être la destination d'une émigration. Toutefois notre façon d'accueillir cette immigration me semble complètement décalée. Nous ne pouvons pas faire semblant de ne pas accueillir en parquant les immigrés dans des endroits invisibles. Nous devons faire en sorte que chaque individu qui nous arrive (au moins par voie légale) soit rapidement pris en charge et aidé à l'intégration. Pour ceux qui viennent de manière moins légale ils sont tout de même nos amis voire nos frères s'ils le veulent bien, on doit donc leur consacrer du temps afin de trouver une solution légale à leur bonne installation en France. Pour cela il faut du personnel plus important et formé.
La notion d'objectif, ou de quotas (si j'ai bien compris), est d'un autre temps (pas glorieux si vous voulez mon avis). Les immigrés, s'ils sont là, doivent être accueillis. La question qu'il faut soulever ensuite avec eux c'est "est-ce bien ici, en France, que vous voyez un avenir en tant que français (avec les obligations que cela engendre) ou bien est-ce un passage pour votre vie future ?"
Amener, de façon parcimonieuse, davantage de citoyens à rencontrer ces immigrés. Des "campements" d'immigrés (ou de zadistes, ou de beatnik, ou de gilets jaunes, ....) ça fait peur alors que rencontrer n'importe laquelle de ces personnes individuellement serait probablement plus facile et permettrait la mise en place plus aisée d'une solidarité.
Pour intégrer il faut aider à participer à la vie locale ce qui permet de rencontrer des gens (voire de se faire un premier réseau) de maîtriser la langue, .... Je pense donc qu'aider ces immigrés à intégrer des associations ou des équipes de mairies (techniciens, bureaux, ...) leur permettrait de comprendre le fonctionnement local mais aussi de se faire connaitre de façon positive.
Je pense que nous faisons une erreur à ne considérer nos jeunes, réellement citoyens, qu'à l'âge de 18 ans. Ils ont plein de choses à dire, à montrer, à comprendre par d'autres moyens que l'école au sens "programmes" du terme. Les instances démocratiques pour les jeunes sont facilement désertées par un grand nombre d'entre eux qui ne s'y reconnait pas. Il leur faut davantage d'espaces de dialogues et que ces dialogues puissent aussi remonter et être pris en compte. Il s'interroge énormément sur la vie citoyenne, ils voient des centaines d'informations (parfois contradictoires) passer à la journée et ils ne peuvent que rarement en discuter (un ado est souvent en opposition avec ses parents et l'école ne permet que rarement un dialogue/débat nourri pendant les cours). Les écoles/collèges/lycées peuvent être des lieux pour cela mais il faut créer autres choses que des programmes pour cela et permettre à davantage de personnes d'entrer et de participer à cela (pourquoi pas des groupes d'associations, d'élus, de citoyens).
L'organisation de l'Etat me semble trop verticalisée. Si les décisions doivent pouvoir être tranchées par un nombre restreint de personnes avisées, l'Etat se doit aussi d'être proche de ses citoyens grâce à du personnel de terrain qualifié et qui ne doit pas simplement avoir pour mission de propager la bonne parole venue d'en haut. Chaque administration locale doit avoir davantage de possibilités de répondre de façon différenciée à ses administrés (grâce à une organisation budgétaire plus souple ET une organisation/application législative plus souple).
Oui
La gestion des fonctionnaires de l'état (enseignant, policiers, personnels de santé, ...).
Non
L'accès aux soins primaires (pas nécessairement d'urgence).
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Oui
Oui
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La prise de rendez-vous par Internet, la possibilité de payer l'impôt en ligne, la possibilité de demander des documents officiels sur Internet (acte de naissance par exemple).
L'éducation, la santé, la police
Oui
Non
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L'attestation de domiciliation de moins de 3 mois pour le mariage, l'obligation de refaire une déclaration intégrale auprès des impôts pour seulement modifier la composition du foyer (enfant +1)
Oui
Une formation continue plus régulière et adaptée aux situations les plus rencontrées dans son secteur. Des obligations plus souples.
Oui
Prioriser le contact chaleureux avec le public (personnel, cadre immobilier), favoriser le mouvement des fonctionnaires qui le souhaitent (un fonctionnaire heureux est un fonctionnaire chaleureux), limiter les intermédiaires entre le fonctionnaire au contact du public et le fonctionnaire qui autorise/prend les décisions.
Pour que les maux/malaises ne remontent pas que par l'intermédiaire des médias et réseaux sociaux il faut du personnel sur le terrain qui puisse constater, réagir rapidement si possible, remonter les difficultés, proposer des solutions (même ponctuelles s'il le faut).
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+ la qualité des enseignants rencontrés jusqu'ici. - l'attente pour savoir s'il y a des places dans l'école de proximité - la qualité nutritive des repas proposés (INCROYABLE : 1 repas seulement dans la semaine qui contient des légumes !)
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+ La carte vitale c'est efficace - Les petites pathologies sont de plus en plus mal remboursées au profit des pathologies lourdes (c'est tout à fait normal vu le coût de certains traitement mais certaines pathologies sont provoquées par une hygiène de vie volontairement excessive l'aide est donc plus gracieuse à mon avis).
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+ L'URSSAF accepte enfin le télépaiement. - Complexité des feuilles d'impôts et examens de sincérité
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La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Stopper la course à l'urbanisation. Revitaliser les zones rurales, toute la population n'a pas vocation à travailler ni vivre dans les grandes agglomérations. Nous créons ce besoin actuellement.
Oui
En tant que professeur je dois enseigner à mes élèves les origines possibles de tels changements et je dois leur expliquer toutes les erreurs que l'Homme a pu faire à ce sujet et me contenter d’acquiescer lorsqu'ils me disent qu'on recommence éternellement ces mêmes erreurs dogmatiques.
Oui
Je limite mes dépenses énergétiques tant que je le peux. Je mange local (pour les produits frais qui viennent de mon département ou au pire de ma région), de saison et varié (de façon à limiter l'agriculture intensive). Je n'utilise pas de désherbant.
Pour les déplacements : des transports en communs plus flexibles que les lignes habituelles (pourquoi ne pas laisser une variable d'ajustement aux citoyens en leur permettant chaque année de discuter, en ligne par exemple, du trajet de quelques liaisons de bus : horaires, arrêts), ce serait presque du covoiturage mais avec un conducteur de bus. Pour le chauffage les "bonus" sur l'impôt devraient être automatiques (par un système de déclaration des entreprises qui font l'entretien des systèmes de chauffage) et non plus passer par une déclaration d'impôts dans laquelle on ne maîtrise que rarement toutes les subtilités.
Il faut des bonus (coups de pouce financiers) plutôt que des malus. Il faut que ces bonus soient automatiques et non plus passer par une déclaration dans laquelle très peu de gens vont consacrer du temps afin de remplir les bonnes cases avec les bons justificatifs (malgré le droit à l'erreur).
Oui
Le montant et les travaux à engager seraient de toute façon rédhibitoires pour effectuer ces changements dans le cadre d'une installation personnelle. Je ne sais pas si l'idée est plus séduisante (à cause des charges partagées et des désagréments partagés aussi lors d'une panne) mais pour limiter les coûts et les désagréments des travaux on peut imaginer des installations collectives (limitées à un certain nombre de foyer tout de même).
Oui
Que ces transports en commun soient plus directs et donc plus rapides (je mettrais 2h en transports là où je mets 30 min en voiture individuelle). On peut imaginer des transports en commun sur demande (par bassins d'emplois), des voies routières plus souvent réservées aux transports en commun dans les zones à forte affluence.
Les transports en commun|Le vélo
L'employeur qui doit tenir une discussion privilégiée avec les autres employeurs du bassin.
Montrer que cela fonctionne (et pas seulement dans les idées). La France doit davantage expérimenter, elle doit profiter de la formidable diversité de son territoire (et donc de ses modes d'énergie alternative) pour lancer des programmes différents dans chaque région.
On parle beaucoup de moyens de transports alternatifs mais ne pourrait-on pas aussi limiter le besoin de transport ? Combien de personnes travaillent loin de chez elles (soit parce qu'elles n'arrivent pas à trouver un emploi plus proche du foyer, soit parce qu'elles sont mutées "aléatoirement", soit parce que le coût de l'immobilier est trop important là où elles travaillent. Il faut décentraliser les emplois, pourquoi ne pas commencer par des pôles dans chaque région abritant une grande ville. Cela redonnerait de l'identité à chaque territoire, de l'emploi, de la dynamique, ... Et ça limiterait les transports.
Votre message a bien été envoyé.