Date de publication : 2019-01-22
Code postal : 6200

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Plus de transparence, moins de gaspillage

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Que tout le monde acquitte l'impôt sur le revenu même dans les plus basses tranches. Cet impôt même minime augmenterait la notion de justice fiscale et de participation à la collectivité. Créer des tranches d'impôts intermédiaires et alléger la ponction fiscale pour les revenus individuels compris entre 0,6 et 1,8 SMIC Rendre la suppression de l'ISF méritoire... ce qui veut dire que l'on supprime l'ISF à la condition que des investissements ayant conduit à des embauches en France ou des créations d'entreprises locales aient été réalisés. Si ce n'est pas le cas ... on n'y a pas droit et on recalcule ça à chaque exercice fiscal.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Grace et par la participation de tous les français à l'impôt : Supprimer la CSG (impôt sur impôt) Supprimer les droits de succession lors de la succession familiale directe d'un bien au titre de résidence principale. Une Taxe pourrait être appliquée lors de la vente de ce bien à l'extérieur de la succession familiale directe. (On paye l'impôt sur un bien toute une vie, on transmet ce bien à ses enfants qui vont payer l'impôt sur ce bien toute leur vie et on taxe le passage de ce bien.... donc encore un impôt sur l'impôt !!!) Supprimer la taxe de l'audiovisuel pour les retraités, dans un premier temps !

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Faire payer l'impôt par tous

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

les aides sociales sont par définitions réservées à ceux qui en ont besoin. Il faut simplement s'assurer qu'il n' y ait pas d'utilisation frauduleuse de ces aides (Photo et empreinte obligatoire pour les détenteurs de carte vitale, et créer des cartes d'identité intelligentes pour tous les bénéficiaires dans tous les domaines tels que pôle emploi, allocations familiales, etc...) Supprimer en revanche les aides non justifiées à ceux qui n'en n'ont pas besoin tels que personnel politique, commis d'état, hauts fonctionnaires etc....

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

La santé, la dépendance

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Stop à l'impôt et aux taxes ! apprenez à mieux gérer les finances ou passez la main !

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Des postes de dépenses peuvent être revus à la baisse et être redistribués vers ceux qui sont le plus nécessaire aux citoyens. Par exemple revoir notre politique de défense à la seule protection de notre territoire national DOM-TOM compris. L'engagement sur des théâtres d'opérations extérieures devant être limité à l'action d'une armée européenne. Réduire les subventions internationales à des régimes dont la probité n'est pas établie, même régimes très contributifs à l'immigration de masse. Il faut aussi réduire les assemblées, les commissions revoir toute cette structure bureaucratique chère et rouillée qui font l'état central et les collectivités locales/territoriales/régionales. Le personnel politique vivant des deniers de la collectivité doit être limité dans le nombre et dans le temps.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Il y a en France et dans le monde une crise de confiance entre les citoyens et les instances représentatives. Il faut remettre de la morale en contrôlant et en punissant sévèrement les dirigeants qui abusent de leur position pour conduire les peuples à plus de précarité morale et économique. Ceci vaut pour toutes les formes de représentativité. Il faut donc revoir le système de représentation en l'encadrant par de nouvelles règles. Il faut aussi limiter le nombre de mandats et d'années de mandat dans les instances politiques et syndicales.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Décentralisation réelle par plus de pouvoir à des associations citoyennes au sein des instances municipales, régionales, nationales, leur accorder un droit de véto ou de suspension de projets polémiques. - Créer une véritable charte de compétence des élus syndicaux en organisant des cursus et des formations qualifiantes - A partir de là Imaginer une adhésion obligatoire des salariés à un syndicat représentatif et séparer la progression professionnelle des syndicalistes du cadre de l'entreprise dans laquelle ils sont élus.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Remettre la justice au centre de la vie politique et sociale par la diminution du nombre de personnels politiques payés par des fonds publics (parlementaires, sénateurs, députés), l'abrogation des avantages des élus et des parlementaires dès la fin de leur mandat, l'Inéligibilité définitive des personnels politiques condamnés par la justice, l'alignement des droits de retraite des élus sur ceux du secteur privé, la limitation du nombre d'années de mandat des élus.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Je ne sais pas

6. Pourquoi ?

Parce que non appliqué dans les faits… et que vaut cette loi quand on est juge et partie. Cette loi doit être complétée par une limitation en temps d'une carrière politique personnelle.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

La réponse facile serait la proportionnelle ou en tous cas un système qui permette la prise en compte des oppositions réelles à des choix politiques iniques

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Réduction générale Y compris des députés et des sénateurs. Cela même si les défenseurs de leur propre confort jugent cette mesure du domaine du symbolique, elle participerait à la baisse du train de vie de l'état et de la perception de décalage et d'injustice entre élus et citoyens ! Les salaires doivent être raisonnablement calculés sur ceux de la fonction publique, y compris en tenant compte des nombreux avantages en nature, mais ne doivent donner aucun droit à des "passe droits" ou d'avantages à vie.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

En leur donnant confiance. Pour donner confiance il faut assurer aux gens que leur vote compte pour un championnat et pas seulement le match du jour de l'élection. La notion de résultat doit être au centre de l'organisation de l'état. Des clauses de revoyure doivent être conclues entre le gouvernement et les citoyens au cours des différents mandats.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

en fixant un quorum minimum pour valider l'élection d'un parti ou d'un candidat. Un pourcentage élevé(à définir) de votes blancs renverraient les électeurs à l'urne et inciteraient les candidats à reconsidérer leur offre politique.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Recours à des vrais référendums sur les questions importantes de la société. Peut-être une instance juridique supérieure qui pourrait s'opposer à une loi si elle s'avérait être rejetée par un grand nombre de voix des citoyens et/ou des partis représentatifs.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

le recours à l'avis des citoyens doit être une base de la politique de demain mais en tous cas pas dans les versions actuelles de son expression. RIP notamment.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Plus de transparence - La création de commissions de contrôle économique indépendantes encadrées par des magistrats spécialisés - La création d'une instance juridique supérieure qui pourrait statuer sur le bien-fondé d'une loi rejetée par un grand nombre de citoyens - Une meilleure représentativité des associations de défense des contribuables qui auraient la possibilité de saisir la justice par des procédures collectives accélérées et qui auraient un pouvoir de suspension de projets onéreux ou non justifiés -Un contrôle des gaspillages et des recours accélérés pour les faire cesser

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Ces assemblées sont-elles vraiment nécessaires dans leur forme actuelle ?

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

En remettant à plat notre système représentatif, en supprimant les redondances et les instances sans véritable droit de décision.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Faire appliquer la laïcité dans l'espace public. Il faut garantir à chacun la croyance qui est la sienne dans la sphère privée et dans ses convictions mais interdire les attitudes qui ne font pas partie des bases de notre démocratie. La volonté de certaines religions d'imposer un comportement social proche de ses coutumes est à bannir de notre "vivre ensemble". Je pense au droit des femmes, à l'homosexualité, au manque de tolérance, à l'expression et au droit à la différence plus généralement. Le gouvernement de la République doit être le garant de cela et il le fait mal.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Par l'éducation et par un comportement exemplaire de ceux qui représentent la République…

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Une meilleure prise en compte des besoins et des nécessités des citoyens -Un cursus des métiers de la politique pourrait aussi favoriser les vocations dès l'entrée à l'école.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

La bonne éducation, le respect, l'entraide, la solidarité et la notion de collectivité.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Plus d'éducation civique dès le plus jeune âge, et une moralisation de la société. Le tout économique et la mondialisation conduisent à individualiser les comportements. Il faut revenir à des sociétés plus justes et plus équitables par une meilleure solidarité.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Une meilleure prise en compte de l'individu dans la société et une administration plus proche des citoyens. Une éducation de la relation entre l'état et le citoyen est une nécessité. Le consentement à l'impôt se récompense par un service public de qualité.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

La violence comportementale et verbale dans son ensemble.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Meilleure éducation dès l'école et pénalisation des actes de violence fussent-ils des menaces. La banalisation des comportements agressifs ou menaçants sont à la base de la violence. Il faut donc rendre caduque cette banalisation en réprimant ce type de comportements.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Chacun son rôle… le citoyen n'a pas de matériel juridique pour se faire respecter. Il convient donc que l'état prenne ses responsabilité en matière de justice et d'égalité devant la loi. Les zones de non droit par exemple sont un des désengagements majeurs que l'état ne règle pas. Ceci donne la sensation qu'il existe des lieux , des situations d'impunité pour ceux qui décident de ne pas respecter les règles.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Tout dans cette société prête lieu à discrimination. Le discours présidentiel actuel accentue cela en opposant les jeunes aux vieux, les salariés aux fonctionnaires, les riches aux pauvres, ceux qui travaillent et ceux qui ne travaillent pas ou plus. C'est une erreur qui fracture notre société.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Une classe politique au contact de la société et une volonté non moins politique d'une plus grande justice sociale.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

A condition que les conditions de santé le permettent et en fonction des compétence de chacun des services d'intérêt général (Aides aux personnes âgées, soutien scolaire, entretien des espaces publics, aide aux personnes isolées... etc)

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La situation de l'immigration est préoccupante car elle est mal contrôlée. L'intégration réelle doit être une condition sine qua non de l'accueil des immigrés. (apprentissage de la langue, acceptation des coutumes nationales, etc....)

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Il n'y a aucune limitation humainement envisageable car cela voudrait dire que l'on connaît les différents évènements extérieurs qui pourraient influencer cette immigration. L'immigration de masse face à des problèmes sociaux, militaires, politiques, climatiques doit être réglé par l'Europe et non par chaque pays.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Lorsqu'il s'agit de problèmes politiques, imposer un comportement moral aux dirigeants des pays favorisant l'immigration . Interdire à ces mêmes dirigeants le placement de fonds personnels dans l'espace européen et supprimer toute aide financière à ces régimes. Lorsqu'il s'agit de migrations climatiques l'espace européen doit être organisé pour absorber ce flux migratoire exceptionnel et la décision politique doit être unifiée.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Le problème de notre société est qu'elle n'a plus suffisamment de ressources sociales et économiques pour ouvrir son espace à l'immigration tout azimuts. Seule une véritable intégration est la base d'une acceptation de l'immigration. La vraie intégration se soumet donc à l'adaptation totale aux coutumes et à la langue du pays choisi.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

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