Les élus issus du suffrage universel direct. Eux et eux seuls.
Non
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Le lien n'est pas rompu mais un peu plus d'écoute et de modestie seraient les bienvenues. Si on y ajoute un esprit d'économie et de l'exemplarité alors le lien se renforcera. Il faut notamment veiller à ce que le régime fiscal des élus qui votent les impôts soit strictement identique à celui des citoyens qui les payent.
Une bonne chose
On ne sert bien qu'une seule cause. Aux élus locaux, les questions de proximité, aux élus nationaux, les sujets nationaux. Évitons ces grands élus qu'on voyait partout et qui savaient tout sur tout. Des élus modestes consacrant leur temps et leur énergie à la fonction pour laquelle ils ont été élus, voilà qui est bien. Les démocraties sérieuses dans le monde pratiquent-elles le cumul des mandats ?
Les différentes sensibilité politiques peuvent d'ores et déjà se faire entendre dans le système actuel. Il est de la responsabilité de ceux qui ont un message de le porter et de se faire élire sur sa base.
Oui
Hors députés et sénateurs, je suis favorable à la réduction du nombre d'élus obtenue, non pour le principe, mais par la suppression d'un niveau de collectivité locale (les départements) et de toute la technostructure départementale. Les missions exercées dans les départements seraient réparties vers les régions (on pourrait revenir aux 22 anciennes régions) et les communes. Pour le reste, 400 députés et 150 sénateurs suffisent à garantir un pouvoir législatif fort.
Il est de la responsabilité de chacun de s'impliquer.
Non
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Les processus type "cahiers de doléances" ou consultations sur internet me paraissent extrêmement utiles. Pour les décideurs : sans doute faut-il apprendre à mieux tenir compte de ce que les Français pensent ou font remonter dans des consultations, des sondages etc... Si on pouvait éviter de proposer un nouvel impôt chaque fois que survient un problème, cela serait contribuerait à l'apaisement des relations sociales.
Oui
Le référendum présente des inconvénients bien connus. Il faut limiter le RIP à certains sujets (ex : les sujets de société, les grands équilibres financiers mais pas la fiscalité, les orientations politiques générales comme la transition écologique). Prudence donc avec le RIP.
Les questions complexes liées à l'utilisation des deniers publics se prêtent mal à des consultations de masse. Il faut expliquer comment on fera des économies dans les dépenses publiques et comment elles seront restituées aux contribuables.
La légitimité de la représentation repose sur le suffrage universel direct. C'est donc à l'Assemblée Nationale de jouer ce rôle. Le Sénat doit jouer un rôle de modérateur au sein du pouvoir législatif. Quant au CESE, cf. plus bas.
Oui
En supprimant, le conseil économique, social et environnemental.
Il faut renforcer la laïcité et le faire avec détermination et modération dans l'exécution. L'intransigeance sur le principe doit s'accompagner de pédagogie et de patience dans l'application.
Par l'éducation.
Même réponse : par l'éducation.
La responsabilité individuelle.
Toujours l'éducation. Chacun peut y participer en ayant lui même un comportement adapté.
Rien
Lister les incivilités de la vie quotidienne serait fort long : celui qui se gare n'importe où, qui étale ses pieds sur les sièges dans les transports en commun, qui "colle" derrière une voiture sur l'autoroute, qui jette papiers et mégots dans la rue, qui écoute fort sa musique, qui crache, qui laisse son chien se soulager sur la voie publique etc.... Ceux qui les subissent peuvent aussi être ceux qui, parfois, les commettent et personne n'est parfait. Les solutions sont comme toujours dans l'éducation en particulier celle dispensée dans les familles et la répression (tolérance zéro). C'est d'ailleurs en réprimant les incivilités courantes qu'on évitera que certains passent à des choses plus graves...
Trouver un point d'équilibre entre la pédagogie et la répression. Et de la police de proximité sur le terrain.
De la pédagogie et de l'exemplarité.
J'ai peu vu de discrimination. Les discriminations sont difficiles à mesurer (pas de statistiques ethniques ou religieuses en France..). On se prive de l'instrument de mesure.
L'éducation et le dialogue aident à lutter contre les discriminations et l'intolérance. Après, dans la réalité, c'est sans doute plus compliqué que cela... Je ne souhaite pas davantage de solidarité : en France ce mot veut dire impôts.
Non
None
Il faut traiter ces questions avec modération et humanité mais il semble nécessaire de mettre en oeuvre des quotas, de limiter le regroupement familial, de rendre plus strict l'accès au droit d'asile lequel, dans bien des cas, masque une immigration économique. Il faut aussi rendre effective les mesures d'expulsion.
Voilà une question posée avec une bien délicate pudeur. Le mot quota fait-il peur ? Alors, oui, bien sûr : les quotas sont une bonne chose. Évitons cependant de retirer à certains pays leurs élites. Accueillons ceux qui souffrent et sont dans la misère mais faisons le dans la limite de nos capacités et en veillant à préserver les valeurs de la société française.
Trouver le bon équilibre entre humanité et fermeté ne sera pas facile. Il faut afficher une politique et s'y tenir et faire de l'information dans les pays de départ.
Bien évidemment, l'éducation et la formation sont à la base d'une politique d'intégration mais elles doivent être secondées par une lutte contre les discriminations (qu'on aurait intérêt à mieux connaître). On peut aussi essayer de limiter l'entrée de ceux qui, par les valeurs qu'ils portent, auront beaucoup de mal à accepter celles de la démocratie.
La démocratie française aura à faire face de mon point de vue à 3 défis : - celui des "invisibles" désormais reconnaissables à leur gilets jaunes. Ils ont manifesté leur mécontentement sans arriver à le traduire en un projet de société. Ils s'enferment dans leur révolte ; - celui des banlieues, où vit une population jeune, souvent mal formée, rejetant parfois la société dans laquelle elle vit mais aussi subissant des discriminations (cf. plus haut). On y voit des taux de chômage record qui favorisent les petits ou grands trafics et un esprit de révolte ; - celui de l'échec du modèle social social français fait de hausses continues des dépenses publiques, des prélèvements et de la dette sans interrogation sur son efficacité.
Un État qui s'administre sur la base d'un échelon territorial proche des anciennes régions, les départements en devenant des subdivisions avec moins de bureaucratie centrale et davantage d'agents sur le terrain. Deux niveaux de collectivités locales suffisent : anciennes régions (les 22) et les communes avec chacune des compétences bien identifiées. Évitons les structures inter-collectivités qui n'ont pas démontré leur efficacité. Complétons cela par un texte de responsabilisation permettant "la faillite" des collectivités qui ne respecteraient pas certains équilibres. Efforçons-nous de faire travailler le personnel local selon les volumes horaires prévus par les textes.
Non
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Oui
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Sans opinion
Non
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De manière générale, l'efficacité des services publique est encore correcte ou moyenne mais leur coût est trop élevé. Je crains une tendance à la dégradation lente de leur qualité de service.
L'éducation nationale doit être réformée en profondeur : c'est un service public qui coûte 0,7 point de PIB de plus que la moyenne de la zone euro pour des résultats moyens, voire médiocres et orientés plutôt à la baisse. Il faut donner le maximum d'autonomie aux établissements y compris dans le recrutement des enseignants et supprimer le mouvements de personnel (un enseignant qui veut travailler dans un établissement doit s'y faire recruter). Créons si besoin, une 4ème fonction publique avec des règles spécifiques, plus proches du droit privé. Autres politiques publiques à réviser : le logement et la formation professionnelle pour adultes. Il faut réformer et moderniser l'hôpital public pour le préserver. Les questions de santé publique doivent être prioritaires.
Oui
Non
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Permis de construire Accès aux données personnelles sur le permis de conduire
Oui
En les responsabilisant : fixation d'objectifs et contrôle de leur réalisation.
Oui
Les administrations ne se réforment jamais d'elles-mêmes. Il faut une volonté politique portant une réforme et non demander aux administrations comment elles peuvent s'améliorer. Sinon, leur réponse est toute prête : elles ont besoin de davantage de moyens. Il faut nommer des dirigeants ayant chevillé au corps l'esprit d'économies. Il faut arrêter cette dérive consistant pour les administrations à être en permanence en demande de moyens supplémentaires. Partout, il faut chasser les coûts de gestion, protéger l'opérationnel, moins de bureaucratie, plus de terrain.
Il ne faut pas chercher à sauver coûte que coûte les territoires en difficulté, au risque d'y gaspiller trop d'énergie et de moyens. Il faut, au contraire, accompagner leur transition (et surtout celle des personnes) vers un monde, une culture plus urbaine (celle des grandes villes).
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On n'y comprend plus rien dans ce qui est remboursé et ce qui ne l'est pas. Quand aux taux de remboursement et aux organismes payeurs, il faut avoir envie de s'y intéresser pour comprendre....
Un bon point : les services concernés ont été efficaces et plutôt rapides.
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Gourmand, omnipotent, parfois impotent, tel est l'État aujourd'hui. Il faut l'imaginer frugal et efficace.
Votre message a bien été envoyé.