Laisser le parlement débattre du budget, l'amender (recettes ET dépenses) en séances publiques. Ne pas tout laisser à la main du gouvernement. Publier régulièrement l'état du budget de l'état (tous les mois ou trimestres, par exemple) dans les grandes lignes (principaux postes par ministère, par exemple)
Que tout le monde paie l'impôt en fonction de ses moyens. Rebasculer la plsu grande partie de l'imposition vers les impôts progressifs (stop à l'augmentation de la CSG et de la TVA, étendre le nombre de tranches de l'impôt sur le revenu en augmentant le taux maximum, augmenter l'impôt sur les successions pour contrer l'accumulation du capital entre les mains des plus riches et redistribuer les ressources vers ceux qui en ont le plus besoin). Moduler l'impôt sur les sociétés pour faire payer plus les grosses entreprises qui mettent en oeuvre beaucoup de stratégies d'évitement de l'impôt, et baisser pour les TPE voire certaines PME (fonction du chiffre d'affaires et/ou du nombre d'employés).
Pourquoi baisser les impôts à tout prix ? Il faudrait surtout modifier la distribution : augmenter les impôts pour ceux qui ont les moyens et baisser pour les plus démunis. Les impôts des entreprises ont beaucoup baissés ces dernières années, sans effets sensibles sur l'emploi. Par contre, les impôts des particuliers ont plutôt augmentés.
reventiler l'impôt : arrêter de faire payer ceux qui ont le moins de ressources (particuliers et TPE). Par contre, il faut conserver les cotisations sociales (qui ne sont pas des impôts) et ne pas basculer le financement de la sécurité sociale vers l'impôt (comme cela a été fait avec l'augmentation de la CSG et la suppression de certaines cotisations sociales). Moduler les cotisations sociales patronales en fonction d'un "score" social (malus pour abus de contrats courts, par exemple, bonus lorsque les salariés participent aux bénéfices, par exemple)
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Assurance maladie. Ces dernières années, les remboursements obligatoires ont diminués, en laissant une place plus grande aux mutuelles, qui coûtent plus cher. Il faudrait peut être révolutionner notre modèle pour créer une sécurité sociale universelle qui profiterait à tout le monde et qui rembourserait à 100%. Pour rappel, les dépenses de gestion de l'assurance maladie représentent moins de 4% des sommes gérées par l'assurance maladie (chiffres 2013, http://communication-securite-sociale.fr/wp-content/uploads/2015/06/7.-Quels-sont-les-vrais-co%C3%BBts-de-gestion-de-la-s%C3%A9curit%C3%A9-sociale.pdf), le reste allant au remboursement, contre environ 20% pour les complémentaires santés (chiffres 2015, drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/fiche37.pdf)
hôpitaux (l'état des hôpitaux fait peur, il vaut mieux ne pas se faire hospitaliser en ce moment !), éducation nationale (classes surchargées), défense (le parapluie américain se replie depuis une dizaine d'année, et l'Europe sera bientôt livrée à elle-même...), justice (le budget de la justice est honteux, comparé à nos voisins).
Il ne faut pas baisser l'entretien des voies de communications (routes, voies ferrées, réseau de transport d'électrécité) car des infrastructures en bon état favorise l'économie.
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Non
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Que les élus arrêtent de croire qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent une fois élus. Nous sommes dans une démocratie représentative. Les élus représentent donc leurs électeurs ; ils ne doivent pas décider à leur place. Ainsi, les députés pourraient demander les grandes orientations à suivre à leurs électeurs.
Une bonne chose
Les parlementaires peuvent se concentrer sur leur boulot : faire la loi ET contrôler le gouvernement. Ils ne sont pas là pour verser des subsides à leurs électeurs. De plus, cela permet à la jeune génération de mettre le pieds à l'étrier avant de passer au niveau national (dans quelques années).
Utiliser la proportionnelle à seuil (par exemple 5%). Ceci permettrait de mieux représenter l'ensemble du corps électoral. La représentation serait alors moins uniforme, et les différents partis seraient contraints de négocier pour faire passer les lois, plutôt que de passer en force comme actuellement. Ce qui déresponsabilise l'opposition, qui sait qu'elle ne peut s'opposer et passe alors son temps en rodomontades et effets de manche.
Oui
Il aurait fallu supprimer le niveau départemental et garder les anciennes régions. Les nouvelles régions sont trop grandes pour pouvoir faire cela, et c'est bien dommage.
La participation est en baisse depuis de nombreuses années. La faute incombe en partie aux hommes politiques (promesses intenables, mépris des électeurs, manque de probité (affaires),...) et en partie aux électeurs qui espèrent trop du politique. Pour inciter les citoyens à participer davantage à la vie politique (et pas seulement aux élections), il faudrait leur demander leur avis sur les grandes orientations à prendre pour le pays. Et pas par référendum (la réponse OUI/NON étant trop simplificatrice, et la question trop souvent orientée) mais par une nouvelle consultation directe qui proposeraient plusieurs réponse. Un système à la Condorcet (https://fr.wikipedia.org/wiki/Méthode_de_Condorcet) permettrait de mieux prendre en compte les aspirations des citoyens que le vote classique.
Oui
En le comptabilisant comme un "candidat". S'il dépasse un certain seuil (par exemple 30%), les élections pourraient être annulées pour cause de rejet par les citoyens.
Comme dit ci-dessus : demander leur avis sur les grandes orientations à prendre pour le pays en utilisant le système de Condorcet.
Oui
En abaissant le seuil à 1 million de signature du corps électoral et en laissant l'initiative aux citoyens.
Organiser une consultation sur les orientations. Par exemple, en choisissant entre baisser les impôts OU augmenter les moyens de l'Education Nationale ou de la Justice.
Je ne comprends pas l'intérêt du CESE. Sa suppression est souhaitable. Le sénat est censé représenter les territoires. Et bien à ce moment-là, qu'il les représentent à égalité : 3 sénateurs par département, élus sur liste directement par les citoyens.
Oui
Supprimer le CESE qui sert surtout à recaser les amis. Quant au Sénat, il faut renforcer son rôle (ainsi que celui de l'Assemblée Nationale) de contrôle de l'action du gouvernement. Il faut également arrêter d'en faire une sous-assemblée en supprimant le dernier mot de l'Assemblée Nationale (surtout si le Sénat est élus directement par les citoyens sur une base départementale ou régionale). Les deux chambres doivent se mettre d'accord sur un compromis pour que la loi passe. Cela responsabiliserait les deux chambres (et surtout le Sénat, dont on a parfois l'impression qu'il ne sert qu'à distribuer des subsides aux élus locaux.
Arrêter de nier l'existence de certaines religions. Toutes les religions doivent être traitées sur un pieds d'égalité.
il faudrait reformuler la question. Qu'est-ce que le respect de la compréhension réciproque ?
Arrêter de prendre les citoyens pour des benêts. Tirer au sort des citoyens sur les listes électorales pour les faire participer aux assemblées locales (communes, départements, régions) en leur réservant une partie des sièges (10% par exemple). Si les citoyens sont assez intelligents pour rendre la justice (jurys populaires), ils le sont aussi pour gérer les collectivités locales, voire faire la loi. La participation des citoyens au parlement pourrait s'envisager après leur participation à l'échelon local.
Le respect d'autrui, l'engagement associatif
Arrêter de laisser l'environnement urbain se dégrader : vivre au milieu d'un chantier ou d'une poubelle ne pousse pas à adopter des comportements civiques.
Participation des citoyens aux assemblées locales (cf. ci-dessus), voire au parlement. Relations avec l'administration : que l'administration change de logiciel et arrête de voir en chaque citoyen un délinquant en puissance. Ceci relancerait les relations sur des bases plus saines et permettrait de simplifier la paperasse.
incivilités routières (conduite dangereuse, vitesse excessive, refus de priorité,...)
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Prendre sur soi, faire un effort pour penser à autrui, bref être moins individualiste.
discrimination par couleur de peau
lutter contre le racisme. Mélanger plus les gens car les gens ont peur de l'inconnu.
Non
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Nous ne sommes par débordés par les immigrés comme on l'entend beaucoup en ce moment. La politique migratoire de la France est une honte : nous accueillons beaucoup moins de réfugiés que nos voisins. De plus, les réfugiés profitent généralement à l'économie du pays qui les accueille.
???
S'y préparer, et accueillir les migrants. La France est grande et une bonne partie du territoire est en voie de désertification. Se barricader ne changera rien à la pression migratoire et ne servira qu'à reculer l'inéluctable tout en traitant des êtres humains d'une façon innacceptable.
Il faut investir dans une politique d'intégration réelle en investissant dès maintenant dans des formations d'accueil. Ces formations voient permettre aux migrants (adultes et enfants) d'apprendre la langue et le fonctionnement des institutions. Un socle minimal de connaissances doit également être enseigné pour leur permettre ensuite, s'ils le souhaite, de rejoindre un cursus scolaire normal.
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Trop de couches : commune, communauté de communes, département, régions Il faut revenir aux anciennes régions (pas trop grandes) et supprimer les départements. Il faut aller vers une vraie décentralisation : les régions doivent avoir des compétences réelles, et surtout, doivent avoir la main sur leurs revenus. C'est à elles, et non à l'Etat de définir l'assiette et les taux d'imposition/
Oui
Entretien/création des routes (sauf autoroutes) et chemins de fer. Aides aux entreprises. Logements sociaux. Mais il faut une plus forte supervision des cours régionales des comptes.
Oui
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Oui pour développer les services sur internet, mais sans supprimer l'accès physiques pour les personnes n'ayant pas accès à internet (campagnes, manque de moyens) ou n'ayant pas les compétences (personnes agées, ou toute personne ne comprenant pas l'informatique).
Non
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la déclaration d'impôts.
demande de carte d'identité : quel retour en arrière de devoir allez dans une commune à 20km de chez soi pour demander la délivrance de ce document !
Oui
Non
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Oui
en leur laissant une marge d'appréciation, ne pas appliquer bêtement des règles venues de Paris mais qui n'ont pas forcément de sens partout. Redonner du sens à leur action.
Oui
Désenclaver la haute administration. Ouvrir les concours de celle-ci à d'autres que l'ENA et polytechnique, arrêter de formater la haute fonction publique et brasser plus les personnalités.
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manque de professeur remplaçant (Education Nationale) école trop petite (commune) rien n'est fait pour les élèves perturbateurs. Il semble que l'administration attende qu'ils quittent d'eux-même l'école pour règler le problème (collège).
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Problème avec les mutuelles. Pourquoi l'assurance maladie ne prend-elle pas tout en charge ? Cela couterait moins cher à la collectivité, vu le prix des complémentaires santé (taux de gestion trop élevé : environ 20% des sommes prélevées !).
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La pollution de l'air
Pollution de l'air : arrêter le diesel, les centrales à charbon.
Oui
hivers doux et très pluvieux
Oui
tri, limitation des déplacements en voiture, limitation des déchets (compostage, achat en vrac, certains produits fait maison comme le pain ou les yaourts, potager sans intrants chimiques), limitation de la température à la maison (chauffage à 19°C), pas de climatisation.
Aménager des sentes piétonnes et/ou des pistes cyclables dans les villes/villages et entre les villages.
L'aménagement de pistes cyclables me permettraient d'aller travailler à vélo (< 10km) plutôt que de prendre la voiture sur des petites routes de campagne.
Oui
Faire baisser le prix des chaudières à bois !
Oui
vélo: ce serait possible s'il y avait des pistes cyclables (routes étroites et dangereuses pour les vélos) pour me rendre dans le village d'à côté. transports en commun : très peu desservi et oblige à un gros détour par la ville-centre (trajet en bus 20km, environ 40 minutes, sans bouchons, contre <10km pour la voiture en 10 minutes, et cette route n'a jamais de bouchons). Privilégier quelques liaisons transversales sans passer par la ville-centre.
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Le département, la métropole et/ou les communes pour les liaisons douces (vélo, piéton). La métropole pour les transport en commun.
négocier avec ses partenaires plutôt que d'essayer d'imposer
Transport en commun : privilégier les bus en site propre : beaucoup moins cher que le tramway mais offre un vrai gain de temps par rapport aux voitures prises dans les bouchons. Par exemple, aux abords des villes, les bus en provenance des villages de campagnes devraient avoir des voies dédiées en parallèle des grands axes utilisés par les automobilistes. Ainsi, les gens seraient plus motivés pour prendre les transports en commun si ceux-ci sont plus rapides qu'un trajet en voiture dans les bouchons.
Votre message a bien été envoyé.