1/ affichage des contributions financières de l’État sur les façades des bâtiments publics ( un peu comme l'affichage des travaux) : gendarmerie, police, commune, région, bureaux de poste, Pole Emploi, services des impôts, crèches, écoles, lycées, ... 2/ envoi à chaque citoyen( et non pas seulement aux imposables...) d'un bilan annuel des comptes de l'Etat : avec un prévisionnel sur 3 ans à venir ( et comparatif des 3 années antérieures) . Idem au niveau de chaque structure administrative : région, département, commune. Un format simple et lisible, et accompagné d'un texte avec les priorités des élus sur leur mandat . 3/ un concours interne à chaque administration pour l'innovation, avec une prime selon les dépenses épargnées. Comme le font les entreprises ... les vraies économies sont connues du terrain. Publier ces résultats auprès des citoyens.
La justice c'est d'appliquer la loi, toute la loi, rien que la loi. Les fraudes fiscales dont le travail au noir sont un fléau pour nos économies démocratiques. Cela délégitime les contributions des "honnêtes", et encourage la délinquance fiscale. Notre époque du tout informatique doit permettre de connaitre les flux financiers et par recoupements de piéger les fraudeurs. S'il faut pour cela supprimer la monnaie physique, pourquoi pas ? Les transactions doivent être enregistrées et connues de l’État.
Notre système actuel est complexe et il n'est pas facile de répondre à cette question. La TVA s'appliquant à tous grève davantage les faibles ménages en relatif : ne faut il pas commencer par ceci. Lister les biens ou services premières nécessitées et réduire leur taux de TVA, de façon plus large qu'aujourd'hui. Y inclure en fonction d'un barème des bénéficiaires supplémentaires.
Augmenter le temps de travail
Pas d'avis.
Accompagnement des personnes âgées et seules. Prévention des maladies par des approches globales et statistiques permettant de remonter aux facteurs de causalité ( cancer, risque professionnel,pollution, produits chimiques,...) sur différentes mailles géographiques. Éducation des jeunes aux risques liés aux addictions. Pédagogie autour du Sport Santé.
Maintien en état de nos infrastructures. Nettoyage de nos villes et entretien de leurs abords. Qualité de l'air et de l'eau.
1/ La question de qui paye l’impôt demeure "cruciale" car elle détermine aussi un socle de citoyenneté. Dans une société où tout se monnaye, ne pas contribuer par l’impôt IR est il pédagogique ? La question mérite d’être posée et traitée : alors que la pression médiatique réclame le retour d'un ISF, ne faut il pas plutôt que chaque citoyen soit en mesure de comprendre ce qu'il doit à l'Etat et pourquoi il lui est demandé de contribuer TVA, CSG, IR, IFI,.... selon la loi ? Les impôts nous appartiennent collectivement en qq sorte et ne devrions nous pas être "fiers" de participer à ce grand projet national ? Il reste du chemin à faire, mais tant que les dépenses de l’État n'auront pas un caractère légitime, difficile de dire que le prélèvement est juste, même s'il est légal. 2/Réfléchir à un effort fort sur qq années pour redresser les comptes de la Nation s'impose : le Canada l'a fait il y 15-20 ans, cela a été sévère mais aujourd'hui la gestion est assainie. Sans requérir un shutdown à l'américaine, ne faut il pas s'inspirer de recettes que d'autres ont appliqué ? 3/L'abandon de l'écotaxe PL sous la pression des bonnets rouges bretons a été le début des renoncements, le report de la taxe diesel sous celle des gilets jaunes prolonge cet état de fait. Lionel Jospin doit se mordre les doigts d'avoir supprimé la vignette automobile (établie pour financer le devenir de nos vieux !) , et que dire du cout actuel dérisoire de la vignette Crit'air... qui aurait permis de rétablir une fiscalité ( à rendre annuelle...) des véhicules les plus polluants ? Un rétablissement de la vignette, tout impopulaire qu'il serait, ne serait que reconnaissance du droit à rouler sur les infrastructures françaises. De la même façon, tout véhicule étranger aux frontières devrait s'en acquitter par équité nationale, voire européenne. 4/ nos services publics sont rendus majoritairement gratuitement : police, justice, éducation, communication, circulation routière, ... Comme nous l'avons fait pour la santé, la recherche d'un équilibrage des dépenses/recettes s'est traduit ces dernières années par une contribution, certes minime aux frais de base. Ne faut il pas faire participer à certains frais les citoyens qui usent ou abusent des services publics : la justice doit elle demeure gratuite pour tous les actes ? Porter plainte indument ne serait il pas rendu raisonnable par une contribution de base ? La taxation des successions est elle suffisante pour permettre à l'Etat de développer une société de demain plus humaine alors que la durée de vie augmente notablement depuis la fin de la guerre? La taxation des communications ou des GAFA est elle à l'échelle des frais d'infrastructure de nos télécommunications ? Les droits de circulation sur les autoroutes doivent ils être captés par des sociétés de BTP ? L'accès à nos centre ville, l’entretien de notre réseau routier doit il peser uniquement sur l’État ou aussi à leurs utilisateurs ( locaux ou nationaux, ou européens ?)
Le président de la république désigné démocratiquement par le scrutin universel
Oui
La sphère syndicale, si elle est apolitique, doit être reconnue et appelée à s'exprimer sur les questions de société. Les associations à caractère social doivent être consultées pour leur connaissance du terrain et des problématiques des plus démunis. Les associations représentatives de citoyens sont aussi tout à fait légitimes, à condition de n’être ni manipulées ni sectaires, et être reconnu pour travailler à une mission de ( et au) service (du) public : une association d’intérêts uniquement particuliers ( défense de ceci ou de celà, sans y contribuer sur un vrai projet et depuis longtemps) n'est pas représentative, à ce sens. Le temps d'un débat public ou d'une consultation locale, leurs avis peuvent être entendus par un commissaire enquêteur, voire même publiés et portés à la connaissance des citoyens concernés. Ceux ci demeurent consultatifs.
Faire participer systématiquement les citoyens au scrutin : scrutin obligatoire, sous peine d'amende.
Une bonne chose
A permis l'accession d'une classe nouvelle. Evite les prés carrés à tous les niveaux et oblige au dialogue intra-courant.
Notre scrutin majoritaire est gage d'efficacité en gouvernance et il ne faut surtout pas y renoncer. La représentation nationale n'est que le reflet des urnes, selon la règle majoritaire. Certes cela écrase certaine minorité incapable de représentation suffisante. Et en même temps, je ne serai pas hostile à une représentation à la marge des minorités, mais comment la fixer ? Cela devrait rester marginal de toutes façons, pour garder l'esprit du scrutin majoritaire et son efficacité.
Oui
Les niveaux région, département et commune sont trop nombreux et les élus associés aussi. Les intercommunalités vont dans le bon sens, et impose une vision de l’intérêt général plus global. Il faut agglomérer région et département, et repenser l'état comme une instance locale et proche( au moins par internet)
Rendu obligatoire, le scrutin sera reconnu comme plus démocratique car plus représentatif. La généralisation des campagnes électorales par des sites internet "officiels" plutôt que par tract ou annonce télévisuelle surannée faciliterait l'information de chacun. Et voter par internet n'aurait il pas du sens ? A l'heure des réseaux sociaux, l'Etat ne doit il pas s'emparer des mêmes outils ?
Oui
Basiquement, les suffrages exprimés resteraient décomptés à l'identique et décideraient. Les résultats du vote blanc seraient publiés indépendamment des nuls. Par ailleurs, le décompte des blancs permettrait uniquement sur des consultations, type référendum, d'annuler la consultation (ni oui ni non) si leur nombre est supérieur aux exprimés : ceci invaliderait la consultation, et renverrait ceux qui l'ont souhaités à d'autres processus de décision. Ceci réduirait par exemple le risque de consultation (RIC ou assimilé) sur des questions impropres au vote démocratique.
La question est paradoxale. Je ne suis pas sur que la majorité des citoyens le souhaitent. Chacun voudrait bien que cela se passe bien sans lui : soit qu'il voudrait que l'on fasse comme il pense implicitement , soit qu'il s'en moque. L'exemple du grand débat est assez éloquent pour répondre à votre question : combien vont ils prendre le temps de formuler, expliquer ou débattre ? Bien peu certainement en % de la population. Si le vote est rendu obligatoire, faut il de plus une participation effective supplémentaire de citoyens à la vie de la Nation ? L'idée est généreuse, mais le risque est grand de décaler encore une "nouvelle élite" du peuple.... et de lui faire perdre toute légitimité. Personnellement, je crois qu'à l'image de ce grand débat particulièrement bien en vue des médias et ouvert sur internet, l'utilisation périodique de ce genre de plateforme en amont de certaines lois ou réformes serait de nature à garder la participation possible. Toujours de manière consultative. La question demeure de savoir si les avis seront écoutés.... mais comment ne pas faire confiance, si on nous consulte ? La sanction n'en serait que plus sévère au tour suivant des élections, pour ceux qui seraient restés sourds ou aveugles ...
Je ne sais pas
None
Votre question est bizarre. Comment consulte t on sur l’utilisation de l’argent ? Il existe des budgets et ceux ci sont votés dans des instances (assemblée nationale , région, département ou commune). La réduction du nombre de niveaux serait un facteur de simplification budgétaire. La mise en débat des projets de budget en amont des votes des instances par des plateformes participatives peuvent s'imaginer... de manière consultative et sans déresponsabiliser les élus.
Le principe du rôle du Sénat de contre pouvoir est légitime. Ce qui l'est moins aujourd'hui c'est la désignation de ses représentants, qui apparaissent éloignés des citoyens et du terrain. Élus par d'autres élus, et avec des renouvellement par fraction, c'est un système de "traîne". De plus le système des navettes avec l'Assemblée est une ligne à retard incompréhensible dans notre monde moderne : un examen et un retour à l'Assemblée et pas davantage ! Le Sénat pourrait être une assemblée plus représentative des forces de la Nation, à l'image du Cese. Pour être un peu brutal : inverser les rôles du Cese et du Sénat, et supprimer le Sénat , idiot ?
Oui
Voir Supra. Supprimer non pas le Sénat dans sa fonction mais dans sa façon d’être constitué aujourd'hui et le rapprocher d'un Cese ( une assemblée qui aurait son mot à dire sur des axes différents du politique et représentant les courants de la société : Economie, le Social et l'Environnement....) . Au passage, il faut aussi réduire drastiquement le nombre de représentants au Cese (plus de 200 aujourd'hui)
Toutes les religions sont reconnues et soutenues à l'identique. Les extrémismes de chacune d'entre elles sont également combattues. La laïcité c'est enseigner aussi le libre choix, et non l'ignorance des religions. L’Éducation Nationale ne rime t elle pas trop avec agnosticisme et athéisme?
L'éducation, l'éducation, et encore l'éducation mais pas seulement à l'école ... dans la famille surtout. Dans tout établissement public et dans la rue : un mot d'ordre l'exemplarité !
Un service civique obligatoire pour les jeunes, mais aussi pour les jeunes retraités afin de dynamiser le bénévolat et le monde associatif. Le travail d’intérêt général ne doit plus faire peur. C'est un moteur de création de tissu social. Et pourquoi pas des incitations fiscales , si on fait don de son temps à un organisme reconnu ?
L'attention aux situations humaines, le respect et l'écoute. Le refus de la violence et l'utilisation de la parole. La citoyenneté commence par l'exemplarité.
voir supra
voir supra
Détritus, insolence, inattention à autrui, comportement irresponsable, bruits inutiles, .... vitesse au détriment d'autrui et de soi-même, haine verbale et physique.
Malheureusement faire des rappels à la loi, sanctionner et demeurer exemplaire
Agir et intervenir posément. Faire reconnaitre une obligation légale de chacun à réagir en tout civilité ( Ne plus avoir à craindre de dénoncer et de dire en public les incivilités).
Raciales.
Éduquer.
Oui
C'est un sujet explosif. Le fait qu'il le soit d'ailleurs montre l'irresponsabilité globale de notre "société" : celle qui s'exprime dans les médias. La il faut rester au plus près du sens et du bon sens : c'est celui qui serait sanctionné qui doit le comprendre et la trouver légitime. Que font des pays étrangers ? Il faut que cela reste culturellement compréhensible. Si cela était mis en place c'est pour "élever" chacun dans son rôle et face à ses objectifs. Ce n'est pas une recherche de réduction du cout social, même si cela y contribuerait pour les moins respectueux.
Vu la richesse globale de notre société, nous en parlons beaucoup et faisons peu. J'ai honte de penser que nos ouvrons nos portes aux réfugiés politiques (ce que je ne conteste pas ) mais rechigons lorsqu'ils s'agirait de migrants économiques .... le cerveau serait il supérieur à l'estomac ?
Bien sur, il faut élargir notre accueil. Qui d'entre nous n'est il pas un peu d'ailleurs ? Il faut savoir bien accueillir et si des quotas sont utiles, il faut les réevaluer régulièrement pour ne pas refermer plus souvent la porte face aux besoins.
Service civique d'accueil et mobilisation des associations pour aider à l'intégration progressive ( FLE, logement, formation , travail pour les adultes .... et scolarité pour les enfants, accès à la culture plus globale)
La proximité et la connaissance de personnes en situation de souhait d'intégration apprend plus que tous les discours généraux et nauséeux qui rendent le migrant inconnu et inhumain. Par quartier, on doit pouvoir contribuer à accueillir une famille en se regroupant en cellule de soutien (plusieurs familles) , avec l'aide de professionnels associatifs ou de l'Etat. Il y a tout à imaginer et faire.
None
Notre millefeuille, fruit d'une histoire dépassée, s'il a pu nous faire sourire, grève notre avenir et notre adaptation aux vraies problématiques . Aucune entreprise digne de ce nom de l'ère moderne n'accepterait un tel fonctionnement en superposition. La suppression des départements , le regroupement des communes associé à la suppression réelle des communes sont urgents en acceptant la suppression des postes liée au réattribution et la rationalisation des services.
None
Je ne sais pas répondre en qq lignes à cette question. Si déjà on réorganise les collectivité territoriales elles-mêmes , ce serait un pas à faire sans changer leurs missions. Si la question Etat/Collectivités prend sa source dans plus grande efficacité au bénéfice du citoyen, la réponse parait naturelle, oui. Mais si la question est plutôt un transfert sans dotation budgétaire pour créer la dynamique du changement, le pire est probable : pas de vraie réforme et plus de service rendu ! On aura tout perdu. Notre société d'aujourd'hui est fragilisée par l'incompréhension qui règne entre les différents niveaux de représentation de l'Etat : n'est pas un mal bien français ? L'Etat est un et indivisible, le simplifier aidera à comprendre ce qu'il est et comment on doit y contribuer et le respecter. Attention, ce n'est pas de la sémantique .... clarifier les interfaces entre le citoyen et les différentes structures de l'Etat c'est pérenniser notre bien commun : la citoyenneté.
Oui
En milieu urbain, c'est heureusement encore le cas.
Voter par internet faciliterait la participation et permettrait de voter plus souvent, non ?
Non
None
None
Les impôts.
La Poste, les Service Sociaux
Oui
Non
None
Par le passé, oui : dépose de permis de travaux en multiples exemplaires. Aujourd'hui, cela se simplifie globalement.
Oui
Votre question est un peu bizarre : oui bien sur s'ils en sont capables. Non, s'ils n'en sont pas capables.
Oui
Être au service du public a un sens précis et concret. Beaucoup en font preuve derrière un guichet ou au contact du public, d'autres plus éloignés de ce contact perdent sans doute ce sens et la nécessité d'y contribuer eux-mêmes. On entre au régime de l’administration pour la vie....
Réinvestir les lieux désertés. Plus de connexion Internet et accès à des personnes référentes locales : autrefois, on faisait appel à l'écrivain public, pour quoi pas un référent public, qui ne soit pas le maire ? Un jeune retraité bénévole, formé par l’administration qui remplirait un service civique de proximité ? Clarifions les responsabilités en renforçant les tissus d'aide autour des structure locales.
Sans objet
Sans objet
Pole emploi et Mission locale : qui y croit encore ? L'adéquation offre/compétence est catastrophique. Désolé mais pour faire simple et illustrer le dilemme(chômeur/employeur) : même Bla-Blacar marche mieux, heureusement pour eux et leurs usagers !
RAS
Je pense que nos enfants sont perdus face à l'empilement des taux/modes et centres de remboursement (SS, Complémentaire, Supplémentaire) . Nous avons appris et y avons passé beaucoup d'énergie pour eux étudiants, et aujourd'hui jeunes travailleurs, ils renoncent souvent aux soins. C'est à la fois éloquent de la désorganisation et désespérant pour notre modèle de santé.
Sans objet
Sans objet
Sans objet
Sans objet
Sans objet
Sans objet
Sans objet
Autant j'ai rempli avec intérêt les 3 autres projets du grand débat , autant celui ci me parait bien orienté comme un recueil de doléances face à des questions trop précises. Pardon, c'est un bon questionnaire administratif... d'une administration qui ne veut rien changer ? Je pense que la question du domaine des services publics (r)attachés à l’État aurait mérité des questionnements beaucoup plus profonds et larges : depuis la fin de la guerre, et sous l'influence de différentes politiques , nous sommes passés par différentes formes de services : entreprises industrielles monopoles d’État, vagues de nationalisation/privatisation, services concédés à des entreprises privées ,etc... Cette question est légitime du grand débat car nombre de nos concitoyens ne comprennent pas que l'on privatise Aéroport de Paris, que les tarifs de l'énergie soient insuffisamment encadrés, que les autoroutes soient devenues la manne des grands du BTP, que la FDJ soit cédée à des intérêts privés,etc... Il en résulte un sentiment d'injustice et de cession de bénéfices à certains puissants. L'Europe, et ses règles de libre concurrence, ont en partie créées la complexification du monde industriel et institutionnel en bousculant parfois ce qui marchait bien à l'échelle hexagonale. EDF/GDF, demain la SNCF... l'Europe doit exister et fédérer, unifier, rapprocher les pays certes. Mais ne souffrons nous pas de l'absence d'une vision de long terme qui dynamise et tire notre pays en avant ? Nos service publics doivent devenir des références au delà de nos frontières et osons afficher notre légitimité nationale à faire à la française , en respectant nos coutumes et nos forces, et au besoin en contrecarrant les puissances financières multi nationales. Et pourquoi pas des services publics européens ? En étant un brin provocateur, pourquoi ne pas ériger QWANT en modèle national plutôt que Google ? Ne faut il pas que l’État appelle à des concessionnaires de service public (comme on attribue les fréquences télécoms d'ailleurs) autour d'Internet en taxant les Gafa ? Pourquoi désorganiser le secteur de l'énergie en découpant les portefeuilles, au lieu de créer un énergéticien bas carbone ? Pourquoi laisser les camions traverser la France au seul bénéfice des majors du BTP et ne laisser aux citoyens que leurs particules fines ? Comment faire tourner des trains sur des petites lignes et des TGV sur les grandes ? L’État doit être celui qui réfléchit en amont et propose la société plus juste de demain. Plus solidaire et plus humaine. Des service publics sur des missions du futur en qq sorte. Si l'Europe est forte, importons les bonnes solutions de nos voisins aussi et exportons les nôtres quand elle sont meilleures. L'héritage des générations passées a été trop souvent la perspective d'une nouvelle guerre, que le notre soit celui d'une Europe plus humaine et solidaire, au delà de nos frontières de France et un modèle de société qui bénéficie au plus grand nombre..
l'absence d'une politique énergétique bas carbone mieux comprise et partagée régionalement ( je n'ose écrire mondialement !)
Bruler le carbone en cycle ouvert comme notre monde le fait depuis la découverte des énergies fossiles est une impasse. Les solutions renouvelables actuelles sont intermittentes, à part qq installations hydrauliques au fil de l'eau. Il devient urgent de réhabiliter dans l'opinion le besoin d'énergie bas carbone "continu" : ce sont basiquement l'hydrogène et le nucléaire civil responsable. La France a fait l'un de ces deux choix courageusement dans les années 70, et actuellement elle piétine sur le premier et patine sur le second. Technologiquement nous en sommes capable, humainement également. Les énergies renouvelables sont capables de recharger en hydrogène nos véhicules (terrestres, maritimes, et aériens) de demain. L'énergie électrique doit se substituer presque partout sur les installations fixes.
Oui
Pollution aux particules fines cumulée aux températures caniculaires , nous en souffrons. Variabilité climatique anormale produisant des dégâts ( sécheresses, inondations). La faune et la flore nous alertent et nous niions la réalité de ce bouleversement profond.... SOS !
Oui
aujourd'hui peu. Demain si vous lancez un "plan climat" : contribuer à informer/éduquer des plus jeunes dans les écoles ? Réaliser de véritables transformations locales par le bénévolat autour de projets de remise en état et quvegarde de notre environnement (chantier vert, nettoyage urbain, ...) .
Affichage dans les véhicules ou sur les factures de notre chauffage des kg de C0² produit.
Une idée : un rabais d’impôt sur base d'une consommation raisonnable carbone par exemple . Pourquoi ne pas affecter à chacun un compte carbone (comme un compte en banque) selon "notre n° de sécu" et faire une déclaration annuelle de consommation ? Tous acteurs, tous concernés. Il va de soi que ce système s'appliquerait aux grands comme aux petits, et pas seulement aux individus mais aussi aux entreprises. Et bien sur, des incitations plus drastiques à réduire son empreinte carbone seraient fixées aux plus forts pollueurs.
Oui
cf supra, la déclaration annuelle de consommation
Oui
J'y suis sensibilisé et lorsque j'ai le temps privilégie les transports en commun. Il faudrait rendre simple et rapide l'utilisation des transports en commun : c'est le temps d'attente qui freine leur usage. Les applications Apps d'horaire et la fiabilité/fréquence des liaisons permettent de lever ces freins. L'eesayer c'est l'adopter....
Le transport à la demande
localement, ne devrait ce pas être un service rendu par la collectivité ? Une Apps et un soutien financier aux contributeurs proposant leur véhicule...un "bla-bla" car local permettant en plus de faire du lien social. Une incitation par la déclaration annuelle de consommation, cf supra, pourrait aussi aider les utilisateurs à les solliciter.
Exemplarité et mise à disposition de nos technologies pour les pays adhérant à ce plan climat. Coopération plutot qu'injonction. Formation et accueil d’étrangers. Renoncer à soutenir les lobbys pétroliers. Faire valoir ces obligations climat dans les groupes étrangers et nationaux résidents en France, mais aussi dans les groupes français résidents à l'étranger.
1/ Il y a urgence à mettre en service le stockage profond de Bures pour l'enfouissage des déchets nucléaires à vie longue, pour rendre responsable la filière nucléaire de cette gestion, jusqu'à son terme final. Le nucléaire civil responsable est un atout à condition de le garder sous un strict contrôle indépendant et au service de la collectivité (éviter le travers d’intérêt financier court-termiste) : il faut "courageusement" permettre le renouvellement d'un parc nucléaire raisonnable "en base" pour le siècle à venir. C'est l'outil "actuel" à base de fission (les énergies à base de fusion ne seront pas accessibles avant longtemps) qui nous permet d'accéder à la fois à notre indépendance énergétique requérant certes développement responsable (technologie, humaine, sociétale) et qui garantit une réelle production de masse "bas carbone" , sans laquelle nous allons suffoquer. 2 / Le tout hydrogène pour la mobilité doit se concrétiser dans les 20 ans. Les grands groupes énergéticiens doivent y travailler d'arrache-pied. Nos stations services essences doivent être renouvelées en station hydrogène entre temps. Pourquoi ne pas s'y investir résolument ?
Votre message a bien été envoyé.