Date de publication : 2019-03-07
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les élus : Ils sont la voix de la démocratie. S'ils déplaisent ou échouent, on les change.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

J'avais un avis réservé sur les syndicats parce qu'ils ne sont pas représentatifs, notamment du fait de la confusion entre leur fonction et leur marque politique. Ils sont moins professionnels que politiques, ce qui explique un taux de syndicalisation très bas en France. Mais avec le mouvement des gilets jaunes, l'erreur commise par le Président Macron de vouloir contourner les instances syndicales a montré que c'était une lourde erreur car il n'y avait pas d'interlocuteur et de représentant avec qui parler. Il a commis la même erreur en se coupant des élus locaux. Il faut des relais pour nourrir un dialogue.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

En finir avec la possibilité de faire de la politique un métier, ce qui est unique en France. Cela passe par une mesure radicale dont personne ne parle : l'interdiction de se représenter. Plus que le cumul des mandats, le renouvellement de 2 mandats successifs est la cause essentielle de l'inefficacité de nos politiques : à peine élus, au lieu d'attaquer de fond en comble les chantiers des réformes, passés quelques mois à bénéficier d'un état de grace, les élus sont tétanisés par une seule idée : se faire réélire, donc ne pas faire de vague. L'élu qui sait qu'il ne pourra prolonger son mandat fera le travail en profondeur sans cette crainte. Et puisque les mandats sont plus courts, on pourra se souvenir des réalisation faites par le prédécesseur qui pourra se représenter 4 ou 5 ans après la fin de son 1er mandat . L'élu non rééligible pourra candidater pour un autre mandat (local/national…) et surtout, retourner à la vie active se replonger dans la "vraie vie". Autre point : C'est étonnant de voir comment les élus d'opposition restent inutiles et stériles. ils restent collés à une enceinte politique où ils ont peu de pouvoir et passent uniquement leur temps à démolir la majorité. Au lieu de cela, ils devraient aller voir et découvrir comment ca se passe dans les autres pays, thème par thème. Personne ne le fait. Nos élus ont le regard sur le nombril de la France et ne s'ouvrent pas au monde pour découvrir ce qui marche mieux ailleurs. Du coup, leur réflexion est plate, sans idée nouvelle, sans imagination, sans audace, sans idée, sans perspectives nouvelles...

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Je ne sais pas

6. Pourquoi ?

Plus que le non cumul, c'est la non rééligibilté qui devrait s'imposer obligeant les élus à changer de poste, à abréger leur carrière, à laisser la place à d'autres, à prendre le temps entre 2 mandat d'aller s'enrichir par l'études d'autres pays/régions à l'étranger.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Ne rien faire qui anéantisse l'apparition de majorités stables. Le système de la représentation municipale est une bonne solution : 50% des sièges à la majorité et les 50% restant à la proportionnelle. Ca permet à toutes les tendance politiques d'être représentées, sans affecter la capacité à dégager une majorité.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

C'est moins par la surpression d'une catégorie d'élus correspondant à une collectivité locale particulière que par la réduction du nombre sidérant d'élus correspondant au mille-feuilles Français : mairie, agglo, communauté de commune, conseil départemental….

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

La qualité des débats dans les média est pitoyable. Elle ne favorise en rien l'intérêt et la participation. Leur responsabilité est immense dans cette désaffection. Tout ce qui contribue à la formation des jeunes (conseil municipal/parlement des jeunes) doit être poursuivi et développé. La participation s'améliorera quand les resultats des bilans de mandats s'amélioreront. Les citoyens sont lassés du spectacle désolant des politiques qui font de la com' plus que de la pédagogie et de l'action concrète.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Il faut comptabiliser les votes blancs : ils sont significatifs et peuvent réduire le vote vers les extrêmes s'il sont pris en compte. Il faudrait fixer un seuil à compter duquel le nombre de vote blanc obligerait de revoter

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

La voie du référendum doit être améliorée. Certes, il peut s'agir d'un piège pour le dirigeant qui le propose car on a toujours le risque de ne pas répondre pour ou contre à la question mais pour ou contre à son auteur. Pour cela il faut le réintroduire sur des sujets qui ne placent pas le dirigeant en arbitre ou qui ne font pas du référendum un plebiscite personnel ou dont le résultat n'affectera pas la poursuite de son mandat. Pour cela, les questions de sociétés pourraient une bonne voie (Solidarité/dépendance; peines planchers, fin de vie…) ou l'organisation des institutions (baisse du nombre des élus, nouvelle vague de décentralisation, arment des polices municipales

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

Cela me semble une usine à gaz.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Il faudrait, avant de consulter les citoyens, beaucoup plus pratiquer "l'experimentation" : on testerait les mesures nouvelles pendant un an ou 6 mois dans tel département, telle région et on observerait et analyserait les résultats avant de décider de les généraliser. Cet exercice de bon sens est très insuffisant en politique. Il évite pourtant des erreurs et surtout leur ampleur. On aurait fait cela avec les 356 heures dans l'hôpital, on ne serait pas arriver à une telle désorganisation de notre système hospitalier. Mais surtout, il faut donner une "force exécutoire" aux rapports de la cour de comptes en permettant par exemple à la commission des finances de l'assemblée nationale (désormais présidée par un membre de l'opposition), de fixer à l'ordre du jour de l'assemblée nationale un projet de loi applicatif de ces avis de la cour des comptes, sans que le gouvernement puisse s'y opposer. Concrétisés par une loi annuelle (type loi de finances), les avis de la cour des comptes auraient une utilité concrétisée. ces rapports sont bourrés de bonnes idées, de constats évidents mais les politiques les oublient aussitôt, toujours et encore pour ne pas déplaire...

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Je suis très circonspect sur les CESE au plan national comme dans les régions. Utilité très faible, voir nulle.

18. Faut-il les transformer ?

Non

19. Si oui, comment ?

Il faut les supprimer comme tant de comité bidules : ca ne dégagera pas des économies colossales au niveau du budget et du déficit actuel, mais ca donnera l'exemple de ce qu'il faut faire

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Il faut être beaucoup plus strict sur la place du religieux dans l'espace public pour le laisser libre de s'exercer pleinement dans la sphère privée. La laïcité ne doit concéder aucun recul car elle inhérente à la République. Chaque religion doit être exercée librement mais les enseignements religieux et ceux qui les exercent doivent être soumis au contrôle de l'état pour s'assurer de leur contenu. Enfin, les signes ostensibles religieux doivent être interdits dans les espaces publics (à l'exception des autorités religieuses) s'il sont pour effet de dissimuler les visages ou de permettre des transporter des objets dangereux et de créer des risques en terme de sécurité. Ce n'est peut être pas la tendance actuelle dans beaucoup d'états (grande bretagne, Europe du Nord, mais c'est la marque visible de la laïcité.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

L'education, la loi et la justice en cas d'infraction. Etre intransigeant avec tous les manquements, les atteinte au symbole de l'Etat à l'autorité de l'Etat, aux force de l'ordre… la justice est beaucoup trop complaisante. la question se pose aussi de la responsabilité des médias avec les images qui tournent en boucle et qui banalisent cette violence contre les symboles républicains. On opposera la liberté de la presse et de l'information ? cette liberté devient une menace dès lors que ce qui est montré est toujours les actes d'agression aux valeurs de la république et jamais les actes de condamnation...

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Mettre beaucoup plus en avant les actes héroïques et exemplaires en décorant davantage des inconnus qui ont réalisé des prouesses que des acteurs ou des chanteurs qui n'en ont aucunement besoin. la peoplisation depuis des décennies de la légion d'honneur et du Mérite sont effarantes. On décore les vrais courageux souvent sur le coussin de leur cercueil alors que tous les jours des gestes remarquables sont effectués : on ne décore pas ceux qui font des maraudes pour s'occuper des sans abris. On ne décore pas ceux qui visitent les prisonniers. On en décore pas assez les chercheurs qui font progresser la science. Par contre, les élus locaux, les fonctionnaires… représentent des bataillons de décorés. Ce n'est pas normal.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

En parler davantage. Mettre en avant les exploits plutôt que des faits divers.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Il y en a tant ! La saleté dans les rues, sur les routes et les voies d'accès autour des grandes villes. Les comportements inadmissibles de certaines communautés qui sous prétexte de manifestations joyeuses, bloquent, perturbent, agressent (voir certains mariages dans les centres villes, voir les dégradation le soir d'une finale de coupe du monde remportée par la France…). Et on ne dit rien, one fait rien parce que ces era vécu, une fois de plus comme une orientation raciste ou une ségrégation… Ca ne peut plus durer, sauf à vouloir le FN au pouvoir !

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Ne rien lâcher. Sanctionner dès la première infraction. Pas de rappel à la loi mais une obligation de réparer, de nettoyer. Les TIG sont bien plus utiles à condition d'être effectués réellement.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Il faut investir certains professionnels d'une autorité de police en les faisant prêter serment : exemples des moniteur de ski et pisteurs de ski face à la délinquance nouvelle sur les pistes de ski (comme aux USA). Un skieur expose les autres a de grands risque en raison d'un comportement dangereux devant un moniteur de ski : retrait du forfait ! Des scooter de mers adoptent une attitude dangereux à proximité de baigneurs ? Les maitres nageurs et secouristes de plage doivent pouvoir les dénoncer ou les verbaliser….

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Donner du temps pour des causes utiles. Exemple : un chômeur qui perçoit une allocation doit participer, à son choix, à des activités d'associations.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Les conditions de protection sociales en France constituent une forte attractivité. Or nous n'avons pas les moyens de maintenir ce système. La carte vitale doit être rendue infalsifiable. Les conditions d'attribution des allocations doivent être soumises à des conditions d'ancienneté sur le territoire français plus longues. L'immigration est une donnée au niveau e l'Europe. On a besoin d'une Europe beaucoup plus forte, beaucoup plus ferme et donc d'une Europe beaucoup plus intégrée sur ce volet. Les conditions d'entre sur le territoire américain sont bien plus strictes, depuis très longtemps. l'Europe doit s'en inspirer. Il faut beaucoup plus sélectionner les condition d'immigration, notamment sur des critère de niveau de formation. Naturellement, cette orientation ne doit pas empêcher l'exercice du droit d'asile a condition qu'il soit réserver aux seuls victimes de totalitarisme et accompagné d'une veritable politique de reconduite à la frontière pour ceux qui n'y sont pas éligibles. Or la encore, les décisions de justice ne sont pas appliquées, ce qui est connu des réseau et aggrave la situation.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Accentuer fortement l'aide au développement pour limiter ces phénomène migratoires. Les pays les plus riches réservent une part beaucoup trop insuffisante au développement dans le monde

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Le mérite à l'école. Il faut beaucoup plus permettre à ceux qui réussissent d'intégrer les grandes écoles (type politique de Richard Decoins à ScPo Paris) - Oui aux quotas s'ils permettent de reconnaitre aux plus méritants le droit d'accéder à des enceintes qu'ils ne pourraient jamais intégrer sans eux !

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La méthode très culpabilisante avec laquelle on traite ces sujets

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Prendre le sujets à l'envers : c'est à dire exposer les avantages et les améliorations de la vie quotidienne plutôt que de culpabiliser les citoyens en stygmatisant les comportements que certains ne peuvent pas changer du jour au lendemain.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Non

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Je pense que notre capacité à protéger, en tant que citoyen, est quasi nulle : cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas le faire. Mais les vrais leviers sont ailleurs : les industries, les échanges internationaux, les pays en voie de développement…. les potentiels sont sans communes mesures avec l'impact positif que nous pouvons avoir au niveau des citoyens

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Une fiscalité réellement attractive et des modes de substitution simples et efficaces : un exemple, les trottinettes électriques sont sans commune mesure bien plus utiles et convaincantes pour renoncer à prendre un véhicule pour de très petites distances en ville que les transport en commun qui restent notoirement insuffisants.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

les déductions d'impôts à condition d'être réellement incitatives

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

réduction d'impot

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Je le fais : deux roues, trottinette électrique

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Des sociétés privées. ET pour les transports en commun, les collectivités. Mais là, l'approche est très mauvaise. On stygmatise l'automobiliste en ville. on réduit les voies réservées au voitures pour les remplacer par des voies de bus ou des tram. Les bouchons que cela provoquent maintiennent le même taux de pollution voir l'aggrave. Pourquoi ? parce qu'on ne développe pas plus le nombre de bus ou de tram... On leur attribue plus d'espace mais les passage ne sont pas plus nombreux (exemple vérifié à Lyon)

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Déjà, je ne sui spas certain que la France soit un exemple à elle seule. D'autres pays (Europe du Nord) sont meilleurs que nous. la solution passe par la mise en commun des expérience et la communication vers les résultats obtenus : il n'y as que cela qui convaincra…. peut-être !

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Je trouve inadmissible la façon avec laquelle on reproche aux automobilistes de ne pas faire suffisamment d'effort pour opter en faveur des voiture propres alors que le prix des hybrides, des véhicules électriques est absolument exorbitant. C'est comme reprocher aux gens modestes de ne pas partir en vacance au club med ! J'ai voulu changer de voiture et j'ai regardé les prix des hybrides : c'était plus de 25% plus cher ! La Zoe coute un prix siderant pour ce que c'est comme voiture. Il faut savoir si on veut faire basculer massivement le parc de voitures dans l'électrique : cela ne se fera pas tant que les prix resteront si élevés. Accessoirement, cette question pose celle du Nucléaire dans notre approvisionnement énergétique : le paradoxe, voir la contradiction, sont absolument majeurs sur ce point. Ce ne sont pas les energies renouvelables qui permettront de répondre aux besoinx si le parc automobile en France passe à l'électrique. Le politique doit avoir le courage de le dire.