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Les professionnels de santé ont leur déclaration contrôlée grâce au SNIR, Système National Inter Régime, qui regroupe tous les remboursements effectués aux patients que ce soit par les Caisses de Sécurité Sociale, la Caisse de Mutualité Sociale Agricole, les Caisses spécifiques aux différents régimes de santé, et les remboursements effectués par les différentes Mutuelles. Le total des honoraires perçus par chaque praticien en France est donc porté directement sur sa déclaration d’impôts. Il leur est donc impossible de tricher sur leur déclaration de revenus. Dans le cas des praticiens qui sont Ostéopathes, aucun contrôle n’est actuellement réalisé. Il est connu dans cette profession qu’actuellement il est très facile de minorer son revenu puisqu’aucun organisme ne le contrôle. Pour exemple, nous connaissons un praticien ostéopathe, non professionnels de santé, qui a acquis récemment un BMW X6 pour la modique somme de 70 000 euros, ce praticien déclarant lors d’un repas privé ne déclarer un revenu mensuel jamais supérieur à 2200 euros. Par équité avec les autres professionnels de santé, et puisque les moyens sont à notre disposition, il apparaîtrait normal d’englober tous les praticiens ostéopathes qu’ils soient ou non professionnels de santé dans le mécanisme du SNIR.
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Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Il faut cumuler toutes les aides sociales perçues par une personne, qu'elles soient délivrées par les CAF ou par les Mairies ou les Assistantes Sociales et faire en sorte qu'une personne qui ne travaille pas ne puisse bénéficier d'un revenu qui ne soit supérieur à 80% du SMIC ? Il faut contrôler scrupuleusement les aides apportées aux personnes venant d'un pays étranger et apportant des documents parfois faux ou correspondant à l'identité d'une autre personne parfois décédée ! Il faut utiliser les moyens modernes que sont les Réseaux sociaux pour contrôler l'identité des personnes percevant une retraite en France et résidant à l'étranger ... Certaines personnes ne meurent jamais !
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Pas plus d'impôts, certainement pas - Réduire la dépense publique et diminuer les nombre de fonctionnaires et pour l'exemple, diminuer les nombre de parlementaires au Sénat et à l'Assemblée
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La pollution de l'air
Le code de la route belge interdit de laisser tourner son moteur lorsque le véhicule est arrêté. Depuis le 1er mars 2019, les contrevenants se voient adresser une amende de 130 euros ! Contrairement aux idées reçues, laisser tourner son moteur plus de 10 secondes émet davantage de CO2 que de redémarrer ce dernier. Ainsi, le but de la mesure est de réduire ces émissions nuisant à l’environnement ainsi qu’à la santé (400 000 décès prématurés en Europe). Par ailleurs, les automobilistes peuvent réaliser des économies non négligeables en ces temps où le carburant est de plus en plus onéreux. En 2016 déjà, la Région wallonne estimait que si chaque automobiliste réduisait de cinq minutes son temps de stationnement moteur en marche chaque jour, cela serait synonyme d’une économie de plus de 160 millions de litres de carburant. C’est l’équivalent de 380 000 tonnes d’émission de CO2. Je réside dans une petite ville bretonne de 1200 habitants. À côté de mon domicile, il y a une supérette et quatre places de stationnement sont notées « Arrêt rapide moins de quinze minutes » à destination de la clientèle de cette supérette. J’ai constaté que chaque heure, il y a en moyenne dix-sept conducteurs qui laissent tourner leur moteur le temps de faire quelques brefs achats, entre trois et sept minutes. Les mêmes véhicules, sont déplacés 200 m plus loin jusqu’à la boulangerie et le même scénario se reproduit, ces personnes laissant tourner leur moteur le temps d’aller acheter leur pain et autres viennoiseries. Je pense que ce qui existe dans notre bourg, existe chaque jour dans des milliers d’endroits en France, en particulier dans les villes, rendant l’air irrespirable dans certaines rues. Les mesures de pollution de l’air n’étant pas faites spécifiquement dans ces zones, aucune évaluation spécifique ne les met en évidence. Reprendre la loi belge, et inscrire définitivement dans notre code de la route qu’un véhicule arrêté doit avoir son moteur arrêté serait une mesure de santé publique et réduirait efficacement et sans aucun coût pour la collectivité, mais au contraire avec quelques économies, l’émission de CO2 dans l’atmosphère.
Non
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Oui
Economie de chauffage, économie d'électricité ( l’abonnement EJP que nous avons depuis trente ans nous a conduit à rechercher toutes les sources d'économie d’électricité dans notre domicile et depuis dix ans, chaque année, alors que les coûts de l'électricité augmentent, notre facture se réduit !
Dans les bourgs de campagne, il n'y a pas de transports en commun en dehors des transports scolaires? Si les transports scolaires acceptaient les adultes, nous pourrions grandement limiter nos déplacement avec nos véhicules personnels
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Non
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Non
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Le transport à la demande|Les transports en commun
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