L'Insee pourvoit largement à l'information de qui veut être informé.
Ne plus taxer les revenus (salaires, bénéfices, rentes, dividendes, etc), mais taxer le patrimoine (foncier, immobilier, mobilier, financier, etc) net de charges. Il faut taxer l’actionnaire et non pas l’entreprise, le rentier et non pas l’entrepreneur, la consommation et non pas le travail, le patrimoine et non pas le revenu.
Tous les impôts taxant les revenus des personnes physiques et morales : Irpp, Csg, Is, Crds, (remplacés par un impôt sur le patrimoine net) à équivalence.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Créer un impôt progressif sur le patrimoine net incluant le coût des dépenses sociales.
Le calcul des allocations familiales doit intégrer la valeur du patrimoine net familial possédé. Un revenu familial minimum doit remplacer les aides sociales actuelles (Rsa, Rss, Alloc. logement, alloc. handicap. etc) versées aux exclus du marché de l'emploi, puisque la nation ne peut plus leur garantir le plein emploi. Ca réduirait aussi le coût de gestion de ces prestations.
Un revenu minimum de vie décent pour les exclus du marché du travail, en remplacement des aides actuelles.
L'égalité devant l'impôt de tous les Français et une fiscalité européenne unique, permettraient de décourager l'évasion fiscale, de financer la Transition écologique, de créer des emplois dans ce domaine, de financer les régimes sociaux, de remplacer la part extra territoriale de la dette publique (par l'emprunt rémunéré aux Français). Ainsi certains paieront globalement plus, d'autres moins et d'autres encore ne verront aucun changement. Mais ce sera équitable pour chacun.
Les retraites ne sont pas des "dépenses sociales", mais la contrepartie d'un contrat social de solidarité inter généra- tionnelle signé par l'Etat en 1945 avec le peuple, par lequel les actifs cotisent afin d'assurer un revenu à ceux qui ne le sont plus. Elles sont financées par les cotisations et l'impôt. Elles sont un dû et non une "aide sociale". Un impôt progressif sur le patrimoine net (donc la richesse réelle) de chaque Français, devrait permettre de consolider leur financement.
Mon député car il est l'élu le plus proche du terrain et le plus accessible pour faire remonter les infos au niveau national.
Oui
Les mouvements citoyens, les groupes de réflexion (think tanks), les associations apolitiques de défense de l'environnement et de la santé publique, les lanceurs d'alertes, les collectifs locaux et régionaux, les Ong et associations de défense de la nature et des droits de l'Homme, les syndicats professionnels, font remonter les demandes du terrain, chacun dans son domaine de compétence, sans les dénaturer car faites en prise directe, répertoriées et argumentées.
Tenir compte des pétitions en ligne et des démarches des organisations précitées auprès des services de l'Etat et des élus, sur les problèmes du quotidien recensés par la population. Accepter les règles communes imposées aux administrés et sanctionner les manquements, de la même manière. Plus de passe-droit ou de traitement de faveur. Certains élus locaux gèrent encore leur territoire de manière "féodale".
Une bonne chose
Leur charge de travail ne devrait normalement pas leur laisser assez de temps pour faire autre chose. Ou alors, ce travail est fait par quelqu'un d'autre et ils sont inutiles et une charge sans contrepartie pour le contribuable. Situation impensable et dangereuse en entreprise. Le prétexte invoqué de vouloir rester en prise avec la réalité du terrain est une plaisanterie, car ils le sont et l'ont été, directement ou via les remontées de leurs administrés.
Modifier le mode de scrutin actuel par une élection uninominale à un tour à la majorité relative des inscrits, rendre obligatoires l'inscription sur les listes et le vote, prendre en compte le vote blanc qui est une opinion, relever le seuil minimal du % de voix acquises, mesures permettant de donner une légitimité incontestable à l'élu, ce qui n'est pas le cas actuellement.
Oui
Supprimer les EPCI, redonner du pouvoir aux maires (et les payer en conséquence), aux départements et aux régions via une structure régionale unique d'étude et de décision, qui fournirait aux élus une base de donnée et des compétences communes, éviterait les influences locales et les pressions des lobbys, faciliterait les remontées et les échanges d'infos, supprimerait les services redondants, les pertes en ligne et la dilution des pouvoirs, rendrait la gestion du financement des investissements et des aides fiscales et sociales, plus objective et plus neutre.
Réponses dans les précédents items.
Oui
Le vote blanc est l'expression du rejet des candidats en courses. Dans le cas d'un scrutin uninominal à un tour à la majorité relative des inscrits (obligation de voter) et un seuil minimum de voix acquises (ex. 40 %), le vote blanc est une sanction s'il arrive en tête, imposant alors un second scrutin avec de nouveaux candidats remplaçant ceux qui n'ont pas atteint un seuil minimum de voix (ex. 15 %). L'élu obtient ainsi une véritable légitimité, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.
Plus de votations sur les sujets primordiaux (environnement, santé, emploi, fiscalité, culture, éducation) engageant les générations futures.
Oui
Oui, si on modifie le mode de scrutin du corps électoral et que l'on tient compte des apports des organisations et associations (voir plus haut).
Vu plus haut. A noter que le nouveau processus d'enquêtes publiques va réduire encore plus le peu de pouvoir du citoyen. On n'avance pas, on recule sur la concertation. Actuellement ce sont les hobereaux locaux qui font la loi dans les communes et les régions, les EPCI ont aggravé le problème (urbanisme, stérilisation des sols, pollution des eaux, etc) et les préfets plient devant le fait accompli. Vers chez moi on construit un centre commercial dans une zone inondable interdite, au nez et à la barbe du sous-préfet, malgré 4 décisions judiciaires et trois arrêtés préfectoraux. Rassurez-vous, les gilets jaunes ont bien été sanctionnés pour leurs débordements.
Actuellement le Sénat et le Cese sont plus des sinécures que des organisations d'utilité publique, (une récompense pour services rendus). Ils ont un rôle consultatif et ne pèsent pas vraiment dans les décisions finales. On les élimine, ou on leur donne une vraie mission d'étude, de contrôle et de décision, car ils coûtent très cher au contribuable.
Oui
Modifier leur mode d'élection et de nomination pour recruter des compétences utiles dans de vraies missions de service public, dotées d'un pouvoir de décision et ayant la responsabilité juridique de leurs actes, comme en entreprise.
Pas de communautarisme, on reste sur la loi de séparation des Eglises et de l'Etat. Elles doivent payer l'impôt et respecter la loi, comme tout citoyen, corps constitué ou entreprise.
Ca commence dans l'enfance, à l'école et dans la famille. Assez de démagogie : un parent, un enseignant, un éducateur, n'est pas seulement un électeur, il est aussi responsable du comportement civil de ses enfants et de ceux qui lui sont confiés. Il doit donc avoir des objectifs de résultats et rendre des comptes à la nation en cas de manquement.
Donner un revenu décent aux exclus et aux plus faibles par une meilleure répartition des richesses, puisque le plein emploi n'existe plus. Aider parents, enseignants et éducateurs à éduquer les enfants. Enseigner l'instruction civique, l'organisation de l'Etat et des services publics. Inciter les inactifs qui le peuvent au bénévolat dans les corps intermédiaires et les organisations associatives (en plus, c'est du PIB non comptabilisé, de la création de richesse). Consulter les citoyens comme dit précédemment. Les tenir informés des objectifs et des résultats obtenus.
Les vertus d'une activité sociale ou lucrative, de la solidarité, du respect des autres, de la créativité, de l'effort, de l'honnêteté, du respect de la nature et de ses ressources.
L'Etat doit d'abord montrer l'exemple et mettre fin aux privilèges des élus et de la haute fonction publique (conflits d'intérêt, pantouflage, gaspillages, avantages et détournements d'avantages, inappropriés de nos jours, laxisme et faiblesse devant les puissances de l'argent, impunité des pollueurs et des saccageurs de l'espace public, injustice fiscale et sociale, perte de pouvoir d'achat, exclusions, etc...
Simplifier les procédures d'accès aux services de l'Etat, supprimer les redondances, les prés carrés, informer, former et aider les plus faibles à y accéder, suivre particulièrement leurs dossiers afin d'optimiser leurs droits et devoirs, les aider dans leur accès à la formation et à la culture, à s'insérer dans des organisations et des structures d'intérêt national.
Le manque de considération et de respect pour les autres, l'indifférence et l'absence d'empathie pour les plus faibles (handicapés, pauvres, étrangers, malades, analphabètes, etc), la triche et le non respect des règles sociétales, les agressions contre les biens et les personnes. Solutions : éduquer, punir, montrer l'exemple, donner des raisons de bien se comporter, effectuer des travaux d'intérêt collectif rémunérés (aide à la personne, entretien de l'espace public, etc).
voir précédents items
Commencer par l'exemple par son propre comportement.
RAS
Idem que pour les incivilités. Une plus juste répartition des richesses crées y aiderait considérablement. Ce sont la frustration et le sentiment d'injustice qui font le terreau de ces agissement. Exemples : considérer les retraités comme des "assistés sociaux" et refuser d'indexer leur pension est une discrimination inadmissible, une rupture contractuelle unilatérale de l'Etat avec ceux qui ont créé des richesses et cotisé toute leur vie active pour y avoir droit. Les handicapés et les chômeurs ne sont également pas des assistés sociaux : Ils n'ont pas choisi leur situation et leur état, Ils sont victimes de la financiarisation à outrance, de la marchandisation du vivant, de la désindustrialisation et de choix politiques faits depuis les années 80 en France et ailleurs et jamais corrigés.
Oui
voir précédemment, sur les droits et devoirs de chacun envers la collectivité, dans un pays où le plein emploi a disparu et où l'écart entre riches et pauvres n'a jamais été aussi important.
Nous n'avons déjà pas les moyens d'aider nos pauvres et nos exclus (Sdf, handicapés, malades, vieux, chômeurs) à vivre décemment, c'est dans leur pays d'origine que nous pouvons aider les candidats à la migration à y rester.
Non
Aider ces pays à garder leurs habitants, via des accords économiques avec eux. L'argent y est souvent détourné au profit de leurs dirigeants vers des paradis fiscaux. On peut les en empêcher si on le veut.
Il n'y en a pas, car ils rentrent en concurrence avec nos propres exclus et défavorisés. Le gâteau n'est pas assez gros pour tout le monde, alors, les Français d'abord.
La démocratie c'est le droit du citoyen à se diriger lui-même. Il doit donc être respecté et respectable pour y parvenir. Le communautarisme, l'exclusion, la paupérisation, le refus du partage des richesses crées, l'injustice fiscale et sociale, les féodalités locales, sont autant de murs qui rendent cette démocratie inaccessible.
Notre pays n'est pas gouverné démocratiquement, c'est la haute fonction publique qui a le pouvoir sur l'Etat et les administrations. Sorties des grandes écoles (Ena, Hec, Essec, etc.) d'une génération à la suivante, ces élites se répartissent les postes, aux Finances, au Conseil d'Etat, à la Cour des comptes, au Conseil constitutionnel, etc et sont dotées de privilèges inouïs et devenus intolérables à des administrés auxquels on demande en permanence de se serrer la ceinture. Car ce sont ces élites qui exigent du peuple les sacrifices dont ils se sont toujours dispensés de faire. Alors qu'ils sont déjà royalement rémunérés, ils ont la possibilité d'aller s'enrichir (pantoufler) quelques années dans le privé, au mépris des risques de conflits d'intérêts, puis revenir dans leur corps d'origine, et ce plusieurs fois jusqu'à la retraite (retraite dont les critères de calcul ne sont bien sûr pas ceux du commun des mortels). La liste des privilèges attachés à leur statut serait trop longue à énumérer ici et inutile car déjà bien connue. La littérature et la presse politiques ont beau dénoncer régulièrement ce scandale, ça n'a pas encore suffi pour faire bouger les lignes. Les Gilets Jaunes et des mouvements citoyens, collectifs et think tanks, plus organisés, ont ouvert une brèche menaçant de plus en plus ces sinécures. La boite de Pandore s'étant enfin ouverte elle ne peut plus se refermer. Sur pression de ces mandarins, les préfets sont enclins à actionner plus facilement la force publique sur les zadistes et autres manifestants populaires (travailleurs, défenseurs de l'environnement, etc) que sur la délinquance en col blanc, alors que les conséquences de leurs actes sont souvent plus dommageables et plus graves que celles des premiers cités. Il s'agit en outre d'une véritable politique de détournement de nos impôts aux profit d'une caste de nantis souvent exonérés d'en payer, grâce à de subtiles niches fiscales et règlements en leur faveur. Mais comme le disait le regretté Coluche : "Tant que je gagne, je joue", il faudra donc sans doute plus qu'un Grand Débat National, pour faire évoluer tout ça.
Non
None
Oui
None
None
Non
None
None
Les régimes sociaux (caisses de retraites, Urssaf, chômage).
Hopitaux, préfectures, justice (parquets et tribunaux).
Oui
Non
None
None
Oui
Créer des pôles pluridisciplinaires avec délégations de pouvoirs plus étendues, sur internet et dans les villes.
Oui
Centraliser les fichiers (base de données communes), élargir les heures d'ouverture des bureaux, raccourcir les délais de prise de décision, améliorer la navigation de certains sites, responsabiliser juridiquement les fonctionnaires comme le sont depuis longtemps les travailleurs du privé.
voir réponses précédentes.
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
Des fonctionnaires bien payés mais responsables et sanctionnables en cas de fautes, avec des objectifs de résultats qualitatifs et quantitatifs, comme dans le privé. La fin des privilèges de la haute fonction publique. Simplifier le langage des formulaires.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Les solutions sont mondiales : fin de l'extraction et de l'usage des énergies fossiles, fin de la déforestation des forêts primaires, fin de la pêche intensive, fin de l'agriculture intensive et de la stérilisation des sols agraires par l'urbanisation à outrance, fin du gaspillage des ressources par l'ultra consommation, la pollution, les pratiques commerciales et l'obsolescence programmée, taxation des pollueurs (fioul lourd des navires, kérosène des avions, carburant des véhicules thermiques les plus gourmands, chimie agricole et industrielle, ressources en eau, déchets d'extractions minières, etc).
Oui
Sur la santé, l'alimentation, la sécurité, le confort thermique, les déplacements.
Oui
Economie des ressources, tri et recyclage des déchet, réparation des appareillages ou remplacement par des plus performants et moins énergivores, optimisation des déplacements motorisés, alimentation bio et équilibrée via des circuits courts locaux, activité physique, traitements médicaux limités au strict minimum.
Fait
Fait
Oui
De l'argent
Oui
Fait
None
None
Montrer l'exemple : financer la transition écologique via un fond alimenté par l'emprunt aux Français sur du long terme, défiscalisé et à un taux garanti au dessus de l'inflation, développer l'agriculture locale sans pesticides (bio, permaculture, agroforesterie), sanctuariser le foncier agricole, interdire l'extension des centres commerciaux en périphérie des villes, sanctionner les pollueurs, les empoisonneurs et l'obsolescence programmée, protéger les ressources naturelles en faisant respecter les lois sur l'environnement et l'urbanisme, gérer plus efficacement le recyclage et le traitement des déchets (actuellement c'est le foutoir et la loi de la jungle), valoriser et contrôler la pêche et l'élevage, supprimer le secret des affaires qui permet aux pollueurs et aux empoisonneurs de sévir en toute impunité, refuser les tribunaux d'arbitrage internationaux qui permettent aux multinationales de faire leur loi, faire respecter l'exception Française en matière d'approvisionnement en renonçant aux accords type Tafta, contrôler et réprimer les conflits d'intérêts entre experts, élus, hauts fonctionnaires et les lobbys, modifier la fiscalité afin de rééquilibrer la charge de l'impôt sur le patrimoine et non sur le revenu, sur l'actionnaire et non sur l'entreprise, sur le rentier et non sur l'entrepreneur, sur la consommation et non sur le travail, ce désengager de la part de la dette détenue par les banques extra territoriales et la refinancer par l'emprunt national, re-réguler nos banques, les obliger à utiliser l'argent pour financer l'entreprise et non pour spéculer, etc.
Nous avons atteint cet été, début août, le seuil de consommation des ressources annuelles planétaires renouvelables. En 2030 ça se produira dès le début du printemps. Si nous ne faisons rien, nous sommes condamnés à disparaître. Or, les traités ne sont pas respectés, la mondialisation poursuit sa logique ultralibérale destructrice. Si la France montre l'exemple, elle sera écoutée et suivie. Nous pourrions dans ce domaine écrire l'Histoire, mais ce ne sera pas : le recul du Président sur la promesse d'interdire l'usage du glyphosate, à Bourg de Péage le 24 janvier, indique une fois de plus que ce sont les lobbys qui sont au pouvoir.
Votre message a bien été envoyé.