Date de publication : 2019-01-23
Code postal : 30560

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

L'Insee pourvoit largement à l'information de qui veut être informé.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Ne plus taxer les revenus (salaires, bénéfices, rentes, dividendes, etc), mais taxer le patrimoine (foncier, immobilier, mobilier, financier, etc) net de charges. Il faut taxer l’actionnaire et non pas l’entreprise, le rentier et non pas l’entrepreneur, la consommation et non pas le travail, le patrimoine et non pas le revenu.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Tous les impôts taxant les revenus des personnes physiques et morales : Irpp, Csg, Is, Crds, (remplacés par un impôt sur le patrimoine net) à équivalence.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Créer un impôt progressif sur le patrimoine net incluant le coût des dépenses sociales.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Le calcul des allocations familiales doit intégrer la valeur du patrimoine net familial possédé. Un revenu familial minimum doit remplacer les aides sociales actuelles (Rsa, Rss, Alloc. logement, alloc. handicap. etc) versées aux exclus du marché de l'emploi, puisque la nation ne peut plus leur garantir le plein emploi. Ca réduirait aussi le coût de gestion de ces prestations.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Un revenu minimum de vie décent pour les exclus du marché du travail, en remplacement des aides actuelles.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

L'égalité devant l'impôt de tous les Français et une fiscalité européenne unique, permettraient de décourager l'évasion fiscale, de financer la Transition écologique, de créer des emplois dans ce domaine, de financer les régimes sociaux, de remplacer la part extra territoriale de la dette publique (par l'emprunt rémunéré aux Français). Ainsi certains paieront globalement plus, d'autres moins et d'autres encore ne verront aucun changement. Mais ce sera équitable pour chacun.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Les retraites ne sont pas des "dépenses sociales", mais la contrepartie d'un contrat social de solidarité inter généra- tionnelle signé par l'Etat en 1945 avec le peuple, par lequel les actifs cotisent afin d'assurer un revenu à ceux qui ne le sont plus. Elles sont financées par les cotisations et l'impôt. Elles sont un dû et non une "aide sociale". Un impôt progressif sur le patrimoine net (donc la richesse réelle) de chaque Français, devrait permettre de consolider leur financement.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Mon député car il est l'élu le plus proche du terrain et le plus accessible pour faire remonter les infos au niveau national.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Les mouvements citoyens, les groupes de réflexion (think tanks), les associations apolitiques de défense de l'environnement et de la santé publique, les lanceurs d'alertes, les collectifs locaux et régionaux, les Ong et associations de défense de la nature et des droits de l'Homme, les syndicats professionnels, font remonter les demandes du terrain, chacun dans son domaine de compétence, sans les dénaturer car faites en prise directe, répertoriées et argumentées.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Tenir compte des pétitions en ligne et des démarches des organisations précitées auprès des services de l'Etat et des élus, sur les problèmes du quotidien recensés par la population. Accepter les règles communes imposées aux administrés et sanctionner les manquements, de la même manière. Plus de passe-droit ou de traitement de faveur. Certains élus locaux gèrent encore leur territoire de manière "féodale".

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Leur charge de travail ne devrait normalement pas leur laisser assez de temps pour faire autre chose. Ou alors, ce travail est fait par quelqu'un d'autre et ils sont inutiles et une charge sans contrepartie pour le contribuable. Situation impensable et dangereuse en entreprise. Le prétexte invoqué de vouloir rester en prise avec la réalité du terrain est une plaisanterie, car ils le sont et l'ont été, directement ou via les remontées de leurs administrés.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Modifier le mode de scrutin actuel par une élection uninominale à un tour à la majorité relative des inscrits, rendre obligatoires l'inscription sur les listes et le vote, prendre en compte le vote blanc qui est une opinion, relever le seuil minimal du % de voix acquises, mesures permettant de donner une légitimité incontestable à l'élu, ce qui n'est pas le cas actuellement.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Supprimer les EPCI, redonner du pouvoir aux maires (et les payer en conséquence), aux départements et aux régions via une structure régionale unique d'étude et de décision, qui fournirait aux élus une base de donnée et des compétences communes, éviterait les influences locales et les pressions des lobbys, faciliterait les remontées et les échanges d'infos, supprimerait les services redondants, les pertes en ligne et la dilution des pouvoirs, rendrait la gestion du financement des investissements et des aides fiscales et sociales, plus objective et plus neutre.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Réponses dans les précédents items.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Le vote blanc est l'expression du rejet des candidats en courses. Dans le cas d'un scrutin uninominal à un tour à la majorité relative des inscrits (obligation de voter) et un seuil minimum de voix acquises (ex. 40 %), le vote blanc est une sanction s'il arrive en tête, imposant alors un second scrutin avec de nouveaux candidats remplaçant ceux qui n'ont pas atteint un seuil minimum de voix (ex. 15 %). L'élu obtient ainsi une véritable légitimité, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Plus de votations sur les sujets primordiaux (environnement, santé, emploi, fiscalité, culture, éducation) engageant les générations futures.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Oui, si on modifie le mode de scrutin du corps électoral et que l'on tient compte des apports des organisations et associations (voir plus haut).

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Vu plus haut. A noter que le nouveau processus d'enquêtes publiques va réduire encore plus le peu de pouvoir du citoyen. On n'avance pas, on recule sur la concertation. Actuellement ce sont les hobereaux locaux qui font la loi dans les communes et les régions, les EPCI ont aggravé le problème (urbanisme, stérilisation des sols, pollution des eaux, etc) et les préfets plient devant le fait accompli. Vers chez moi on construit un centre commercial dans une zone inondable interdite, au nez et à la barbe du sous-préfet, malgré 4 décisions judiciaires et trois arrêtés préfectoraux. Rassurez-vous, les gilets jaunes ont bien été sanctionnés pour leurs débordements.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Actuellement le Sénat et le Cese sont plus des sinécures que des organisations d'utilité publique, (une récompense pour services rendus). Ils ont un rôle consultatif et ne pèsent pas vraiment dans les décisions finales. On les élimine, ou on leur donne une vraie mission d'étude, de contrôle et de décision, car ils coûtent très cher au contribuable.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Modifier leur mode d'élection et de nomination pour recruter des compétences utiles dans de vraies missions de service public, dotées d'un pouvoir de décision et ayant la responsabilité juridique de leurs actes, comme en entreprise.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Pas de communautarisme, on reste sur la loi de séparation des Eglises et de l'Etat. Elles doivent payer l'impôt et respecter la loi, comme tout citoyen, corps constitué ou entreprise.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Ca commence dans l'enfance, à l'école et dans la famille. Assez de démagogie : un parent, un enseignant, un éducateur, n'est pas seulement un électeur, il est aussi responsable du comportement civil de ses enfants et de ceux qui lui sont confiés. Il doit donc avoir des objectifs de résultats et rendre des comptes à la nation en cas de manquement.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Donner un revenu décent aux exclus et aux plus faibles par une meilleure répartition des richesses, puisque le plein emploi n'existe plus. Aider parents, enseignants et éducateurs à éduquer les enfants. Enseigner l'instruction civique, l'organisation de l'Etat et des services publics. Inciter les inactifs qui le peuvent au bénévolat dans les corps intermédiaires et les organisations associatives (en plus, c'est du PIB non comptabilisé, de la création de richesse). Consulter les citoyens comme dit précédemment. Les tenir informés des objectifs et des résultats obtenus.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Les vertus d'une activité sociale ou lucrative, de la solidarité, du respect des autres, de la créativité, de l'effort, de l'honnêteté, du respect de la nature et de ses ressources.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

L'Etat doit d'abord montrer l'exemple et mettre fin aux privilèges des élus et de la haute fonction publique (conflits d'intérêt, pantouflage, gaspillages, avantages et détournements d'avantages, inappropriés de nos jours, laxisme et faiblesse devant les puissances de l'argent, impunité des pollueurs et des saccageurs de l'espace public, injustice fiscale et sociale, perte de pouvoir d'achat, exclusions, etc...

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Simplifier les procédures d'accès aux services de l'Etat, supprimer les redondances, les prés carrés, informer, former et aider les plus faibles à y accéder, suivre particulièrement leurs dossiers afin d'optimiser leurs droits et devoirs, les aider dans leur accès à la formation et à la culture, à s'insérer dans des organisations et des structures d'intérêt national.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Le manque de considération et de respect pour les autres, l'indifférence et l'absence d'empathie pour les plus faibles (handicapés, pauvres, étrangers, malades, analphabètes, etc), la triche et le non respect des règles sociétales, les agressions contre les biens et les personnes. Solutions : éduquer, punir, montrer l'exemple, donner des raisons de bien se comporter, effectuer des travaux d'intérêt collectif rémunérés (aide à la personne, entretien de l'espace public, etc).

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

voir précédents items

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Commencer par l'exemple par son propre comportement.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

RAS

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Idem que pour les incivilités. Une plus juste répartition des richesses crées y aiderait considérablement. Ce sont la frustration et le sentiment d'injustice qui font le terreau de ces agissement. Exemples : considérer les retraités comme des "assistés sociaux" et refuser d'indexer leur pension est une discrimination inadmissible, une rupture contractuelle unilatérale de l'Etat avec ceux qui ont créé des richesses et cotisé toute leur vie active pour y avoir droit. Les handicapés et les chômeurs ne sont également pas des assistés sociaux : Ils n'ont pas choisi leur situation et leur état, Ils sont victimes de la financiarisation à outrance, de la marchandisation du vivant, de la désindustrialisation et de choix politiques faits depuis les années 80 en France et ailleurs et jamais corrigés.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

voir précédemment, sur les droits et devoirs de chacun envers la collectivité, dans un pays où le plein emploi a disparu et où l'écart entre riches et pauvres n'a jamais été aussi important.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Nous n'avons déjà pas les moyens d'aider nos pauvres et nos exclus (Sdf, handicapés, malades, vieux, chômeurs) à vivre décemment, c'est dans leur pays d'origine que nous pouvons aider les candidats à la migration à y rester.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Aider ces pays à garder leurs habitants, via des accords économiques avec eux. L'argent y est souvent détourné au profit de leurs dirigeants vers des paradis fiscaux. On peut les en empêcher si on le veut.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Il n'y en a pas, car ils rentrent en concurrence avec nos propres exclus et défavorisés. Le gâteau n'est pas assez gros pour tout le monde, alors, les Français d'abord.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La démocratie c'est le droit du citoyen à se diriger lui-même. Il doit donc être respecté et respectable pour y parvenir. Le communautarisme, l'exclusion, la paupérisation, le refus du partage des richesses crées, l'injustice fiscale et sociale, les féodalités locales, sont autant de murs qui rendent cette démocratie inaccessible.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Notre pays n'est pas gouverné démocratiquement, c'est la haute fonction publique qui a le pouvoir sur l'Etat et les administrations. Sorties des grandes écoles (Ena, Hec, Essec, etc.) d'une génération à la suivante, ces élites se répartissent les postes, aux Finances, au Conseil d'Etat, à la Cour des comptes, au Conseil constitutionnel, etc et sont dotées de privilèges inouïs et devenus intolérables à des administrés auxquels on demande en permanence de se serrer la ceinture. Car ce sont ces élites qui exigent du peuple les sacrifices dont ils se sont toujours dispensés de faire. Alors qu'ils sont déjà royalement rémunérés, ils ont la possibilité d'aller s'enrichir (pantoufler) quelques années dans le privé, au mépris des risques de conflits d'intérêts, puis revenir dans leur corps d'origine, et ce plusieurs fois jusqu'à la retraite (retraite dont les critères de calcul ne sont bien sûr pas ceux du commun des mortels). La liste des privilèges attachés à leur statut serait trop longue à énumérer ici et inutile car déjà bien connue. La littérature et la presse politiques ont beau dénoncer régulièrement ce scandale, ça n'a pas encore suffi pour faire bouger les lignes. Les Gilets Jaunes et des mouvements citoyens, collectifs et think tanks, plus organisés, ont ouvert une brèche menaçant de plus en plus ces sinécures. La boite de Pandore s'étant enfin ouverte elle ne peut plus se refermer. Sur pression de ces mandarins, les préfets sont enclins à actionner plus facilement la force publique sur les zadistes et autres manifestants populaires (travailleurs, défenseurs de l'environnement, etc) que sur la délinquance en col blanc, alors que les conséquences de leurs actes sont souvent plus dommageables et plus graves que celles des premiers cités. Il s'agit en outre d'une véritable politique de détournement de nos impôts aux profit d'une caste de nantis souvent exonérés d'en payer, grâce à de subtiles niches fiscales et règlements en leur faveur. Mais comme le disait le regretté Coluche : "Tant que je gagne, je joue", il faudra donc sans doute plus qu'un Grand Débat National, pour faire évoluer tout ça.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Les régimes sociaux (caisses de retraites, Urssaf, chômage).

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Hopitaux, préfectures, justice (parquets et tribunaux).

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Créer des pôles pluridisciplinaires avec délégations de pouvoirs plus étendues, sur internet et dans les villes.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Centraliser les fichiers (base de données communes), élargir les heures d'ouverture des bureaux, raccourcir les délais de prise de décision, améliorer la navigation de certains sites, responsabiliser juridiquement les fonctionnaires comme le sont depuis longtemps les travailleurs du privé.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

voir réponses précédentes.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Des fonctionnaires bien payés mais responsables et sanctionnables en cas de fautes, avec des objectifs de résultats qualitatifs et quantitatifs, comme dans le privé. La fin des privilèges de la haute fonction publique. Simplifier le langage des formulaires.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Les solutions sont mondiales : fin de l'extraction et de l'usage des énergies fossiles, fin de la déforestation des forêts primaires, fin de la pêche intensive, fin de l'agriculture intensive et de la stérilisation des sols agraires par l'urbanisation à outrance, fin du gaspillage des ressources par l'ultra consommation, la pollution, les pratiques commerciales et l'obsolescence programmée, taxation des pollueurs (fioul lourd des navires, kérosène des avions, carburant des véhicules thermiques les plus gourmands, chimie agricole et industrielle, ressources en eau, déchets d'extractions minières, etc).

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Sur la santé, l'alimentation, la sécurité, le confort thermique, les déplacements.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Economie des ressources, tri et recyclage des déchet, réparation des appareillages ou remplacement par des plus performants et moins énergivores, optimisation des déplacements motorisés, alimentation bio et équilibrée via des circuits courts locaux, activité physique, traitements médicaux limités au strict minimum.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Fait

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Fait

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

De l'argent

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Fait

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Montrer l'exemple : financer la transition écologique via un fond alimenté par l'emprunt aux Français sur du long terme, défiscalisé et à un taux garanti au dessus de l'inflation, développer l'agriculture locale sans pesticides (bio, permaculture, agroforesterie), sanctuariser le foncier agricole, interdire l'extension des centres commerciaux en périphérie des villes, sanctionner les pollueurs, les empoisonneurs et l'obsolescence programmée, protéger les ressources naturelles en faisant respecter les lois sur l'environnement et l'urbanisme, gérer plus efficacement le recyclage et le traitement des déchets (actuellement c'est le foutoir et la loi de la jungle), valoriser et contrôler la pêche et l'élevage, supprimer le secret des affaires qui permet aux pollueurs et aux empoisonneurs de sévir en toute impunité, refuser les tribunaux d'arbitrage internationaux qui permettent aux multinationales de faire leur loi, faire respecter l'exception Française en matière d'approvisionnement en renonçant aux accords type Tafta, contrôler et réprimer les conflits d'intérêts entre experts, élus, hauts fonctionnaires et les lobbys, modifier la fiscalité afin de rééquilibrer la charge de l'impôt sur le patrimoine et non sur le revenu, sur l'actionnaire et non sur l'entreprise, sur le rentier et non sur l'entrepreneur, sur la consommation et non sur le travail, ce désengager de la part de la dette détenue par les banques extra territoriales et la refinancer par l'emprunt national, re-réguler nos banques, les obliger à utiliser l'argent pour financer l'entreprise et non pour spéculer, etc.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Nous avons atteint cet été, début août, le seuil de consommation des ressources annuelles planétaires renouvelables. En 2030 ça se produira dès le début du printemps. Si nous ne faisons rien, nous sommes condamnés à disparaître. Or, les traités ne sont pas respectés, la mondialisation poursuit sa logique ultralibérale destructrice. Si la France montre l'exemple, elle sera écoutée et suivie. Nous pourrions dans ce domaine écrire l'Histoire, mais ce ne sera pas : le recul du Président sur la promesse d'interdire l'usage du glyphosate, à Bourg de Péage le 24 janvier, indique une fois de plus que ce sont les lobbys qui sont au pouvoir.