Date de publication : 2019-03-07
Code postal : 49125

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

1. Créer un Cour des comptes « À priori » ayant pour mission de valider tous les projets dits d’utilité publique ou d’intérêt général. (Voir note*) 2. Doter la Cour des comptes actuelle (À posteriori), d’un pouvoir coercitif. 3. Ces types de juridictions s’autofinancent sans aucune difficulté, ne nous en privons pas. 4. Œuvrer pour une transparence totale dans le domaine des dépenses publiques (hors secteurs classés « Secret défense », ou seule l’enveloppe globale doit être communiquée). Le modèle suédois est parfait, nous pouvons largement nous en inspirer 5. Publier les organigrammes des structures hiérarchiques et fonctionnelles de tous le services publics et de toutes les administrations. (Note*) En effet, grâce à leurs réseaux d’influences, trop d’élus ont réussi, contre vents et marées et un résultat d’enquête d’utilité publique biaisé et contesté, à mener à bien un projet ruineux et dénué de tout intérêt général. Personnellement en tant qu’usager, doté d’un simple pouvoir consultatif, j’ai assisté successivement à la fin de vie programmée de deux petits aérodromes au profit de la création de deux somptueuses plateformes aéroportuaires officiellement dédiées au transport public de passager et au fret aérien. Le besoin de ces outils n’existant toujours pas, faute d’activité, toutes deux sont confrontée aux mêmes affres de la disparition. Le premier est l’aérodrome de Moulins-Avermes au profit de l’aéroport de Moulins-Montbeugny et le second, celui d’Angers-Avrillé remplacé par la plateforme d’Angers-Marcé renommé par la suite, Angers Loire Aéroport. Les mouvements enregistrés sont en quasi totalité liés à l’activité des membres des aéroclubs basés. Angers Loire Aéroport a été créé alors qu’il existait deux plateformes ouvertes à l’international, non saturées, on ne peut mieux desservies et situées dans un rayon inférieur à 150 km. (Rennes et Nantes). Certes, une petite activité commerciale existe, mais uniquement parce que les contribuables de l’agglomération subventionnent en grande partie le coût des titres de transport et je ne parle pas du déficit chronique de la plateforme qu’il faut bien évidemment systématiquement éponger. C’est au minimum la triple peine pour le contribuable, par le financement de l’investissement, en subventionnant localement l’activité commerciale et en finançant le déficit chronique (La quatrième peine est pour l’usager du club déplacé, en s’affranchissant d’une taxe d’atterrissage bien supérieure à celle pratiquée par son aérodrome d’origine). Ailleurs c’est une gare terminale TGV plantée au milieu de nulle part… etc.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

1) Régler le problème de la dette publique croissant régulièrement depuis 1981. (de moins de 100 à plus de 2 300 milliards d’Euros) Voir courbe/data INSEE disponible sur sites Internet: « https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7d/Dette_publique_France_1979-2017.png » ou « https://commons.m.wikimedia.org/wiki/File:Dette_publique_France_1979-2017.png#mw-jump-to-license » 2) Pour ce faire, inciter des collectifs de français à participer au capital d’entreprises publiques telles que ADP, Aéroport de Toulouse… etc. 3) A cet effet, leurs demander d’affecter un partie de leur épargne (qui s’élève à plus de 4 000 milliards d’euros) à cette cause. C’est une solution gagnant/gagnant, a) L’argent travaille, b) Les avantages fiscaux et financiers sont supérieurs à ceux d’un placement traditionnel, c) De grandes entreprises nationales restent ainsi sous le contrôle de français en non de puissances étrangères, d) L’état peut rembourser sa dette et se débarrasser du poids de cette dernière, payer les heures supplémentaires dues à ses fonctionnaires… etc. et réduire l’impôt. 4) Lutter contre : a) L’évasion fiscale, b) La fraude fiscale, c) L’économie souterraine d) La fraude à la carte vitale, la carte bleue… etc. En créant des brigades spécialisées ne travaillant que dans un seul de ces domaines. Ce genre de dispositif s’autofinance sans aucune difficulté, Leurs effectifs peuvent croître en fonction des gains réalisés ou inversement être réaffectés à une autre mission. 5) Supprimer la défiscalisations des yachts et jets. 6) Ajouter à la liste actuelle des revenus le fruit de la spéculation boursière ou financière. 7) Taxer le commerce en ligne professionnel. 8) L’impôt doit être, progressif, sans tranches et exprimé en pourcentage. Ce dernier n’excédera pas l’imposition moyenne des pays de la zone européenne. 9) Impôt sur les revenus pour tous et en particulier faire disparaître la notion d’avantages liés à la non imposition des revenus. 10) Si le coût d’encaissement de l’impôt s’avère supérieur au montant à prélever, ne pas effectuer l’opération et considérer la somme non encaissée comme un nouveau revenu. 11) Baser les aides sociales exclusivement, sur le revenu net disponible après imposition du foyer fiscal.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Appliquer un TVA réduite à tous les produits de première nécessité (et compléter la liste actuelle).

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Commencer par le remboursement de la dette publique

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

1. Le RSA, en effectuant localement des travaux d’intérêt général adaptés au cas par cas. Les objectifs étant de mettre en valeur la personne concernée, lui redonner confiance en elle même et à terme de l’intégrer au monde du travail. 2. En fait, pourquoi ne pas fusionner RSA et emplois aidés? 3. Le RMI, doit être soumis aux mêmes devoirs que les ayants droit aux indemnités de chômage. 4. Les allocations familiales, suspendues pour un mois (et non récupérables), en cas d’absentéisme scolaire injustifié et répété ou incivilités commises dans l’école ou sur le domaine public. Maintenir la sanction tant que le problème subsiste et la renouveler si récidive. L’éducation, la transmission des valeurs, pour être efficaces doivent se faire des l’enfance et seuls les parents ont autorité pour agir.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

1. Parent isolé. 2. Incapacité de travail définitive. 3. Personnes dépendantes. 4. Handicap. 5. Maladies génétiques. 6. Personnes âgées sans ressource. Maintenir l’aide fiscale liée à l’emploi de salariés à domicile car elles concernent, entre autres, presque tous les domaines précités.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

1. Désendettons la France et l’impôt pourra, ensuite, être sans problème, allégé. 2. Créons une Cours des Comptes ‘À priori’. 3. Dépensons à bon escient l’impôt collecté 4. Il sera toujours temps, si le besoin est, de financer, sans aucune réticence de la part des contribuables, un grand projet d’intérêt général.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

1) Ne plus gaspiller la manne financière que représente l’impôt perçu. 2) Le poids de la dette française capte une grande part de l’imposition. Séparons nous de cette dette. 3) Supprimer les avantages indécents attribues à une majorité des fonctionnaires et d’élus (logement de fonction, chauffeur, véhicule de fonction, électricité, gaz, téléphone… etc.). Dans le privé, seul le chef d’établissement bénéficie d’une petite partie de ces avantages, les grands groupes étendent parfois certains de ces privilèges à ses cadres supérieurs mais jamais au delà. 4) Déterminer le montant des aides sociales en fonction du revenu net disponible après imposition du foyer fiscal. 5) Limiter l’endettement maximum autorisé à 33% des recettes et l’appliquer à tout le domaine public. L’état devait montrer l’exemple en s’interdisant toute dette. 6) Mettre fin au financement partiel des syndicats par l’état. Par contre ce dernier peut inciter (fiscalement parlant) tous les adultes sans distinction à adhérer à une organisation de leur choix. Les cotisants seuls doivent assurer les ressources de l’organisation. 7) Idem pour toutes les associations, fondations, instituts... etc. reconnus d’utilité publique. Par contre l’état doit continuer à mobiliser ses médias pour soutenir de grandes causes comme le Téléthon, les restos du cœur… etc. 8) Évitons les doubles ou multiples peines. Par exemple et ils sont nombreux, nous finançons la « Politique Agricole Commune » et sommes en parallèle contraints à acheter plus chers des produits non issus de la filière aidée. La loi sur l’agriculture et l’alimentation est sensée assurer une marge décente aux agriculteurs. En fait nous contribuons à conforter les marges des intermédiaires situés entre le producteur et le vendeur. Deux victimes collatérales sont à déplorer dans la guerre des prix que se livre la grande distribution et deux gagnants. Sont lésés : Le producteur et le consommateur (en effet, l’éleveur fournit notamment sa viande et son lait à des intermédiaires et non aux commerçants). Les bénéficiaires sont le commerçant avec sa marge retrouvée et l’état via la TVA perçue. a) Dans tous les domaines le principe de subvention est malsain et a des effets pervers. Il doit à terme disparaître. b) Le travail à plein temps doit assurer à toutes et tous une autonomie financière. c) Il est parfaitement immoral et anormal que de puissants groupes agroalimentaires ou de grandes enseignes commerciales fassent des bénéfices colossaux alors que les producteurs ne vivent pas du fruit de leur travail. d) La loi interdit la vente à perte, tirons en profit pour les agriculteurs et appliquons la. e) Si un produit ou une marchandise est encore produite en Europe, une taxe douanière doit s’appliquer aux références concurrentes importées. f) En ce qui concerne l’agriculture, privilégions le circuit court, les AMAP et la vente en direct. 9) Il est tout à fait injuste de payer directement ou indirectement (via une prime d’assurance majorée) pour des dégradations commises par autrui. Les casseurs de tous bords et personne d’autre, doivent financer la réparation des dégâts commis (matériel, perte d’activité… etc.). 10) Il est intolérable par exemple, que faute de budget un fonctionnaire d’un tribunal soit amené à acheter sur ses propres deniers, une ramette de papier pour alimenter son imprimante professionnelle pendant que d’autres ministères accordent des avantages indécents à leurs serviteurs. 11) Réserver, pour tout nouveau recrutement, le statut de fonctionnaire, à partir d’un niveau de responsabilité plancher à définir. 12) Délai de carence identique pour tous. 13) Rémunération au mérite pour tous les fonctionnaires. 14) Régime de retraite unique. 15) Indexation des retraites sur le coût de la vie. 16) Quorum minimum pour le vote à l’assemblée nationale. 17) L’assistanat ne doit pas être un choix de vie. 18) Faire en sorte que les citoyens ne se voient pas infliger une peine semblable à celle imposée aux Danaïdes.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Le Maire, généralement issu du sérail, reste à l’écoute de tous et sa couleur politique n’est pas ostentatoire, sauf parfois pour certains issus des rangs de partis extrêmes. Cet élu connaît parfaitement ses résidents, sa ville, ses besoins et ne peut se mettre à dos les personnes qu’il est amené à croiser chaque jour.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Non, on ne donne pas un rôle ou un pouvoir, il se mérite. 1) L’état à besoin de syndicats représentatifs, et d’organisations patronales fortes et d’observance. 2) Les revendications doivent être portées par les corps intermédiaires. a) Un dialogue doit s’engager, b) Une grève ne doit se déclencher qu’en cas d’échec de la négociation, c) La manifestation se doit être l’ultime recours. Il n’est recevable, d’aucune des parties, d’engager un dialogue, uniquement après avoir effectué une démonstration de force ou de capacité à être violent. 3) Les droits de grève, de manifester, de s’exprimer existent mais, celui de casser n’est pas inscrit dans la constitution, prendre en otage des personnes ou des biens non plus. 4) Les groupes de pression sont de véritables cancers pour la démocratie. Il faut être hermétique et si nécessaire neutraliser ces lobbies divers, groupes extrémistes politiques, religieux, sectes… etc., anti-IVG… etc., pétrolier, pharmaceutiques, chimiques, routiers… etc. 5) Rappel : La liberté individuelle ou collective s’arrête là ou elle commence à nuire à autrui. 6) Une minorité ne doit pas être en mesure d’imposer ses dictats à l’ensemble de la société.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

1) CONSTAT : a) Le problème de fond réside dans le fait que les élus du peuple appartiennent ou non à un parti politique qui a ou non une ligne de conduite, des ambitions et des projets clairs. b) Nous adhérons rarement à la totalité d’un programme politique et il faut reconnaître que de bonnes idées existent aussi ailleurs et que certains partis n’en ont pas de crédible. c) Nous élisons donc un candidat en fonction de la pertinence de son programme, de sa capacité à nous représenter ou en optant pour le moindre mal. d) Le maire, généralement issu du sérail, reste à l’écoute de tous et sa couleur politique est rarement ostentatoire. e) Les autres élus exercent en un lieu plus distant et suivent avant tout les directives du parti qui les a placé en tête de liste et ce, au détriment des attentes de ceux qui ont glissé le bulletin favorable dans l’urne. Nous touchons donc le cœur du problème. Alors des lois, qui ne sont pas dans le programme du Président de la République, de son parti, ou de ceux de l’opposition, sont préparées et votées, par exemple : i) Le passage de 90 à 80 km/h sur les routes, ii) Le financement la transition écologique par une sur taxation de carburants, iii) La loi alimentation - agriculture… etc. Tous ces textes sont contestables et contestés. Certain y voient un abus de confiance, d’autres, une trahison. En effet, par exemple, combien de votants ont demandé à leurs députés: i) De faire passer la vitesse sur route de 90 à 80 km/h ? ii) Même question pour le financement de la transition écologique en surtaxant un carburant ? iii) … etc.? Membres d’un groupe de pression exceptés, aucun citoyen ne l’a fait. Ce phénomène n’est hélas pas nouveau et il perdure et arrive l’instant ou le point de saturation du peuple est franchi. Ceci explique pourquoi nous traversons une période difficile et observons une défiance progressive de la population envers les politiques. f) Remarquons également qu’il existe une analogie frappante entre la problématique à laquelle doit faire face la sphère politique et celle qui ronge les centrales syndicales (mêmes causes, mêmes effets). 2) SUGGESTION : Utopique ou pas, mais, techniquement envisageables avec les moyens informatiques dont nous disposons aujourd’hui: a) Nous ne votons plus pour des idées ou un programme politique. b) Nous votons pour des projets et leurs porteurs. i) Un projet est développé dans un cadre et un contenu parfaitement définis et porté à la connaissance des intéressés bien avant le scrutin et ce thème par thème. ii) Le porteur de projet est membre ou non d’un parti politique. iii) En fonction de la nature du projet, de son ambition, de sa portée… etc., une équipe peut être constituée. iv) Le nombre cumulé de postes à pourvoir pour l’ensemble des projets, par exemple pour les législatives, sera inférieur au nombre de députés actuels. Afin de faire face aux aléas, il est possible d’intégrer, au moment opportun, un ou plusieurs projets et ceux qui les porteront. v) Le nombre de projets maxima est limité volontairement. vi) Une liste des projets à soumettre aux partis politiques et aux électeurs est débattue au préalable. Cette liste prend en considération le contexte social, économique, environnemental, européen, international… etc. du moment et les prévisions ou projections à court, moyen et long terme. c) En une seule opération nous choisissons le projet le plus cohérent et son porteur. L’électeur est libre de sélectionner, projet par projet, le parti qu’il estime le mieux placé pour défendre dans le domaine, ses intérêts. d) Le bulletin de vote est une grille semblable à celle utilisée pour les mots croisés. i) Sur l’axe horizontal nous trouvons les partis traditionnels et ceux sans étiquette qui défendent ou non le projet (Dans la négative, la case à cocher correspondante est noircie). ii) Sur l’axe vertical sont portés les projets. Pour être valide, une ligne ne comportera qu’une seule case cochée. Dans le cas contraire elle sera considérée, selon le cas, comme un vote blanc ou nul, au détriment du seul projet en question. iii) La dernière ligne comportera des cases à cocher vierges associées à un cadre vide où succinctement l’électeur peut proposer un projet qu’il estime d’intérêt général et non traité dans la présente consultation. iv) Du dépouillement informatisé sortiront, dans un premier temps, les porteurs de projets élus et le poids présent de chaque parti. v) Les énoncés recueillis seront exploités et communiqués dans un second temps. vi) Après avoir été analysés, formatés et consolidés, de nouveaux thèmes significatifs émergeront. vii) Ces derniers seront proposés, pour étude, à la fois aux politiques et aux citoyens intéressés qui doivent, dans ce cas, se rapprocher du parti qu’ils ont désigné lors de leur vote. viii) Alors à une date butoir, les nouveaux projets sélectionnés pourront faire l’objet d’un second vote et de nouveaux élus viendront gonfler les rangs des collègues en place. e) Cette suggestion peut être adaptée et étendue à chaque type d’élection. f) Ce mode de scrutin permet: i) De transcender les problèmes de clivage politique et idéologiques, de proportionnelle, de volatilité de l’électorat… etc. ii) De faire converger tous les efforts déployés et de les focaliser uniquement sur des problèmes d’intérêts généraux. iii) D’ouvrir la porte à la démocratie participative. iv) D’intéresser l’ensemble de l’électorat. v) D’intégrer, au moment opportun, un nouveau projet afin de faire face aux aléas. 3) La réponse à la question initialement posée est simple: a) Candidats : Dites ce que vous allez faire. b) Élus : Faites ce que vous avez dit.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Par exemple, la charge d’un maire équivaut à la charge d’un dirigeant d’entreprise, voire bien davantage s’il agit au sein d’une grande métropole. Papillonner d’un poste à l’autre dessert l’intérêt général au profit d’un intérêt particulier. Qu’un maire en fin de mandat, soit élu et se voit confier un poste à niveau de responsabilité supérieur est mérité. Cela vaut pour tous les échelons de la politique et ce cursus devrait être un passage obligé.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Rien dans le contexte et l’environnement actuels. 1. L’offre politique d’aujourd’hui est trop large et dotées de projets exsangues ou à l’inverse trop radicaux. Certains partis ne sont plus ou pas représentatifs. 2. S’ils veulent exister, qu’ils trouvent de alliances et fassent valoir leurs idées au sein d’une nouvelle entité. 3. L’union fait la force. 4. Une dose de proportionnelle inadaptée rendra le pays totalement ingouvernable. 5. Voir aussi la réponse à la question « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? »

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Oui mais cette question est trop restrictive. En règle générale, supprimer les postes : 1. Composants tous les niveaux intermédiaires d’une structure pyramidale 2. Redondants. 3. Sans valeur ajoutée. 4. Sans réel pouvoir de décision. Voir aussi la réponse à la question « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? »

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Une abstention est souvent un refus de donner quitus aux appareils politiques en présence.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Un vote blanc sanctionne une offre politique jugée inadaptée au contexte. 1. Si le vote blanc est prépondérant, œuvrer pour élargir l’offre et revoter. 2. L’offre complémentaire doit émaner des populations abstentionnistes et votant blanc ou nul. 3. Voir aussi la réponse à la question « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? »

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Dans un premier temps, restaurer la confiance en : 1. Dotant la Cour des comptes actuelle d’un pouvoir coercitif. 2. Créant une Cour des comptes « à priori »… etc. Ces juridictions s’autofinancent, n’hésitons pas. 3. Vérifiant le bien fondé de tous les projets décidés et non démarrés. Trop d’enquêtes d’utilité publique sont biaisées. 4. Vote « un par identifiant » sur le site Internet de l’assemblée nationale. 5. Voir aussi la réponse à la question « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? »

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

1. Tout ce qui concerne l’ensemble des français, de nouvelles infrastructure aéroportuaire, portuaire, ferroviaire, autoroutière, voies navigables, généralisation de la fibre optique… etc., les projets sociétaux…etc. doivent être décidés et validés exclusivement au niveau national. Le reste doit être traité au bon niveau (région, département… etc.) 2. Afin d’écarter le vote sanction, prévoir un référendum à questions multiples portant sur plusieurs thèmes. 3. Voir aussi la réponse à la question « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? »

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

1. Rappel : Dans un premier temps, restaurer la confiance, doter la Cour des comptes actuelle d’un pouvoir coercitif, créer une Cour des comptes « à priori »… etc. 2. Si besoin est, tirer un enseignement de l’expérience pratiquée pour « le grand débat national» et proposer sur Internet un dispositif de consultation allégé similaire. 3. Voir aussi la réponse à la question « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? »

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Voir réponse à la question « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? »

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

1. Imposer un quorum pour le débat et la décision. 2. Supprimer les séances de nuit à l’assemblée nationale. 3. Parfaire les lois existantes plutôt qu’en créer de nouvelles. 4. Les doter d’un décret d’application. 5. Voir aussi la réponse à la question « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? »

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

1. Appliquer la loi de 1901. 2. Tolérance zéro pour le prosélytisme 3. Aucune interférence entre les mondes politique et religieux. 4. La religion doit être confinée dans la sphère privée. Elle n’a strictement rien a faire sur la place publique. 5. Toute manifestation à caractère religieux devrait être interdite. ( Ceci peut être étendu à tout ce qui touche la vie privée, l’intimité, la sexualité... etc.) 6. Les groupes de pression sont de véritables cancers pour les démocraties. Il faut être hermétique et si nécessaire neutraliser ces lobbies divers, groupes extrémistes politiques ou religieux, fanatiques, sectes, anti-x… etc. 7. Rappel : La liberté individuelle s’arrête là ou elle commence à nuire à autrui. 8. Une minorité ne doit pas être en mesure d’imposer ses dictats à l’ensemble de la société.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

1. L’éducation et les valeurs essentielles transmises par les parents des le premier jour. 2. Dispenser à tous les stades de la scolarité une éducation civique et morale et faire connaître l’ensemble des religions pratiquées dans le monde. 3. Instaurer le service militaire obligatoire tous sexes confondus.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Voir réponse à la question « Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ? »

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Souligner ou sanctionner un acte héroïque, de bravoure ou de courage est souhaitable. (En veillant à ne pas sombrer dans la mise en scène permanente, la propagande ou le culte de la personnalité pratiqués par certains pays).

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

1. Éducation parentale et dispense de cours d’instruction civique et morale, pouvant s’étendre sur les bienfaits de l’altruisme, la solidarité, des actions exemplaires et désintéressées… etc. 2. S’engager dans le monde associatif, le bénévolat.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Un peu de temps d’antenne est consacré par exemple, sur France Inter, au profit d’associations dignes d’intérêts. Peut être faut il encourager d’autres médias à faire de même et étendre cela à des initiatives individuelles remarquables.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

1) Sur la route : a) Rejets fréquents de mégot incandescent sur la chaussée où sur le bas côté de la route, susceptibles de créer un incendie. b) Non respect du panneau stop, de feux tricolores ou de priorité. c) Franchissement de ligne continue. d) Dépassement en sommet de côte. e) Alors que vous respectez au mieux la distance de sécurité sur autoroute, un véhicule après dépassassent s’intercale et annule immédiatement vos efforts et vous impose de casser votre vitesse pour ne pas rester en infraction. f) Prise de virage à gauche sur une route à double sens. g) Renoncement de certains à utiliser la file droite d’une autoroute. h) Défaut d’éclairage. 2) Décharges sauvages, 3) Rejets de polluants dans la nature, les cours d’eau, l’air, la mer… etc. 4) Dégradation de biens, de lieux publics ou privés, vols… etc. 5) Harcèlement téléphonique et robots intrusifs (Être sur liste rouge ou utilisateur du programme Bloctel ne protègent pas ou plus l’abonné). 6) L’anonymat préservé des utilisateurs de réseaux sociaux permet aux malveillants d’agir en toute impunité et de faire des émules. 7) Cyberattaques

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

1. Traquer tous les responsables d’infractions, par opposition à traquer les auteurs d’une infraction, parmi n types. 2. Remonter à la source des offres de services sur Internet ou des tracts publicitaires glissés dans les boites aux lettres afin neutraliser les professionnels (ou pas) indélicats. 3. Un refus d’obtempérer, un délit de fuite… etc. sont des actes graves. Communiquons uniquement sur ces faits et non sur les suites parfois tragiques qu’elles peuvent avoir sur ceux qui ont opté pour la mauvaise solution. Un délinquant est responsable de ses actes et des conséquences de ses décisions. 4. Inciter les parents à éduquer et transmettre les valeurs essentielles à leurs enfants. 5. Instruction civique et morale à tous les stades de l’enseignement. 6. Si les incivilités sont commises par un élève, de façon répétée, l’exclure temporairement et si récidive suspendre les allocations familiales durant un mois et reconduire la mesure en cas de nouvelle infraction. 7. Installer des caméras de surveillance au dessus de lieux de cultes, de mémoires et zones sensibles. 8. Placer des personnes assermentées derrière les écrans de surveillance et intercepter immédiatement les auteurs d’infractions. Ces dispositifs s’autofinancent. 9. Accorder un pouvoir coercitif aux dispositifs sensés protéger les abonnés au réseau téléphonique. 10. Les opérateurs téléphoniques et Internet ont une part de responsabilité sur les arnaques en tout genres en laissant travailler via leurs réseaux, des robots ou des plateformes malveillantes ou criminelles. Cela est aussi grave que d’héberger sur un site des images pédopornographiques… etc. 11. Faire en sorte que, sur le territoire, avec un double clic sur le pseudo, une fiche signalétique apparaisse et révèle au minimum le nom, le prénom et la nationalité de l’émetteur d’un message posté, de France, sur un réseau social.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

1. Le citoyen n’est pas habilité à jouer ce rôle, il ne peut, au mieux, qu’avoir un comportement irréprochable. 2. S’il est parent, il doit éduquer et transmettre les valeurs essentielles, dès le plus jeune âge, à son enfant. 3. Ne pas utiliser de pseudo pour communiquer sur les réseaux sociaux. Il faut avoir le courage de ses opinions.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

1) Présence de ghettos sur tout le territoire français. 2) Marchands de sommeil. 3) Logements insalubres. 4) Harcèlement scolaire 5) Être dans l’impossibilité de se rendre certains jours dans diverses villes avec un véhicule diesel ou ancien. Le dispositif Crit'Air est en cause. 6) Être verbalisé systématiquement lors du stationnement d’un camping car sur les parkings de nombreuses villes, alors que cet outil est utilisé comme moyen de transport. Observons également que les véhicules utilitaires, de même gabarit, stationnés à proximité ne font pas l’objet de peine similaire. Certains arrêtés municipaux ne respectent pas les principes de liberté et d’égalité des citoyens. 7) Idem pour ceux qui passent la nuit dans un lieu de vie légal garé, de façon irréprochable, en rase campagne de la même cité touristique. 8) Des infraction routières graves (non respect de panneau stop, de feux tricolores, de ligne continue, le dépassement en sommet de côte, prise de virage sur la gauche d’une route… etc.) sont très rarement traquées et sanctionnées alors que les contrôles de vitesse se multiplient sur des tronçons ou aucun point noir n’a été repéré. 9) Que cache le fait que : a) Les pouvoirs publics ne lutent pas avec des moyens proportionnés sur les causes de la mortalité en France constituant plus de 99,5% des décès ? b) Les médias accordent un temps d’antenne disproportionné aux associations luttant contre la violence routière. La mort sur la route est certes aussi dramatique qu’ailleurs et nul ne conteste qu’il faille, en tous domaines, en réduire le nombre ? c) Que l’on traque les auteurs d’une infraction grave parmi « n » et non les responsables d’infractions graves de toutes natures ? d) Dans l’indifférence quasi générale, chaque année, en méditerranée, par noyade, meurent officiellement, plus de 3000 migrants ?

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

1) Faire disparaître un à un tous les ghettos en fondant ses habitants dans le reste de la population et empêcher toute tentative de retour en arrière. 2) Traquer et neutraliser les marchands de sommeil. 3) Faire expertiser tous les logements loués ou mis a disposition et jugés insalubres par ses occupants. 4) Exclusion temporaire des auteurs de harcèlement scolaire. Si récidive suspendre les allocations familiales durant un mois et reconduire la mesure en cas de nouvelle infraction. 5) Uniforme standard dans toutes les écoles et centres sportifs publics. Ce sont des lieux réservés à l’éducation et non à la promotion de modes ou de tendances. 6) Le propriétaire d’un véhicule, conforme aux normes en vigueur et respectueux de la réglementation, ne doit faire l’objet d’aucune discrimination. 7) Notons au passage que cette forme de discrimination bafoue également les notions de liberté et d’égalité des citoyens. 8) Le taux de décès imputable à la totalité des accidents routiers est de l’ordre de 0,5 %. Il serait juste de consacrer une énergie proportionnée pour réduire toutes les autres causes de la mortalité sachant qu’elles représentent plus de 99.5% des décès en France. 9) Appliquer deux des principes de la constitution : a) Liberté, b) Égalité des citoyens.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Par exemple si cette dernière concerne un chômeur en fin de droit, il doit avoir le même devoir qu’un ayant droit…etc.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

1. Prendre conscience que demain une partie de la population française peut être contrainte à émigrer. Par exemple, une catastrophe majeure dans une centrale nucléaire peut nous y conduire. 2. L’immigration doit être choisie et non subie.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Laissons le maire, qui le souhaite, définir le profil et le nombre de migrants pouvant être intégrés dans leur commune.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

1. Laissons les élus travailler avec les employeurs locaux. Une municipalité qui n’est plus en capacité d’accueillir un migrant supplémentaire fera remonter l’information. 2. Proposons à cette main d’œuvre potentielle, les offres d’emploi ignorées par les demandeurs d’emploi locaux.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

1. Dilution des migrants dans la population. 2. Empêcher toute formation de ghettos, 3. Dispenser un enseignement spécifique (langue parlée et écrite, législation, civisme, morale, tolérance… etc.). 4. Accorder un droit de travail.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

1. Les ghettos deviennent, sans exception, des zones de non droit et favorisent le développement de comportements mafieux, sectaires, incontrôlables… etc. ou de groupes extrémistes politiques, religieux… etc. 2. Diluons les occupants dans le reste de la population de la ville. 3. Opposons nous à toute nouvelle tentative de regroupement.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

1) La ghettoïsation généralisée est à l’origine de bien des maux dont souffre la France. 2) Chaque administration devait être systématiquement soumise à des quotas de serviteurs issus d’une même grande école (tous dotés de cerveaux bien faits et bien formatés, mais ce n’est absolument pas le sujet). 3) Place à la diversité. 4) Faire disparaître les échelons intermédiaires de structures pyramidales. 5) Procéder à des analyses comparatives, à périmètre égal, entre établissements publics et privés, à vocations identiques (par exemple, un centre hospitalier et une clinique implantée dans la même ville). Passer en revue : a) Les structures hiérarchiques et fonctionnelles, b) L’absentéisme, c) Les avantages sociaux, d) Les ratios frais fixes et frais variables, les niveau des investissements… etc. En tirer un enseignement et engager les actions correctrices nécessaires à sa compétitivité ou son efficacité.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

1. Accueil volontaire de migrants. 2. Les maires et les préfets connaissent les points noirs de leur réseau routier. Eux seuls doivent être habilités à moduler la limitation de vitesse sur une portion de route et uniquement en fonction de la dangerosité du tronçon. En sachant que les zones dangereuses sont déjà balisées par des radars fixes.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Étendre la procédure numérique à l'obtention de tous les documents administratifs.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

En ce qui concerne les démarches sur Internet : 1. L’objectif recherche est atteint (après y avoir consacré un de temps parfois conséquent). 2. L’interface utilisateur est perfectible (plus conviviale et plus intuitive). 3. Une plateforme spécialisée et non robotisées, joignable par téléphone, est souhaitable pour traiter les cas particuliers.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

CPAM, titre de transport, carte grise… etc.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Une adaptation permanente de l'ensemble des services est nécessaire.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Non pour l'essentiel.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Oui si cela élimine ailleurs un poste : a) Sans valeur ajoutée, b) Sans pouvoir réel, c) Redondant.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

1. Rappel : La ghettoïsation généralisée est à l’origine de bien des maux dont souffre la France.. 2. Chaque administration devait être systématiquement soumise à des quotas de serviteurs issus d’une même grande école (tous dotés de cerveaux très brillants et bien formatés, mais ce n’est absolument pas le sujet). 3. Place à la diversité. 4. Faire disparaître les échelons intermédiaires de structures pyramidales. 5. Procéder à des analyses comparatives systématiques.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Procéder à une analyse objective de la situation et rechercher la solution la mieux adaptée et ce au cas par cas.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Satisfait pour ce qui concerne la mise en place de la protection liée aux droits acquis.

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Globalement satisfait.

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

1) Le service militaire obligatoire décrié et supprimé avait bien des vertus, perdues aujourd’hui à un stade crucial de la vie de l’intéressé, à savoir: a) Donner une troisième chance à eux qui n’ont pas reçu d’éducation parentale et positivement, l’enseignement scolaire. b) Apprentissage de la rigueur, de la discipline, de la ponctualité, du respect… etc. c) Détecter des carences, des maladies, l’absence de vaccination, des comportements à risques… etc., d) Proposer des formations professionnelles qualifiantes… etc. 2) Les centres de formation professionnelle doivent se rapprocher des entreprises ou mieux encore être hébergés dans ces dernières. C’est l’assurance d’obtenir une main d’œuvre qualifiée directement intégrable dans le monde du travail. 3) L’état doit conserver le contrôle de ses grands groupes stratégiques. a) Si besoin est, demander à un collectif de citoyens de participer au capital d’une ou plusieurs de ces entreprises. b) Une participation au capital accordée à de grands groupes privés, nés sur le sol français (et sont souvent domiciliées ailleurs), ne profite qu’à une poignée d’actionnaires. c) La cession de capital à des puissances étrangères est hautement plus problématique. 4) Dans le service public, à l’embauche, le statut de fonctionnaire ne doit pas être systématique garanti. Seuls les critères de niveau de responsabilité, de confidentialité, de manipulation de données sensibles… etc. devraient être prises en considération pour accorder ou non cette protection. 5) Augmentation des salaires du public au mérite. 6) Délai de carence identique pour tous. 7) Régime de retraite unique pour tous les français. 8) Recherches de synergies entre services police nationale, gendarmerie, RG… etc.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

L'HOMME

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

PRÉAMBULE: L’homme est le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement. 1) L’homme, ces derniers siècles, a durablement pollué l’air, les sols, les mers, les océans, les nappes phréatiques, les cours d’eau et en seulement 50 ans, l’espace proche de son astre. a) Aujourd’hui nous continuons frénétiquement, par cupidité, à : i) Massacrer la végétation, ii) Piller et contaminer les ressources naturelles, iii) Décimer pour des motifs futiles la faune et la flore. iv) Rejeter dans l’environnement tout ce dont on ne sait que faire. b) Dans l’indifférence générale, des chaînes alimentaires sont sur le point de se rompre, i) Par destruction progressive des insectes pollinisateurs… etc. ii) Par capture démesurée de poissons fourrage, de krill… etc. c) Ses craintes : i) Les phénomènes météorologiques toujours plus dévastateurs et meurtriers. (1) Expliqués par : (a) L’élévation de température: (i) Des masses d’air chaud. (ii) De l’eau en surface des océans. (2) Sachant que : (a) La puissance d’un phénomène météorologique et le niveau des précipitations associées sont, entre autres, directement liés à la différence de température existante entre les masses d’air chaude et froide en conflit. (b) Le pouvoir d’un cyclone tropical est renforcé par une élévation de température de sa base au contact de la surface de l’océan sur lequel il se déplace. (c) Le pouvoir destructeur du vent généré évolue en fonction du carré de la vitesse de cet élément. (3) Autant de bonnes raisons pour l’homme de ne plus contribuer à réchauffer les eaux et les masses d’air. ii) La montée du niveau des océans. (1) Expliquée par: (a) La dilatation volumique de l’eau, par augmentation de sa température, sur environ 1000 m de profondeur. (b) La fonte de la banquise, des calottes polaires, des glaciers et neiges de hautes altitudes causée par : (i) L’air pollué qui y dépose ses particules solides, (ii) Les grands courants marins conduisant vers les pôles une eau réchauffée, (iii) Les masses d’air réchauffées venant des tropiques. (c) Le comblement accéléré des plateaux continentaux. (d) Le rejet de matériaux solides en mer. d) Sa part dans le dérèglement climatique : i) L’homme s’est arrogé le droit de modifier la planète et a rompu les grands équilibres naturels établis sur plusieurs millions d’années et ce: (1) En détournant des fleuves, (a) Il crée de nouvelles zones désertiques (plus proches des pôles et des grandes chaînes montagneuses que les grands déserts naturels), (b) Les vents chargés des sable et poussières ainsi libérées polluent le reste de la surface du globe et en particulier les glaciers, les calottes polaires, la banquise et les champs de neige de haute montagne. (c) Ces dépôts brunâtres captent efficacement les infrarouges et par conduction, font fondre le manteau et ce, même si la température extérieure est négative. Ce phénomène contribuera, pour un part importante, à l’élévation du niveau des mers. (d) Les nappes phréatiques situées sous le lit du cours d’eau disparu s’assèchent inexorablement, (e) Les populations n’ont de choix autre que celui de se déplacer. (2) En dé végétalisant des surfaces considérables, il contribue : (a) Au réchauffement de l’atmosphère (b) A l’élévation de température des cours d’eau et par conséquent des mers et océans. (c) A l’érosion des sols, facilite les glissements de terrain, les coulées de boues et le comblement des plateaux continentaux. (d) Réduire l’alimentation des nappes d’eau souterraines (3) En obstruant les cours d’eau, (a) Il génère de inondations catastrophiques ou meurtrières, (b) Il aggrave ce phénomène en remblayant des zones naturellement inondables ou en ne permettant plus aux cours d’eau de recouvrir ces étendues. (c) En construisant des barrages qui, pour la plupart, liquéfieront et rendront instables les sous sols. (d) Les contenus de ces derniers, tôt ou tard enseveliront tout sur leur passage. (e) Les lâchés d’eau intempestifs, en plus du dangers qu’ils représentent, intensifient le transport d’alluvions vers la mer. (4) En rejetant dans l’environnement tout ce dont il ne sait que faire, (a) En mer : (i) les boues rouges contaminent avec de multiples polluants l’eau, les poissons, les coquillages… etc. (ii) les stations d’épuration font de même. (iii) Pétrole brut et hydrocarbures, pyralène… etc. (iv) Explosifs, plastiques… etc. (v) Eaux réchauffées par les centrales… etc. (vi) Une eau trouble ou présentant une surface chargée de pétrole, d’hydrocarbures, des déchets flottants (mousses, bois, plastiques, algues arrachées… etc.) ou bien encore présentant une prolifération des micros algues brunes… etc., accepte la majeure partie de l’énergie solaire captée par ces polluants. (vii) Sur l’estran, les roches souillées par le pétrole captent et stockent davantage d’énergie. Cette dernière est transférée à l’eau lors de la marée montante. (b) Sur terre : (i) Les résidus miniers sont emportés par les vents, les courants ascendants ou les cours d’eau par ruissellement. (ii) Idem pour les poussières générée par l’exploitation de carrières où de mines à ciel ouvert. (iii) Idem pour ce qui est disséminé dans la nature, les papiers, les plastiques… etc. (iv) Lisiers et purins. (c) Dans les sous sols (i) Déchets : 1. Radioactifs 2. Médicaux 3. Industriels… etc. (d) Dans l’espace proche, l’élite mondiale pollue ou y préconise des rejets divers. (e) Dans l’air : (i) Des fumées industrielles chargées de particules solides. (ii) Rejet de gaz toxiques. (iii) Les rejets calorifiques de refroidissement de centrales, de véhicules… etc. (iv) La déperdition calorifique des bâtiments… etc. (v) Émission de gaz à effet de serre. Les plus redoutables sont très souvent dérivés des énergies fossiles… etc. (f) En éradiquant les espèces qu’il juge nuisible à son activité (herbicides, pesticides, chasse… etc.) 2) L’homme ne tire aucun enseignement des erreurs du passé et continue à vivre sans se soucier du lendemain. 3) L’homme et sa velléité à rechercher les véritables causes du dérèglement climatique et de l’élévation du niveau des océans. 4) L’homme n’a pas conscience qu’il contribue activement à l’extinction de son espèce. 5) Un diagnostic tronqué des maux dont souffre notre planète et l’apport de solutions inappropriées conduiront l’homme à sa perte. RÉPONSE A LA QUESTION: Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ? 1. Éduquer l’homme, lui dispenser un enseignement adapté suivi d’une formation continue. 2. Par des exemples concrets, lui monter ou conduit la politique de l’autruche, sa propension à jouer à l’apprenti sorcier, sa cupidité… etc. 3. Lui faire comprendre une fois pour toutes que les gaz à effet de serre ne sont qu’une des nombreuse causes du dérèglement climatique, de la fonte des glaces, des glaciers, des neiges qualifiées autrefois d’éternelles et de l’augmentation du niveau des océans. 4. Créer une structure mondiale composée de scientifiques reconnus et incontestés et spécialisés dans tous les domaines concernés par le changement climatique, la pollution, la santé (participation de l’OMS ?) et la montée du niveau des océans. Une coordination unique, la fixation d’objectifs clairs, des moyens et l’absence totale de lobby sont indispensables à l’efficacité de cette équipe. 5. Pour chacune des multiples causes du dérèglement climatique et de l’augmentation du niveau des océans, obtenir la signature d’une charte déontologique au niveau mondial. 6. Être hermétique au discours des lobbies. Leur objectif premier est la préservation de leurs intérêts particuliers. 7. Nommons les problèmes correctement et ne faisons pas d’amalgame entre, la pollution en général, la santé publique altérée par les particules fines, les herbicides… etc., le réchauffement climatique et la montée du niveau des océans. 8. Cessons d’appliquer des solutions qui n’en sont pas car elles nuisent à la défense d’une cause légitime. Par exemple, réduire de 20% la vitesse sur route, augmente le temps de parcours de 20 %. De ce fait, la quantité de polluants émise durant le trajet est, quasi constante (voir formule universelle: Quantité = Intensité x Temps). À titre expérimental, la ville de Rennes, durant deux années a réduit de 20 k/h la vitesse maximale autorisée sur son boulevard périphérique. Les mesures permanentes effectuées au cours de cette période et la précédente ne relatent aucun changement significatif du taux de pollution de l’air. À la grande satisfaction de ses résidents subissant une pollution sonore plus courte et des usagers dont je fais partie, pour un transit rapide et fluide, la ville de Rennes applique depuis, sur ce réseau, une vitesse de 90 km/h. 9. La circulation différenciée n’est pas une solution. 10. La bonne décision est de travailler pour éliminer les rétrécissements de voies générant, aux heures de pointe, les bouchons routiers. C’est la non fluidité de la circulation qui fait grimper le taux de pollution. En effet, dans ce cas, les véhicules rejettent des polluants sans pour autant se déplacer significativement. Etre amené à vaincre fréquemment l’inertie d’un véhicule stoppé dans sa course et à effectuer de nombreuses montées en régime pour relancer son moyen de déplacement ainsi que l’augmentation du temps de trajet font progresser considérablement la quantité de polluants émis. 11. Pris dans un bouchon routier, si la vitesse est nulle, arrêtons tous notre moteur. 12. Supprimer les obstructions présentes sur tous les cours d’eau, nettoyer les berges régulièrement. 13. Détruire les barrages qui ont liquéfiés les sous sols ou qui ne sont pas ancrés solidement, en façade sur trois cotés, dans une roche saine. 14. Végétalisons les surfaces urbanisées et recherchons un revêtement blanc ou captant peu les infrarouges pour ce qui ne peut l’être et en particulier les parties exposées au rayonnement solaire. (toitures inadaptées, trottoirs, routes, parkings… etc. 15. Plantons des haies autour de chaque parcelle de terrain exploitée pour palier aux méfaits du remembrement, limiter l’érosion des sols et permettre aux nappes souterraines de se réalimenter. 16. Replanter systématiquement de jeunes arbres après avoir exploité une parcelle de bois ou de forêt. 17. Récupération systématique des eaux pluviales. 18. Construire des réservoirs étanches plutôt que des barrages. 19. Faire disparaître tous les dispositifs de prélèvements d’eau illégaux, sur tous les cours d’eau. 20. Promouvoir, l’arrosage goutte à goutte. 21. Évitons de cultiver des plantes gourmandes en eau dans les zones naturellement sèches. 22. Recherche de solutions alternatives à l’emploi de pesticides et herbicides. 23. Encourager la permaculture

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Le changement climatique est indissociable de la pollution mais, la réciprocité n’est pas systématique. En effet, la pollution peut affecter directement l’environnement et la vie quotidienne. 1. Phénomènes météorologiques de plus en plus amples et dévastateurs, 2. Prolifération d’insectes exotiques, moustique tigre, frelon asiatique… etc., 3. Disparitions d’insectes utiles tels que abeilles, coccinelles… etc., 4. Idem pour la faune et la flore, 5. Allergies diverses, 6. Difficultés respiratoires.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Solutions mises en œuvre : 1. Tri sélectif des déchets, 2. Non rejet de produits polluants dans la nature, 3. Respect des ressources naturelles, 4. Éviter le gaspillage. 5. Recyclage 6. Jardin en permaculture. Et malheureusement, sans pouvoir réel sur l’essentiel, à savoir : les pollutions industrielles, les centrales thermiques, les installations collectives, le transports routier et maritime, les décharges sauvages ou à ciel ouvert, les rejets dans les cours d’eau ou en mer, le pillage des ressources naturelles... etc.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Ce qui est en mon pouvoir est en application depuis ma plus tendre enfance.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

1) Les dirigeants sont en première ligne et doivent appliquer un plan de désengagement : a) Pour chaque énergie fossile, b) De la pollution sous toute ses formes, c) Du pillage des ressources naturelles. 2) L’éducation et les valeurs essentielles transmises par les parents, 3) Dispenser à tous les stades de la scolarité une éducation civique et morale, 4) Un enseignement adapté suivi d’une formation continue. Sanctionner les pratiques répréhensibles

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

PRÉAMBULE : Pour rendre une maison ancienne plus écologique, il faut dans l’ordre: 1. Isoler le bâtiment au minimum sur 5 faces, 2. Poser des volets isolants, 3. Installer des portes et fenêtres présentant une déperdition calorifique moindre, 4. L’équiper d’une ventilation mécanique contrôlée double flux, 5. Choisir un moyen de chauffage compatible si possible couplé à un ballon eau chaude sanitaire. 6. Sinon en complément opter pour un chauffe eau thermodynamique et ou solaire. RÉPONSE A LA QUESTION: Que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ? 1. Une incitation fiscale significative, 2. Une solution de financement, adaptée. 3. Aides à l’amélioration de l’habitat

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

La mise en place d’un maillage complet des transports publics, H24, 7 jours sur 7 et 365 jours par an avec des horaires compatibles avec l’activité des entreprises, des commerces, des écoles, des centres de soins, des espaces de loisirs ... etc. En effet, la mise en place d’un moyen de transport est conditionnée par : 1. l’heure de la journée, 2. l’horaire d’été ou d’hiver, 3. le jour de la semaine, 4. Le fait qu’il soit férié ou non, 5. Une période de congés scolaire ou pas, 6. La saison, 7. Les conditions météo, 8. Un personnel en grève ou pas, 9. L’état du réseau… etc. La mise en place des correspondances obéit à des règles complémentaires et ou différentes. En d’autres termes, 1. Éliminer une véritable aventure quotidienne, sans cesse renouvelée et qui, malheureusement, ne fait aucunement rêver. 2. Nous avons besoin de certitudes.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

État, régions, départements, mairies et sociétés concernées par ce maillage.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

A) EN EUROPE, 1. Frapper tous les lobbies d’une Interdiction de séjour définitive au sein des structures européennes. 2. À l’image d’Airbus, proposer une coopération étroite R&D+Production portant sur projets d’intérêts généraux tels que stockage d’énergie calorifique ou électrique, pile à combustible… etc., destinées à la propulsion électrique, à un usage domestique ou industriel, moteur linéaire… etc. 3. Interdire l’usage de tous les emballages plastiques non bio dégradables en cycle court. 4. Le tri sélectif est une bonne décision sous réserve que le recyclage soit généralisé. Regroupons nos forces pour rechercher et développer des techniques simples, peu coûteuses et non polluantes pour extraire et séparer chacune des matières nobles composant les diverses familles de produits collectés. 5. Rechercher une autonomie pour tous les produits stratégique tels que : médicaments, composants électroniques, métaux issus de terres rares, cuivre, alu, zinc… etc. 6. C’est aussi un moyen de sauver une partie de la sidérurgie en refondant sur place tous les métaux récupérés. 7. Convenir pays par pays d’une date de fin d’utilisation pour chacune des énergies fossiles. 8. Idem pour le nucléaire. 9. Proposer l’harmonisation des normes, des règles sanitaires, sociales, de la fiscalité… etc. Et ce afin d’éviter la déloyale concurrence interne. 10. Supprimer le changement d’horaires été / hiver. 11. Interdire les décharges à ciel ouvert sur terre 12. Interdire les décharges à ciel ouvert et recouvertes sur le littoral. Elles finiront toutes, tôt ou tard, dans la mer. 13. Annoncer le ferroutage des camions en transit sur le sol français. 14. Renoncement aux pesticides et herbicides les plus redoutables. 15. Travailler sur l’extraterritorialité de certaines lois afin de lutter à armes égales avec les puissances étrangères. B) DANS LES EAUX TERRITORIALES EUROPÉENNES, ŒUVRER POUR : 1. Interdire son accès à tout bâtiments utilisant, comme source énergétique, des résidus de pétrole ou du brut. 2. Imposons aux pétroliers de dégazer avant de quitter la zone portuaire. 3. Autorisons une pêche espèce par espèce uniquement après sa période de reproduction achevée. 4. Interdisons l’usage des moyens de capture des poissons non discriminants et destructeurs tels que filet dérivant, chalut standard et pêche électrique. 5. Interdisons les rejets en mer, de matériaux, boues, polluants, eaux noires, eaux usées… etc. (directement ou via un cours d’eau). C) AU NIVEAU MONDIAL : 1) Reconduire les règles applicables préconisées au niveau européen. 2) Rendre aux territoires, aux pays, aux mers et océans, les fleuves détournés, puis les classer au patrimoine mondial de l’humanité. 3) Classer toutes les forêts primaires au patrimoine mondial de l’humanité. 4) Mettre un terme à : a) La fracturation hydraulique, b) L’exploitation des sables bitumineux, 5) Créer un vaisseau spatial automatisé chargé de récupérer les déchets abandonnés dans l’espace. Au rythme actuel des rejets, dans peu de temps, il sera impossible pour les cosmonautes de quitter ou revenir sur la planète sans danger. 6) Signature d’une charte réservant l’espace aux domaines d’intérêts généraux (exclure les projets publicitaires, ludiques, mégalo… etc.). 7) Reconstituer les mangroves, 8) Combattre l’usage de mercure par les orpailleurs… etc.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

1) La transition écologique ne se finance pas, elle se décrète. 2) Les décideurs sont en première ligne. Dites simplement : a) Nous nous engageons en France à ne plus consommer les énergies fossiles a, b, c… etc. aux dates réalistes et respectives suivantes : x, y, z… etc. i) Pour ce faire, les laboratoires de recherche, de développent et les industriels concernées devront, immédiatement, tout mettre en œuvre pour attendre ces objectifs en proposant des solutions alternatives. b) Nous nous désengageons progressivement du nucléaire. Son apport dans la production électrique cessera à l’horizon 20xx. i) En conséquence, nous orientons les centres de recherches concernés vers les biocarburants, la biomasse, la photosynthèse, l’exploitation des courants alternatifs marins, le solaire, l’éolien… etc. c) Nous nous engageons à ne plus polluer, les cours d’eau, les nappes phréatiques, la mer…etc. à compter de 20zz. i) Par conséquent nous demandons… etc. d) Idem pour la pollution atmosphérique venant des sites industriels, des collectivités…etc. e) Dito pour le pillage de chaque ressource naturelle… etc. Tirons un enseignement positif d’une récente campagne hasardeuse anti-diesel, en analysant son impact sur la clientèle, les ventes, les industriels concernés et la recherche de solutions alternatives. 3) Un véhicule, conforme aux normes en vigueur, ne doit pas conduire à une discrimination exercée à l’encontre de son utilisateur. (Le dispositif Crit’Air est basé essentiellement sur des critères non objectifs tels que: Année de mise en service, type de motorisation… etc.). 4) La circulation différenciée, dénuée de sens, jette l’opprobre sur d’autres mesures fondamentales. 5) Il est possible aujourd’hui de construire des habitations passives ou mieux encore à énergie positive. a) Les techniques d’isolation sont parfaitement connues, b) La production de panneaux photovoltaïques est maîtrisée, c) Il en est de même pour les panneaux hydrauliques, d) Dito pour la géothermie, 6) Les coûts de production sont asymptotiques. Il évoluent donc à l’inverse de la quantité produite et tentent ainsi vers le coût matière. Une généralisation de ces techniques est donc tout à fait réaliste. 7) Pour ce faire, il faut autoriser les particuliers à installer des surfaces de panneaux adaptées à son besoin en énergie et les inciter à devenir autonomes. 8) Le solaire présente en France un avantage par rapport à l’éolien. En effet le besoin en énergie est maximal en période de grand froid ou pendant les épisodes caniculaires (Par utilisation du chauffage ou à l’inverse, de climatiseurs, refroidisseurs…etc.), 9) Ces cas de figure se rencontrent toujours en période anticyclonique caractérisée entre autres par une absence de vent, un ciel dégagé et des éoliennes à l’arrêt. 10) Hors période anticyclonique, l’éolien peut contribuer à supprimer définitivement les centrales thermiques et réduire le part du nucléaire. 11) Il serait bon, dans l’immédiat, de s’intéresser aux courants marins alternatifs présents dans la Manche. Un seul exemple afin d’illustrer le propos : Dans le Raz Blanchard circulent 4 fois par jour des courants pouvant dépasser 10 nœuds dans un chenal naturel d’une section supérieure à 100 000 m2. 12) Sans incidence notable sur l’environnement et le milieu marin, posé en ce lieu, un parc de turbines pourrait remplacer plusieurs centrales nucléaires (un réseau THT est déjà en place sur la presqu’île du Cotentin). 13) Imposer le ferroutage pour tous les poids lourds européens en transit vers l’Espagne ou l’Angleterre et vice versa. 14) Donner un second souffle aux moyens de transports de marchandises les plus économiques et les moins polluants : a) Le fluvial nord-sud et est-ouest de la France en redimensionnant certaines voies navigables. b) Le ferroviaire. 15) Supprimer le changement d’horaires été / hiver et rester au TU+2 afin de : a) profiter pleinement du soleil après une journée de travail, b) Réduire la consommation d’énergie liée aux tâches domestiques. 16) Ne plus céder au chantage à l’emploi, exercé par les dirigeants, réticents à la mise aux normes de leurs entreprises polluantes. 17) Traiter, de façon proportionnée, les différentes causes du réchauffement climatiques, de la montée du niveau des océans et les problèmes de santé liées à la pollution atmosphérique, de l’eau, des aliments… etc. (actions, politique, médias… etc.). 18) Comme cela a été fait pour la lampe d’éclairage à incandescence nous pouvons cesser de produire des dispositifs gourmands en énergie et peu efficaces. Par exemple le simple convecteur fixe à résistance électrique, le chauffe eau à résistance stéatite, la plaque de cuisson à résistance électrique ou à lampe halogène, les piles… etc.