Les responsables syndicaux : ils n'ont de cesse de nous défendre. Les maires. Ils sont des élus de proximité
Oui
Essentiellement aux organisations syndicales et professionnelles. Elles doivent être, par exemple, en mesure d'accompagner les salariés dans leur évolution de carrière, être force de proposition pour former ou réorienter les salariés, autant que les défendre.
Kidnapper leurs enfants. Blague à part, il faut instaurer une possibilité de contrôle des promesses faites aux citoyens et des sanctions en cas de manquement.
Une mauvaise chose
Les élus deviennent très vite paranoïaques. Leur image, dans l'objectif d'être réélus, devient alors plus importante que leur action.Il faudrait autoriser le cumul des mandants à condition de ne pouvoir s'y présenter qu'une fois.
Rien. Les élections doivent rester la représentation d'un tendance majoritaire. A défaut, on avance pas.
Oui
Les adjoints municipaux . Ils sont très rarement professionnels dans la tâche qui leur est confiée. Les agents de la fonction publique territoriale font le travail. Pas besoin d'être 10 pour déterminer une orientation.
Médiocre.
Oui
Si le vote blanc est majoritaire, on revote.
Un réseau social dédié.
Oui
Idem, Un réseau social dédié.
Concernant l'état, fournir régulièrement des informations générales sur les grands projets. Leur permettre une réponse par le biais de sites comme celui ci.
Proposer des thème de débats, centraliser les réponses et rendre compte.
Non
None
La laïcité, telle qu'elle est envisagée en France, est une erreur. On interdit tout, plutôt que de tout autoriser. Je suis pour que l'on accepte que des gens ne mangent pas de porc ou portent un foulard, pour autant, on autorise les fêtes de pâques, le port de la kippa, etc... Vivre ensemble, ce n'est pas interdire les différences, c'est les accepter.
La réponse est dans la question: Intangibles.
Favoriser des réseaux sociaux dédiés.
Bonjour, s'il vous plait, merci, au revoir.
Les apprendre à l'école.
None
Le manque de respect. Une volonté de plus en plus flagrante d'en découdre. Pour y répondre : L'argent restera toujours le nerf de la guerre. Pour les incivilités des jeunes : Supprimez un temps les allocations, aux parents. Pour les adultes : obliger les contrevenants à suivre des stages d'éducation civique sanctionné par un examen. Supprimer des points sur le permis de conduire...
Saisir les papiers d'identité. Obliger les contrevenants à venir les récupérer et à présenter des excuses le cas échéant.
Le rôle de témoin, d'alarme. Pour fournir les preuves sous toutes les formes possible : témoignages, vidéos, audios,...
Je ne suis témoin ni victime d'aucune discrimination
...
Oui
Une éducation sans failles des enfants. Un comportement exemplaire.
La langue. Pour le reste, priver un pays de ses éléments les plus compétents reviendrait à provoquer une immigration permanente, y compris de personnes sans aucunes qualifications.
Les seuls objectifs à se fixer concernent les aides à apporter à ces pays.
Investir à la source.
Déterminer des portes paroles, des responsables.
Mesdames, Messieurs, Ce n'est pas être complotiste de dire que les banques dirigent le monde. Les présidents et leur gouvernement ne disposent plus que du pouvoir de nous expliquer la nature de nos problèmes, mais pas celui de les résoudre. Les états essayent malgré tout de faire bonne figure mais leur marge de manœuvre se réduit comme peau de chagrin. Et dans ce monde où chacun s'accroche désespérément à ce qu'il a, personne ne semble plus être enclin à lâcher quoi que ce soit. Il en va de même dans notre pays, la dette, les disparités salariales, le manque de pouvoir d'achat, le défaut d'accompagnement dans tous les processus d'éducation ou de formation, l’insécurité, la colère et la désillusion... Tout cela appelle des mesures drastiques. J'entends par là une approche radicalement différente de la manière dont notre pays doit être gérer. Il nous faut coute que coute trouver le moyen de se saisir de la seule arme qui nous fasse défaut pour gagner la guerre: l'argent. Que pouvons-nous faire...? Avant toute chose, je tiens à préciser que je ne suis pas ici pour dénoncer une loi que d'aucuns pourraient juger de "liberticide". Ce débat est dépassé. Je ne défends pas un droit, je cherche une solution. La politique de répression quant à la vente et l'usage de stupéfiants, je parle essentiellement du cannabis, si elle a tout au moins le mérite d'exister, est clairement, sans discussion, un échec depuis 50 ans. Interdire un produit ne le fait pas pour autant disparaitre. Cela lui confère davantage de valeur et favorise par conséquent son trafic, c'est tout. Comment les gouvernements successifs ont-ils pu penser qu'en laissant une situation hors de contrôle, celle-ci se résoudrait d'elle-même. Car il est bel et bien question de déni. Nos dirigeants, par soucis électoraliste, afin de mettre en avant je ne sais quelle "Francitude" bien-pensante à l'égard des plus réactionnaires d'entre nous, continuent de vouloir colmater les brèches d'un Titanic. Ils voient le problème, ils le comprennent, ils tentent de le combattre et ce faisant, ils se refusent à le gérer. C'est absurde. Car la réalité peut surprendre, mais il est aujourd'hui possible à n'importe qui, n'importe où en France, et plus facilement encore pour certains frontaliers, de se procurer du cannabis à des tarifs accessibles et en un minimum de temps. Les consommateurs, réguliers ou occasionnels, sont d’ailleurs de plus en plus nombreux. Nous ne sommes donc pas en face d'un problème qui pourrait nous tomber dessus si nous changions la loi de 1970, mais bel bien déjà au cœur de ce dernier. En résumé, on ne parle plus d'avancer dans le brouillard, mais d'en sortir. Les faits sont les suivants : Aujourd'hui, entre gros trafiquants et dealers d'un jour, on ignore qui sont les vendeurs, on ne sait pas qui sont les consommateurs, ni les quantités ou encore la nature de ce qu'ils consomment. Quoi que l'on sache, en tout cas, on ne contrôle rien. Les douanes, la police, les surveillances, les filatures, les barrages, les poursuites, les enquêtes, les interpellations, les amendes, les condamnations... Des milliers de Sisyphe sont à l'œuvre, tandis que le nombre de trafiquants et de consommateurs ne cesse d'augmenter. Comment ne pas être désabusés devant la flagrante inutilité de telles missions. Les tribunaux sont engorgés et les prisons débordent. Les moyens colossaux mis à disposition des forces de l'ordre servent tout juste à effectuer des rappels à la loi, infliger des amendes, sinon à emprisonner un temps des dealers, aussitôt remplacés quand ils ne sont pas remis trop vite en liberté. Certains quartiers de nos villes moyennes sont devenus des zones de non-droit, des territoires, livrés aux trafiquants qui se les disputent. Les habitants y survivent, désemparés, dans la violence et la peur. Le spectacle de l'argent facile, gagné en toute impunité, fascine naturellement une partie de la jeunesse, déjà en panne de repères. Qu'ils deviennent des mules ou des surveillants, ils intègrent volontiers ce système illégal, grâce auquel ils sont rémunérés, respectés, parfois craints. La fréquentation de ces milieux par les jeunes, et la consommation régulière de drogues, entrainent souvent la perte des repères familiaux, la déscolarisation, et en définitive, la désocialisation. Quelle éducation donneront ces enfants à leurs propres enfants ? Au regard des peines encourues par les trafiquants, il ne s'agit clairement pas de braves types le jour, souhaitant juste arrondir leur fin de mois la nuit. Les consommateurs occasionnels côtoient donc des personnes dangereuses et prêtes à tout pour s'enrichir. Dans ce cadre, alors qu'ils voulaient du cannabis, ils risquent de trouver tout autre chose, quand la nature des produits distribués sur ce marché parallèle échappe à tout contrôle. Souvent coupés avec d'autres produits très addictifs, ils deviennent rapidement des prisons, pour ceux qui croyaient juste s'amuser. ... Et si tout ceci pouvait changer… La somme des moyens mis en œuvre pour tenter d'endiguer, sans résultat, le tsunami que représente ce trafic, le manque à gagner quant à un produit agricole qui, a contrario des cigarettes ou des alcools, se vend sans aucune taxe et dont les bénéfices partent la plupart du temps à l'étranger, les campagnes de prévention, les soins et les aides apportés à ceux qui sont prisonniers de leurs addictions, les dégâts, les violences, les délits occasionnés par des populations dont on ignore tout... Ces milliards d'euros non perçus ou dépensés en vain, ne pourraient-ils pas être consacrés à régler cette situation et les multiples problèmes soulevés par ce grand débat ? De quoi a-t-on peur ? Que des personnes majeures puissent avoir un accès libre au cannabis ? C'est déjà le cas. Pire encore, je doute que les revendeurs s'inquiètent aujourd'hui de l'âge de leurs clients. Que d'autres trafics voient le jour ? Ils existent déjà. Pire encore, l'absence de distinguo entre les stupéfiants met souvent en contact des consommateurs de drogues douces avec des dealers d'héroïne. Qu'une économie parallèle disparaisse ? On peut imaginer que les dealers d'aujourd'hui pourraient devenir les commerçants de demain. Que les lieux de vente pourraient être autre chose que des entrées d'immeubles. Que les guerres de territoires pourraient cesser. De plus en plus de pays ont compris tout l'intérêt qu'il pouvait y avoir à véritablement s'emparer de ce problème. D'un point de vue sociétal, économique, sanitaire et social, la prise en compte le contrôle et l'organisation de ce marché totalement opaque à ce jour, apparait en effet comme une solution avantageuse, à de nombreux égards. On me parlera sans doute de renoncement, de valeurs républicaines, de compromission, d'un "état dealer" et que sais-je encore... Je vous invite à réfléchir sur les conséquences visibles de ce qui a été fait depuis 50 ans. Je vous invite à réfléchir sur les conséquences possibles d'un tel changement. Bien à vous. Olivier - Valenciennes – 50 ans.
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