Date de publication : 2019-02-03
Code postal : 86290

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

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2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

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3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

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4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

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5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

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6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

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7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

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8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Jupiter, dans son long discours du 27 novembre, a essayé de faire croire à ces demeurés de Gaulois que les augmentations de taxes sur le fuel allaient servir à sauver le climat en finançant la transition énergétique. Quelle bonne blague ! Prenons l'exemple de l'éolien terrestre, dont le financement fait appel à 3 taxes. Rien que ça ! L'État oblige EDF à acheter le kilowatt-heure éolien à plus de 8 centimes d'€, alors que le prix de marché de l'électricité à la bourse est en moyenne de 3,5 cents. EDF répercute les 4,5 cents de différence sur votre facture d'électricité par le biais d'une première taxe, la CSPE. Mais pas tout, une partie seulement, car en 2016 le gouvernement Valls n'ose pas tout mettre sur votre facture. Cela vous aurait mis très en colère... Une partie de la CSPE sera donc payée par le consommateur de gaz qui est gratifié d'une nouvelle taxe créée à cet effet. Comme en 2018 cet expédient s'avère encore insuffisant, Édouard Philippe se rabat sur la TICPE, cette fameuse taxe sur les produits pétroliers, qui sert à tout et n'importe quoi, et surtout à boucher les trous. Il décrète qu'une partie de l'augmentation de cette taxe servira elle aussi à payer l'éolien. Et de trois ! Ainsi, que vous consommiez de l'électricité, que vous brûliez du gaz ou du fuel pour vous chauffer, ou que vous passiez à la pompe, vous n'y coupez pas, vous êtes ponctionné pour remplir les poches d'un producteur éolien. Et pour faire bonne mesure, depuis 3 ans, l'État verse aussi à EDF 1 milliard tous les ans au titre du manque à gagner … sur l'éolien. Cette fois, c'est en tant que contribuable que vous payez l'éolien. Vous ne le saviez pas,mais vos députés non plus, qui n'en ont jamais discuté. Jupiter, du haut de son Olympe écologique, proclame qu'il veut tripler la production éolienne. Les taxes éoliennes passeront de 5 à 8 milliards par an. Le prix de l'électricité doublera, à l'instar de ce qui s'est passé en Allemagne. L'éolien en mer, qui devrait arriver d'ici 4 à 5 ans, sera acheté au prix faramineux de 20 centimes d'€ le kilowatt-heure, alors qu'il est acheté 5,6 en Angleterre. Si encore les éoliennes servaient à quelque chose... On nous a longtemps fait croire que l'éolien pourrait remplacer la moitié du nucléaire. Une autre bonne blague ! Nicolas Hulot, quelques semaines avant de jeter l'éponge, s'est enfin rendu compte que cette promesse électorale relevait du pur rêve idéologique. Et pour cause : la production éolienne, intermittente et aléatoire, ne peut garantir la continuité de la fourniture d'électricité tant que nous n'aurons pas réglé le problème du stockage. Et ce n'est pas pour demain ! Pire, ce pauvre Nicolas a fini par avouer que la politique de développement de l'éolien à outrance de ces dernières années n'avait pas diminué nos émissions de CO2, bien au contraire. Les émissions de la production d'électricité française n'ont pas cessé de progresser ces 4 dernières années. Elles ont même augmenté de 20% entre 2016 et 2017 ! Normal, puisque des centrales thermiques – pour l'essentiel des turbines à gaz – doivent compenser en permanence les aléas du vent. La production d'électricité française, qui est depuis des années une des moins carbonées du monde, émet de plus en plus de CO2 au fur et à mesure que le parc éolien se développe. Cherchez l'erreur... Daniel Waechter, un des pères de l'écologie, n'hésite pas à qualifier l'éolien de véritable escroquerie intellectuelle. La Cour des Comptes a produit en début d'année un rapport saignant sur l'énorme gaspillage d'argent public – qui accompagne le développement de l'éolien. Elle rappelle en outre que l'éolien est totalement inefficace pour décarboner notre consommation d'énergie. Mais qu'importe, Jupiter s'entête et continue la politique ruineuse engagée sous le précédent quinquennat. L'idéologie foireuse du « sauvetage du climat » a bon dos. On nous raconte que l'éolien et le solaire seront les piliers de l'indépendance énergétique de la France. Faux, archi-faux ! L'éolien représente aujourd'hui à peine 5% de la production d'électricité française malgré 8000 éoliennes. Le solaire quant à lui plafonne à 1,5%. La France fournit le gros de ses besoins en électricité grâce à l'hydraulique (12%), et grâce au nucléaire (70%), pour lequel elle importe ½ à 1 milliard d'€ d'uranium par an. Pour ses autres besoins, elle importe 40 milliards de pétrole et 10 milliards de gaz. Cherchez l'erreur ! On nous raconte enfin que l'éolien est l'avenir des communes. L'État assèche les finances locales, puis force la main des maires en leur faisant croire que leur commune va bénéficier d'un fantastique pactole fiscal en acceptant des éoliennes ! À y regarder de plus près, les ressources procurées par la fiscalité des éoliennes ne représentent que 3 à 4% des subventions que vous payez aux producteurs éoliens. L'arnaque de l'éolien est grossière. Le lobby éolien dicte sa loi au sommet de l'État. Puis l'État invente des mesures qui vous imposent des éoliennes après un simulacre de concertation. Le lobby éolien peut ainsi se gaver en toute légalité des taxes prises dans vos poches. Le triplement du parc de production n'est en fait qu'un renvoi d'ascenseur maladroitement peint en vert. Avouez qu'il y a de quoi mettre un gilet jaune. Un Gaulois en colère contre l'éolien et ses taxes

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

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2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

ECOUTER LES SCIENTIFIQUES PLUTOT QUE LES ECOLOS INTEGRISTES ET LES JOURNALISTES QUI N'Y CONNAISSENT RIEN... Etonnant non ? signé par des scientifiques de renom : Déjà modeste au siècle dernier, le réchauffement de la planète a considérablement ralenti depuis vingt ans malgré le triplement de nos émissions de CO2 ces cinquante dernières années. Alors que l’Assemblée nationale vient de donner son feu vert pour que la préservation de l’environnement et la lutte contre les changements climatiques soient inscrits à l’article 1 de la Constitution, des scientifiques s’élèvent contre une mise sous tutelle idéologique de la pensée rationnelle. La météo nous rend hystériques Depuis une trentaine d’années, il nous est demandé de croire que nous vivons un épisode de réchauffement planétaire inquiétant causé par les émissions humaines de gaz carbonique (CO2). Chaque événement météorologique est désormais pesé à l’aune de cette prétendue menace, au prix d’exagérations qui seraient vite dénoncées si leur contexte n’était parfois si tragique. Ainsi de l’ouragan Irma sur lequel des chercheurs persuadés de l’apocalypse climatique ont cédé à l’affirmation de la culpabilité humaine, coupant court à toute réflexion sur ces événements qui ne sont pourtant ni nouveaux, ni statistiquement plus nombreux ou intenses qu’aux siècles passés. Niveau des océans, températures, sécheresses, inondations, événements extrêmes, état de la banquise… Les données chiffrées précises sur l’état de la planète sont à la fois récentes et nombreuses. Il sera donc facile encore de nombreuses années de s’alarmer ici d’un « niveau jamais atteint », là d’une « conjoncture inédite ». Le tableau d’ensemble montre pourtant que nous ne vivons pas un épisode climatique si remarquable au regard d’une histoire dont l’échelle minimale est celle des siècles ou des millénaires. Les prévisions d’Al Gore fondent plus que la banquise Déjà modeste au siècle dernier, le réchauffement de la planète a considérablement ralenti depuis vingt ans, contrairement aux prévisions des modèles et malgré le triplement de nos émissions de CO2 ces cinquante dernières années. Seule la survenue en 2015 d’un phénomène météorologique (et non climatique) parfaitement naturel, El Niño, dont le pouvoir réchauffant est maintenant dissipé, a permis encore une fois aux marchands de peur de vendre leurs frissons de « records de température globale ». Il faut se souvenir des prévisions d’Al Gore, formulées lors de sa réception du prix Nobel de la Paix en 2007, selon lesquelles la banquise arctique aurait dû fondre en totalité moins de dix ans plus tard. L’étendue de celle-ci a pourtant été de plus de 4,6 millions de kilomètres carrés lors de son minimum estival de septembre 2017, confirmant une tendance redevenue assez stable ces dernières années. Des analyses satellitaires publiées en 2016 confirment par ailleurs un important verdissement de notre planète, essentiellement grâce à l’accroissement de la teneur atmosphérique en CO2. En trente ans, les feuilles des arbres et des plantes ont colonisé 18 millions de kilomètres carrés supplémentaires, l’équivalent de deux fois le Sahara. Une excellente nouvelle qui n’avait rien d’inattendu : il est connu depuis longtemps que, via le cycle de la photosynthèse, le gaz carbonique est le gaz de la vie. Le climat a toujours varié On pourrait multiplier les exemples à l’envi. Face à un climat qui varie comme il a toujours varié, tout indique que la politique la plus sage est celle de la simple adaptation progressive. Or les « solutions » proposées par l’orthodoxie dominante ont en commun leur coût pharaonique pour la société, leur aberration économique et, triste paradoxe, leurs effets délétères sur l’environnement. La transition énergétique proposée en France a tout d’une impasse, qui va renchérir le prix de l’électricité au profit de sources d’approvisionnement intermittentes, donc instables et coûteuses. Les exemples de l’Australie (dont la vigoureuse politique d’énergies intermittentes a récemment conduit à plusieurs blackouts) et de l’Allemagne (dont l’électricité est deux fois plus chère que chez nous suite à l’Energiewende tandis que les émissions de CO2 par habitant y sont deux fois plus élevées) montrent que l’enthousiasme actuel pour la transition énergétique relève d’une pensée magique et non rationnelle. Quel défenseur de l’environnement peut se satisfaire de ce que la loi sur la préservation de la biodiversité ne s’applique pas à l’installation d’éoliennes ? Comment justifier qu’un permis de construire soit nécessaire pour un abri de jardin de 6 m2, alors qu’il ne l’est pas pour une éolienne de 150 m de hauteur — trois fois l’Arc de triomphe ? Des politiques climatiques vouées à l’échec Enfin, selon les propres critères de ses promoteurs, les ambitieuses « politiques climatiques » n’ont aucune chance d’aboutir. Les efforts les plus coûteux de l’Union Européenne sous l’impulsion de son plan climat (au moins 20% du budget communautaire 2014-2020 !) ne peuvent avoir qu’un impact dérisoire compte tenu de la part modeste des émissions de l’UE, même en prenant pour argent comptant les scénarios et modèles climatiques en vogue. Un pays comme la Chine, qui émet autant que l’UE et les États Unis réunis, aura d’ailleurs tôt fait de noyer nos malheureux efforts : rappelons que ce pays devenu le plus gros émetteur de gaz carbonique s’est, bon prince, engagé lors de l’Accord de Paris à limiter l’augmentation de ses émissions à partir… de 2030. Il est donc temps de donner de la voix pour que cesse enfin l’alarmisme actuel. Le « consensus » proclamé est loin d’être démontré par la science. La planète en général, et nos pays en particulier, ont assez à faire avec de nombreux et graves problèmes bien réels pour que l’on évite de se focaliser sur une question encore scientifiquement si incertaine. L ’Assemblée gagnée par la peur Chaque citoyen ne peut donc être qu’effaré autant qu’inquiet en constatant que l’affolement irrationnel ambiant a conduit la commission des lois de l’Assemblée nationale à proposer l’inscription de la lutte « contre les changements climatiques » dans l’emblématique article premier de la Constitution. Illustrant la triste confusion entre scientifique et politique qui s’est installée au sujet du climat, ce projet de révision doit sans tarder être combattu par tous ceux pour qui la Constitution n’a pas pour fonction de servir à afficher sa vertu, ni de se faire le réceptacle des peurs du moment. Il nous revient à tous d’interpeller le pouvoir législatif pour que ne soit pas défiguré ainsi le fronton de notre loi fondamentale. Signataires : Jean-Claude Bernier (chimiste, professeur émérite à l’université de Strasbourg) Pierre Darriulat (physicien, membre de l’Académie des sciences) Reynald Du Berger (géophysicien, professeur titulaire retraité de l’université du Québec à Chicoutimi) Jacques Duran (physicien, directeur honoraire des études à l’École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris) François Gervais (physicien, professeur émérite à l’université de Tours) Richard Lindzen (physicien de l’atmosphère, membre de l’Académie américaine des sciences, ancien titulaire de la chaire Alfred Sloan au Massachusetts Institute of Technology) Henri Masson (spécialiste en gestion et technologies environnementales et énergétiques, professeur émérite à l’université d’Anvers) Jean-Robert Pitte (géographe, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences morales et politiques) Jean-Claude Pont (historien et philosophe des sciences, professeur honoraire à l’université de Genève) Alain Préat (géologue, professeur à l’université libre de Bruxelles) Rémy Prud’homme (économiste, professeur émérite à l’université Paris-Est) Benoît Rittaud (mathématicien, maître de conférences à l’université Paris-13 Sorbonne Paris Cité) Isabelle Rivals (statisticienne, maître de conférences à l’École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris)

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

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4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

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5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

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6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

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7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

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8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

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9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

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10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

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11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

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12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

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13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

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14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

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15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

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16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

ARRETEZ DE NOUS MENTIR, de nous prendre pour des demeurés, Vous voulez arrêter les importations de pétrole au nom " de la balance économique", soit, alors arrêtez d'importer des éoliennes qui viennent du Danemark et de l'Allemagne, des installations éoliennes pilotées par des Allemands en Allemagne, des panneaux photovoltaïques qui viennent de Chine, alors que vous vous apprêtez à vendre nos installations hydrauliques. Nos politiques, Enarques bouffis d'orgueil, n'aiment pas la France pour vouloir la défigurer d'éoliennes importées et saborder les installations hydrauliques et nucléaires qui fonctionnent, et nous permettent d'être indépendant. Non au bétonnage des sols, non au massacre de nos paysages, non au massacre des migrateurs, des rapaces, des oiseaux, des chauves souris, non à la pollution visuelle, lumineuse et sonore, non aux subventions de rachat, non au décret mafieux De Rugy qui oblige les "petites gens" à payer un avocat pour se défendre, non au déni de démocratie de ce décret, non à la disparition des enquêtes publiques, dernier rempart. Votre transition énergétique est mal pensée, mal appliquée, parce qu'elle est l'émanation de ces énarques qui nous gouvernent. Vous avez vendu nos régions aux promoteurs éoliens, en nous faisant payer la note, en enrichissant les promoteurs… quittez vos habits de BoBos parisiens et déplacez vous dans nos campagnes, celles que vous avez abandonnées, celles qui ne vous intéressent pas, là ou il y a un grand vide de villes sur la carte, venez voir un flamboyant crépuscule dans des paysages vierges de construction industrielle, écouter les grues cendrées passer, sentir le frôlement des chauves-souris… et vivez notre colère avant qu'elle ne devienne fureur. Monsieur Macron, auriez vous comme seule ambition d'être le satellite de l'Allemagne, et, comme un bon toutou, suivre les échecs énergétiques de celle ci ? ou auriez vous des accords secrets pour faire installer ces machines infernales (qui n'ont aucun effet sur la baisse de CO2, bien au contraire) ? Quiconque détruira notre indépendance énergétique est coupable d'un crime de Haute Trahison envers la FRANCE, nos enfants vous maudiront pour cela, votre nom et ceux de vos ministres seront connus comme ceux qui ont réduit la FRANCE en esclavage énergétique. Une idée : Arrêtez de déboiser au nom de la transition écologique, de couper des arbres centenaires, des haies, reboisez, reboisez, REBOISEZ ! les arbres, consommateurs de CO2, protecteur de la biodiversité, protecteur et fixateur des sols, générateurs de terre nourricière. Entendez vous dans nos campagnes...