La préservation de la planète est un tout et l'ensemble de ces points sont concernés
Que l'écologie devienne prioritaire : une écologie globale qui protège les plus pauvres et les plus exclus. Développer des emplois : dans le bâtiment, dans les énergies renouvelables, auprès des plus fragiles (personnes âgées, handicapés et enfants). Etre écologique c'est concevoir une organisation sociale qui inverse les priorités par rapport à ce que fait une économie libérale de marché qui recherche le profit en excluant ou exploitant les plus fragiles. Penser la société en inversant les valeurs, créerait de nouvelles richesses. Cela donnerait des perspectives d'avenir plus enthousiasmantes (cf. le mouvement des gilets jaunes qui manifeste une désespérance impuissante face à un contexte social subi et sans issue).
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Faire la somme des petites initiatives individuelles n'a que peu d'intérêt : je ne répondrai pas à ces questions. Je regrette que tout ce questionnaire s'oriente vers une approche individuelle des questions écologiques. J'attends des orientations politiques et pas des encouragements vers "des petits changements individuels". Je souhaite une société qui s'organise en s'inspirant de l'analyse faite par la lettre du pape "Laudato si". C'est en convertissant les priorités vers une économie respectueuse de l'homme et de la planète qu'une écologie véritable verra le jour. Même si les initiatives individuelles ou associatives sont intéressantes, les politiques ne doivent pas se contenter de cela.
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J'ai voté pour la France Insoumise aux élections présidentielles : le programme mettait l'écologie au coeur des ambitions économiques : l'écologie devenait le pilier qui se proposait d'initier une économie nouvelle. Je ne crois pas à une écologie de "soupoudrage". En France nous vivons dans un pays de "nantis" qui s'accommodent de laisser des hommes "au bord du chemin". Pour bousculer cette situation nous avons besoin de projets politiques ambitieux et généreux. L'avenir d'une société où seul le consumérisme sera l'horizon continuera à désespérer les citoyens : une écologie sociale peut devenir un horizon mobilisateur.