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Tout le monde devrait payer l'impôt sur le revenu. Un plancher à 50 € par exemple pour les quelques 50% qui actuellement ne payent pas d'impôt sur le revenu. Au delà des quelques 100 millions d'euros récupérés, cela permettrait à cette moitié de français de s'intéresser davantage aux finances publiques (c'est une des réponses à la première question).
Il n'y a pas d'impôt à baisser mais à ajuster. A mon avis il faut - baisser la CSG et autres taxes sociales sur les salaires et pensions mais l'augmenter pour les bénéfices des capitaux, - baisser la TVA (2%) pour les produits de première nécessité mais créer une tranche supplémentaire (30%) pour les produits de "super luxe" Il faut également supprimer - les dizaines voire centaines de taxes "ridicules" qui coûtent sûrement plus qu'elles ne rapportent - les dizaines de micro niches qui ne concernent que quelques contribuables et ne conserver que celles qui ont un intérêt collectif (dons, travaux à domiciles, ...)
Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Il faut les simplifier drastiquement. Je pense que 3 ou 4 aides sociales serait un bon objectif (vieillesse mini, logement, complément d'activité)
Je pense que notre protection sociale est une des meilleure du monde. Le problème est qu'elle nous coûte trop cher. Il ne faut ni la renforcer ni la diminuer mais mieux la gérer, l'encadrer. Mieux sensibiliser le citoyen sur les coûts de la protection. Par exemple en contre partie du tiers payant on devrait généraliser la fourniture au patient de la facture "pro forma" pour arrêter de penser que notre médecine est gratuite.
Je serais prêt à adhérer à un emprunt d'état qui servirait à des investissements lourds et d'avenir (pas pour payer le quotidien) tels qu'une grande politique européenne dans le numérique ou dans les infrastructures nécessaires à la transition écologique.
Sur les dépenses il faut arrêter les discours de bonnes intentions et définitivement passer aux actes : - coupes sombres dans tous les domaines non régaliens - supprimer tous les instituts, agences, conseils, comités et autres qui n'ont aucune utilité réelle. Et pour ceux que l'on conserve revoir les missions, objectifs, budgets et contrôler les résultats.
A mon député et au président de la République. Ils sont élus au suffrage direct.
Non
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Une mauvaise chose
Un député-maire ou un sénateur-maire garde un contact avec les citoyens. Sauf pour les maires de grandes villes qui nécessite un emploi à plein temps
Justement, ne pas réduire le nombre de députés et sénateurs afin d'avoir une meilleure représentativité des sensibilités politiques, quitte à introduire une (petite) dose de proportionnelle en veillant à conserver le système majoritaire nécessaire pour gouverner efficacement. En d'autres termes ne pas retomber dans la IV° république... Toutes les sensibilités politiques sont suffisamment représentées lors de toutes les campagnes électorales.
Non
None
Ne jamais céder aux exigences des manifestations de rue. Je sais que c'est difficile, mais chaque fois que l'on cède à la rue, on diminue la participation aux élections. Ce qui ne veut pas dire qu'il ne faut pas tenir compte des revendications, mais pas à chaud.
Non
Celui qui ne peut se décider sur un candidat parmi les 17 (présidentielle) qui représentent toutes les sensibilités de l'extrême gauche à l'extrême droite n'a, à mon avis, pas bien intégré le fonctionnement de notre démocratie. Prendre en compte son bulletin c'est affaiblir notre démocratie.
On peut envisager, sur certaines questions, une CONSULTATION nationale qui n'ait pas force de référendum. Ceci dit un bon sondage ferait l"affaire...
Non
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Par l'état rien, c'est une affaire trop complexe et trop politique. En revanche, au niveau local (mairie, communauté de commune, voire département) pourquoi pas. Avant de consulter, il faudrait mieux informer.
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Oui
Le Conseil économique, social et environnemental devrait à 90 % être décentralisé au niveau des régions. Le niveau central n'étant chargé que de l'agrégation des données et des politiques pour déterminer d'éventuelles mesures nationales.
être beaucoup plus strict sur les pratiques (soit disant religieuses) qui grignotent insidieusement nos valeurs républicaines, notamment sur l'égalité homme-femme.
Formation : enseigner d'un côté l'histoire des religions monothéistes sans parti pris et de l'autre ce que représente un état comme la France avec ses institutions et ses valeurs républicaines, laïques et démocratiques, tolérantes envers toutes les religions pratiquées dans la sphère privée. La VRAIE QUESTION : l'islam pratiqué "sérieusement" (sans fanatisme) est-il soluble dans la République ? Je pense malheureusement que non. Tant que les musulmans de France n'auront pas créé un "islam républicain", nous aurons toujours les mêmes problèmes.
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Le RESPECT. Le respect des biens publics, de l'espace public. Le respect des autres. Cela s'enseigne à l'école avec les respect des élèves entre eux et bien évidemment de l'élève envers le professeur.
Il est difficile d'intervenir dans la sphère privée, mais dans l'enseignement public on pourrait inciter les établissements (de la primaire à l'enseignement supérieur) à se doter de CHARTES de bonne conduite (librement, sans obligation). Charte qui serait signée non seulement par les élèves mais aussi par les parents. La charte ne remplace pas le règlement.
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La fraude fiscale mais aussi la fraude aux allocations de toutes sortes. Je mets volontairement la fraude dans les incivilités car je pense aux petites fraudes qui font des grandes rivières : travail au noir, abus des arrêts maladie, utilisation abusive des allocations chômage, ...
Beaucoup de lois existent déjà, commençons à mieux les faire appliquer.
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Non
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Globalement notre politique est bonne. Il faut en revanche être 1) beaucoup plus ferme sur les contrôles et les expulsions 2) plus accueillants pour les immigrants en cours de règlement
OUI. On doit pouvoir, comme bon nombre de pays le font, se fixer des quotas par pays et par qualification. Le faire en accord avec les pays d'origine.
Aider les pays d'origine à se développer. Sûrement pas par de l'aide financière qui s'évapore dans les poches des dirigeants. Un des principaux axes c'est la formation : - Aider directement le développement d'écoles. - Accueillir des étudiants avec un contrat de retour dans leur pays.
Une formation obligatoire : la langue française et les institutions et valeurs républicaines et démocratiques de la France.
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Votre message a bien été envoyé.