Date de publication : 2019-01-26
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les élus locaux. Au-delà c'est de la chasse aux sièges et l'image actuelle de notre Assemblée Nationale avec des députés LREM aux ordres est une caricature de démocratie.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Il faut revaloriser l'engagement en lui donnant une valeur représentative. A cette condition, si les citoyens voient qu'ils peuvent peser, ils reviendront vers la vie publique. Les associations ont une vision de terrain, elles sont capitales dans l'appréciation de problématiques, elles ont une vision plus sûre que les technocrates des ministères.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

L'image de l'élu est âbimée par des années de cumuls, magouilles qu'on a voulu corriger par des novices qui ont fini par ridiculiser la fonction. L'élu doit être du terrain, présent, bienveillant, à l'écoute

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Cela devenait du carriérisme politique, ils étaient atteints de réunionite aïgue et perdaient complètement le lien avec leur territoire sur lequel ils ne mettaient jamais les pieds.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

La représentation proportionnelle aux votes exprimés

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Les conseillers généraux et les conseillers régionaux au profit de la revalorisation des mandats et prérogatives des maires.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Par une consultation des citoyens, une réelle écoute et des bilans et points d'étape sur les engagements pris.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Une trop forte proportion de vote blanc devrait pouvoir invalider le scrutin. Cela voulant dire qu'une trop forte proportion des votants ne fait confiance ni à l'un, ni à l'autre.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Par des référundums d'initiative citoyenne

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

En élargissant ce déclenchement de référundum à l'initiative de citoyens, sous réserve qu'ils soient un certain nombre.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Des réferundums locaux

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Ils sont trop loin, trop déconnectés. Si bien qu'on ne voit pas ce qu'ils peuvent apporter aux territoires.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

On ne sait même pas qui ils sont...

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

L'éducation. La part de jeunes filles portant le voile augmente de manière constante. Alors qu'il n'y en avait pas il y a 20 ans. Des filles portent le foulard, et pas leurs mères. L'éducation nationale est une des pistes pour le respect de l'autre qui commence en ne lui imposant pas.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Une expression plus forte de la laïcite. On interdit de porter une croix, on tolère les foulards en salle de classe, au bureau. Si on tente d'infléchir, de proner le respect de l'autre par la normalisation, on devient raciste... Dans certains pays, même si vous n'êtes pas musulmane, vous devez porter le foulard. Alors quand chez nous on ne porte pas le foulard, on s'y plie également. Le législateur ne peut pas tout. Mais, une affirmation claire et indiscutable d'un mode de fonctionnement serait indispensable. Pour le respect des autres, mais aussi pour la liberté de certaines.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Rendre obligatoire des périodes au service de la société, par des travaux au sein d'associations ou administrations, écoles pour faire prendre conscience de l'importance de la collectivité et l'utilité de l'administration.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

La remise en avant des élèves ayant de bons comportements est tout à fait intéressante, la mention de ces mise en avant dans les livrets scolaires. Cet argument pouvant ouvrir des portes par la suite. Les élèves suivant des formations de pompiers volontaires ou secouristes doivent être distingués commes secouristes au sein des établissements. La distinction de comportements citoyens dans les communes, lors des cérémonies de voeux par exemple.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

La communication autour de ces engagements. Au niveau local, ce peuvent être des actions pour les personnes âgées, des aides pour l'école, des collectes de jouets pour la crèche, ou de vêtements et de jouets pour le CCAS

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Le non respect de l'autre : le bruit tard, les enfants impolis, la dégradation et non entretien de l'espace, les chiens... Dans la rue : les gens qui traversent n'importe où, le téléphone portable Sur la route : ceux qui vous font des appels de phare pour vous doubler alors que vous êtes à la vitesse maximale autorisée, qui vous kalxonnent parce que vous vous arrêtez à l'orange au feu, qui déboitent et font des queues de poisson...

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Sur la route, seul le flash peut éventuellement mettre un peu de plomb dans la cervelle de ces agités de l'accélérateur malheureusement : on ne peut pas poster un agent à tous les carrefours. Dans les communes, les maires et les conseillers devraient être plus vigilants à certaines dérives et pouvoir prendre des décisions avec un caractère obligatoire : chiens errants ou dangereux, abords dégradés, convocation de parents pour enfants troublant l'ordre public, etc...

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

L'éductation est la clé. Nombre d'enfants ne disent plus s'il vous plait, pardon, merci. Ils tutoient les adultes comme si ils avaient été à l'école ensemble. La notion de respect de l'autre a complètement disparu. On est dans l'apparence, je dois avoir plus que toi donc je suis et donc tu te tais... La société est ainsi, la télévision abêtissante que nous connaissons ne contribue pas à rendre notre jeunesse et leurs parents bien fins.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Le handicap, la différence : la société, les médias misent sur l'apparence, sur les codes. Dès que vous n'êtes pas dans les codes, que vous êtes différent ou faible, vous devez disparaître, vous n'existez pas ou sinon on vous persécute.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Pour les personnes en situation de handicap : les entreprises devraient avoir obligation de recruter une personne en situation de handicap, en dehors de tout seuil d'un certain nombre de salariés comme maintenant. Toute personne handicapée qui se dirait victime de discrimination devrait avoir possibilité d'un recours très rapide, à un guichet ou correspondant désigné, au niveau départemental par exemple, qui gèrerait directement avec l'entreprise qui - si le poste était réellement 'occupable' par la personne- s'exposerait à des sanctions immédiates. Cette procédure simple et immédiate permettrait une meilleure insertion car la crainte de la sanction ferait évoluer les mentalités.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Pôle Emploi : Assurance d'une réelle recherche Travaux d'intérêt général dans les communes par exemple.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

L'idée des quotas est malheureusement la plus raisonable. Nous ne pouvons acceuillir toute la migration économique et climatique. Cependant, il faut absolument travailler à la stabilisation et au développement de ces pays pour que ces populations restent chez elles, c'est la base. La politique migratoire n'est que la conséquence de cette absence de politique de coopération efficace.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

La coopération au développement, la stabilisation politique voire des interventions sous le mandant de l'ONU dans le cadre de dictatures, juntes ou autres milices qu'il faudrait contraindre par la force pour permettre aux populations de vivre dans la paix et donc d'envisager un avenir sur leurs territoires. Ensuite, envisager des développements en local et non pas en exportation des ressources de ces pays. Revenir vers l'auto suffisance de ces pays.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

L'intégration ne peut se faire que si la personne veut s'intégrer : respecter les lois, les coutumes et les personnes du pays où elle souhaite résider et savoir parler et écrire la langue. Des cours obligatoires, des validations ainsi qu'un suivi probatoire pour identifier des éléments déviants pouvant entraîner une reconduite à la frontière.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Les horaires d'ouverture correspondents aux horaires de travail des administrés qui se trouvent dans l'incapacité ou la difficulté d'avoir accès, ou devoir prendre sur leurs congés. Les administrations, par un système de permanences et de plages de présences élargies et continues sur la journée seraient ainsi accessibles au plus grand nombre. Et plus de jours de fermetures au public. L'administration est là pour servir, elle doit être disponible et accessible.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Le poste de secrétaire de mairie, surtout en zone rurale, doit évoluer. L'éloignement et l'engorgement des différents guichets est un frein à l'accès à certaines administrations. L'agent municipal doit pouvoir avoir mandat d'aider les administsrés dans leurs démarches auprès du trésor public, la CAF, la CPAM, la MSA ou encore l'éducation nationale pour les bourses par exemple, mais aussi par la tenue d'un bureau de poste ; par sa connaissance, les moyens à sa disposition et des accès privilégiés à des interlocuteurs dédiés au sein de ces administrations. De ce fait, cela désengorgerait les guichets qui ont été centralisés, qui ont été éloignés. Et ce en dehors des Maisons de services publics qui ne seraient pas à la portée des petites communes. Ce nouveau rôle du secrétaire de mairie permettrait de péréniser des emplois dans des petites communes et ainsi garder de la vie dans les villages.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Pour les zones rurales, l'heure n'est pas à avoir de nouvelles démarches sur internet mais surtout à avoir un accès correct à internet. L'obligation faite d'internet aujourd'hui est une sorte de ségrégation et frôle l'absurde quand on demande à des seniors qui n'ont même pas de portable de dématérialiser l'intégralité de leurs documents.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

La revalorisation du poste de secrétaire de mairie pour qu'il ait mandat et capacité matérielle à pouvoir accompagner et aider les administrés en étant en relation directe avec les administrations.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Le regroupement dans les villes des services publics (trésor public, téléphone, edf....), les fermetures de bureaux de poste ont éloigné les citoyens de l'état. Au nom de la logique comptable, on supprime les hopitaux de proximité, pour accoucher on doit faire plus de 50 km, si on est malade on s'entasse dans des services d'urgence où vous pouvez mourrir sans qu'on s'en apperçoive et pour nos aînés, ils s'entassent dans des structures loin de chez eux. Des unités de proximité revilatiseraient des villes moyennes, redonneraient du lien et seraient moteurs de créations d'emploi. En bilan comptable net, l'Etat y gagnerait. Les permanences des différentes administrations ont été supprimées. Même si d'aucuns pensaient qu'avec internet ce serait plus simple, dès qu'une situation est compliquée en revanche, ce la devient vite extrêmement compliqué et parfois vire à l'absurbe par rapport à la qualité des interlocuteurs délocalisés par exemple qui ne connaissent rien. Il est impératif de faire revenir l'Etat, la présence de l'Etat auprès des citoyens. L'Etat doit protéger, aider. L'Etat ne doit pas s'éloigner. Les zones rurales deviennent ainsi des déserts administratifs où on renonce à faire appel à l'Etat puisqu'il est trop loin, trop compliqué. De plus, géopolitiquement, cette concentration est un danger. L'eloignement et l'isolement peuvent être le terreau de certaines idéologies et comportements associaux et marginaux que nous commençons à constater.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Une refonte de la vision de l'hopital : des structures locales, moins chargées donc un personnel ménagé et une qualité de soins qui s'en ressentirait. Que l'on sorte d'une logique comptable et de la peur du procès pour le moindre pépin. L'administration en général : elle est auservice des usagers. Fini le 9h - 16h avec une coupure à déjeuner pour tous les services en relation avec le public. Une grande partie de la population ne travaille pas sur les mêmes horaires, l'administration doit recevoir, écouter 5 jours sur 7 de 8 à 20 heures, en continu pour permettre aux citoyens d'avoir accès à l'administration sans avoir à poser un rtt ou un jour de congés, quand on veut bien leur en donner un.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Oui, le poste de secrétaire de mairie en zone rurale ou sur des petites et moyennes communes, là où il n'y a pas de maison des services publics doit évoluer. Il doit pouvoir être le guichet de l'administration en général. Il doit être formé. Il doit avoir des accès dédiés et directs dans les administrations : trésor public, éducation, logement, santé, caf, cpam, msa pour pouvoir aider les citoyens. C'est une manière de rapprocher l'administration et surtout désengorger les guichets qui ont été centralisés en ville : attente longue -même avec rdv-, difficultés d'accès, de stationnement -souvent payant dans les villes-.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Une plus grande polyvalence des agents.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Maintenir une présence de l'Etat, sortir de la simple logique comptable. Les zones rurales souffrent plus des regroupements en communautés de communes qu'elles n'en bénéficient. Bien sûr, la collecte des ordures ménagères, c'est bien. Mais, quand il faut décider quelle route on refait, ce sont les derniers servis. Quand on décide quelle poste va fermer, par contre, ils sont les premiers servis. Cette présence des services de l'Etat est indispensable.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

J'ai envisagé une reconversion vers un métier de la médiation. Je n'ai trouvé aucun interlocuteur, aucune information. J'ai donc renoncé.

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

J'ai dû changer d'académie pour une raison de mobilité professionnelle. L'administration a été d'une lenteur admirable. Les formalités débutées en février n'aboutissaient pas. J'ai donc pris attache directement avec l'établissement. C'est le Chef d'Etablissement qui a débloqué le dossier.

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

A l'issue de ses études supérieures, l'un de mes enfants n'a pas trouvé d'emploi. Il s'est inscrit à Pôle Emploi. Un entretien, on lui fait signer une convention pour un FSE... Puis rien, il a cherché seul, absolument seul. La conseillère l'a convoqué, une fois, à une réunion. L'hôtellerie recrutant, il a voulu y aller, elle l'en a détourné. Il a pris un travail saisonnier, s'est trouvé un poste et est maintenant en CDI mais ce n'est absolument pas grâce à Pôle Emploi qui, de ce que j'ai constaté a touché des aides pour un accompagnement qui ne s'est pas fait, sauf s'il s'agit d'envoyer deux mails. Cela pose question sur le fonctionnement de cette entité.

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Je n'ai pas encore eu à me préoccuper de ce point.

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Mère d'un enfant handicapé, j'ai fait une demande de reconnaissance de handicap en novembre 2017 auprès de la MDPH 19. La commission a eu lieu en juin 2018.... De ce fait, mon fils n'a pu bénéficier d'un tiers temps aux examens du BEP. J'ai fait une demande qui a été refusée, un recours auprès du ministère qui m'a indiqué que, faute de reconnaissance, il n'y avait pas droit. L'absurdité de l'administration dans toute sa splendeur.

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

J'étais chef d'exploitation agricole, suite à divorce, je me suis retrouvée sans situation puisque mon ex-époux est resté sur l'exploitation qui appartenait à sa famille. De ce fait, je n'avais aucun droit malgré 12 ans de cotisations de chef d'exploitation et 12 années de salariée et même avec deux enfants à charge. Le Conseil Général, par le biais du service social, m'a confirmé l'absence de droits et c'est le bénévolat du maire qui m'a aidée.

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

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