les Hommes de bonne foi
Oui
les syndicats à conditions de revoir leur organisation et leur mode de financement
Parler vrai et faire de la pédagogie. Arrêter les sur enchère qui font le buz
Je ne sais pas
c'est une bonne chose pour que l'élu se consacre à son mandat, c'est une mauvaise chose s'il est coupé de son corps électoral. Une rémunération correcte plafonnée et une limitation à deux mandats successifs pourrait répondre à cette question
une dose de proportionnelle comme aux municipale serait une bonne chose
Oui
diminuer le nombre de députés et sénateurs supprimer le CESE fusionner les conseillers départementaux et régionaux
rendre le vote obligatoire
Oui
dans le calcul du suffrage obtenu, fixer des règles par rapport aux nombre de votants en dessous d'un certain nombre de suffrages obtenus, le vote peut être annulé et les candidats n'aurait pas le droit de se représenter pour ce scrutin.
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Non
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obliger les députés à présenter les comptes de la nation dans leur circonscription.
le sénat représente les élus locaux quant au CESE ses membres ne représentent qu'eux mêmes. Cette assemblée est inutile et coûteuse. pour ce qui est des associations présentent au CESE, elle doivent jouer un rôle le lobbying auprès des autres assemblées et du gouvernement
Oui
Fixer un age limite pour être élu. Limiter à deux mandats consécutifs
la laïcité ne se conçoit pas avec une succession d'interdit. Un élu se doit d'avoir des relations avec toutes les confessions. A ce titre, partager une fête avec les membre d'une religion n'a rien contre la laïcité. La laïcité ne doit pas devenir une énième religion avec ses dogmes et ses interdits.
Disserter dès le plus jeune age sur les valeurs de la république : "Liberté, Egalité, Fraternité"
D'abord redonner du sens au mot "engagement". Que ton OUI soit OUI, que ton NON soit NON.
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Lorsque l'Education Nationale s'appelait Instruction Nationale, il y avait des cours de moral et d'instruction civique. Aujourd'hui, il n'y a plus d'éducation. La notion de bien et de mal cela s'apprend.
Oser dénigrer toutes ses fictions et émissions qui sont la négation de toutes ces valeurs. Un peu ça va mais là il n'y a pas d'autres images. N'oublions pas que les médiats jouent un rôle essentiel dans le comportement des gens.
montrer dans les médiats ces incivilités et dénigrant leurs auteurs. Trop de gens qui voient la banalisation de ces incivilités et les rires qu'elles engendrent ne comprennent pas pourquoi on leur en ferait le reproche. Elles n'ont pas conscience de faire mal.
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Oui
travaux d’intérêt général dans les communes
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Avant de faire des propositions de changement, il est impératif de poser un préalable. Ce préalable est la devise de notre République « Liberté, Egalité, Fraternité ». La Liberté ne veut pas dire « je fais ce que je veux ». Elle ne se conçoit que dans la relativité en comprenant qu’un usage personnel de la liberté peut entraîner quelqu’un dans une voie contre son gré. Nous sommes tous interdépendants et que chaque décision ne peut être qu’un juste milieu prenant en compte l’intérêt général et non les intérêts particuliers. Cette valeur doit être mise en avant dans chaque proposition avec un effort de pédagogie pour expliquer le choix et envoyer un message d’écoute à ceux dont les propositions n’auront pas été retenues. L’Egalité est la valeur mise en avant par tous ceux qui se sentent frustrés. Pas égaux devant l’impôt, devant les prélèvements, pas égaux dans l’accès aux soins (déserts médicaux), pas égaux dans les chances de réussite, … Un exemple : si j’ai un véhicule de fonction avec autorisation d’usage personnel, cela apparaîtra sur ma feuille de paie comme un avantage en nature avec prélèvement social et intégration aux revenus. Il en sera de même pour un logement de fonction s’il s’agit de ma seule résidence. Pourquoi les avantages des agents de la SNCF ou de L’EDF qui perçoivent une gratuité des transports ou une réduction substantielle de leur facture ne sont pas intégrés dans leur salaire en avantage en nature. Ces deux exemples ne sont pas les seuls. On peut en trouver à tous les niveaux. La proposition est que tous les avantages reçus fassent l’objet d’une déclaration et soient considérés comme un revenu. De la même façon, toutes les aides, secours et allocations versées de manière permanente ou exceptionnelles fassent l’objet d’une déclaration figurant sur la feuille d’imposition même si ces revenus ne sont pas imposables. Ainsi, la feuille d’imposition ou de non-imposition serait la seule pièce justificative des revenus, et la clarté serait faite entre ceux qui travaillent et ceux qui vivent des aides sociales. Autre élément d’inégalité. Si je me crée une épargne et que tous les mois je fais un dépôt sur ce support. Chaque année mon épargne sera rémunéré et je serai imposable sur ce gain. J’achète un appartement (résidence principale) à crédit. Chaque mois en remboursant, je me crée une épargne. En fin de remboursement mon appartement n’a plus la même valeur et en le vendant je constate une plus value. Il est logique que cette plus value soit imposée. Bien entendu cette plus value doit prendre en compte la totalité du coût d’acquisition intégrant les intérêts. La Fraternité c’est lorsque l’on a le sentiment d’appartenir à une même famille. Famille où l’on trouve l’entre-aide, le partage, la protection. Or aujourd’hui nombre d’entre nous se sentent exclus, ne sont pas représentés, estiment la redistribution inéquitable. La non représentation est un thème qui revient sans cesse. Les partis politiques ou les syndicats ne servent à rien. Je ne me sens pas défendu. Prenons les syndicats. Moins de 3% de syndiqués, avec une forte disparité de représentation suivant les secteurs ou entreprises. Là où ils sont très présents, ils défendent bien les intérêts de cette corporation, quitte à créer des inégalités avec les autres salariés. Ainsi, dans certains secteurs, seuls des salariés en difficulté avec leur entreprise viennent se syndiquer et on peut voir des syndicats défendre des intérêts particuliers au détriment de l’intérêts général. La question est : pourquoi les syndicats ne font-ils aucun effort pour recruter des adhérents ? Pourquoi les syndicats privilégient le corporatisme ? La réponse est simple : ils n’ont pas besoin de financement. Ils reçoivent des subsides au travers des organismes dans lesquels ils siègent, sans compter les subventions. Leurs comptes ne sont pas publics et au nom de la liberté syndicale, ils ne sont jamais audités. La proposition : Supprimer toute rémunération ou indemnité pour la participation des syndicats (qu’ils soient de salariés ou patronaux). Rendre l’adhésion à un syndicat obligatoire. Si la représentation syndicale est importante pour un salarié, il est aussi important pour un employeur d’avoir des représentants avec qui négocier. En conséquence, le financement des syndicats devrait se faire au travers d’un prélèvement sur chaque salarié, complété par une participation patronale. La répartition entre chaque syndicat se ferait au travers des résultats des élections. Il faut aussi revoir la notion de paritarisme dans la gestion de certains organismes. Dès lors que l’état doit intervenir pour définir la politique à suivre, pour imposer des règles, pour combler les déficits, ce ne sont plus des organismes paritaires, ce sont des administrations. Avec le nouveau système de financement, les organisations syndicales seraient systématiquement consultées pour les décisions qui appartiendraient au gouvernement sous le contrôle de l’assemblée nationale. Les choses seraient plus claires. Cette disposition pourrait conduire les organisations syndicales à prendre en compte de façon plus objective, les contraintes de gestion, l’environnement économique. Bref, à être plus gestionnaire que démagogue.
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