Date de publication : 2019-01-27
Code postal : 31150

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Plus c'est compliqué, plus l'information a dû mal à passer

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Peu importe qu’il y ait des riches et des moins riches, l’essentiel est que chacun puisse vivre dignement, en respectant son environnement : un revenu vital efface définitivement la pauvreté et la misère. Elle encourage l’innovation car si on est assuré d’avoir un toit et de manger à sa faim, tout est possible. Revenu vital : sans contrepartie pour tous ceux qui résident dans le pays afin de pourvoir se nourrir, se loger et entretenir son logement, l’assurer, se chauffer, se vêtir, se laver, se déplacer, pouvoir se soigner (prise en charge d'une assurance santé accident), en tenant compte du niveau des prix du lieu de résidence, de l’âge, de l’handicap, sans conditions de nationalité. Il permettra de se loger en location ou d’acquérir un logement principal. Suppression de tous les autres prestations sociales (allocation logement, handicapé, minimum vieillesse, assurance chômage, retraite...), puisqu'ils ne seront plus nécessaires. Le revenu vital est progressivement diminué jusqu’à sa suppression en fonction des revenus. Un seul impôt : l’impôt sur les bénéfices (d’activité, rente, du capital, donation...) pour tout particulier (et le bénéfice pour les sociétés), de 33,33 % (1/3). Par exemple, une famille avec deux enfants avec comme seul revenu l’activité moins les frais d’un des deux parents, répartit ce revenu entre les membres de la famille et chacun est imposé individuellement sur le bénéfice ainsi réparti. Suppression de tous les autres impôts : ISF, les cotisations sociales, TVA, taxes, douane, taxes locale, droit de successions... L’individu devient un entrepreneur à part entière et la relation salarié-entreprise devient une relation client-fournisseur avec contrat écrit et possibilité d’y inclure une assurance pour rupture de contrat. Chaque individu est libre de souscrire ou non à une assurance vieillesse en sachant que quelque soit sa situation quelque soit son âge, il est assuré d’obtenir un revenu qui lui permette de vivre dignement, libre à chacun d’investir pour améliorer son retrait de la vie active; par contre, chacun devra souscrire à une assurance santé accident, géré par des agents privé avec un fond national, très réglementé : interdiction de moduler la cotisation suivant l’état de santé de l’assuré, son âge, incitation des compagnies pour que l’assuré (sans qu’il soit obligé) suive une hygiène de vie garante d’une bonne santé: une fusion des mutuelles et de la sécurité sociale et beaucoup d'économie à la clé. L’impôt est calculé sur le bénéfice : le revenu moins ses frais d’activité. Tous les revenus sont pris en compte : l’impôt sur l’achat d’un bien immobilier et sa revente est calculé sur la plus-value éventuelle et sur les autres revenus. Pas d’impôt pour la vente sans plus-value de ses biens et, afin de distinguer ce que l’on a acheté pour consommer de ce que l’on acheté pour revendre avec une plus-value, nécessité d’établir régulièrement un état du patrimoine. Les amendes, réparations d’infractions commises, sont aussi modulée en fonction des revenus, pour une plus grande équité et efficacité, toujours en préservant le revenu vital et le patrimoine non financier, l’argent récolté est consacré à prévenir d’autre infraction du même type ou réparer l’infraction commise. Si besoin, la réparation se fait par le service, de préférence en lien avec l’infraction commise, quand notamment le seul revenu est le revenu vital. Les entreprises non individuelles (disparation de toutes les formes de société, y compris les associations) sont soumises aussi à un seul impôt sur le bénéfice de 33,33 %. Les taxes particulières sur les produits de consommation, sur l’énergie ou sur les services sont remplacées par une réparation pour le préjudice éventuel sur l’environnement ou la santé des êtres humains et des animaux : il devient plus avantageux d’acheter des produits vertueux comme ceux fabriqués à partir de matières recyclées, renouvelables, avec des pièces d’occasion, produits localement, avec peu d’énergie ou une énergie renouvelable, il devient aussi plus intéressant d’utiliser une énergie renouvelable produite locale ou d’utiliser l’eau de pluie ou de source. Les agents assureurs qui ne conseillent pas leurs assurés afin qu’il suive une vie saine et sage (hygiène de vie, conduite automobile prudente, entretien du logement afin de prévenir le risque de sinistre) ou qui le font sans résultats, réparent ce manquement et les montants de ces réparations sont employés exclusivement à remettre en état l’environnement ou la santé des lieux ou des êtres concernés. La perception est locale : chaque collectivité locale (voisinage, quartier, agglomération et région) prélève sa part, la région versant en dernier ce qui revient à l’état. Le choix de ce qui revient à chaque échelon est calculé en fonction du nombre d’habitant de la collectivité locale et d’une majoration à chaque échelon: les constructions faite par une région profite à tous les habitants de cette région, ce qui n’est pas le cas pour les besoins du voisinage

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Supprimer la TVA (l'impôt le plus injuste qu'il soit) et les cotisations basées uniquement sur le revenu sans tenir comptes du nombre de parts et des besoins particulier. Mais comme expliqué plus haut, simplifions la fiscalité.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir comme je propose toutes la fiscalité en la simplifiant à l'extrême.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Notre société urbanisé nous a coupé de nos moyens de subsistance issues de la nature: logement, nourriture, boisson... il est normal de créer ce revenu vital sans condition d'attributions.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

None

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

None

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Nous ne pouvons pas fonctionner sans compte en banque et les plus démunies doivent aussi payer pour y avoir accès: en donnant la possibilité à chacun d'avoir gratuitement un compte bancaire de base et des moyens de paiement, nous rendrions cette société un peu plus juste. Il est envisageable de créer sur internet une plate forme de simulation du modèle fiscal proposé ici et de le comparer à l'actuel afin d'évaluer, pour l'Etat, les sociétés et les individus, les gains et les pertes en fonctions des nombreuses particularités de chacun des acteurs.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

La représentation est à remplacer par le mandat, qui attribue à une personne une mission, décidée, débattue et votée par les citoyens.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

La puissance des groupes financier doit être contrebalancé par des organisations syndicales, collectives, de citoyens et non gouvernementales puissantes et indépendante.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Instaurer la démocratie participative

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

None

6. Pourquoi ?

None

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

None

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

En permettant à chaque citoyen de participer aux choix de chaque détail de la vie publique et à ses orientations globales, nous incitons naturellement la population à être l'acteur majeur du pouvoir.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Il est l'expression du citoyen quand aucune alternative ne lui convient.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE : Création d’un forum interactif sur internet dans lequel toutes les idées et initiatives sont exposées, débattues et à partir desquels toutes les décisions sont prises. Cela concernera aussi bien le local que la région ou le national, quelques soient les domaines et pour toutes questions : choix des fleurs d’un jardin public ou décision de politique budgétaire, étrangère ou législative. Chaque habitant du pays dispose d’un accès sécurisé à ce forum, anonyme (la levée de l’anonymat sera possible si des propos violents, racistes, xénophobes … sont tenues afin de sanctionner) et impossible à usurper, il peut voter et vérifier à tout moment que ses propos, son vote sur le forum sont bien les siens. Ce forum est organisé par thèmes de manières très détaillés et couvre tous les domaines sans exception : aucun sujet n’est épargné. Il concerne la vie locale, la vie régionale et la vie nationale. Chaque proposition d’un thème donné est débattue, avec un temps imparti (qui dépend de l’importance ou de l’urgence) et mis au vote sur ce forum et finalement adopté ou non à la majorité des participants. Pour mettre en œuvre l’ensemble des décisions, le forum élit des mandataires qui sont tenue de réaliser exactement sa volonté. Il existe des mandataires locaux, régionaux et nationaux, en fonction des domaines d’activité de la vie publique, tous ces mandataires sont susceptibles d’être remplacés s’il ne parviennent pas à leur mission, la décision de les garder ou non revient encore au forum pour un vote démocratique. Des modérateurs veillent à ce que les échanges restent courtois et dans le respect de la loi. La tenue de débats publics dans la vie réelle peuvent facilement être organisé pour dynamiser la participation aux débats sur le forum d’internet. Les médias, par la diffusion de documentaire, d’interview, de débat en direct nourrissent la discussion. Une renaissance de l’information locale (radio, télévision, internet, presse) est possible par la participation de chacun aux décisions de la collectivité locale.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

Ce n'est pas suffisant au regard d'une véritable démocratie participative.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Le temps de la consultation est révolu, maintenant nous devons entrer dans une ère de participation active.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Dans cette nouvelle démocratie, les élus sont remplacés par des mandataires désignés démocratiquement pour accomplir leur mission, avec la possibilité de les destituer, démocratiquement, s'il ne sont pas capables.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La laïcité a besoin d'être redéfinie: tant qu'il n'y a pas de prosélytisme, il n'y a pas lieu de voir un problème d'exprimer le fait religieux au sein des institutions et des acteurs de l'Etat: porter un signe religieux, parler de religion. La laïcité est la liberté religieuse, ou non religieuse, et non pas l'abstinence religieuse.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

La démocratie participative.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Notre société est actuellement basée sur l'élitisme et la compétition et malheureusement le sentiment fraternel, la base des comportements civiques, est étouffé.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Il faut supprimer totalement la notation de la maternelle à l'université.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Les sanctions, les punitions ne font qu'augmenter la rancœur contre les institutions. Au contraire, les réparations des préjudices causés par les incivilités doivent être réalisées en nature, par des actions civiques en rapport avec les incivilités avec une valeur hautement éducative.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

La privation de la liberté comme sanction doit se faire uniquement quand il y a un danger pour la société et doit se faire dans le plus grand respect de la personne.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Effacer les inégalités sociales en instaurant un revenu vital, le revenu universel, instruire sans notation sont les garants d'une société plus juste.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Non

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Ma vision sur l'immigration: la nationalité s’obtient automatiquement par la naissance sur le sol national ou en y demeurant trente années consécutives sans interruption mais ne s’obtient pas par le mariage, le rapprochement familial est largement facilité. Vu que toutes les politiques migratoires visant à durcir l’entrée sur le territoire ne permet pas d’arrêter le flux, une ouverture complète des frontières, avec un contrôle systématique de l’identité permettra une diminution des migrants restant sur le territoire ; en effet, le migrant comprenant qu’il n’y aucune difficulté à se rendre dans le pays restera moins longtemps car on ne quitte jamais sa terre natale avec gaieté de cœur et aspire à y retourner au plus vite quand on a trouvé (ou pas) ce qu’on cherche loin de chez soi. Notre mode de consommation doit permettre aussi de favoriser la paix dans les pays où les populations fuient la guerre : les sources de conflits sont très souvent générés par la convoitise des matières premières comme le bois, le pétrole, le gaz, les diamants, le sucre, le cacao, l’uranium, le charbon, les terres rares, un pays qui consomme ses propres matières premières et uniquement les siennes participera à la paix dans le monde. La réutilisation, le recyclage, la sobriété participent donc à diminuer le flux migratoire.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Ne pas avoir peur.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

La fraternité

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

TERRITOIRES: L’état est organisé en région (le découpage des régions doit tenir des langues régionales, des bassins fluviaux -les ressources en eau sont une source de conflit- et du choix des habitants), en agglomération, en quartier et en voisinage (ceux qui se voient le plus souvent). Chaque décision à prendre dans le voisinage ne se fait que parmi les voisins si le quartier n’est pas impacté, de même pour le quartier, l’agglomération et la région. La souveraineté de chaque collectivité est respecté avec l’accord des autres collectivités. ÉDUCATION, FORMATION : De sa naissance, jusqu’à ses 14 ans, un enfant apprend à parler, lire, écrire et compter. Il est initier à toutes les activités manuelles en rapport avec le textile, le bâtiment, la mécanique, le jardinage… afin qu’il puisse, s’il le désire ou quand il en ressentira le besoin, maîtriser tout art de métier pour lui-même ou pour son activité future. Il reçoit un enseignement sur l’art de vivre sagement et sainement, notamment dans la manière de se nourrir, d’entretenir son corps et son esprit. Tous les systèmes de notation est aboli : le bébé apprend à parler ou à marcher sans que la mère soit obligé de lui donné une note entre 0 et 10, elle l’encourage quand il fait des efforts, elle le félicite quand il réussit, jamais elle ne le sanctionne quand il échoue. La notation est le contraire d’une bonne éducation qui doit écartée toute forme d’humiliation et d’élitisme. Tous les êtres humains doivent être éduqué dans la fraternité et l’égalité et la seule concurrence légitime est la course aux développements des qualités humaines. Une instruction morale, philosophique et religieuse sont dispensées : toutes les religions ou mouvement spirituels sont enseignés sans exception, sans privilégier une ou l’autre et complétée par un enseignement de religion comparée où chaque enseignant religieux, avec à ses côtés un enseignant laïque met en lumière les similitudes avec les autres mouvements religieux. A partir de 14 ans, l’adolescent suit une préformation professionnelle durant 2 ans à 4 ans. La formation des enseignants est organisé par l’État pour le contenu, le financement est régional, le choix des enseignants et du fonctionnement est réalisé par les établissements scolaires. A partir de 16 ou 18 ans, chaque personne suit la formation professionnelle de son choix : il n’y a pas une supérieure à une autre, seule la durée de formation fait la différence : médecin, menuisier, mécanicien, avocat… Les centres de formation sont organisés par corps de métier et différentes écoles, avec une vision particulière du métier, dans chaque corps. Le mode de fonctionnement est laissé libre à chaque école dans la mesure elle respecte des valeurs communes admises par l’ensemble de la profession. L’exercice d’une profession est soumise à l’obtention d’un certificat de formation et les revenus en découlant participe aux financements de ces écoles : une part de l’impôt est donc dédié à la formation professionnelle. JUDICIAIRE : Les moyens humains seront accrues dans les domaines des fraudes fiscales, de la sécurité routière (création d’une police des transports), de l’environnement urbain et naturel (police de l’écologie), de la production et de la consommation, les différents codes utilisés pour rendre la justice seront simplifiés au point de pouvoir retenir par cœur toutes les lois et afin que l’expression « nul est sensé ignoré la loi » est enfin un sens, en contre partie, les moyens de la justice seront accrue et divisés en domaines comme pour les polices : Transport, fiscalité, consommation, défenses des biens et des personnes. Les moyens de contrôle du judiciaire seront accrus de la même manière. Le code du travail est supprimé mais les contrats particulier-entrepreneur d’un côté et moyenne-grande entreprise de l’autre est établie sur une base morale inscrite sur des codes du commerce et du civil simplifiés et de bon sens et protégé par un rapport de force équitable où le moins puissant financièrement pourra compter, s’il le souhaite, sur le soutien juridique d’un syndicalisme fort et concurrentiel, libre à lui de cotiser ou pas à tel ou tel syndicat et n’oublions qu’avec le revenu vital universel personne n’aura rien à craindre si son activité devait cesser du jour au lendemain parce que les conditions d’exercice serait déloyale, par exemple. Les moyens du contrôle des polices sera accrue afin de que chacun soit à l’abri des abus de pouvoirs : observateurs impartiaux lors des manifestations, cette police des polices aurait un véritable pouvoir impartial. Toutes les substances récréatives (alcool, tabac, drogues…) sont légales dans la mesure où il n’y a pas un danger immédiat d’empoisonnement (substance frelatée) mais comme ce sont des substances nocives, elles font l’objet pour la mise en vente d’une contribution pour la réparation des préjudices commis à l’environnement et bien sûr à la santé ; cet argent sert essentiellement à la prévention, à l’information sur les risques pour la santé, largement diffusée. Toute publicité ou promotion de ces substance est illégale. La criminalité, la délinquance relative à la prohibition est nettement réduite ainsi que l’activité de la justice avec la réduction des condamnations et de l’emprisonnement. Le commerce de ces substances récréatives est très réglementés et toujours accompagné de messages de prévention, la composition des produits est strictement contrôlé et connu afin de réduire les accidents d’empoisonnements.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Trop de centralisation, redondance des administrations. Dans ma proposition, l’état est organisé en région (le découpage des régions doit tenir des langues régionales, des bassins fluviaux -les ressources en eau sont une source de conflit- et du choix des habitants), en agglomération, en quartier et en voisinage (ceux qui se voient le plus souvent). Chaque décision à prendre dans le voisinage ne se fait que parmi les voisins si le quartier n’est pas impacté, de même pour le quartier, l’agglomération et la région. La souveraineté de chaque collectivité est respecté avec l’accord des autres collectivités. Les nouvelles régions sont autonomes dans tous les domaines exceptés pour l'armée et les valeurs citoyens inscrites dans la constitution et diffusées au travers de l'éducation.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

La région est au coeur de la vie du citoyen et les régions sont solidaires au sein de l'état. La région collecte donc l'unique impôt (dans ma proposition sur la fiscalité, je parle de la suppression de tous les impôts, taxes de toutes sortes (tva en premier), cotisations et de le remplacer par un unique impôt sur le bénéfice (particulier ou société) de 33% quelque soit le revenu, avec l'instauration d'un revenu vital sans conditions). La région l'utilise et reverse sa part à l'Etat pour ses missions nationales.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Certains services sont inaccessibles ou difficilement accessibles: le dossier médical, l'accès aux données publiques concernant la santé ou l'environnement.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Toutes les démarches doivent être accessible sur internet et par tous. Ces démarches doivent être simplifier à l’extrême, on doit en enlever l'inutile et le superflus. La création d'un compte internet unique utilisable pour les démarches administratives mais aussi pour les accès sur tout site internet qui le demande permettra au citoyen de gérer facilement ses accès et suivre le devenir des données utilisées (qui, quand, pourquoi, une donnée a été consulté, notamment, il pourra accorder à un site qu'une partie des ses données ou rester anonyme. Personne ne pourra consulter une donnée sans son autorisation.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

None

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Demande de subventions pour la rénovation énergétique, faire une déclaration préalable pour installer des panneaux solaire...

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Je me place dans une décentralisation de l'état et l'autonomie des régions.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Simplification, décentralisation et autonomie régionale remettront à plat l'administration de l'état.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

ÉDUCATION, FORMATION : De sa naissance, jusqu’à ses 14 ans, un enfant apprend à parler, lire, écrire et compter. Il est initier à toutes les activités manuelles en rapport avec le textile, le bâtiment, la mécanique, le jardinage… afin qu’il puisse, s’il le désire ou quand il en ressentira le besoin, maîtriser tout art de métier pour lui-même ou pour son activité future. Il reçoit un enseignement sur l’art de vivre sagement et sainement, notamment dans la manière de se nourrir, d’entretenir son corps et son esprit. Tous les systèmes de notation est aboli : le bébé apprend à parler ou à marcher sans que la mère soit obligé de lui donné une note entre 0 et 10, elle l’encourage quand il fait des efforts, elle le félicite quand il réussit, jamais elle ne le sanctionne quand il échoue. La notation est le contraire d’une bonne éducation qui doit écartée toute forme d’humiliation et d’élitisme. Tous les êtres humains doivent être éduqué dans la fraternité et l’égalité et la seule concurrence légitime est la course aux développements des qualités humaines. Une instruction morale, philosophique et religieuse sont dispensées : toutes les religions ou mouvement spirituels sont enseignés sans exception, sans privilégier une ou l’autre et complétée par un enseignement de religion comparée où chaque enseignant religieux, avec à ses côtés un enseignant laïque met en lumière les similitudes avec les autres mouvements religieux. A partir de 14 ans, l’adolescent suit une préformation professionnelle durant 2 ans à 4 ans. La formation des enseignants est organisé par l’État pour le contenu, le financement est régional, le choix des enseignants et du fonctionnement est réalisé par les établissements scolaires. A partir de 16 ou 18 ans, chaque personne suit la formation professionnelle de son choix : il n’y a pas une supérieure à une autre, seule la durée de formation fait la différence : médecin, menuisier, mécanicien, avocat… Les centres de formation sont organisés par corps de métier et différentes écoles, avec une vision particulière du métier, dans chaque corps. Le mode de fonctionnement est laissé libre à chaque école dans la mesure elle respecte des valeurs communes admises par l’ensemble de la profession. L’exercice d’une profession est soumise à l’obtention d’un certificat de formation et les revenus en découlant participe aux financements de ces écoles : une part de l’impôt est donc dédié à la formation professionnelle. JUDICIAIRE : Les moyens humains seront accrues dans les domaines des fraudes fiscales, de la sécurité routière (création d’une police des transports), de l’environnement urbain et naturel (police de l’écologie), de la production et de la consommation, les différents codes utilisés pour rendre la justice seront simplifiés au point de pouvoir retenir par cœur toutes les lois et afin que l’expression « nul est sensé ignoré la loi » est enfin un sens, en contre partie, les moyens de la justice seront accrue et divisés en domaines comme pour les polices : Transport, fiscalité, consommation, défenses des biens et des personnes. Les moyens de contrôle du judiciaire seront accrus de la même manière. Le code du travail est supprimé mais les contrats particulier-entrepreneur d’un côté et moyenne-grande entreprise de l’autre est établie sur une base morale inscrite sur des codes du commerce et du civil simplifiés et de bon sens et protégé par un rapport de force équitable où le moins puissant financièrement pourra compter, s’il le souhaite, sur le soutien juridique d’un syndicalisme fort et concurrentiel, libre à lui de cotiser ou pas à tel ou tel syndicat et n’oublions qu’avec le revenu vital universel personne n’aura rien à craindre si son activité devait cesser du jour au lendemain parce que les conditions d’exercice serait déloyale, par exemple. Les moyens du contrôle des polices sera accrue afin de que chacun soit à l’abri des abus de pouvoirs : observateurs impartiaux lors des manifestations, cette police des polices aurait un véritable pouvoir impartial. Toutes les substances récréatives (alcool, tabac, drogues…) sont légales dans la mesure où il n’y a pas un danger immédiat d’empoisonnement (substance frelatée) mais comme ce sont des substances nocives, elles font l’objet pour la mise en vente d’une contribution pour la réparation des préjudices commis à l’environnement et bien sûr à la santé ; cet argent sert essentiellement à la prévention, à l’information sur les risques pour la santé, largement diffusée. Toute publicité ou promotion de ces substance est illégale. La criminalité, la délinquance relative à la prohibition est nettement réduite ainsi que l’activité de la justice avec la réduction des condamnations et de l’emprisonnement. Le commerce de ces substances récréatives est très réglementés et toujours accompagné de messages de prévention, la composition des produits est strictement contrôlé et connu afin de réduire les accidents d’empoisonnements. URBANISME : Simplification des codes de l’urbanisme : une seule règle : chaque construction visible depuis l’espace public devra faire l’objet d’un consensus au niveau local ou régional, voire national si manifestement plus d’habitants sont concernés. Toute nouvelle construction a un coût écologique et fera l’objet d’une contribution financière ou d’une compensation en remettant, par exemple, une même surface à l’état naturel (déconstruction -avec le même soucis de consensus- dépollution, reboisement…). Toute nouvelle construction devra utilisé de la matière recyclée ou renouvelable et répondre à une obligation de produire plus d’énergie qu’elle en consomme et qu’elle en a consommé pour sa réalisation. Les collectivités territoriales et l’état ont une mission de préservation des constructions existantes, de les rendre positive en énergie, d’embellir les parties visibles depuis l’espace public, d’accueillir toujours plus de nature. Les réseaux de transports, d’énergie, d’eau sont gérés aussi par les collectivités locales et l’état avec le soucis de rénover, de les intégrer écologiquement (des routes avec un revêtement clair et une végétalisation des bâtiments quand cela est possible, par exemples, pour lutter contre les réchauffements des villes). L’État encourage l’accession à la propriété avec une forte incitation au logement à énergie positive ; il favorise le développement des jardins vivriers, privées ou partagés. L’individu obtient l’autonomie énergétique et alimentaire.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'eau, de l'air, de la terre, le réchauffement climatique et ses conséquences, la sauvegarde du règne animal et végétal (notamment des forêts), la santé et le bien-être des êtres humains,

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Zéro déchet : aucune matière non renouvelable ne doit être perdu par l’enfouissement ou l’incinération, tous les sites anciens sites d’enfouissement se vident de ces matières, sont dépollué avec l’aide, entre autres, du pouvoir des plantes d’extraire les métaux de la terre (phytomine), aucun déchet n’est exporté: chacun d'entre eux vaut de l’or. Tous les produits en fin de vie sont déconstruits afin de récupérer les éléments en bon état pouvant être réutilisés, le reste étant recyclé en différente matières. La filière du recyclage et de la réutilisation est poussée par une contribution des producteurs pour chaque objet mis en circulation : cet argent est réutilisé pour la déconstruction, la récupération et le recyclage, ce qui fera qu’aucune matière, aucun objet n’a de chance ne se retrouvait dans la rue ou la nature car il aura de la valeur, chacun pourra vendre ses trouvailles au recycleur local. La contribution d’une entreprise qui fabrique avec de la matière vierge non locale, qui réutilise peu, qui n’organise pas sa filière de récupération et réutilisation, voit sa contribution à la réparation de l’environnement augmenter. Pour l’infime partie de matière non recyclable, la solution est l’incinération à la torche à plasma qui transforme la matière incinérée en matière vitreuse et interne (cela fonctionne pour l’amiante, par exemple), tous les autres centres d’incinération deviennent obsolètes, sont déconstruit si les bâtiments ne présente pas d’intérêt et le site remis entre les mains de la nature après dépollution. Les déchets dangereux sont rachetés par des recycleurs avec l’argent des contributeurs pollueurs pour éviter de les retrouver dans la nature (amiante par exemple) La matière organique est la seule qui pourra être récupérée (quand on a pas son composteur) et gratuitement car elle pure et peut être facilement valorisable comme amendement pour la terre. Tous les logements deviennent des bâtiments à énergie positive. Tous les éclairages publics sont à basse consommation et sont éteints de minuit à 6 heure avec éventuellement un éclairage automatique lors du passage de piétons. Tous espaces verts est saturés, quand cela est possible, de végétation et de préférence d’arbres. Les matières plastiques (bâches…) sont bannis, on utilise la paillis végétal comme le broyat de bois Pas ou peu de tailles d’arbres. Dans l’espace public, les essences d’arbres et d’arbuste seront diversifiés avec autant d’arbres à fruits comestibles que non comestibles. Les revêtements des bâtiments sont à base de matières simples comme la chaux, interdiction des peintures synthétiques par exemple, en privilégiant le naturel : brique, pierre, bois, terre. La filière textile suit les mêmes recommandations écologiques : un vêtement qui n’utilise pas de matières et de teinture végétale de l’agriculture biologique a un impact négatif sur l’environnement et coûtera plus cher car le fabricant devra payer son contribution à la réparation. Un vêtement fabriqué loin de son lieu de vente nuit à l’environnement et son prix sera en conséquence. La réutilisation de tout ou partie d’un vêtement est encouragée par l’argent des contributeurs pollueurs qui n’ont pas eux-mêmes organisé leur propre filière. L’emballage avec une ou deux matières, biodégradable utilisant des encres végétales est exceptionnel quand il n’est pas possible de faire autrement. La généralisation du vrac et de la consigne font disparaître une quantité impressionnante de matières à collecter et recycler et économisent autant d’énergie. Les objets de consommation jetables sont interdits quand il existe une alternative ; s’ils sont nécessaires, ils doivent faire l’objet d’une filière de récupération et de réutilisation, les fabricants choisissent alors le biodégradable ou l'entièrement démontable et recyclable. (rasoir, stylos, lingette… sont concernés) Le chauffage et l’eau chaude sanitaire est entièrement basée sur les énergies renouvelables ou la géothermie, le gaz de ville provient de biogaz issue de la fermentation des matières organiques comme, entre autres, les déchets organiques des particuliers. Le bois énergie provient essentiellement des déchets provenant de l’activité bois ou de l’entretien des forêts. Gaz naturel, charbon, pétrole, uranium ne sont plus utilisés pour en tirer l’énergie. L’électricité provient de l’hydraulique, de l’éolien, du solaire, de la géothermie... Tout est fait pour rendre efficace les consommateurs d’énergie (appareil électrique, appareil de chauffage). Tout est fait pour consommer le nécessaire et uniquement le nécessaire. La forêt partout dans le monde est en danger : le pays doit réduire sa consommation de papier par la suppression de toutes les publicités dans les boîtes aux lettres, par la simplification accrue de l’administration et l’utilisation des nouvelles technologies. L’importation du bois exotique est interdite et seul les arbres de forêt scrupuleusement protégées de la déforestation sont autorisé pour la confection de mobilier durable (plusieurs dizaines d'années d’espérance de vie, il n’y a pas de raison contre cette idée), réparable, pour la construction de bâtiments solides. Interdiction d’exporter le bois de nos forêts. Interdiction de consommer des produits issus de la déforestation comme l’huile de palme ou la viande provenant de l’Amérique du sud. Les biens de consommation produits à l’étranger engendre des dégâts écologiques déjà parce qu’ils sont produits loin du lieu de consommation, les producteurs ou les importateurs doivent réparer totalement ce préjudice par une compensation financière ou une action en nature. Si en plus ces produits ont engendrés d’autres dégât à la nature ou à l’homme cette compensation sera plus importante ou le produit interdit d’importation. Le bruit est une pollution importante et doit être drastiquement réduite : interdiction des véhicules bruyant, respect du silence durant la nuit, sans dérogation. Les acheteurs de véhicules contribuent à l’entretien du réseau routier par une participation financière calculé en fonction du poids au moment de l'achat du véhicule neuf, les péages routiers sont supprimés. Les véhicules en transit sont contributeur en fonction du kilométrage parcouru sur le territoire. Le carburant utilisé est aussi sujet à contribution, surtout s’il est d’origine non renouvelable, en attendant le tout renouvelable. Chaque objet ou service fait l’objet d’une évaluation sur son impact environnemental et sanitaire, cette évaluation permet de fixer le montant de la contribution à la réparation et permet la transition vers une société entièrement écologique. Le règne animal est au cœur de la nature et les préjudices causés aux animaux font parties des dégâts causés à la nature d’où une obligation de réparation et de préservation de bien-être de tous les animaux : alimentation carné, expérimentation animale, maltraitance, exploitation sont des sujets incontournable de l’écologie et de la transition vers une société respectueuse de la terre et de ses habitants, humains ou animaux.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

La pollution de l'air, la pollution des eaux, la pollution de la terre, le réchauffement climatique, tous ces changements affecte ma santé et celle de la terre.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Je suis végétarien depuis 30 ans, je privilégie une alimentation locale, bio et de saison. Je composte, j'ai réduis mes déchets à presque rien, je les trie et je vends quand c'est possible les matières premières, essentiellement des métaux malheureusement, alors que verre, plastique, papier, plâtre, ... ont une valeur financière que seul les grands groupes du recyclage en tirent avantage. Je souhaite que les filières de recyclage se développe comme pour les métaux, afin que les particuliers puisse vendre leurs propres déchets, voire ceux qu'il aura collectés, ainsi peu de déchets auront de chance de demeurer dans la nature.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Je suis au bout de mes possibilités maintenant, j'attends que les choix écologiques se multiplient afin d'aller plus loin.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

J'ai choisi de vivre sobrement, avec mon épouse, 300€ mensuel nous suffisent pour vivre, sans demander aucun aide sociale. Et nous vivons heureux comme jamais. Ce n'est pas à nous qu'il faut poser cette question.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Géothermie, biomasse, biogaz, solaire, logement à énergie positive, je n'ai aucun réticence à abandonner le gaz naturel pour une ou plusieurs de ces alternatives.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Transport en commun gratuit: c'est une contribution collective à la lutte contre le réchauffement climatique et la transition énergétique.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|Le covoiturage|L'auto partage|Le transport à la demande|Le vélo|Sobriété dans les déplacements

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Les particuliers, les entreprises, les pouvoirs publics.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Désavantager les produits venant de loin, privilégier les matières premières recyclées et locales.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Les industries et leur force financière feront fléchir n'importe quel gouvernement. Un exemple le glyphosate: derrière une industrie pétrochimique, un syndicat à leur merci, des moyens de communications colossaux qui peuvent modifier le bon sens de chacun et bien entendu des élus. Idem pour l'industrie pharmaceutique. Il faut opposer à ces forces d'autres pouvoirs en subventionnant fortement les associations de défenses des consommateurs, de l'environnement afin d'avoir une vision plus juste sur la réelle nécessité de ces innombrables produits qui s'avèrent un jour être du poison.