Que les médias fassent leur une sur les rapports de la cour des comptes.
Respecter la déclaration universelle des droits de l'homme.
Pour les personnes physiques : le seul impôt qui soit juste est un impôt sur le revenu progressif auquel chaque citoyen est assujetti selon ses moyens. Tous les autres impôts sont injustes par définition puisqu'ils ne tiennent pas compte de la règle de l'égalité face à l'impôt. Pour les personnes morales, la même règle doit être respectée, avec comme assiette les bénéfices avant redistribution aux actionnaires, avec une pénalité pour celles qui ne consacrent pas un tiers de ces bénéfices à l'investissement et un tiers aux travailleurs qui ont contribué à les permettre.
Augmenter les revenus du travail ce qui générera une augmentation des ressources fiscales.
Le problème n'est pas l'attribution d'aides fiscales, mais les inégalités qu'elles génèrent. Par exemple, un travailleur qui déclare 1 300 euros de revenus nets dispose, avec les aides fiscales, d'un "reste à vire" supérieur à un travailleur qui déclare 1 600 euros (ce n'est qu'un exemple…) à vous dégouter de "gagner plus" pour payer plus d'impôts, n'avoir aucune aide fiscale et au final d'avoir un "reste à vivre" moins élevé qu'en gagnant moins !!!
Il n'est pas responsable de laisser à la solidarité du public ce qui devrait relever de la solidarité publique : chacun doit pouvoir manger à sa faim, avoir un toit pour dormir et participer à des activités sociales : travailler, aider, créer.
Aucun. Le sujet n'est pas de payer plus d'impôts, mais de payer mieux d'impôts.
Comme tout le monde, l'État ne devrait pas vivre au-dessus de ses moyens et consacrer une partie significative de ses ressources aux investissements pour augmenter ses revenus à venir (pas au règlement de ses dettes !!!).
Aux corps intermédiaires issus des structures démocratiques et aux représentants élus. Aux premiers parce qu'ils sont capables de représenter les intérêts de leurs mandants partageant les mêmes problèmes : professionnels notamment. Au seconds parce que si l'élection est le pire des systèmes, c'est aussi le seul qui garantisse la démocratie.
Oui
Oui et non. Tels qu'ils sont aujourd'hui ils ne représentent qu'une faible partie de la population. Par exemple, les organisations professionnelles représentent les "employeurs" qui sont de moins en moins nombreux à être les véritables propriétaires de leurs entreprises, qui est donc représenté ? Les syndicats de salariés n'ont plus de légitimité faute d'un calcul de représentativité biaisé. Pour les uns comme pour les autres, les élections prud'homales étaient un meilleur indicateur de représentativité. Les associations ne représentent que leurs adhérents et à ma connaissance aucune ne peut se prévaloir d'un nombre d'adhérents suffisant pour avoir un poids national (quelques-unes ont cette capacité au niveau local).
Au lieu de réduire le nombre de députés, il faudrait l'augmenter ! Supprimer les échelons départementaux et créer une vraie démocratie régionale basée sur des municipalités à échelle humaine : les intercommunalités éloignent les décisions du citoyen et bien souvent de leurs élus !!!
Une mauvaise chose
Éloigner les représentants de leurs mandants - les électeurs - n'est jamais une bonne chose. Ils sont déconnectés de la "vraie vie".
Il faut mieux représenter la diversité des territoires : des députés ancrés sur leur territoire avec de vraies responsabilités locales, élus au niveau régional avec un système d'élection proportionnel au nombre de voix recueillies.
Oui
Supprimer les départements et les cantons. Revenir à primauté de la commune et renforcer les pouvoir des régions. Une source d'économie ! La proximité avec l'échelon communal et la cohérence des territoires avec la région pour une réelle politique d'aménagement des territoires.
Rapprocher les élus des citoyens en ne permettant l'accès à la représentation nationale qu'après avoir exercé des mandats locaux.
Oui
Les votes blancs ou nuls montrent un intérêt pour l'exercice démocratique de l'élection et l'absence de proposition cohérente avec l'opinion de l'électeur. Un vote majorité absolue "blanc" devrait invalider les élections. Un vote blanc rassemblant autant ou plus de suffrages exprimés que le candidat ou la liste rassemblant le plus de suffrages devrait justifier une réduction d'un tiers de la durée du mandat des élus de la consultation concernée.
1/ réduire a néant la fracture numérique. 2/ Soumettre au suffrage direct des citoyens toute décision publique modifiant les institutions. 3/ s'inspirer du modèle suisse des "votations" 4/ permettre les référendums d'initiative citoyenne aux niveaux communal, régional et national.
Oui
En supprimant l'obligation d'un soutien du corps électoral qui a déjà été acquis et légitimé par l'élection ! Actuellement un député représente en moyenne environ 100 000 citoyens, donc une soixantaine de députés représentent environ 10% du corps électoral ce qui devrait suffire à déclencher un RIP ! (un calcul équivalent peut être fait pour le sénat).
Faire un référendum sur les budgets, poste par poste ? Rendre lisible pour le citoyen le Code des impôts et le budget…
Les CESE ne sont pas représentatifs car non élus. Le Sénat n'a pas que la vocation de représenter les territoires, mais aussi à renforcer la stabilité politique du pays (élection par tiers). Pour être plus proche des territoires et de la société civile, il faudrait (utopie ?) que nos représentants gardent une activité en lien avec ce qu'ils sont sensés représenter. Pour autant, il faut un équilibre de "professionnalisation" des représentants tant les sujets à traiter sont nombreux et complexes. Le meilleur moyen serait de mettre en place une réelle subsidiarité régionale sur tous les sujets non régaliens.
Oui
S'assurer que les membres des CESE soient élus par les populations qu'ils ont sensés représenter et non désignés par des organisations à la représentativité douteuse.
Les religions sont personnelles et ne regardent pas l'état. Lorsqu'elles se constituent en associations cultuelles, l'État doit avoir avec ces associations les même rapports qu'avec les associations de taille équivalente dans les autres domaines de la pensée citoyenne : associations civiques, francs-massons, etc.
Par l'éducation dès le plus jeune âge. Éducation appuyée sur l'enseignement. Par le développement des structures d'implication dans la vie citoyenne des enfant (parlement des enfants par exemple) et des adultes (réunions publiques mieux organisées que celles organisées par la commission des débats publics).
Mieux associer les citoyens aux décisions locales, régionales et nationales. Permettre l'engagement citoyen dans des structures associatives ou syndicales sans perte de revenu.
Le respect d'autrui et la prise en compte des besoins de son prochain.
Valoriser les actions collectives et les engagements pour la collectivité en apportant une reconnaissance réelle de ces engagements comme vecteurs de l'activité économique du pays.
Pendre en compte ces engagements au même titre que l'activité purement économique. Reconnaitre les qualifications acquises.
Celles commises par les pouvoirs publics et leurs représentants : Par exemple : sirènes (et priorités) utilisées abusivement. Un ministre doit-il réellement dégager la route pour se rendre à une réunion ? Ne vaudrait-il pas mieux qu'il anticipe ses déplacements ? Un fonctionnaire peut-il raisonnablement "envoyer paitre" un citoyen qui l'interroge sur ses droits et devoirs ? Est-il raisonnable d'interdire (au nom d'on ne sait quel "intérêt public") tout et n'importe quoi ? Est-il humain de laisser des personnes dans le besoin ? De laisser vivre des personnes dans des endroits insalubres et les ayant "expulsées" de les faire vivre dans des conditions encore plus précaires ? De laisser construire des habitations dans des lieux dangereux, etc.
Prendre leur responsabilité pour assurer la solidarité publique et sanctionner les fonctionnaires et élus qui oublient que leur rôle est avant tout le respect du "bien et de l'intérêt public".
Voter pour des représentants qui ne traient pas leur concitoyens avec mépris, arrogance ou ignorent leurs intérêts et même parfois la notion de bien public.
La liberté d'association et de penser : syndicalisme salarié ou employeur par exemple. Mais le plus fréquent est le "délit de sale gueule", racisme ordinaire envers celui ou celle qui n'est pas "dans la norme" : handicap, couleur de peau, accent, obésité ou maigreur. Cela va même jusqu'à stigmatiser celui ou celle qui n'habite pas dans la "bonne" zone géographique : "bouseux", "banlieusard", etc.. Mais aussi à l'inverse : "riches", "bobos", etc. et encore : jeunes (trop inexpérimentés pour travailler) ou vieux (trop usés pour travailler)… bref, tous à un moment ou à un autre. Le plus choquant que j'ai vécu récemment est dans un commissariat de banlieue parisienne où l'on a stigmatisé mes agresseurs du qualificatif de "racaille bronzé", mais dans ce même commissariat j'ai été témoin d'un remarquable travail de pédagogie et d'intégration de cette même "racaille bronzé" par d'autre fonctionnaires de police.
Permettre une représentation plus diversifiée dans les institutions (combien d'élus avec un handicap visible ?). Cesser les "discriminations positives" qui en fait stigmatisent des populations. L'équilibre femmes / hommes est un bon exemple : on voit des hommes oui des femmes "alibi" dans les institution alors que l'on devrait plus intensément lutter contre la discrimination : salaire égal parce que compétences égales parce que formations comparables et possibilités d'accès identiques aux postes à responsabilité.
Non
La contrepartie est implicite. Nous sommes solidaires parce que la nécessité fait loi et que nous formons un même peuple.
Le plein emploi est la seule solution. Le flux migratoire est vital pour la dynamique du pays. Plutôt que laisser les passeurs clandestins exploiter la misère, ne vaudrait-il pas mieux organiser le passage dans de bonne conditions ? Par exemple, certains migrants sont dépouillés par les passeurs, ne serait-il pas plus humain et plus profitable des les accueillir avec leurs biens et compétences ?
Pour moi, l'asile politique ne souffre pas de discussion : toute personne persécutée hors de nos frontières ont naturellement le droit d'asile dans notre pays. L'immigration économique ne peut que nous être profitable si l'accueil est correctement organisé : formation, intégration.
Nous manquons de personnel qualité dans de nombreux secteurs, développons les coopérations de formation avec les pays "exportateurs" de migrants économiques ainsi ces migrants - s'ils souhaitent encore migrer - trouveront un accueil bienveillant dans notre pays :-)
L'accueil, l'information et la formation.
Pourquoi pas ne pas tenter un nouveau modèle démocratique non censitaire où les citoyen•ne•s serait réellement égaux, pas seulement devant la loi mais aussi par le niveau de vie ?
L'État et ses administrations sont restées jacobines sans pour autant garantir aux citoyens un même accès à la vie publique et aux administrations. Il est nécessaire de recentrer les missions de l'État sur ses grandes fonctions régaliennes et de déléguer aux régions et aux communes plus de compétences et de ressources.
Oui
Principalement tout ce qui relève de l'environnement et le renforcement des possibilités d'aménagement du territoire.
Non
Principalement : établissements de santé démunis et surchargés.
Aucune et toutes. Internet n'est qu'un outil, souvent trop impersonnel pour favoriser l'intégration citoyenne. Ainsi, demander sa carte d'identité sur internet parait une bonne chose, mais comprendre son imposition à l'aide d'internet est illusoire (a moins de simplifier drastiquement le code des impôts). Les plus fortunés font appel à des spécialistes qui utilisent internet mais aussi les contacts personnels, seuls à même de permettre une réelle prise en compte de la situation individuelle. Ce ne devrait pas leur être réservé.
Oui
Non
Travailleur, comment se rendre aux rendez-vous sur les heures de travail ? (Mais aussi : quelle serait la raison suffisante pour imposer à des personnes de travailler en horaire décalés pour ma seule satisfaction ?)
Globalement les administrations ont évolué positivement sauf en ce qui concerne la disponibilité au public et le cloisonnement entre services.
L'administration fiscale : inaccessible (à cause d'internet ?).
Oui
Non
None
Le code de la construction est fait pour les professionnels du bâtiment. Un particulier qui veut faire construire sa résidence principal est le plus souvent le "dindon de la farce" pris entre les bâtiment de France qui imposent des règles absurdes et les constructeurs qui s'abritent derrière la complexité de la réglementation pour livrer un produit ni fait, ni à faire. A côté de ça, des constructions "sans permis" sont validées par les autorités : a être dégouter d'être respectueux des lois ! Le maintien dans l'emploi est un maquis inextricable pour les malades et les handicapés qui passent plus de temps à lutter pour "entrer" dans des règles administratives absconses qu'à se soigner ou à trouver un emploi. Le code de la route : des véhicules construits pour rouler à plus de 130 km/h et des réglements qui interdisent de dépasser le 80 km/h sur la plus grade partie du réseau routier. Aucune adaptation aux conditions de circulation.
Oui
Oui et non. Indispensable respect d'un traitement égal pour tous et absolue nécessité de prendre en compte les situations réelles. Difficile équilibre à réaliser, mais nécessaire pour faire primer équité sur "bête" égalité.
Oui
Oui. L'administration doit se plier aux même règles qu'elle impose aux citoyens (ce qui malheureusement est rarement le cas). Les fonctionnaires doivent conserver et/ou acquérir un "statut" qui leur permet de résister aux pressions et à la corruption.
Avec la suppression des impôts locaux, une meilleur péréquation des ressources des territoires en tenant compte à la fois de la structure des habitants et des contraintes territoriales (par exemple : une zone de plaine n'a pas les mêmes besoins qu'une zone montagneuse ou du littoral)
Formation continue : J'ai dû entièrement la financer car mon entreprise était jugée trop grande pour que je bénéficie de l'aide du Fongécif alors que je remplissait la totalité des autres critères. Mais la réforme actuelle de la formation professionnelle continue m'interdirait totalement ce que j'ai pu finalement faire !
None
Tout est censé se passer sur internet (pôle emploi, Apec…) La réalité est bien différente et sans réseau personnel, la recherche d'emploi est un gageure.
Plus le temps passe et plus le départ à la retraite dans de bonnes conditions est improbable. Un écart de quelques années entre époux nous permet de mesurer la "perte" : 1/ de lisibilité 2/ de ressources
Le fonctionnement du remboursement est optimal (sécu et mutuelle), sauf que pour avoir accès aux professionnels de santé il faut accepter dépassements d'honoraires et délais insoutenables. J'ai renoncé à des soins dentaires trop onéreux et à des lunettes adaptées faute d'avoir un rendez-vous chez un ophtalmologiste.
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La pollution des eaux
Cesser de donner des autorisations à polluer aux entreprises qui rejettent leurs déchets dans les eaux. Sanctionner celles qui produisent des pollutions "accidentelles" (comme par exemple les centrales nucléaires).
Non
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Oui
L'homme modifie son environnement pour l'adapter à ses besoins. La réduction des déchets inutiles est un premier pas.
LOL ! Rien. Le problème n'est ni le chauffage, ni les déplacements. D'ailleurs il suffit de regarder la nuit les bâtiments publics et les entreprises éclairés et chauffés sans personne dedans...
Si vous tenez à me faire changer de comportement, ne présentez pas un carotte financière. Changez le comportement de l'état et faites des lois réellement utiles : contrôle des produits inutilement consommateurs d'énergie par exemple.
Oui
Mais rien... Sauf a réchauffer le climat pour qu'il n'y ait plus besoin de se chauffer l'hiver ! Mais à ce moment vous nous demanderez de couper nos climatiseurs ! Donc, obliger la terre à produire un air à un petit 23° toute l'année... serait une bonne loi.
Non
Le plus simple serait de faire une vraie politique d'aménagement du territoire pour rapprocher les travailleurs de leur lieu de travail et les consommateurs des commerces... Mais il est constant de créer des "zones d'activité" loin des habitations et des "zones commerciales" à l'extérieur des villes : changez cette politique absurde.
Le plus souvent : mes pieds ! Et pour les longues distances, favoriser les transports rapides et confortables.
Un aménagement intelligent du territoire.
Donner l'exemple !!!
Plein ! Qualité de l'eau, de l'air, des sols; protection des espèces en voie d'extinction; Fermeture des entreprises Seveso, etc.
Votre message a bien été envoyé.