Les élus sont les représentants des citoyens. La démocratie représentative a fait la preuve de sa force et de sa solidité. Il faut sans doute revoir la durée des mandats et les moyens mis à disposition des élus pour mieux travailler avec les citoyens.
Oui
Les syndicats devraient être renforcés en leur donnant un vrai rôle de courroie de transmission entre les citoyens (salariés, chômeurs, retraités, étudiants) et leurs hiérarchies ou correspondants.
Revoir la durée des mandats pour organiser des élections plus régulièrement. Permettre des modes de défiance démocratique d'un élu (avec des conditions telles que l'obligation de réunir un certain nombre de signatures authentifiées pour organiser un referendum pour démettre l'élu ou dépasser le nombre de suffrages dans ce referendum que ceux qu'aura obtenu l'élu pour être élu).
Une bonne chose
Cela permet de donner davantage de temps à un élu pour se consacrer à ses missions. La contrepartie devrait être un statut de l'élu plus clair (notamment pour les "petits" élus) et davantage de moyens pour les élus.
La proportionnelle doit le permettre.
Non
Pas forcément. Il faut surtout clarifier les strates administratives et de représentation.
Les droits et les devoirs doivent mieux être mis en face à face. Le droit de vote, de manifestation et d'expression doivent aller avec le devoir de participer à la vie collective. Le raccourcissement de la durée de certains mandats pourrait permettre aux citoyens de s'exprimer plus régulièrement sur leur vision de la politique à mener. De même que la décorrélation des calendriers électoraux pour les législatives et présidentielle.
Non
None
En resserrant les mandats électoraux, le débat entre citoyens et élus sera plus intense.
Non
None
Les citoyens ont accès aux conseils municipaux et à de nombreuses informations sur l'utilisation de l'argent public. Les échanges avec leurs élus doivent permettre de contrôler cet usage. S'ils sont mécontents, les citoyens peuvent se mobiliser pour s'opposer à la réélection des élus en place, voire se présenter eux-mêmes.
Le Sénat devrait davantage représenter les régions que les petites communes. Le CESE pourrait intégrer des citoyens tirés au sort, sur les listes électorales, parmi les abstentionnistes dans un premier temps.
Oui
voir ci-dessus
Le principe de laïcité, tel que décrit dans les lois de 1881, 82 et 1905 convient parfaitement encore aujourd'hui et n'a pas besoin d'être modifié. Les modalités concrètes d'application de la loi, elles, pourraient changer. (Préservation des premiers articles de la loi de 1905). Il faut aussi que les pouvoirs publics acceptent qu'une République laïque ne peut pas intervenir dans les débats religieux, ni définir qui est le bon interlocuteur. Il n'est pas non plus possible d'obliger des personnes qui n'ont rien en commun si ce n'est une religion à travailler ensemble, toutes les religions ne sont pas organisées comme l'Eglise catholique (qui ne respecte d'ailleurs toujours pas la loi de 1905 en ce qui concerne son organisation en associations cultuelles).
Il faut mieux intégrer chaque citoyen quelles que soient ses convictions personnelles. Il faut également rappeler avec force les règles qui existent pour lutter contre la coercition d'une personne par une autre.
Accepter chacun dans ses différences et renforcer le sentiment d'appartenance à un projet commun. La France est une construction commune de nombreux peuples, régions, cultures. Il faut cesser de fantasmer une France monolithique qui n'a jamais existé.
La compassion, l’hospitalité, la fraternité, le fait de s'ouvrir et de partager, l'amour. Il faut remettre des valeurs positives dans la construction et dans le débat public.
Chacun doit s'engager par le biais du SNU, mais aussi dans sa vie quotidienne. Il faut rappeler que la cohésion se construit par des petits actes quotidiens. Chaque citoyen peut s'engager.
Donner son avis au citoyen sur la qualité de ses relations avec l'administration, de manière qualitative. Inclure chaque citoyen dans des panels citoyens (sur temps de travail ou indemnisés d'une façon ou d'une autre) régulièrement pour leur donner leur avis. Permettre de flécher une petite partie de l'impôt sur le revenu vers une "priorité" du citoyen.
Le manque de respect dans les transports en commun. Il pourrait être mis en place des médiateurs, adossé à une formation.
Les pouvoirs publics doivent maintenir un service au public de qualité et rappeler à chaque citoyen qu'ils sont les copropriétaires de l'espace public.
Ne rien laisser sans réagir. Participer à l'amélioration de l'espace de vie commun (déneiger un morceau de trottoir, ramasser un papier par terre, etc.).
Le sexisme, le racisme, l'homophobie, l'islamophobie et l'antisémitisme. L'intolérance à la différence est très répandue et se développe encore.
Il faut rappeler que la vie telle qu'on la connait en France est le fruit d'un choix partagé, celui d'avancer vers un idéal commun. La cohabitation n'est possible que si chacun souhaite continuer à vivre avec les autres, malgré les différences. Il faut remettre sur la table les termes du contrat social : acceptation des autres qui devront accepter la personne.
Non
Il ne faut pas instaurer des contreparties aux allocations de solidarité mais permettre leur utilisation dans des projets d'insertion (type Territoires Zéro chômeurs longue durée). Il faut permettre davantage d'expérimentations !
Il faut donner à chaque personne qui le souhaite une autorisation de venir vivre sur le territoire, de contribuer et de participer à notre vie commune. En contrepartie il faut être clair sur les exigences de respect et les conséquences d'un refus de se conformer aux règles communes. La France, tout comme de nombreuses autres nations est une nation de migrants.
Non, pourquoi limiter le nombre d'arrivées si plus de personnes veulent venir participer au projet commun ? La question est davantage de savoir comment on permet aux personnes qui viennent de participer au projet.
Il faut permettre à chacun de se sentir français par des symboles : participation à une histoire commune, acceptation des zones sombres et de la perfectibilité de notre destin commun. Meilleure répartition des nouveaux arrivants sur le territoire.
Permettre aux personnes de garder leur histoire et leur culture, tout en les intéressant à la langue française. Le fait d'avoir deux cultures (une d'origine et une d'adoption) est une richesse qu'il ne faut pas gaspiller. Une personne qui a quitté son pays, sa famille, ses amis ne le fait pas pour "venir profiter des aides". Donc la France et les français devraient l'accueillir avec bienveillance et reconnaissance : la France rayonne et elle grandit grâce à ses nouveaux citoyens et habitants. Il faut rappeler à chacun que nous avons tous des origines diverses et que nous avons tous potentiellement vocation à nous expatrier, que ce soit pour des raisons politiques, économiques, culturelles, etc.
None
L'Etat reste trop centralisé, avec une impression de toute puissance de la capitale et en même temps, une impression de colosse aux pieds d'argile car l'Etat central ne peut pas tout.
Oui
Sans dénaturer le pacte social national, il faut pouvoir prendre en compte l'histoire et les évolutions territoriales. Les collectivités territoriales doivent pouvoir obtenir notamment des pouvoirs fiscaux et réglementaires et leurs compétences doivent être clarifiées.
Oui
Je vis en petite couronne parisienne, donc l'accès aux services publics est facile. Néanmoins, il faudrait pouvoir prévoir des horaires élargis ponctuellement et des services publics (ou MSAP) mobiles dans les territoires moins densément peuplés.
Les démarches administratives.
Oui
Oui
La multiplication de ces services et leur présence régulière, y compris en ville (notamment près des grandes entreprises sur la pause déjeuner) pour recréer ce sentiment que les services publics sont au plus près de la population.
les impôts
il faut décloisonner les services publics. C'est le rapport de l'Etat (et de son administration) aux citoyens qu'il faut transformer.
Oui
Non
None
None
Oui
En leur faisant confiance, ils peuvent prendre des décisions. Cela étant dit, il faut pour cela que les citoyens les respectent, y compris lorsque la réponse apportée ne convient pas...
Oui
Davantage de digitalisation et une formation continue. Plus d'ouverture, des échanges avec l'international, non pour copier mais pour échanger sur les meilleures pratiques.
Il faut créer des règles applicables partout. Des services publics de première approche mobiles et polyvalents peuvent aller partout et être identifiés par les citoyens. Un site internet de géolocalisation pourrait permettre de les repérer, doublés par un affichage en mairie. Il faudrait que ces "bus" et ceux qui y travaillent aillent tout à la fois en zone rurale, périurbaine et en ville, afin que cela favorise les échanges et la transmission des "nouvelles" un peu comme les colporteurs ou marchands ambulants au Moyen age.
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
None
Votre message a bien été envoyé.