Ce n'est pas l'information qui cloche. Ce qui pose question c' est de voir que les services publics (financés par les impôts) ne peuvent plus remplir leur mission correctement en raison de leur "marchandisation" ils sont soumis aux contraintes du marché et de la rentabilité. Si ce n'est pas rentable : on ferme des bureaux, des lits, des guichets = des emplois. Alors on s' interroge ! les impôts pour financer un service pour tous ?
la fiscalité plus juste commence avec la lutte sans merci contre l'évasion fiscale qui prive notre Etat de 60 milliards chaque année !! on pourrait rembourser notre dette sans pénaliser les services publics.
la TVA sur les produits de consommation courante, qui gréve le pouvoir d' achat des plus précaires.
rapatrier les fonds, partis dans les paradis fiscaux !
Que les prestations familiales soient attribuées jusqu' à un certain seuil de revenus, mais pas au delà. Au delà de 5000 euros de revenu du ménage; on ne verserait plus les allocations familiales .
Le logement est vraiment le domaine où l' on doit faire le plus d'efforts car trop de gens dorment dans la rue (plus de 3000 à Paris, recensés dans la nuit de la solidarité ) ou vivent dans des conditions indignes. (cf le dernier apport de la Fondation Abbé Pierre ) Il faut construire des logements très sociaux, des centres d' hébergement, transformer en logements des surfaces de bureaux inoccupés depuis de décennies.. et faciliter l'accès et le maintien des plus précaires (parmi lesquels des "salariés" pauvres) dans un logement décent.
Pour une politique de logement (vraiment) social et une politique de l'emploi beaucoup plus orientée vers l' économie sociale et solidaire, c'est à dire travaillant entre autre à l' insertion des personnes les plus éloignés du travail.
Il y a des économies importants à faire au niveau des avantages acquis par les parlementaires, des ministres et autres secrétaire d' Etat (retraites et divers privilèges qui durent au delà de la fonction) C' est là que l 'on devrait faire des économies lorsque l' Etat est trop endetté, au lieu de ponctionner les petites et moyennes retraites.
Nos élus, car il n y pas d'autres représentants pour le moment.
Oui
Aux associations de Défense des Droits Humains et de Solidarité (nationale et internationale) Elles ont un rôle d' interpellation, voire de dénonciation quand il y a non respect des Droits humains fondamentaux. Elles ont aussi un rôle de mobilisation citoyenne (climat, évasion fiscale, R S E....) et de proposition d'alternatives.
Pas de "magouilles" (il y en a eu trop !) et plus de proximité territoriale ( faire des réunions d'informations pour faire savoir ce qui se passe au parlement..) Il faudrait aussi qu'il y ait plus de débat à l' assemblée nationale, que les amendements présentés soient vraiment examinés, discutés. (impression que depuis 18 mois pas de discussion véritable (ça va peut être venir ) et pas de propositions d' amendements étudiées, par exemple pour la loi asile -immigration, qui en avait motivé un certain nombre . Cela "coupe" les institutions des citoyens qui se désintéressent ainsi de la vie politique.
Une bonne chose
Pour remplir à fond leur mission, y compris celle d' informer les citoyens de leur circonscription sur ce qui se passe au parlement et répondre aux questions, à travers des réunions - débats
une "petite" dose de proportionnelle, mais laquelle ? C' est à bien réfléchir !
None
Pas vraiment d'avis.. La "grande région" qui devait éviter des doublons et permettre des économies ne semble pas avoir atteint son objectif. Mais je ne connais pas assez pour en dire davantage.
La participation est vraiment faible et préoccupante. Il faut que les citoyens soient plus conscients de l'utilité du vote, il faut qu' ils voient à quoi ça sert.. Or comme je disais, à cause des "magouilles" et du fait que l' on ne discute plus beaucoup au Parlement avant de voter les lois, (vote majoritaire acquis) les citoyens se disent "à quoi bon, ils feront ce qu' ils voudront, mon avis ne compte pas "..
Oui
Les comptabiliser avec les votes "exprimés", afin de relativiser, selon le cas, le score du "gagnant"
Organiser des débats, avec les députés (sur leur circonscription) en cours de mandat (1 ou 2 fois / an ?) Mais il faut que les citoyens qui participent, sentent que leur parole et leur avis sont pris en compte et seront, selon le cas, transmis, sous forme de question à l' Assemblée ou d' amendement présenté.
Je ne sais pas
None
Des discussions sur le budget d' une commune cela commence à se développer.. Mais ce n'est pas facile (technique). Pourquoi pas de temps en temps (1 (ou 2) fois/an ) une émission télévisée courte, pédagogique et ludique pour expliquer les grandes lignes du budget de l' Etat.
je n'ai pas d'avis. Le C E S E pourrait être composé de gens tirés au sort en plus d'associations de terrain...Peut être ?
None
R A S
Respecter la loi de 1905 : ni plus ni moins. tout y est !
A l' école, dès la Primaire : reprendre l' éducation civique et développer la citoyenneté avec des organisations de la classe qui soient responsabilisantes pour les jeunes dès la primaire : prendre des décisions en commun, réfléchir ensemble aux problèmes rencontrés en classe, trouver les solutions, développer la coopération et la bienveillance au lieu de la compétition....
A l'école : encourager les élèves, dès la primaire, à faire des choses pour les autres ( personne âgées ou précaires) pour contrer l'individualisme dans lequel nous nous perdons avec nos écrans... et leur donner le goût du service de l'autre qui apporte de la joie. et par la suite ils auront (peut être !) envie de poursuivre.
le respect de chacun par chacun. l'attention à l'autre, la bienveillance, la coopération plutôt que la compétition le respect de l' environnement : ne pas détruire, ne pas salir par négligence. l'entraide, la solidarité de proximité.
Eduquer ++ : à l'école, dès le plus jeune âge.
Eduquer = donner des occasions aux enfants et adolescents de "servir" : rendre service à des personnes dans le besoin (visite, bricolage, promenade du chien...) Expérience enrichissant, comptant dans le parcours de vie.
le plus désagréable dans ma ville : le manque d'attention porté à l'espace commun = saleté ++ déjections sur les trottoirs, dépôts d'ordures, encombrants et autres, n'importe où.. Quoi faire devant ce manque de civisme ??
Eduquer dès l'école, pour ces points là aussi ! Appliquer la loi, quand elle existe.
Nous avons un rôle éducatif vis à vis de nos jeunes adultes et de nos petits enfants auxquels nous rappelons les règles pour "bien-vivre" ensemble les uns avec les autres, en respectant notre ville, notre environnement urbain ou rural. Il arrive que dans la rue, nous soyons amenés à faire remarquer à un jeune qui jette par exemple mégot ou papier par terre que sa conduite n'est pas "cool"... Mais ce n'est pas toujours faisable....
je suis témoin des discriminations très forte vis à vis des migrants, dont les Roumains d'origine Rom, mais aussi les migrants subsahariens en attente de papiers (donc, des "sans papiers" ) Il y a un rejet, encouragé par les propos des médias et de certains politiques, qui font des différences entre les bons migrants , qui vont obtenir l'asile, et les "mauvais" qui vont être déboutés, car leur pays n'est pas considéré "en guerre" même si des groupes armés font régner la terreur comme en Centrafrique ou en R D C ou dans tellement de régions du globe, forçant les gens à quitter leur terre et/ou les empêchant de cultiver leur champs pour subvenir aux besoins élémentaires de subsistance. Cette stigmatisation est extrêmement violente pour ces hommes, ces femmes, ces enfants qui ont traversé "l'enfer" pour arriver jusqu'à nous. De plus, elle est un obstacle majeur au vivre- ensemble et à la cohésion sociale.
Arrêter de faire cette différence délétère entre les migrants : ceux qui ont le droit de venir et les autres, qui seraient sans droits. Ils sont là, ils ont traversé des épreuves inimaginables. Nous savons que nous avons des métiers en tension : offrons leur l' opportunité de travailler dès leur arrivée avec une autorisation de travail. Alors nous continuerons de construire une France, riche de ses différences , solidaire et ouverte sur le monde.
Non
je pense plus utile de créer des "territoires-zéro- chômeurs" comme l'expérience menée par ATD Quart Monde pour remettre au travail (vrai travail) des personnes très éloignées de l'emploi. Que les demandeurs d'emploi fassent du bénévolat, cela arrive assez souvent, ne serait- ce que pour avoir des contacts. Mais cela ne doit pas être obligatoire.
je pense que la politique de la France est beaucoup trop sécuritaire, restrictive et discriminante. Beaucoup d' argent public (le nôtre) est utilisé pour créer des frontières extérieures (Frontex) afin d' empêcher les migrants d'arriver. Mais les personnes qui risquent de mourir dans leur pays, de faim ou par la guerre, n'ont plus rien à perdre. Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas que des centaines de femmes, d'hommes, d'enfants perdent la vie, en mer ou dans le désert, parce que nous refusons des visas humanitaires qui leur permettrait de venir dans des conditions normales. La France est en infraction vis à vis des droits humains concernant le non - accueil des personnes migrantes (qui sont dans la rue, qui ne peuvent accéder aux services....) et en particulier, des mineurs non accompagnés.. De plus on poursuit en justice les bénévoles qui les aident. C' est une politique que je refuse car elle est totalement en contradiction avec les valeurs de notre République. Je souhaite une autre politique migratoire pour la France et pour l'Europe, plus juste, plus solidaire et plus fraternelle.
non, je ne pense pas que ce soit une bonne chose.
Il faut changer de paradigme concernant les migrations. Elles sont un phénomène éminemment humain : depuis la nuit des temps les humains ont bougé. Cette tendance à aller voir ailleurs par plaisir, curiosité ou nécessité, a fait la Terre telle qu' elle est : belle de ses diversités, de ses couleurs, riche de ses découvertes... Cela ne fera que s' amplifier dans les années qui viennent pour des raisons diverses dont le réchauffement climatique n'est pas la moindre. Alors quoi faire ? Arrêter de faire peur en parlant d'invasion alors que les chiffres montrent que depuis 10 ans le nombre de personnes migrantes en France est resté stable. il y a des entrées et des sorties qui s'équilibrent. Il faut savoir que quand une personne a dû attendre 5 / 8 /10 ans avant d'avoir son titre de séjour, dès qu'elle le peut, elle retourne dans son pays pour voir sa famille. je propose d' arrêter de faire peur aux citoyens avec des chiffres inexacts et d'organiserenfin un accueil convenable et digne.
Selon moi, les modalités d'intégration sont les suivantes : hébergement (= plus personne à la rue). Apprentissage du français et de "la vie en France" dès l'hébergement. Autorisation de travailler dans les métiers en tension, dès que le français est suffisant. il faudrait pouvoir traiter les demandes d' autorisation de travail et de titre de séjour en sous préfecture car nous voyons des préfectures totalement asphixiées. L' intégration dans certains zones rurales se sont très bien passées. Il faut continuer à expérimenter cela en fonction de ce que les personnes souhaitent car il y a des possibilités de logement assez intéressantes.. De plus, il faut voir que la plupart des migrants qui viennent "chez nous" sont des ressortissants de notre ancien empire colonial .... Ne serait- il pas juste de les accueillir dignement car de leur pays nous avons tiré des richesses indiscutables.
Notre France est métissée depuis longtemps et c'est heureux. Nous sommes appelés à élargir notre citoyenneté aux dimensions du Monde, car la planète "Terre" est devenue comme un gros village, où les problèmes des uns sont connus des autres en un instant. Cela doit nous conduire non au replis peureux mais à la solidarité sans frontières. Demain, déjà là, avec le climat, les migrations, la mondialisation, sera solidaire, ou ne sera pas.
L' organisation de l'Etat est trop centralisée. Les administrations territoriales sont en charge de services qu'elles ne peuvent pas remplir correctement en raison de la réduction des moyens alloués. Elle devrait évoluer vers moins de privilèges financiers pour ceux qui sont à la tête de l'Etat (retraites et autres gratifications de taille, qui durent même quand les ministres et Président ne sont plus en fonction). Cela permettrait des économies plus juste et éviterait les coupes dans les budgets locaux .
Non
None
Oui
None
Aucune : il y en a déjà beaucoup et ce n'est pas facile d'accès pour tout le monde. Donc je ne suis pas favorable à le développer encore.
Non
None
je ne connaissais pas ces nouvelles formes de services publics. la formation des agents polyvalents doit être bien faite et sérieuse.
les impôts, avec la déclaration en ligne.
None
Oui
Non
None
None
None
None
None
None
Pour mettre fin à l' inégalite territoriale dont souffrent certaines de nos banlieues (93 par ex.) il faut donner des moyens supplémentaires : par exemple pour l'enseignement, il faut du personnel plus qualifié qu'ailleurs ! mais il faut reconnaître la valeur de leur engagement auprès de jeunes en difficultés scolaires, sociales, familiales...en leur donnant une prime spécifique "attractive" en plus de leur salaire.
None
Difficultés rencontrées : j'ai accompagné des familles vivant en squatt et en bidonville, dans les démarches pour scolariser leurs enfants , ce qui est leur droit et l' obligation de la république de les accueillir. Ce fut une bataille de procédures de longue haleine. Mais nous y sommes parvenus, avec le soutien et l' engagement du Défenseur des Droits, or cela ne devrait pas poser de difficultés.
Difficultés rencontrées :J'ai accompagné des personnes à la recherche d'un travail, à Pôle Emploi. J'ai compris que Pôle emploi ne trouve pas le travail (ou bien "à la marge") Il conseille et oriente. Mais ce sont les intéressés eux mêmes qui doivent faire leur recherche.. Cependant beaucoup de ces personnes très précarisées ne maitrisent pas l'outil internet et ne sont pas capables de faire leurs recherches.
None
None
None
None
None
None
None
None
None
Je trouve que les services publics sont de plus en plus "marchandisés" c'est à dire "soumis aux règles du marché" avec des obligations de résultat, d'économies, d'équilibre financier etc. si tel service n'est pas assez "rentable" on va le fermer, fermer un guichet, fermer des lits, supprimer des emplois d'infirmières, par exemple.. Alors qu'un service public c'est un service offert à tous sans distinction de classe, d'origine, du plus riche au plus pauvre, gratuitement, pour le bien de tous, je regrette que la loi du marché ait autant contaminé cet idéal social et sociétal.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Prendre des mesures concrètes pour une vraie transition écologique : arrêter la construction ruineuse et insécure de l'E P R. Se tourner résolument vers les énergies vertes renouvelables. Développer la recherche et l'innovation dans ce domaine en misant sur le long terme et non sur un profit à court terme.
Oui
les périodes de canicule sont assez difficiles à supporter.
Oui
Essentiellement : le tri sélectif / l' économie d' énergie électrique (lumière et chauffage)/ privilégier les transports en commun. Mais c'est une part infime de la solution (la goutte d'eau du colibri pour éteindre l'incendie de la Forêt).
C'est ce que je fais déjà, mais ce qui serait vraiment efficace, au delà des efforts individuels, c'est une politique résolument différente, qui renonce à développer l' énergie nucléaire, qui n' autorise pas l' accaparement de terres agricoles pour bétonner et construire des centres commerciaux gigantesques, inutiles et"tueurs" de centres ville. etc
si l' exemple est donné d' une vraie volonté politique "écologique" et d'engagements qui vont avec, cela peut inciter.
Non
None
Oui
R A S
None
Le développement ( = multiplication ) de transports en commun "propres" et à un coup modique, inciterait nos concitoyens qui le peuvent à laisser la voiture plus souvent au garage. Le co - voiturage se développe bien, c'est une bonne chose.
la France devrait proposer à l'Europe un plan Marshal pour le climat : mettre en oeuvre une réelle politique de transition écologique avec à la clef des investissements, bien sûr, mais aussi des emplois crées en masse : pour la rénovation des habitations non isolées, pour la déconstruction des centrales obsolètes, pour le recyclage des déchets.....etc et pour développer la recherche et l'innovation sur les énergies renouvelables.
URGENCE, il y a URGENCE : Si rien n'est fait maintenant au plan politique et si nous, société civile, ne nous mobilisons pas aujourd'hui, pour obtenir les décisions qui s'imposent pour sauver notre planète, nos descendants ne pourront pas le faire demain : il sera trop tard ! Nos petits efforts individuels sont importants mais ils ne peuvent contrecarrer des décisions qui vont à l' opposé de ce que l' on cherche ! En bétonnant des terres fertiles en Ile de France pour construire des lieux de consommation et de loisirs, on porte un préjudice grave au climat, à la souveraineté alimentaire des franciliens, à la biodiversité.....et à notre "terre-mère" que l'on détruit de manière irréversible. C'est absolument inacceptable dans l'état actuel du climat et de notre planète.
Votre message a bien été envoyé.