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Oui
Développer les structures qui développent la cohésion sociale et non celles qui défendent des intérêts.
Beaucoup de choses… la grosse erreur serait de déclasser les institutions élues : ne faut-il pas au contraire obliger à ce que les débats soient conduits dans le cadre public républicain et le nourrisse ? 1- Ecouter les élus locaux ! 2- Les gouvernants sont confrontés à des durées d'action trop courtes pour atteindre des buts tangibles, ce qui nourrit des critiques et des déceptions. On ne parle jamais du temps qu'il faut pour faire… et le temps des mandats -notamment présidentiel- est trop réduit. Les programmes politiques sont contraints de rivaliser sur le court terme, alors que la maîtrise des économies reste toujours limitée. Les transitions environnementales sont ingouvernables sans violence... Pourquoi ne pas revenir au septennat présidentiel ? 3- La commune, pour sa proximité doit rester vivante et dynamique pour assurer les liens sociaux, culturels et fonctionnels. Elle ne doit pas être mise sous domination des intercommunalités, et rester représentée par ses élus.
Une mauvaise chose
le non cumul affaiblit la chaîne entre la nation et ses composantes
la proportionnalité des représentants conduit à l'instabilité ; un groupe majoritaire doit pouvoir prendre ses responsabilités avec un minimum d'assise, ce qui ne lui interdit pas d'associer à son action des "sensibilités" différentes
Non
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Non
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1- La commune est le meilleur niveau pour l'animation démocratique en continu. Cela pourrait être une compétence obligatoire des maires et la fonction renouvelée du communal. 2- Le débat démocratique direct doit rester positif vis à vis du fonctionnement institutionnel. Il ne se substitue pas à la sphère publique et n'engage pas l'assemblée élue. 3- Le débat démocratique a un champ exceptionnel à explorer du point de vue local et concret, en visant à construire des solutions participatives et mobilise les acteurs de terrain dans des domaines diversifiés et pratiques. Il démultiplie ainsi l'action publique.
Non
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Ne pas trop croire que les citoyens vont arbitrer des choix financiers en amont... Aux gouvernants de décider au mieux et de se faire comprendre des citoyens (ce qui est difficile).
Ici, on invente un problème.
Non
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L'Etat a-t'il une âme ? (- Ce serait bien…) On voudrait qu'il n'en ait pas. Renforcer la laïcité, c'est tout sauf ignorer le fait religieux (à la racine de notre droit et de nos rapports sociaux). Le problème, c'est qu'en France ce débat est mité par les idéologies et les intolérances -au sens allergique- depuis la Révolution. On n'empêchera jamais la bêtise, le racisme, le sectarisme. Où est la sagesse ? Laisser cette question sur le strict plan juridique. Beaucoup a déjà été fait.
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1- Tenir aux masses un discours de vérité. 2- Expliquer que chacun* est libre de s'engager dans la vie publique comme dans ses activités professionnelles et sociales. La solidarité -"fraternité"- est bien plus forte dans le quotidien que dans la gestion publique. C'est le caractère total de la nation qu'il faut réhabiliter. * Pour que chacun puisse s'engager sans condition de ressources, donner un revenu aux élus communaux modestes. 3- Les plus forts doivent aider les plus faibles (il faut le leur dire aussi), mais sur des bases économiques tenables (récompenser les entreprises qui jouent le jeu et les individus qui se lancent). Le modèle social français est peut-être trop beau pour durer.
1- Se sentir acteur de la sphère publique et non pas consommateur. 2- Aller vers les plus pauvres et les exclus.
Les associations et structures locales sont nombreuses. Contribuer aux frais (que l'Etat aide déjà beaucoup en déductions fiscales).
Remonter les bretelles des fonctionnaires.
Les voleurs de bicyclettes ! (ça rappelle un beau film). Il y a aussi les crottes de chiens, lancer un programme de recherche sur l'animal de compagnie sans déjection ? (imaginez si ça marchait).
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Se regarder soi-même.
Le mépris des travailleurs pauvres et qui ont des sales boulots. Le mépris des femmes au foyer. Le mépris des prostitués.
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Non
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Bla, bla et boutique populiste, On se fait peur pour rien et d'ailleurs, on ne fait rien. Que les Français se montrent un peu plus ouverts et s'engagent ! La citoyenneté, ce n'est pas limité à "l'entre soi des Français".
Oui, si c'est pour aller plus loin, car c'est une opportunité historique. Normalement, le Parlement devrait le comprendre.
Comprendre, justement, qu'il "va durer" et fabriquer des citoyens libres; c'est à dire proposer la nationalité française et un accompagnement individuel des immigrants, qui mobilise les véritables forces vives du pays. Il faut vingt ans d'action et quarante ans pour en tirer profit… C'est long, mais cela permet de construire solidement.
Loger et intégrer les arrivants dans notre monde. Tirer bénéfice des apports culturels et économiques.
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A vrai dire, le "mille feuilles administratif" a été décrié et l'est encore. Le vrai problème est que les acteurs publics, avec l'Etat, n'aiment pas travailler ensemble (ce en quoi ils donnent un mauvais exemple) et ne se sont pas investis dans le renouvellement du mode opératoire indispensable pour relever les défis que nous rencontrons ce jour. En matière d'organisation territoriale, la recherche doit être orientée par la complémentarité des niveaux et la capacité d'associer aux projets de développement, des types d'espaces différents mais interdépendants : l'urbain, le périurbain, le rural, espace riches, espaces pauvre ou autres. Malheureusement, les réformes ont rompu de deux manières les possibilités partenariales : d'abord en spécialisant et en transférant les compétences (l'économie, les transports, l'éducation, le logement, la gestion de l'eau, etc.) ce qui empêche de travailler en continuité sur un thème, ensuite en cherchant à dilater les territoires : la région au dépens du département, la commune au dépens de l'intercommunalité. Il y a donc eu des erreurs dans la modernisation des collectivités. Concernant les régions, les réformes successives ont follement augmenté l'étendue de certaines et renforcé leurs compétences : nombre ne tiennent pas, faute d'ossature et ne pourront jamais créer de solidarité entre des territoires aussi différents que distants. Il en résulte des politiques caractérisées par leur imprécision. Leurs périmètres sont à revoir au plus vite. Concernant les départements, il s'agit d'une collectivité sous menace de disparition, dit-on de longue date. Or s'il existe un niveau capable de traiter du problème des "différences territoriales" (on parle beaucoup "d'inégalités territoriales" par les temps actuels), c'et bien celui du département. L'échelle départementale est historiquement rompue à cette fonction ensemblière, fondée sur des chantiers concrets, des décideurs proches et à la hauteur de l'Etat, dont la fonction préfectorale est bien celle dont use le citoyen. Le département est vrai parce qu'il est vécu et qu'il forme un espace de projet respectueux du terrain. Il devrait donc, mieux que la région supporter les stratégies de développement. Le propos sur les départements peut être nuancé là où existent des situations particulières comme de très grandes agglomérations ou des conurbations chevauchant des limites. Il faut aussi parler des communes dont la vocation de proximité est salvatrice si l'on veut travailler avec les citoyens. Ce pourrait être sa fonction première, avec des moyens et des modes opératoires à instituer.
Oui
A ce jour, on a surtout fait des transferts, jeu consistant à déplacer des politiques (et des moyens financiers) mais sans comprendre qu'il y a interdépendance entre les champs. Beaucoup est à revoir (l'économie, les transports, l'éducation, le logement, la gestion de l'eau, la culture, etc.) , à commencer par le principe de séparation des compétences, qui bloque le chaînage des actions à plusieurs niveaux, augmente systématiquement la distance avec le terrain et ne permet plus aucune innovation.
Oui
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ah internet !
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Les services publics pourraient être un peu plus précisés car on en parle comme d'un tout simple à comprendre. C'est quoi et c'est fait par qui ? Il est aujourd'hui évident que des fonctions de proximité ne sont plus viables avec une stricte gestion publique mais pourraient se réinventer avec ou sans l'action publique. C'est LE chantier des discussions citoyennes et ce qui les légitimera in fine.
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Les services publics de l'Etat de nature administrative, de tutelle, de contrôle; de jugement (sans être des juridictions) créent une certaine lourdeur.
Oui
Non
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Les documents d'urbanisme sont complètement oubliés par le présent questionnement. Il s'agit d'un sujet technique peut-être inapproprié dans un débat public. Ils sont pourtant sensés organiser l'occupation des sols urbains, agricoles et naturels. On y parle d'écologie, des zones humides, des caractéristiques des milieux, de climat et de beaucoup d'autres points.Tout cela est d'une grande importance pour l'avenir de l'environnement. Pour les pratiquer je puis affirmer que la logique de gendarmes de l'environnement et de l'aménagement vertueux qu'on leur assigne, ne fonctionnera pas sans une véritable mise en question de leur construction. En effet, si le cadre juridique des SCOT et PLU expose les attentes avec une belle hauteur de vue, leur mise en application est si complexe et si longue, que les collectivités qui en sont porteuses se trouvent presque dissuadées de construire une projection de leur territoire. Sans trop aller dans le détail, il est proposé de mettre en question la perspective unique du PLU intercommunal (qui dépossède les communes et qui reste particulièrement lourd à fabriquer), le fait qu'il n'existe qu'un seul cadre pour toutes les communes de France lié à un seul type de projection (un vrai document de projet adapté aux petits territoires), des temporalités de projet limitées au court terme (alors qu'il faut gérer le temps long), la conception hiérarchique et verticale des schémas depuis le niveau régional (SRADDET) qui finissent par corseter le local… Les PLU ont été décentralisés, ce qui fut une promesse de liberté pour le terrain, mais leur encadrement est tel qu'on y a perdu la place du projet. Il ne serait pas idiot, pour le bien de l'environnement, d'en parler et de remettre en cause les doctrines très techn(ocrat)iques des ministères concernés.
Votre message a bien été envoyé.