Connaître l’utilisation de ses impôts n’est pas le plus important, l’essentiel est de réduire impôts et taxes des classes moyennes considérées comme des vaches à lait. La réduction des impôts et taxes passe par une réduction des dépenses inutiles dues à des mauvaises décisions (portiques taxe carbone, panneaux 80 km/h, Notre Dame des Landes, ...) et des dépenses évitables, par exemple générées par l’immigration illégale et néanmoins acceptée. Ceci accroît les budgets de l’intérieur, de La Défense, de la justice, des affaires sociales, des communes, des départements, des régions. L’immigration ne fracture pas uniquement la société, elle appauvrit la France, elle engendre de l’insecurité galopante, elle désenchante les français, elle fait perdre la confiance des citoyens aux différents partis politiques.
Une fiscalité plus juste passe par une imposition de l’ensemble des revenus, y compris les aides sociales. Il est injuste que moins de 50% des foyers fiscaux paient de l’impôt sur les revenus. Ça donne aux non imposables des droits, mais aucun devoir. Ils se reposent sur les aides sociales et exigent en permanence encore plus d’assistance ... mais ils trouvent de l’argent pour leur smartphone, leur abonnement télé, leurs lotos, ... Une fiscalité plus efficace passe par une dépense publique plus rigoureuse et plus réfléchie. L’analyse des postes de dépenses et leurs évolutions annuelles doit permettre d’identifier les postes à réduire et les postes à maîtriser : dépenses sociales en priorité.
Il faut tout d’abord arrêter de faire payer de l’impôt sur de l’impôt ou de la taxe. La réduction des impôts sur le revenu n’est pas une priorité, s’ils ne sont pas dilapidés par l’État, mais faire payer de l’impôt à chaque individu est une priorité. L’impôt sur les sociétés pourrait être plus juste : un taux inférieur par exemple pour les sociétés qui produisent en France, pour celles qui génèrent des emplois en France, pour celles qui remplissent leurs obligations environnementales, pour celles qui produisent bio. A l’inverse, application d’un malus pour les autres.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Supprimer la prise en charge des mineurs étrangers isolés venus illégalement sur le sol français. Suspendre les aides sociales aux personnes condamnées ou à leurs parents pour les mineurs condamnés, supprimer le regroupement familial qui engendrent des dépenses sociales supplémentaires, mieux contrôler les personnes déclarées au chômage, mieux contrôler le versement de retraites aux personnes ne vivant pas sur le sol français, ...
Allocations familiales; Allocations chômage; Allocations retraites; Subventions accordées aux associations venant en aide aux immigrés; Subventions accordées aux associations religieuses.
Personnes âgées ayant travaillé en France recevant une retraite dérisoire (agriculteurs ou épouses d’agriculteurs par exemple, épouse d’artisans, ...). Personnes handicapées ou atteintes d’une maladie grave. Pupilles de la nation.
Je paie déjà beaucoup d’impôts par rapport à mes revenus (classe moyenne), je ne suis absolument pas prêts à en payer plus. Je suis plutôt dans une démarche de réduction de mon empreinte fiscale. Ce que j’attends des politiques publiques, c’est une réduction des dépenses sociales et des mesures pour stopper les faits générateurs de toujours plus de dépenses publiques (immigration implique plus de dépenses sociales, plus de dépenses de sécurité, plus de dépenses administratives et juridiques, plus de dépenses pénitentiaires, ...)
J’attends que la classe moyenne soit moins sollicitée et que tous les citoyens contribuent au financement de la dépense publique. J’attends également que les privilèges accordés aux élus, pendant et après leurs mandats, cessent. J’attends que les personnes qui travaillent et contribuent activement au PIB soient mieux considérées que les personnes alimentées par les aides sociales. J’attends que la dépense publique satisfasse les besoins des français avant de financer la misère étrangère ... et la solution n’est évidemment pas de transformer un étranger en un « français » inadapté à notre civilisation et à nos lois
Pour me représenter auprès de l’Etat, je fais plutôt confiance aux Députés car ils votent les lois qui doivent garantir notre République ... mais la majorité élue n’est pas toujours de votre sensibilité !
Oui
A l’ensemble des associations, organisations et syndicats responsables et engagés dans un secteur d’activité, porteurs d’une connaissance et d’une expertise terrain dans un domaine, mais aussi force de propositions pour améliorer les fonctionnements ou corriger les dysfonctionnements : UNPS, Association des médecins urgentistes, syndicats de police, syndicats pénitentiaires, syndicats des enseignants, syndicats agricoles, ...
Seuls les élus de terrain peuvent revendiquer un lien avec les citoyens. Donc par conséquent, un/une ancien cadre d’un grand groupe ou une infirmière ou un agriculteur ou ... se faisant élire député, est dans l’incapacité de représenter ses électeurs et son territoire. Député - Maire permettait d’assurer cette représentation et ce lien. un Conseiller municipal ou départemental peut être également un député représentatif. Il devrait être interdit aux partis politiques de présenter des candidats députés n’ayant jamais eu d’engagement public local ou n’ayant aucune expérience politique locale. Un Député doit être une personne expérimentée et engagée dans la vie publique depuis quelques années. Bien entendu, cela n’interdit pas la limite des mandats : 3 mandats pour un député et 2 mandats pour un sénateur semble être un bon compromis. Cela n’interdit pas également de laisser 10 à 20% de postes de députés ouverts à des représentants de syndicats de santé, police, enseignement, ...
Une mauvaise chose
Un député doit avoir une expérience politique locale (maire, conseiller municipal ou départemental). En conservant son mandat local, il conserve son lien avec les citoyens et son territoire. Il est ainsi plus représentatif et plus légitime.
La multiplication des partis ne permet pas d’assurer l’unité nationale. On peut toujours favoriser la présence de « petits partis » à l'assemblée via une dose de proportionnelle, mais la majorité restera maître du jeu et les minorités resteront des opposants. S’il n’y a pas de majorité, le pays sera ingouvernable. Si la majorité est constituée par des alliances d’opportunités, il n’y aura que des compromis qui ne satisferont personne. La solution passe sans doute par un gouvernement composé des 2 ou 3 grandes forces politiques élues, afin de conduire une politique qui applique les idées communes et qui apaisent les malaises ou réduisent les injustices défendues par chacun de ces partis. Il ne sera jamais possible de satisfaire tous les citoyens, il faut donc trouver des mesures pour ne pas désenchanter ou désespérer les citoyens qui n’adhèrent pas aux idées des partis au pouvoir. L’essentiel est d’assurer l’equité, de favoriser le travail, l’entrepreneuriat, l’innovation, ... tout ce qui produit de la richesse, de prendre en charge les personnes les plus vulnérables (personnes âgées, handicapées), de favoriser l'intégration et la cohésion sociale des français et de stopper l’immigration massive qui détruit les valeurs de notre pays , qui génère encore plus d’endettement et qui met à mal notre fierté d’être français. Bien entendu, une gouvernance sans arrogance évite l’excitation du peuple.
Oui
Conseillers régionaux et départementaux.
La participation des citoyens aux élections dépend de l’offre politique, de la crédibilité des partis et des candidats. Depuis des décennies, nous sommes désenchantés par les politiques successives, par la manière de gouverner, par la posture des gouvernants. Alors la question est plutôt : que pensez-vous (vous, les femmes et hommes politiques) changer dans vos comportements et dans vos politiques pour nous inciter à voter ? Les maux et leurs conséquences sont clairement identifiés par tous ... et bien mis en évidence par les partis extrémistes, alors qu’allez vous faire pour ne pas nous conduire vers un vote populiste ?
Oui
Les compter et les annoncer. Si au 2ème tour, un candidat Député ou Président n’obtient pas les 50,01%, votes blancs comptabilisés, l’élection doit être rejouée. Ceci se serait sans doute produit si le vote blanc avait été possible pour le 2eme tour Macron - LePen.
Les candidats doivent annoncer clairement leur offre politique, et indiquer les mesures importantes qui seront conditionnées à un référendum populaire, celles qui remettent en cause des valeurs ou des dispositifs de manière importantes. Par exemples : le mariage pour tous, le rapatriement des terroristes, la limitation et le contrôle de l’immigration, la nationalité (droit du sol, regroupement familial). Si cela est annoncé clairement et que le candidat s’engage à réaliser les référendums indiqués, chaque citoyen votera en connaissance de cause. Ensuite l’élu a son mandat pour l’exécution de son programme.
Non
None
L’important est de connaître l’utilisation de l’argent public. Ceci doit être en cohérence avec l’offre politique annoncée et aux engagements pris. La Cour des comptes doit publier chaque année les dépenses publiques et ses alertes sur les dépassements et les abus. Ensuite le citoyen appliquera sa sanction lors des prochaines élections.
Le conseil économique, social et environnemental est transparent / inconnu par bon nombre de citoyens. Comment est-il constitué ? Quelle légitimité ? A quoi sert-il ? Quel est son mode de communication : leader, porte-parole ? ... il est vraiment utile ?
Oui
Déjà en « bougeant », en « vivant », on ne sait rien de lui.
L’État doit garantir la laïcité, c’est à dire qu’elle doit s’assurer que les religions n’exercent aucun pouvoir politique. Ce n’est pas le cas lorsqu’une religion exige une offre alimentaire conforme à sa religion dans les cantines de la République, ce n’est pas le cas lorsqu’une religion exige un médecin femme pour soigner les femmes de sa communauté, ce n’est pas le cas lorsqu’on accepte sur notre territoire français des prêcheurs du terrorisme islamique, ce n’est pas le cas lorsque l’État abandonne des zones à des communautés étrangères régient par les lois de l’islam, ...
Expulser les étrangers entrés illégalement ou légalement ou issus de l’immigration ne respectant pas les valeurs et les lois de notre République. Stopper l’immigration des ces étrangers inadaptés à nos valeurs et à nos lois. Stopper le regroupement familial. Abroger la loi sur le droit du sol. Limiter drastiquement le droit d’asile. Relever les conditions d’obtention de la nationalité française : nombre d'années de résidence en France, nombre d’années de travail en France, langue française maîtrisée (oral et écrit), absence de toutes condamnations. Comment peut-on respecter les valeurs et les lois de notre République si on ne parle pas français, si on est illettré, si on n’est pas allé à l’ecole de la république ? Depuis plusieurs décennies, nous constatons que l’intégration de ces populations dans notre culture française est quasiment impossible, qu’ils vivent en communautés, qu’ils grignotent des territoires pour en faire des zones de non-droit abandonnées par l’Etat. Un véritable état islamique s’est installé sur notre sol français. Les politiques successives ont conduit à cette situation. Aujourd’hui nos gouvernants évitent les montées de fièvre de ces zones en faisant appel à leur lâcheté : beaucoup de laxisme et de l’argent pour obtenir un calme précaire. Alors stop à l’immigration, à cette multiplication et augmentation de communautés et d’ethnies sur notre sol, la sauvegarde de nos valeurs françaises passe par cette politique.
Il faut reenchanter les citoyens en valorisant le travail (meilleure rémunération pour ceux qui travaillent), réduire les aides sociales pour obliger les personnes à travailler, stopper les aides sociales pour les personnes qui n’ont pas l’intention de travailler ou qui ne respectent pas nos lois. Ils ne faut pas spolier les classes moyennes et les retraités au risque de les dégoûter de travailler et d’investir. Il ne faut pas spolier les riches qui contribuent à l’activité économique du pays et par conséquent contribuent largement à la création d’emplois et au financement des aides sociales. Il faut lutter contre la fraude fiscale : optimisation fiscale limitée pour les riches, mais travail au noir sanctionné pour tous. L’engagement citoyen passe par une reconnaissance du travail et par une justice sociale.
Respect des lois de la République est la priorité. Respect des catégories sociales auxquelles on n’appartient pas. Respect des biens publics et des biens d’autrui. Respect de l’argent public. Respect des personnes âgées et des personnes malades ou handicapées. Absence de marqueurs religieux sur l’espace public. Courtoisie et bienveillance dans nos relations quotidiennes.
Certains comportements inciviques doivent être clairement et fermement condamnés (les casseurs durant les manifestations par exemple ou les agressions même verbales à l’encontre des forces de l’ordre). Les parents et l'école doivent enseigner ces comportements et les favoriser par l’exemple. En cas d’incivilités répétées, il faut condamner les personnes à des stages de rééducation, à l’instar des stages pour récupérer des points du permis de conduire. Un dispositif sans doute moins coûteux et plus efficace qu’un service militaire / civique obligatoire.
L’engagement citoyen, tout comme un engagement social ou religieux, reste une démarche personnelle et doit rester une démarche personnelle. Ceux qui s’engagent ont leurs propres motivations et attentes. Pouvoir exercer leurs engagements constitue sans doute un plaisir, une satisfaction, une récompense.
Les incivilités quotidiennes les plus pénibles se vivent sur l’espace public : trottoirs empruntés par les bicyclettes et autres engins à roulette, par les voitures stationnées, par les commerçants avec leurs panneaux et terrasses débordantes. Il y a bien longtemps que la police municipale ne s’attarde plus sur ces sujets. Les motos bruyantes en ville ou les automobilistes avec leur musique infernale à fond, les bandes et pistes cyclables non respectées sont également des incivilités irritantes. Les mariages fantasia, bruyants, encombrants et sans gêne devraient être également sanctionnés. Les détenteurs de chiens abandonnant les déjections canines sur les trottoirs, les SDF installés sur le trottoir et laissant l’endroit souillé n’est pas tolérable.
Sanctionner ... seule la sanction sous forme d’amende finit par changer les mauvais comportements. On sanctionne bien un automobiliste pour un dépassement de stationnement de 15 mn ou pour un dépassement de vitesse.
Drôle de question ! Chacun doit corriger ses mauvaises manies et apprendre le savoir-vivre en collectivité sur l’espace public. On ne peut pas dire à quelqu’un, même poliment, de ne pas rouler en vélo sur le trottoir, sous peine de se faire agresser. C’est à la police d’assurer l’ordre.
La discrimination la plus répandue et la plus visible est à l’encontre des personnes handicapées : la plupart des accès leur sont impossibles : magasins, monuments, établissements publics, trottoirs ... sortir de chez elles doit être un supplice pour ces personnes. Rien n’est fait ou rien n’est correctement fait pour leurs déplacements et l’accessibilité.
Faire appliquer les lois sur l'accessibilité et sans tarder. Attention, l’accessibilité ne se juge pas qu’à l’entrée d’un magasin ou d’un lieu public, il faut également tenir compte de l'état des trottoirs et des rues à traverser pour atteindre sa destination.
Non
None
La situation de la France est déplorable. Cela est dû à une politique migratoire défaillante depuis les années 70. Évidemment, l’immigration s’accélère inexorablement et il y a bien longtemps que nos gouvernants ne maîtrisent plus rien. L’État, par ses interventions militaires et son ingérence au moyen orient et en Afrique, a également favorisé les exodes vers l’Europe. Il faut surveiller et stopper les passages en Méditerranée, rembarquer les migrants et les redeposer à leur point de départ. Il faut limiter drastiquement le droit d’asile : venir d’un pays pauvre, venir d’un pays ou des ethnies sont en guerre, être homosexuel ne constituent pas des critères pour obtenir le droit d’asile. Il faut réellement expulser les déboutés du droit d’asile. Il faut stopper la prise en charge des mineurs isolés présents sur le sol français (leurs parents paient des passeurs pour offrir une potentielle vie meilleure à leurs enfants). Il faut stopper le regroupement familial et abroger la loi sur le droit du sol.
Quelles sont nos obligations d’asile ? quelles qu’elles soient, elles sont trop favorables et doivent donc être amendées afin de protéger notre territoire, notre société, notre culture. Je suis conscient qu’on n’obtiendra jamais une immigration 0. Alors oui, il faut se fixer une limite à pas dépasser. Limite quantitative et qualitative définie par le Parlement OK, mais attention à ne pas élargir le quota via des regroupements familiaux. De plus le droit d’asile doit être conditionné par des critères d’adaptabilité à nos lois, à notre mode de vie et à notre culture.
Mettre en place un dispositif de visa à obtenir auprès de l’ambassade de France du pays du candidat migrant pour entrer sur notre territoire. En l’absence de ce visa, l’entrée doit être interdite et l’expulsion doit être immédiate. L’obtention d’un visa doit se faire selon des critères sérieux.
Les clés du succès d’intégration sont du côté des étrangers qui veulent vivre en France. Le dispositif de visa indiqué à la question précédente, sera l’occasion d’expliquer aux candidats migrants les devoirs et les lois à respecter pour être en mesure de s’intégrer et donc d'être accepté.
None
La structure État - Collectivités Territoriales - Communes / Syndicats de communes semble lourde et coûteuse. Environ 2000 conseillers régionaux pour 13 régions génère obligatoirement de la lourdeur dans l’organisation des réunions, dans les prises de décisions, ... Le nombre de communes doit être également réduit : regroupement de communes de certaines agglomérations (Annecy en exemple) mais également regroupement de communes rurales (certaines sont accolées à d’autres, pour un ensemble qui regroupe peu d’habitants). L’Etat doit laisser aux collectivités territoriales la responsabilité de la fiscalité locale : taxe d’habitation et taxe foncière sont des impôts locaux dédiés au financement des missions transférées à ces collectivités. C’est donc aux Collectivités de définir les taux et les exonérations.
Non
Mais l’Etat devrait prendre en charge le coût des mineurs étrangers isolés. Ces derniers sont « produits « par une mesure de politique migratoire et une défaillance du contrôle de l’immigration, les Départements n’ont pas à financer cette charge.
Oui
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Non
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La DGI, les Caisses de retraite.
La Préfecture.
Oui
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Non
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Oui
Formation aux nouveaux outils informatiques. Conduite du changement pour les plus anciens.
Regroupement des services publics en annexe des mairies, tenu par un agent polyvalent, avec des jours et horaires adaptés au nombre d’habitants.
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Pas de problème rencontré avec la Carsat, ni avec les caisses complètementaires et cadre.
L’automatisation des remboursements de soins fonctionne correctement.
Pour le renouvellement d’une carte « handicapé », il faut compter 6 mois environ ... c’est long, mais comme les forces de l’ordre ne contrôlent pas les cartes sur les places de parking réservées aux handicapés, la fraude va bien au-delà d’une carte périmée !
Création d’une auto entreprise aisée. Déclaration des revenus moins aisé.
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Comme toutes entreprises, l’Etat, les Collectivités territoriales et les Services Publics doivent optimiser leurs ressources humaines en automatisant les tâches sans valeurs ajoutées. Il faut renforcer les compétences des chargés de l’acceuil. Il faut mettre à la disposition des citoyens un site web leur permettant de réaliser facilement leurs interrogations et leurs opérations.
Pollution de l’air et dérèglements climatiques
Voir réponse ci-dessous. Mais au-delà des technologies plus écologiques et des dépenses à engager pour les mettre en place, par tous les acteurs, dont les citoyens, il faut que chacun prenne conscience de la nécessité d’agir et de l’urgence.
Non
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Oui
J’utilise ma voiture que pour les parcours non réalisables à pieds ou à vélo : distance, motif de déplacement ou météo. J’utilise les poubelles adéquates pour le recyclage des papiers, emballages, tissus. Je prends des douches et non des bains. J’ai installé un poêle à granules. Je consomme avec modération.
Le développement de voies cyclables sécurisées et respectées. Des trottoirs en bon état, sans déjection canine, sans vélo, sans skate ou trottinette électrique, sans voiture stationnée.
On peut changer son comportement à moindre frais, à condition que les pouvoirs publics mettent en place les infrastructures adéquates. Par exemple, supprimer des trains et favoriser les transports en cars n’est pas une décision de bon sens.
Oui
Concernant la vie en appartement, le choix du dispositif le plus écologique n’est pas aisé car il est soumis à l’ensemble des propriétaires. Un bénéfice financier peut être une incitation : réduction de la taxe foncière par exemple. Idem pour une maison, mais le permis de construire d’une nouvelle maison pourrait être conditionné au mode de chauffage retenu.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Le vélo
Concernant les transports en commun, l’offre doit être mise en place par les communes, départements et régions. Si les territoires veulent développer leurs attraits et leurs activités artisanales, industrielles ou touristiques, ils doivent construire les infrastructures nécessaires.
Réduire le transport routier en développant le transport sur rail : le succès de cette mutation passe obligatoirement par des mesures européennes. Stopper l’utiIisation du charbon en France et en Europe. Définir au niveau européen l’évolution des normes environnementales des véhicules, pour les 10 prochaines années et les imposer aux constructeurs.
Inciter les entreprises les plus polluantes à moderniser leurs outils de production. Tout d’abord via des crédits d’impôts, puis par des obligations d’arrêt de production si les entreprises ne font pas cet effort. Ceci doit être une démarche européenne, sinon la production sera évidemment délocalisée dans un pays plus laxiste.
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