- Expliquer de manière transparente à quoi chacun des impôts est attribué. (Santé, éducation, services publics.) - Pouvoir constater qu'il n'y a pas de gaspillage dans les services publics. qu'il n'y a pas de doublons. - Eventuellement, pénaliser les entreprises qui n'utilisent pas les aides attribuées, pour la but dans lequel elles sont allouées. Exercer un contrôle effectif et efficace.
Prendre des critères concrets et non abstraits, relevant de calculs théoriques. Une personne propriétaire de son logement (même si elle paie une taxe foncière, à salaire égal, a plus de ressources réelles pour vivre qu'une personne qui paie un loyer souvent très élevé. Une personne âgée, même avec une retraite relativement modeste, si elle est propriétaire (ayant réglé tous les crédits pour cette propriété) a plus de ressources pour vivre qu'à retraite égale, une personne en location. Même si bien sûr, il faut reconnaître qu'elle a travaillé dur pour acheter son logement, qu'elle a bien droit à en bénéficier. - Réduire l'écart monstrueux entre certains salaires. Ne plus les rendre possibles.
si on ne veut pas rétablir l'ISF (mesure qui certes serait populaire et qui semble évidente - même si elle comporte des risques ) revoir la grille, ajouter, peut-être, une tranche supplémentaire. Cette tranche pourrait peut-être contribuer à résorber les excès de salaires et donc établir une sorte de justice dans les prélèvements.
Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Il me semble qu'il ne faut pas se braquer sur des intérêts acquis à une époque donnée. tenir compte de la réalité. Si l'espérance de vie continue à augmenter comme elle le fait,, ne faut-il pas en tenir compte ?Tant qu'on est en bonne santé, qu'o le peut et qu'on le désire, pouvoir continuer à travailler peut être bon pour la santé morale des personnes et pour le bien que la société reçoit de leur expérience. Ne rien figer, ne ren rendre obligatoire. Pourquoi ne pas utiliser leur compétence dans le domaine de l'accompagnement à l'insertion dans l'emploi, dans une entreprise... tous ces services dont les plus paumés ont besoin et que les Services publics de l'ANPE par exemple n'arrivent pas à remplir ? Pour des interventions dans les écoles, si on n'arrive à trouver assez auxiliaires pour les jeunes en situation de handicap. on ait que les relations enfants/3ème âge fonctionnent souvent très bien. Sion recule l'âge de la retraite, selon ce principe de réalité, tenir absolument compte de la pénibilité des travaux effectués tout au long d'une carrière professionnelle. C'est une question de justice. Là aussi, ne rien figer. tenir compte des périodes de grossesse, qi sont un vraie service de la Nation, tout autant qu'un travail en entreprises.Donc, principe de réalisme et de justice dans les situations individuelles.
Un traitement socialement juste des aides sociales ne consiste pas, à mon avis, à distribuer la même somme à tout le monde. Ce serait une égalité d'apparence. mais à distribuer selon les besoins réels des personnes, des familles. Une famille qui reçoit de gros salaires (ou des ressources hors travail importantes) a-t-elle absolument besoin d'une allocation de rentrée scolaire ? (par exemple)…si sans gêne spéciale, elle peut assurer les frais de rentrée de ses enfants ? Il me semble qu'il faudrait éveiller à un sens de la justice non pas égalitaire, mais capable de tenir compte du réel. Une mère de famille ne donnera pas automatiquement un antibiotique (une aide à la santé) à ses quatre enfants, si un seul a une angine grave ? Elle ne sera pas pour autant considérée comme injuste ! Les aides pour la famille, pour la scolarisation, pour les transports (souci écologique), pour favoriser l'embauche. Pour favoriser tout ce qui relève de l'accès aux soins, aux besoins prioritaires (nourriture, logement) qui seules permettent une vie sociale et une chance de s'insérer : Les améliorer, les rendre plus faciles d'accès, (moins de paperasses, de lenteurs, de dossiers en doublons.) Essayer de les accorder sans humilier celui qui les reçoit, mais en lui permettant (en lui donnant envie de le faire, parce qu'il aura été bien accueilli) de s'en passer un jour et d'aider à son tour. Au lieu de créer un esprit de comparaison, de méfiance, de jalousie... favoriser tout ce qui éveille à la solidarité.
la famille - La santé - Le logement -. le travail, l'aide réelle à une insertion par le travail.
Pour une politique de justice sociale, de solidarité et de fraternité. peut-être que pour le respect et la dignité de tous, i faudrait que tout le monde soit imposé (un minimum symbolique) pour que personne ne soit exclu de la participation à l'effort national pour faire vivre tout le monde. Je serai prête… mais là aussi, si c'est fait de façon modérée et bien modulée.
je pense que les impôts seraient mieux acceptés, si nous n'étions pas témoins permanents de certaines inégalités de ressources et de salaires tellement exorbitant qu'on a l'impression que certaines personnes vivent dans un autre monde. ce qui est pour quelqu'un un petit pourboire, donné du bout des doigts, correspond à ce qu'une famille a pour faire vivre 4 enfants ! En même temps, il me semble normal de rémunérer correctement des personnes qui ont des responsabilités publiques, pour qu'elles ne soient pas tentées de se laisser fourvoyer, acheter, par des dons illicites. Avec modération. je crois que nos chefs d'états et responsables politiques devraient régulièrement se tenir au courant d'un budget familial concret de gens simples. Cela leur remettrait en tête l'échelle des coûts de la vie ordinaire. Pas un panier théorique, inventé par un journaliste..Mais des budgets réels, consultés de façon habituelle. Et pas seulement être capable de dire le prix d'une baguette. je crois que c'est une très bonne chose que les "services à la personne" soient maintenant pris en compte comme crédit d'impôt. C'est justice ; en employant des personnes salariées pour se faire aider quand on est âgé, on contribue à la lutte contre le travail au noir. C'est un choix citoyen qu'il est normal de reconnaître. je me demande s'il ne devrait pas en être de même pour les dons aux Associations d'entraide. par là, nous contribuons à l'aide que l'Etat ne peut pas toujours fournir aux plus démunis. et il ya certainement des personnes non imposables qui cherchent quand même à partager. Pourquoi leurs dons ne seraient pas reconnus comme ceux des plus aisés ? Ce n'est pas cela qui augmenterait sensiblement les niches fiscales. mais ce serait un encouragement aux plus petits (Même s'ils ne choisissent pas de partager pour cela. Et cela aiderait indirectement les Associations qui ont vu les aides allouées par l'Etat fortement diminuées. Taxer, sans discernement les grandes richesses risque d'être une arme à double tranchant. Qui sait ce que font de leurs grandes richesses les personnes qui les possèdent ? quels sont leurs besoins ? A mon avis, il faut éviter tout ce qui est arbitraire, à priori, sans discernement.
Des Associations indépendantes
Oui
Je suis à la retraite, donc, mon recours n'est pas un syndicat. Je cherche plutôt des personnes qui se sont formées dans les domaines qui me tiennent à coeur et qui travaillent en toute transparence et avec efficacité pour le bien de tous. Un rôle efficace vis à vis des gens à aider. Et cela pourraient être davantage un rôle d'expertise, de conseil auprès des politiques qui ont à prendre les décisions. je pense à tout ce que les associations ont essayé de dire au gouvernement à propos de la grande pauvreté, à propos des migrants accueillis sans humanité… et qui ne semblent pas avoir été réellement écoutées, prises en compte ?
que les représentants soient plus proches, qu'ils écoutent. que les citoyens aient l'impression d'être pris en compte.
Une bonne chose
Cela me semble une bonne chose, vu la quantité de travail qu'ils doivent fournir. Ave un risque : Si le parlementaire n'a plus le contact direct avec les gens qu'ils représentent (la base) risque de prendre des décisions "hors sol." un avantage : Cela permet peut-être au parlementaire de décider "pour e pays tout entier" et pas seulement pour sa commune. (je e sers de mon député pour faire voter quelque chose qui m'arrange, moi, dans ma commune !)
Essayer de les représenter toutes et davantage, dans les assemblées parlementaires ( en trouvant un mode de répartition juste. Essayer de se mettre d'accord entre représentants, au moins pour cela.)
None
je ne sais pas
Je trouve qu'il est désolant de constater, élection après élection un si petit nombre de votants. En ayant des campagnes dignes, qui soulèvent les vrais problèmes. Des campagnes où ceux qui se présentent au vote se respectent entre eux, déjà. Autrement, comment aurons-nous envie de les respecter et de les écouter ?
Oui
A mon avis, oui. mais c'est u pis aller, car cela veut dire : Je ne sais pas. Je ne trouve aucune solution proposée satisfaisante.
Que le programme proposé ne soit pas un programme "clé en main", tout achevé, manigancé pour gagner l'élection. mais que les citoyens puissent proposer, dire ce qu'il faudrait programmer pour un mieux vivre ensemble.
Je ne sais pas
tout dépend de la question posée ? ou de la manière de poser la question. S'il s'agit de dire seulement "oui" ou "non", on risque fort de jeter le bébé avec l'eau du main et de rejeter la personne qui pose la question. Danger pour la stabilité du pays. Mais, pourquoi pas si c'est, dans un domaine donné, associer pour de bon les citoyens à une prise de décision (pas déjà prise d'avance) ?
Dans les communes, le vote du budget est public. Donc, à moi, à nous, de nous y associer. Mais je ne sais pas si la présence des citoyens modifie réellement le vote ? A la longue, si, car si on n'est pas content on ne vote plus pour ce maire, ou cette équipe municipale. Pour le budget de l'état, je ne sais pas ? comment savoir qu'une somme prévue pour telle destination a bien été allouée à ce à quoi elle était destinée ? Ex; quid de la fameuse taxe carbone ? (mais, informations sans doute faussée ?)
je ne sais pas. je ne connais pas assez leur fonctionnement.
None
je ne sais pas.
Que toutes les religions soient respectées à égalité. Religions ou croyances, ou non croyances. Liberté de conscience. Que les valeusr du respect de la conscience et de la liberté d'expression soient cultivées, partout. et en faire l'apprentissage ensemble, dès le début de la scolarité. C'est là que se joue l'apprentissage du respect de l'autre. En toute situation, veiller à ce qu'il n'y ait jamais confusion, amalgame entre une expression de la foi et son expression déformée dans les extrémismes. (Entre l'Islam paisible, par exemple et le terrorisme ; entre la religion juive et la politique d'Israël en matière de colonisation de la Palestine.) Veiller (avec les services de renseignements de l'état) à ce que des puissances étrangères ne subventionnent pas - de façon non transparente - tel ou tel groupe religieux.
Je respecte, quand je suis respecté. donc, à tous les niveaux, commencer par le respect de l'autre. et l'exemple doit venir d'en haut. si nos représentants ne se respectent pas entre eux, s'ils se permettent des violences verbales inadmissibles, comment les citoyens auront-ils envie de les respecter et de se respecter entre eux. commencer par réaliser que je m'adresse à un "visage" et croire qu'un "visage" cela "m'oblige."
faire confiance et proposer de vraies responsabilités. ouvrir dès le début de l'éducation au sens du bien commun. et faire l'apprentissage du service des autres et de la responsabilité dès l'école et dans toutes les occasions.
Respect - Ouverture à l'autre, reconnaissance qu'il a comme moi des droits. Que moi aussi, j'ai des doits et donc des devoirs. que mes gestes individuels les plus simples ont des répercussions sur les autres. apprentissage de "l'humain." Connaissance de l'histoire, de la géographie, de la culture de l'autre, y compris de ses croyances. Surtout rappel d'u regard historique qui élargit les perspectives et permet de mieux comprendre une situation .
apprendre à penser en "nous"; à vivre en "nous". Les problèmes de l'écologie sont peut-être un bon biais pour faire entrevoir que tout se tient et que chacun est responsable pour sa part, là où il est. rôle des parents, de l'Ecole. Et que nos représentant donnent l'exemple d'un travail en vue du bien commun, et non d'un bien partiel et partisan.
Il faudrait que les personnes se sentent reconnues. Et qu'elles sentent qu'on a besoin d'elles. Pas de la figuration.
Des parents qui n'apprennent pas à leurs enfants de céder leur place dans le bus ! des contrôles au facies dont j'ai été témoin. apprendre à dire "bonjour, Monsieur, Madame" ; "s'il vous plaît" ; "merci"! Cela donne l'espace de temps suffisant pour réaliser que je suis en face d'une personne. et que l'exemple vienne de haut, sans que ce soit une politesse "compassée."
Etre eux-mêmes respectueux des personnes qu'ils reçoivent.
Ne pas les accepter. ne pas les propager.
un manque d'attention pour les plus petits, ceux qui ne savent pas se débrouiller seuls. un refus de l'autre; des propos sur les migrants faux, mal informés, et donc discriminant… qui incitent à la méfiance. Faire ou laisser circuler des informations fausses à ce sujet : par le vocabulaire employé "invasion"..".ils nous prennent notre travail. Ils viennent pour les aides sociales." Quelle mère de famille se lancerait dans la traversée périlleuse de la Méditerranée pour 149 euro de CAF ? Il faut arrêter de propager ces contre vérités. On ne respecte plus les personnes en tenant de tels discours. Et on crée de la méfiance.
Oser se parler, se connaître et partager ses valeurs, au lieu de se construire des barrières de protection Commencer par le respect.
None
si on mesure, comme pour un médicament le rapport bénéfice/risque, je crois qu'il ne fait pas aborder la question de cette manière. La plupart des personnes qui bénéficient d'aide, aimeraient ne pas avoir à en bénéficier, et être aidées à s'en sortir seules. Et ceux qui fraudent ne sont pas toujours ceux qu'on croit ! A mon avis, il faudrait déjà les donner de façon plus simplifiée, et moins humiliante. Que de personnes renoncent à demander parce que le dossier est trop compliqué. Trouver le moyen non d'instaurer des contreparties, mais des moyens de donner envie de participer à son tour à la solidarité. en sachant reconnaître ce que le plus petit apporte déjà, par ce qu'il est, par sa ténacité, son courage, à la société tout entière.
Je pense qu'elle nest pas suffisamment prise en compte dans sa dimension d'humanité. Je pense qu'il faut rétablir une atmosphère d'accueil. Que notre pays, qui a une belle devise, doit essayer de la mettre en oeuvre, sans naïveté, mais avec courage et audace. Et il faudrait déjà rétablir une atmosphère de respect et de confiance entre les citoyens eux-mêmes, au lieu d'une méfiance généralisée. Une atmosphère de vérité, qui ne sa laisse pas empoisonner par n'importe quelle information non vérifiée. Je conseille à ce sujet le petit livret de la CIMADE qui rectifie pas mal d'erreurs sur les chiffres de l'immigration, sur ses causes, sur les soit disant avantages trouvés par les migrants en France. Une réflexion à partir de données justes aurait plus de chance d'aboutir à des résultats satisfaisants. Je pense qu'il s'agit d'une question durable, d'une question qui ne peut se réduire à un seul pays. Un accueil qui concerne à la fois chacun de nous (dans son changement de mentalité) et les peuples dans leur ensemble, à commencer par ceux qui ont des commencements de structures pour réfléchir ensemble (L'Europe.) Avant de parler de critère pour la politique migratoire, habituer tous les citoyens à penser qu'il s'agit du sort de personnes humaines, de familles. Je voudrais que soient prises en compte les 5 propositions de la CIMADE sur ce sujet, actualisées en janvier 2019. Mais, je n'arrive pas à le retranscrire ici, car j'y souscris personnellement et totalement. https://www.lacimade.org/wp-content/uploads/2017/04/5_Propositions_Cimade_Avril_2017.pdf
Il faudrait d'abord que nos obligations soient effectivement remplies. Je vis dans une grande ville où des familles acceptées par l'OFPRA sont à la rue au lieu d'être accueillies en CADA, selon la loi. Accélérer les constructions de logement. Nous n'en serions plus à être obligés de loger des familles françaises en grande pauvreté, dans les locaux destinés aux urgences autres.
Oser le regarder en face. Oser y voir une question d'humanité et pas seulement un "problème économique" : trouver l'argent pour aider ni un "problème politique" : comment contrer la politique de l'autre et se maintenir en place ? comment ne pas trop perturber ses électeurs ? Comment aider mon pays, par la vérité et par un vrai courage, à changer de regard. Surtout que ce défi va durer. Car certains de nos choix économiques entretiennent une grande pauvreté dans les pays d'Afrique et d'ailleurs et n'aident pas les citoyens à désirer continuer à vivre là où ils sont. Une contribution plus effective au développement des pays du tiers et quart monde est indispensable. Mais pas une contribution de chefs à chefs qui entretient la corruption. Une vraie contribution au développement de ces pays, sans les "coloniser" = sans les mettre sous notre coupe, en prenant leurs richesses naturelles pour nous. Tenir compte de l'état de la planète, "notre maison commune"... et savoir que se préparent des migrations climatiques de bien plus grande ampleur que ce que nous vivons actuellement. Et que là, on ne nous demandera pas notre avis. Se préparer, en travaillant sur la question écologique, comme étant une urgence.
Un regard humain sur la personne accueillie (individu ou familles.) Aide -immédiate- à l'apprentissage de la langue. Ce qui permet, très vite un échange de valeurs, enrichissant aussi bien pour celui qui est reçu que pour celui qui reçoit. Accompagné de ce qu'il faut pour pouvoir apprendre : un toit et de quoi se nourrir. Comment un enfant à la rue, ou logé dans un squat ou dormant ans une salle de classe réquisitionnée par des parents d'élèves responsables, peut-il apprendre dans de bonnes conditions ? Aide immédiate pour le travail. au lieu de mépriser les gens qui soit disant vivent des aides de l'état, leur donner la possibilité de travailler : On respecte ainsi leur profonde dignité humaine. On réduit les occasions de "travail au noir" qui n'incitent pas à une insertion juste dans le pays d'accueil…qui propage la débrouille, l'à peu près… des situations injustes et illégales Et on produit de la richesse pour le pays. (Avec le minimum de temps pour vérifier qu'on n'a pas affaire à des bandits.) Arrêter de vivre dans l'air du soupçon. Tous les jugements du Tribunal Administratif que des migrants m'ont montrés, sont systématiquement rédigés au conditionnel. C'est symptomatique ! La famille X... aurait vécu ceci, aurait subi cela… ? Prudence, oui, mais aussi écoute personnalisée, avec le temps nécessaire pour prendre en compte la situation humaine réelle. Cet accueil humain est à promouvoir, de la part de toutes les administrations, (CAF, CPAM, IMPOTS, POLE EMPLOI, Banque, Services Sociaux, Hôpitaux, etc.) aussi bien vis à vis des étrangers que de toute personne en difficulté. Pourquoi faut-il qu'une personne non accompagnée, soit moins bien écoutée ?
Je résumerai bien tout mon propos dans ce souhait : Culture du RESPECT. reconnaissance de l'HUMAIN. Merci de nous donner l'occasion de dire ce qu'on pense, avec d'autres. M-H Gaudin
Simplifier, supprimer les doublons, évoluer vers plus de transparence. Que chacun sache à qui il peut s'adresser et que les personnes à consulter soient assez polyvalentes pour ne pas renvoyer d'un service à l'autre.
Oui
Oui,, dans la mesure où plus on est proche, plus on connaît les vrais besoins. donc, on peut trouver la bonne solution. Mais non, si c'est une surcharge de travail sans compensation. et si on continue à faire les choses aux deux niveaux : Etat central/territoires. Dans ce cas, ce sont des dépenses supplémentaires et c'est inutile et inefficace. Donc, oui, si on confie vraiment la mission à la collectivité locale compétente.
Oui
Pour moi, oui, car je sais , en gros à qui m'adresser. mais étant proche de beaucoup de "petites gens" ou de gens ordinaires, je me rends comte que beaucoup ne savent pas
je ne pense pas d'abord à des services Internet. Bien sûr, ils vont être de plus en plus présents. Je pense à une aide urgente à apporter à une foule de personnes qui ne maîtrisent pas cet outil. et qui, du coup, sont privées de leurs droits les plus élémentaires. A mon avis, il devrait exister (je ne sais pas sous quelle forme) une initiation aux démarches administratives de base (CPAM, CAF, Tenir un compte bancaire, droit… etc.) dès le collège et le lycée.
Oui
Oui
J'ai utilisé un service par RDV pour déclaration d'un vol de ma carte bancaire. cela a bien fonctionné. dans les novelles formes de services publics, ce qui me semble le plus utile, ce serait le développement de regroupement dans un même lieu, pour faciliter les démarches et raccourcir le temps à y consacrer. mais surtout, aussi, des agents polyvalents. ls font des études assez longues pour être informés, ou au moins, pour pouvoir orienter les personnes directement, vers le conseiller compétent.
None
La "Sécu", la Caf, Pôle emploi : plus facile d'accès, regrouper les infos et ne pas tout redemander chaque fois. (perte de temps, de papier, et de motivation pour aller au bout de la démarche). Sans faire n'importe quoi, donc, continuer les contrôles, pour ne pas aider des gens qui n'en n'ont pas besoin. mais, sans couper les aides pour des erreurs dans les démarches.
Oui
Non
Je sais que cela existe, mais comme je ne l'ai pas utilisé, je ne sais pas.
envoyer les mêmes infos, plusieurs fois de suite, parce qu'elles se sont perdues en route, dans un dossier mal classé. renvoyer plusieurs fois un extrait de naissance : je n'ai pas changé de date de naissance !
Oui
Oui, complètement inutile de faire remonter plus haut un dossier complet, qui pourrait être traité en "local." Car l'agent qui a reçu le dossier est apte normalement à juger de la sincérité de la personne reçue. ex. : Un dossier CAF du Rhône, renvoyé à LA CNAF, et en attente depuis plus de six mois, alors que tous les éléments pour juger sont donnés, mais cela évite à l'agent de CAF du Rhône de prendre la responsabilité d'ouvrir un dossier qui coûtera cher, car il s'agit de droits rétroactifs importants. (Ex. vécu, avec une famille étrangère que j'aide dans ses démarches.
Oui
Former à un accueil plus humain, plus global, moins méfiants. les plus grosses fraudes ne viennent pas d'abord du "tout venant", mais de gens assez formés pour connaître les astuces pour détourner la loi, le fic etc...
Penser à "doubler" toute démarche administrative faite par voie dématérialisée (ce qui est une bonne chose, en vue d'une simplification ultérieure et d'une coordination des démarches) par des personnes capables d'aider les personnes qui ne sont pas à l'aise avec l'outil informatique (Même si le nombre de personnes ne pouvant pas utiliser ce moyen tend à diminuer… avec une bonne formation dès l'école.) Tendre à simplifier, supprimer les doublons Ne jamais oublier la dimension humaine du service à rendre. L'agent public ne rencontre pas un dossier, un N°, mais une personne, une famille, donc un ensemble de problèmes qui sont liés : tout se tient : si je n'ai pas de logement, je ne peux pas suivre correctement l'école. si je n'ai pas à manger, je ne peux pas me rendre au travail. si je n'ai pas de logement, je ne peux pas m'inscrire pour un travail... tout est lié.
J'ai été au chômage plusieurs fois dans ma vie (à 3 reprises : à 34 ans, à 48 ans, à 52 ans.)Je n'ai jamais reçu de propositions de Pôle emploi, malgré toutes les démarches faites au bon moment. Sauf une fois : à 52 ans, parce que j'étais inscrite avec un"code éducation"... on m'a proposé un poste d'anmatrice de Maison de jeunes, dans une banlieu de Paris spécialement effervescente ! quand je me suis préssentée pour le poste, le responsable et moi-même nous avons éclaté de rire... devant une telle affectation. orientation par l'informatique et non par une personne humaine qui réfléchit 30 secondes avant de faire la proposition !
néant
problème dans le fonctionnement de Pôle emploi (à titre cette fois d'accompagnement de famille en difficulté : Pas d'accompagnement personnel effectif, même si théoriquement un conseiller personnel est nommé, et donne son adresse. aucune proposition de stage, de formation, alors que visiblement la personne a besoin d'un complément de formation.Cette jeune femme demande à recevoir les courriers par voie postale, n'étant pas capapble de les lire sur Internet (ne maîtrise ni la lecture, ni Internet : cette situation est normalement connue du consseiller). elle reçoit donc les courriers par la poste. (Pour se le faire lire). contenu du courrier : voici le nom de votre conseiller. Pour toute information supplémentaire, consulter Internet. vous trouverez des offres de stage, d'emploi. donc, aucune prise en charge personnalisée de personne en situation particulièrement difficile. c'est tellement dommage !
Cela s'est bien passé, car je m'y suis pris d'avance.
Habituellement, pour moi, cela se passe bien. Sauf, accidentellement 2 fois de suite, des courriers déposés au bureau de ma commune et perdu. Pour d'autres, des lenteur inexplicables pour l'attribution de la CMU-C, ou autre exemple, plus de 9 mois pour faire changer le prénom d'un enfant d'origine angolaise, alors que les extraits de naissance certifiés étaient fournis.
pas d'expérience
pas d'expérience
pas d'expérience
idem
idem
idem
None
Je répète, car cela se recoupe dans tous les services publics : Respecter le dimension humaine des problèmes. Simplifier les démarches. Coordonner les infos. Tout en préservant la confidentialité dees infos fournies. les personnes ne doivent pas se sentir "fliquées", mais aidées.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
cesser de déverser de manière irresponsable n'importe quel produit dans la nature. (Cela concerne les particuliers dans l'utilisation des produits d'entretien ou de jardinage, les industriels et les agriculteurs (mais pas eux en priorité, car ils sont intelligents et ne s'amusent sans doute pas à abîmer leur propre terre, leur outil de production !)
Oui
pas moi, personnellement, mais je vois bien qu'autour de moi, dans mon pays, des gens sont atteints par des crues, des intempéries, des grignotages de littoral inhabituels. et je me sens solidaire de leurs détresses.
Oui
le tri des déchets, l'essai de non gaspillage, l'utilisation de sacs poubelles ou de sacs à provision biodégradables, les petits gestes du quotidiens à ma portée, à la petite échelle d'une vieille dame de 81 ans.
Pour moi la question ne se pose pas : Je n'ai pas de véhicule, je suis locataire et ne peux rien à mon chauffage, sauf ne pas surchauffer (=réduire les dépenses de ma propre facture d'énergie… et, par ce biais, réduire, dans une toute petite mesure la consommation générale d'énergie.) Pour les autres, il faudrait comprendre pourquoi on nous demande de la faire. Développer un sens de la réflexion, une vison des problèmes à long terme, et en vue du bien commun. Développer un sens de la solidarité et du bien commun. La question de l'écologie ne se règlera pas sans un développement du sens du bien commun et sans un esprit de solidarité. Des incitations financières peuvent aider, mais, si elles mettent en danger d'autres équilibres budgétaires, elles peuvent être mal acceptées. Donc, il ne faut pas disjoindre le social de l'écologie. Et essayer de trouver des réponses socialement justes aux problèmes écologiques.
Je ne sais pas.
Oui
Peut-être que passer d'un chauffage électrique provenant des énergies renouvelables serait à long terme utile et efficace, mais, quand on est locataire, dans un immeuble, on ne peut rien faire d'autre que d'économiser sur la température de son appartement et s'habiller plus chaudement.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
Réduire les tarifs des transports en commun - ave, là aussi, un souci d'aide prioritaire à ceux qui sont les plus en difficultés financières.
Les transports en commun|Le covoiturage|Le transport à la demande|Favoriser dans les villes les espaces où l'on peut marcher sans se faire bousculer ou renverser par un vélo, une trotinette ou même un véhicule à moteur qui ne respecte pas les piétons.Dans les campagnes, favoriser l'esprit d'entraide, de partage, de bon voisinage, tout simplement.
Peut-être les communes ? Ou des associations de consommateurs fiables, à but non lucratifs, qui mettent en relation les gens dans la proximité ? laisser jouer l'inventivité et les solidarités spontanées, avant de tout vouloir réglementer.
Commencer par faire ce qu'elle s'est engagée à faire, avant de donner la leçon aux autres.
Je l'ai déjà souligné, mais je tiens à le redire : Trouver des moyens socialement justes de penser l'écologie. C'est comme pour la citoyenneté : Développer le sens du bien commun, que nous habitons une "maison commune" et que les biens sont à destination de tous et pas de quelques privilégiés. alors, si j'habite une maison commune, j'aurai envie de la garder habitable pour tous. L'écologie est u problème à forte dimensions humaines et solidaires. tout se tient. A développer -contre tous les individualismes ambients - en famille, à l'école, (dès les plus petites classes), au travail, dans toutes les relations. M-H Gaudin
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