Les présidents d'associations locales, et les maires. Ils sont les plus en contact avec la réalité du terrain.
Oui
Les associations qui localement pallient les manques de l’État dans les communes. Je pense en particulier à des associations œuvrant sur l'enfance, la jeunesse, en charge d'activités péri-scolaires, centres de loisirs... Localement les associations sont en prise directe avec les citoyens et au cœur de leurs problèmes. Pareil pour des associations sportives, culturelles. Les associations, peut-être plus en milieu rural qu'en ville, contribuent à maintenir le lien social entre administrés et élus. Les associations devraient être représentées dans les conseils municipaux, intercommunaux, départementaux, au moins à titre consultatif, et sur les sujets qui intéressent l'objet de l'association. En milieu rural ce sont les associations qui dynamisent les communes, plus que les élus en général. J'ai personnellement entendu un député nous traiter de "contre-pouvoir". Un contre-pouvoir canalisé, accepté, écouté, respecté ne mènera jamais à un contre-pouvoir que l'on rejette, que l'on dénigre, avec qui on refuse de discuter et qu'ensuite on va retrouver dans la rue.
Encore une fois il faut continuer ce que fait le président Macron avec les débats ouverts avec la population. Mais à l'échelle locale. Ce qui ne passe pas du tout à l'échelle du citoyen, c'est qu'on lui demande, exige de venir voter (et en milieu rural la notion d'exigence a son poids vu le nombre de votants on sait très vite qui n'a pas voté ou qui a voté pour qui, etc.... ) D’où le phénomène d'abstention. Car les citoyens ont l'impression que voter ne sert à rien pour eux, si ce n'est de moyens de représailles s'ils ne votent pas ou pas pour le candidat plébiscité dans telle ou telle région. Les maires sont à l'écoute en grande majorité. Au-delà on a l'impression d'une surenchère de postes avec peu d'efficacité.
Une bonne chose
On ne peut pas être au four et au moulin.
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Oui
Délégués intercommunaux, conseillers départementaux et régionaux. Ou au moins de les répartir autrement. Un peu à la méthode allemande. Prendre des gens avec des spécificités professionnelles. Des élus par exemple dans les Com Com ou Départements qui postuleraient pour s'occuper de l'agriculture sur le territoire, sur la relance de l'industrie, ou du tourisme, ou du social, etc... mais qu'ils sachent de quoi ils parlent! Tout le monde ne peut pas tout connaitre comme notre Président, certes, mais qu'au moins ils soient compétents sur un ou deux sujets spécifiques et puissent être envoyés sur le territoire là ou on a besoin de réponses spécifiques.
Alors rendre le vote obligatoire en le prenant sur le temps de travail plutôt que le dimanche.
Oui
je l'ignore. Mais si on le prend en compte, plus de citoyens se déplaceront pour voter et ils n'auront pas cette pression, encore une fois en zone rurale, des élus qui les regardent en disant "il ne s'est pas déplacé pour voter..." Et petit à petit il arrivera à revenir à un vote démocratique. Voter blanc peut éviter également les votes de colère qui se reportent sur les partis extrêmes, mauvais pour notre démocratie.
Il me semble que l'on devrait "obliger" nos élus municipaux, intercommunaux, députés à faire des réunions publiques avec des débats au moins 2 à 3 fois par an, devant le peuple. Cela pour qu'ils prennent conscience de la réalité du terrain. Pour exemple notre député local ignorait qu'en 3 ans, 3 classes avait été supprimées sur le chef lieu du canton; il pensait que le chef lieu de canton avait la fibre optique.... alors qu'on l'attend toujours, etc...
Non
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Informer! Les contribuables, sauf ceux élus, ignorent totalement les dates des conseils municipaux, intercommunaux... votes des budgets. Au moins communiquer par voie de presse. Ces structures sont toutes équipées de secrétariat capable d'envoyer des mails aux correspondants ou rédacteurs de presse locale, au moins pour donner des dates.
Je ne sais pas
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IL y a une trentaine d'années, le député, dont c'était le 1er mandat, avait posé une question sur que pourrai-t’il demander à l'Assemblée. Et j'avais répondu, en rapport avec la montée du racisme et des nationalismes, "faire apprendre l'arabe dès le collège." Évidemment ma réponse n'a pas plu. Mais ayant passé ma jeunesse dans la métropole toulousaine, tout ce que je peux dire c'est que pour se comprendre il faut communiquer, pour communiquer il faudrait parler un peu la même langue, et que sur Toulouse j'ai côtoyé beaucoup plus de maghrébins que d'anglais ou espagnols. Je maintiens que si on apprenait un peu de cette langue et des coutumes et traditions des peuples, la compréhension en serait facilitée.
Le désengagement citoyen vient aussi du gouffre entre le citoyen qui passe à un statut d'élu et celui qui est resté un électeur. Tant que les élus continueront (certains) de faire croire au peuple qu'ils ont la science infuse parce qu'élu, ça ne marchera pas. Élu ce n'est pas aller pointer au chômage ou monter son entreprise. Élu, c'est se présenter au suffrage universel avec des gens qui votent ou pas pour vous. Tant que bon nombre d'élus ne feront pas profil bas, ne voudront pas admettre que l'argent public des impôts n'est pas de l'argent de leur tirelire, il sera très difficile de renforcer l'engagement citoyen. De la compassion, de l'humilité, de l'écoute... et peut-être que ça changera. A la décharge d'élus de très petites communes, ils sont souvent obligés de "suivre"... sans quoi leurs subventions vont prendre du temps avant d'arriver. Et il y a deux poids et deux mesures: les bons citoyens et les autres. Un bon citoyen est celui qui va dire merci à l'élu parce qu'il lui a "octroyé" une aide, alors que le mauvais est celui qui fera remarquer que cette aide ne fait que découler des fonctions de l'élu.
Apprendre à respecter le travail d'autrui, genre les éboueurs, les cantonniers. Faire sa part du boulot. Responsabiliser les gens et cela doit se faire dès l'école primaire.
Les élus devraient traiter tous leurs électeurs de la même manière. Mais ça c'est une utopie. Une partie de la population (et on vient de le voir avec les Gilets Jaunes) est complètement occultée. On traite le président d'arrogant... mais l'arrogance, la complaisance est malheureusement souvent de mise vis à vis des classes défavorisées, des plus pauvres, de ceux qui de toutes façons ne pourront pas se défendre. J'ai assisté à un cas ou on faisait comprendre à des parents "défavorisés" que leur fille ne devait pas prendre la filière générale à la sortie du collège. Et c'était pas une question de niveau d'études. C'est juste qu'il faut bien remplir les établissements, centres de formation du territoire...
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Incivilités: non respect des personnes âgées, actes de racisme ordinaire comme traiter des joueurs de "singes"... malheureusement la liste est longue.
Plus de pédagogie. Montrer l'exemple. On ne peut pas aller à Davos en jets privés, et exiger du contribuable de laisser sa Clio au garage car c'est elle qui pollue....
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Le racisme. Et cette façon condescendante de dénigrer "ceux qui ne sont pas comme nous", que ce soit par les origines, un travail taxé d'original, cultures différentes, etc... la chanson de Brassens "La Ballade Des Gens Qui Sont Nés Quelque Part" en est un résumé parfait.
L'éducation, l'éducation, l'éducation... Revenir aux principes de politesse, savoir-vivre, respect... Obliger les enfants des écoles à participer au moins une fois l'an à une manifestation commémorative (guerre de 14, de 40, Algérie, Harkis, Résistants..etc...). Dés le plus jeune âge favoriser la participation à des associations à but non lucratif (comité des fêtes, Sport, Théâtre, etc...). Interdire l'accès aux réseaux sociaux! avant la majorité ou en tout cas que les gouvernements prennent des mesures drastiques pour règlementer l'accès aux réseaux sociaux. Il est inadmissible sous couvert d'anonymat de dénigrer, injurier, menacer son prochain. Nom et mail obligatoires. Les dérives pourraient avoir des conséquences terrifiantes... La délation ne peut pas être un mode d'expression. Que se passerai-t’il si nous étions en 40-45? nous serions tous envoyés à Dachau par des délateurs anonymes... J'ai des sites et des blogs. mon nom est inscrit dessus, on peut me joindre, je signe mes articles dans les journaux. Il n'y a aucune raison de devoir s'exprimer sous anonymat. cela empêcherait toutes ces dérives que l'on a pu voir dernièrement: menaces de mort, vidéos dégradantes, etc...
Non
Non , ou alors c'est du cas par cas. Un chômeur en zone défavorisée, qu'allez vous faire? lui imposer un travail d’intérêt général à 30 kms de chez lui sinon on lui supprime son allocation? il deviendra SDF, voleur, dealer... Par contre au dessus d'un certain seuil de revenus grâce aux allocations, peut-être mettre en place une espèce d'aide de solidarité vis à vis d'autres personnes moins favorisées.
Mes parents ont fui l'Italie en 26 par là. Des migrations il y en a toujours eu. Ce qui me révolte c'est de nous faire croire que nous n'avons pas les moyens de traiter les migrants de façon correcte: manger, dormir, se loger... Nous sommes une nation occidentale. On ne peut pas rejeter les migrants qui ont traversé des continents en guerre, des mers, qui sont épuisés. ce n'est pas possible. Ce n'est pas la France. C'est indigne d'un peuple comme le notre. Il ne faut pas céder à toutes ces voix haineuses qui veulent nous faire croire que les migrants vont venir nous manger notre pain... Après c'est sûr qu'il faut être vigilants et ce ne doit pas être simple. Ma mère, italienne, nous disait tout le temps: "ou on s'adapte au pays qui nous accueille, ou on quitte le pays!". je suis d'accord que nous n'allons pas changer nos lois pour que les migrants s'y reconnaissent. Mais je ne crois pas un seul instant que nous n'ayons pas les moyens d'accueillir les migrants. Encore une fois... voir l'argent qui dort dans les paradis fiscaux...
Oui tout à fait. Sur le plan de l'emploi il y a de quoi faire je pense.
Ouvrir des centres d'hébergement. Rationaliser cette arrivée de migrants. Lorsque quelque chose rentre dans un cadre, cela fait déjà moins peur à la population que si c'est la pagaille. Nous devons appliquer des règles, des lois, les faire comprendre et appliquer par les migrants. C'est un contrat entre l’État français et eux. Celui qui ne le respecte pas il est sanctionné. Je reconnais que ce n'est pas simple. et surtout que tout cela est déjà fait. il reste l'éducation de nos concitoyens. Lorsqu'on intervertira les chaines Histoire, Planète... avec les chaines d'infos en continu on aura fait un grand pas en avant dans la compréhension des peuples entre eux.
Donner des logements décents. Il y a des emplois qui ne sont pas pourvus par les français, pourquoi ne pas leur soumettre? avec les mêmes avantages et exigences bien sûr. Ouvrir des places dans les écoles pour intégrer les enfants. Aider les associations qui s'occupent déjà des migrants.
Oui! Peut-être n'est ce pas l'endroit. Mais il n'y a pas de questions, je pense, ayant trait aux jeunes et à l’Éducation. Je suis une fervente partisane et adhérente de l’Éducation Jeunesse Populaire qui doit dater du début du 20ème siècle. Je suis pour les forces de conviction et non de répression. 40 ans de bénévolat dans plusieurs types d'associations, d'Amnesty International à l'association locale pour les vacances des jeunes, m'ont permis d'analyser toutes sortes de situations. Par exemple, on n'entre pas dans les collèges ou les lycées avec des forces de police. Je suis plus pour un développement accru, et l'embauche, d'animateurs, éducateurs de rues, de banlieues, de zones défavorisées... que pour l'augmentation de forces de police. Bien sûr il en faut pour les délits majeurs. Mais pour canaliser une jeunesse, il faut des gens qui les écoutent. Dans ma communauté il y a toute une communauté de gens du voyage avec qui nous cohabitons. Nous tentons de maintenir les enfants à l'école, nous essayons de les intégrer dans la vie locale. Plus d'éducateurs et moins de répressions! écoutez les associations qui s'occupent des jeunes merci
En règle générale j'ai toujours eu à faire à des fonctionnaires compétents quels que soient les domaines. Là ou ça ne va plus, c'est dans la représentativité de l’État et des administrations en milieu rural. Il faut absolument remédier à cela. Comment? je n'ai pas de remèdes miracles. En tout cas ce n'est pas Internet qui va apporter la seule et unique solution. Pour vous écrire actuellement je suis dans une zone avec 800ko de débit... même pas 1Mo! Il faut un temps infini pour télécharger une application, des photos... etc. Et tout à l'heure tout ce que j'avais déjà écrit a disparu... Et encore je sais me servir d'internet. Qu'en est il de toute la population: personnes âgées, personnes sans emploi, sans revenus ou faibles revenus qui ne peuvent pas avoir d'ordinateurs à leur disposition, ni les formations adéquates. Il ne faut pas diminuer le nombre de fonctionnaires. J'aimerais bien connaitre le montant des dépenses engendrées par un "Tout" Internet pour les services administratifs, surtout en zone rurale, de montagne, banlieues défavorisées, etc... par rapport au coût de personnes rémunérées? Est ce que la différence est à ce point énorme qu'on ne puisse ré intégrer des fonctionnaires à au moins 15 kms d'un citoyen lambda? genre des permanences une fois par semaine dans les mairies existantes? Je dis bien Mairies et pas siège des Com Com parfois situés à 20, 30 ou plus de kilomètres.
Non
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Non
Les transports publics que ce soit par trains, autobus. "Avant" il était possible de prendre un bus par jour au moins pour aller à la sous-préfecture (25kms) ou dans les villages voisins les jours de marché, ou aller consulter un médecin, etc... ça n'existe plus. On a transformé la ligne ferroviaire qui a fonctionné jusqu'en 1990 en piste cyclable.... ce qui a contribué à enclaver tout un territoire (l'Ariège), à multiplier les déplacements et les coûts en voiture, etc... Les services Pôle Emploi, Sécurité Sociale, CAf... sont à la sous-préfecture. Comment y va t'on? quand on n'a pas d'emploi, pas de permis, pas de véhicule et pas de transport en commun?
Sur internet Zéro!!!! Il est déjà difficile pour une grande majorité de ma communauté rurale de parvenir à y avoir accès. Vous posez des questions pour des citadins...
Oui
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Je réponds Oui alors que le seul service utilisé est la prise de rendez-vous... Voir ma réponse précédente. Il faut se déplacer, tout le monde ne peut se déplacer. les coûts de déplacement n'ont rien à voir en milieu rural avec des déplacements en ville: tramways, métros, bus... souvent gratuits pour certaines catégories de personnes. Nous, il faut payer le carburant, la voiture, parfois un chauffeur... Mettre des permanences dans les mairies au moins une demi-journée par semaine selon l'importance des communes. Pouvoir redéposer les demandes de cartes d’identité, passeport à sa mairie. Tout le monde y gagnerait si un fonctionnaire, connaissant le maniement d'internet remplissait lui-même toutes ces demandes. Je comprends qu'on puisse diminuer le nombre de fonctionnaires: aujourd'hui ce sont les contribuables, les entreprises, les associations qui remplissent depuis chez eux tout un tas de formulaires administratifs qui il y a encore quelques années étaient du ressort de l'administration. Sauf que cela fait des services publics à deux vitesses: ceux qui savent se servir d'internet ou qu ont les moyens de se déplacer pour trouver de l'aide et les autres: emplois précaires, pas de connaissance du net, éloignés des lieux de récolte des données administratives, etc...
je tiens à dire, même si mon analyse est plutôt négative, que je n'en tiens aucunement responsable le gouvernement actuel. Cela découle de 40 ans d'abandon des services publics dans la ruralité, aggravé par les dispositions de la loi NOTRe qui grévent les budgets des communes et des contribuables.
Transports publics. Administrations sociales (CAF, Sécurité Sociale, Education Nationale, etc...) en milieu rural
Oui
Non
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Oui
Uniquement sur la mobilité territoriale. Plus de personnels en zones rurales. Plus d'aides personnalisées aux populations. Internet est très bien, mais le lien social pour communiquer est encore mieux.
Sincèrement je ne vois pas comment, en peu de temps, 1 an , 2 ans... rattraper tous les postes, les services abandonnés, les infrastructures non réalisées depuis 40 ans. Je crois que revoir la loi NOTRe avec les élus concernés serait déjà une avancée. On ne peut comparer une Communauté de Communes dans la banlieue d'une métropole qui sur une faible superficie va regrouper 100 000 ou 200 000 habitants avec une Com Com en milieu rural de 70 kms de long sur 50 de large et une population de 15 000 habitants? pourtant il existe des frais fixes identiques: les infrastructures comme l’Hôtel communautaire. Mais les frais de fonctionnement sont énormes et non proportionnels au nombre d'habitants: personnels de cantine, péri scolaires, aides ménagères, familiales ... qui interviennent sur des structures de 15 personnes ou des communes de 100, 200 habitants.... cela n'a rien à voir avec une école autour de Toulouse accueillant 200 enfants en cantine par exemple. 200 enfants en milieu rural peut correspondre à une quinzaine de communes en milieu rural. le personnel (cantine, péri-scolaire) ne peut rester seul, règlementation oblige. Ce qui entrainerait dans cet exemple au moins l'embauche de 30 personnes. La même cantine ou péri scolaire en ville passe pour 200 enfants avec 15 à 20 employés. Les frais des RPI sont énormes en transport, personnel. Je veux bien qu'on maintienne les écoles en zone rurale mais malheureusement, faute de services publics, manque de médecins, manque de travail, on n'arrive pas à remplir les écoles.
Alors la formation! cas concrets: effectuer une formation sur Toulouse (banlieue toulousaine précisément) pour des jeunes habitant en milieu rural: peu de revenus, véhicules âgés, pas de transports correspondants aux horaires de ces formations). Très compliqué. Une des raisons du dépeuplement des jeunes qui quittent le milieu rural. Les employeurs ne peuvent pas TOUT prendre en charge! Même si une partie de la formation est prise en charge par l’État ou la Région, il faut payer le salaire du jeune, les déplacements, parfois carrément des hébergements et la personne qui va remplacer le jeune à son travail. Je parle là de petites structures. la formation concernée, entre autres, est le BPJEPS, mais c'est valable pour n'importe quelle autre formation dès l'instant ou on habite loin des lieux de formation.
Effectifs en baisse, donc classes supprimées. les classes restantes sont surchargées. A la dernière rentrée de 6ème deux enfants nouveaux arrivants au village ont été refusés au collège...
Pole Emploi. A 65 ans j'étais demandeur d'emploi. Ayant refusée de me rendre une fois de plus au service Pole Emploi, qui n'avait aucune offre à me proposer correspondant à ce que je faisais, j'ai été radiée. Je précise que je ne touchais aucune allocation depuis un an, mais je restais inscrite juste pour que cela compte pour la retraite. Mais pas de pitié! Radiée. Et si je ne me suis pas rendue au rendez-vous, les explications sont dans les réponses précédentes.
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Les services de la Jeunesse et des Sports, de la CAF, de la Préfecture, ont été, quels que soient les gouvernements, des auxiliaires précieux, compétents et vraiment à l'écoute, nous soutenant souvent face à nos propres élus territoriaux, n'hésitant pas à se déplacer pour trouver des solutions avec nous.
Les organismes de Formation sont dans la métropole (Toulouse à 70kms). Très compliqué au niveau des prises en charge des déplacements, frais de formation, etc pour de petites structures
Il est très difficile de recruter en milieu rural quelles que soient les activités. Pour des emplois il faut avoir des formations. Voir réponse ci-dessus. Une fois formés, les jeunes partent car il n'y a pas suffisamment d'attractivité pour les retenir. L'employeur recommence son parcours du combattant pour recommencer à trouver du personnel.
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Tous ces problèmes sont aussi importants les uns que les autres
Financer les énergies alternatives. Obliger les entreprises françaises productrices d'énergie de travailler sur d'autres énergies (éolien, géothermie, méthanisation des déchets...) taxer les multinationales qui ne participent pas à l'effort climatique
Oui
Sur le plan de l'alimentation il est très difficile aujourd'hui d'avoir une alimentation saine, sans pesticides, etc...
Oui
Pas d'utilisation de pesticides, désherbants. Utilisation des commerces de proximité. Informations par l'intermédiaire de la presse (articles sur la loi Labbé, alors que je n'en ai que très peu vus)
Ce n'est pas un chauffage ou des millions de chauffages individuels qui sont les premiers responsables du réchauffement climatique. Les industries, les transports aériens, le chauffage des bâtiments publics, etc... devraient être les premiers impactés. Je renoncerais à prendre mon véhicule s'il y a des transports en commun (bus, trains..) à proximité. Favoriser le co-voiturage aide financièrement l’État, mais vous savez très bien que cela ne résoudra pas la désertification des zones rurales, devenues inaccessibles par les transports en commun.
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Je ne réponds pas à l’échelle individuelle. Mais à l'échelle des collectivités, des grosses entreprise, peut-être faudrait'il favoriser, l'implantation du photovoltaïque pour les bâtiments publics: lycées, bâtiments administratifs, ou usines, etc...
Non
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Les transports en commun|Sur des zones rurales, il faudrait pouvoir remailler tout le transport férroviaire, de passagers et de fret. Il me semble que c'est pour les déplacements le moins polluants et le plus rentable, entre dépenses générées et recettes.
L’État, les collectivités territoriales Région, Départements
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Je précise en premier que je suis dans une zone rurale. Augmenter ou diminuer les taxes sur le carburant n'a pour moi strictement rien à voir avec la dégradation écologique de notre planète. J'ai du mal à admettre que vous ne vous posiez pas les bonnes questions? Si la planète est en danger vous savez très bien , comme chaque français le pourquoi. Les déchets, le nucléaire, les pesticides, la surpêche, la pollution des avions, bateaux, la déforestation , etc ... etc... Si l'on veut s'en sortir il faut trouver (ce n'est pas facile) la solution à chacun de ces problèmes. La déforestation par exemple? comment on fait? pensez vous en votre âme et conscience que parce qu'on va augmenter les taxes sur le carburant les compagnies agro forestières vont arrêter d'abattre des arbres? Aujourd'hui le mouvement de contestation vient uniquement de la non-adéquation de vos propositions avec la complexité des solutions à trouver. Taxer le contribuable, celui qui est obligé de prendre sa voiture pour travailler, nourrir ses enfants, les amener à l'école , etc.... n'est PAS la solution. Au contraire. Faciliter l'implantation d'entreprises en zones rurales par exemple, contribuerait à diminuer les déplacements des personnes cherchant du travail et donc diminuerait la consommation de carburant. Mais malheureusement il va falloir faire le décompte de chaque problème et trouver le moyen d'y remédier, avant de penser à taxer. A t'on besoin , par exemple, de construire un méga Parc des Expositions à Toulouse? ! et ne croyez pas que je sois opposée à la culture. C'est juste que cette construction en coût énergétique est extravagant. Peut-être est elle nécessaire. Mais pour le commun des mortels à qui vous expliquez que c'est sa petite Clio avec qui il va bosser qui est la source de tous les maux, c'est incompréhensible, irraisonnable et malheureusement ça a conduit aux dérapages auxquels nous avons assisté dernièrement. Moi je veux bien réfléchir aux solutions énergétiques au cas par cas, mais il ne faut pas tout ramener à une augmentation des taxes. S'il faut récupérer de l'argent, je suis d'accord pour que ces augmentations de taxes aillent directement aux fonctionnaires de Bercy afin qu'ils multiplient leurs actions pour retrouver et dénoncer tous les paradis fiscaux. Et une fois les quelques Milliards retrouvés, on pourra s'en servir pour la transition énergétique.
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