En amont de l'utilisation, l'information est à repenser et en priorité sur une non transparence dans les répartitions des pressions fiscales. Le Président de la République, à Souillac, a suggéré de lever l'anonymat qui permet de répandre de fausses nouvelles sur Internet. Or (voir Osvald Ducrot "Dire et ne pas dire"), restreindre au seul Internet est présupposer que l'opacité ne règnerait pas ailleurs, dommageable pour la collectivité. Au-delà même du darknet, le shadow banking, le trading haute fréquence, et plus généralement les titres anonymes et obscurs (sources des subprimes!) compromettent aussi bien une économie de production et de commerce que l'honnêteté des comptes publics, par les opérations hors bilan qu'ils autorisent.
L'information citoyenne est donc de mise, alors qu'elle n'est pas mise en place. Comment s'y retrouver parmi le off shore et ses sociétés écrans, parmi les milliers de filiales des transnationales qui jonglent entre les avantages fiscaux? Ou encore, sont à mettre à plat les 483 niches fiscales. Non seulement ces complications facilitant les évasions fiscales sont à diffuser aux citoyens, mais à évaluer en masses de gains qui mériteraient l'imposition -sans identité de bénéficiaires. Cela seul établirait en quoi notre fiscalité est juste ou injuste.
Hormis une TVA à moduler pour cesser d'écraser les produits de première nécessité, et une CSG encore trop pesante sur les revenus moyens, la question me semble porter non sur une baisse mais sur une révision tenant compte des divers revenus. Les salaires sont trop la cible des impôts : dividendes, patrimoines mobiliers en actions, bénéfices des sociétés, entre autres, échappent insidieusement au niveau qui serait pertinent afin de ne plus creuser honteusement la fracture sociale et de remédier à l'endettement de l’État qui condamne aux régressions sociales.
Ne plus raisonner en hausse et baisses sur "les" impôts : équilibrer sur les revenus
Aucune. Ce sont les niches que l'indignation massive accumulée par les citoyens réclament de revoir : améliorer les services publics et les pouvoirs d'achat est incompatible avec des baisses d'impôts. Une politique saine exige d'une part de se livrer à une chasse aux fraudeurs draconienne, de harceler international et Europe pour que cessent les concurrences fiscales déloyales, de faire la transparence sur lobbies et conflits d'intérêts, de juguler blanchiments et contrefaçons, etc. Et de réviser la doctrine juridique sur un "privé" dénué de sens.
Santé, retraites par répartition, handicaps, prise en charge des aînés dépendants : ces défis donnent la mesure de l'ampleur d'une fiscalité à débloquer -au lieu de s'acharner sur les plus démunis ! La protection de l'enfance est à étendre à l'instruction civique, bien au-delà de "lire-écrire-compter", et l'accès à une "égalité des chances" réduisant les handicaps de capital culturel nécessite de revaloriser livres, théâtres. Pourquoi ne pas lever une taxe sur la publicité, infantilisante, et ennemie de la transition écologique ?
La transition écologique, indéniablement. En garantissant que les contributions serviront des alternatives au pétrole et au nucléaire qui nous ruinent, détourneront d'une voiture électrique polluante et mensongère...
La cohérence de ma contribution met l'accent sur 16 opacités majeures à dissiper, à chiffrer pour édifier les citoyens -dont beaucoup s'acharnent sur des salaires d'élus et de haut fonctionnaires car ignorant le fonctionnement à la limite du mafieux de l'économie financiarisée hors sol. Condition : établir un statut du "privatisé" qui consacre l'entreprise comme ensemble de travailleurs ayant droit de regard sur les richesses qu'ils produisent ensemble. Par quel miracle l'évaluation de l'ISF aboutirait-elle à constater que les misérables 5% des profits réalisés par les "CAC 40" dévolus aux salariés, contre 60% réservés aux actionnaires anonymes ?? Et orienter des dépenses publiques vers artisans-TPE-PME (jusqu'aux 250 à 5 000 employés) pour rééquilibrer l'hystérie du tout informatisé : faute de quoi chômage de masse, dépérissement du rural et du périphérique sont irrémédiablement non enduigables...
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Il n’est pas concevable qu’un algorithme soit capable de déceler des parti-pris qui orientent des opinions et qui se camouflent sous des apparences de neutralité, sophistique qui entache tout membre d’un parti et tout gouvernant, qui s’oppose à un journalisme d’information. Seule une analyse scientifique, à laquelle ne sont pas formés des journalistes dénués d’un code déontologique qui veille à leur recrutement ni les membres d’un mouvement engagé. Par conséquent, pour un débat véritablement citoyen, il convient de situer les contributions déposées, sans sombrer dans un partage de proximité avec ellles qui ressortirait du parti-pris arbitraire. Ainsi, les questions soumises par et sur ce site ne sont que « libérales » : réduisant les responsabilités aux seuls individus, sans examen critique des options gouvernements, décrétées « bonnes » de droit divin et qu’il serait irréaliste de remettre en cause. « Réduire les dépenses publiques, listes des petits gestes écologiques, doter les élus d’une « représentativité » inconditionnelle », entre autres affirmations partisanes, sont à discuter sans a priori avec d’autres options. « Jusrice sociale et fiscale, fraudes fiscales, niches, GAFAM, conflits d’intérêts et pantouflages non dénoncés et nuisibles à la collectivité, lobbies pesant sur un législatif trop complaisant envers les détenteurs de revenus issus de sociétés écrans, de trading, d’opérations boursières obscures, etc. », méritent d’être l’objet d’études sérieuses, de divulgations au grand public qui les ignorent –et qui s’acharnent aveuglément sur des « hauts fonctionnaires et agences inutiles » alors qu’ils ne suivent pas les travaux d’observatoires, de commissions parlementaires… De même « VI° République, référendum citoyen, tirage au sort, mille feuille administratif à réduire, proportionnelle », sont à interpeller pour plus de précisions quant à leur utilité collective, afin qu’ils ne servent pas d’abord à des intérêts corporatistes ou communautaristes. Faute de discxussions suivies et adossées à du factuel autre que des statistiques tronquées et artificielles, on passera à coté des mesures essentielles à organiser sur une économie écologique, une réindustrialisation faisable à partir de TPE-PME méconnues qui actualisent nos patrimoines, des services publics efficaces par de l’investissement formateur et humain au lieu de la paresse à se tourner vers robots, algorithmes et « intelligence artificielle » idolâtrées de façon infantile, contredits par la linguistique, la sociologie, et propulsés par des publicités et du marketing mondialisés…
Contaminées par des routines formatrices énarchiques, entassant du « volapuk » qui singe une culture scientifique non acquise, fonctionne en circuit fermé, baigne dans les conflits d’intérêt. Le serpent de mer d’une « simplification » dans les missions, supprimant les doublons, les non coordinations incohérentes, n’est pas près de s’opérer dans ces conditions de refus du sens de ce qui est dit et d’une recherche de ce qui est tu ou ignoré.
Oui
Un oui qui est un « peut-être, ne sait pas ». Je pense d’abord à l’afflux de personnes âgées dépendantes ; également à améliorer la prise en charge du handicap (mais avouant manquer de données : est-ce déjà une compétence des départements ?) D’abord, ce qui a émergé en novenbre 2018 : réserver des plages de temps, des séances, à accueillir des revendications citoyennes à faire remonter jusqu’à l’Etat central et le gouvernement.
Non
Antenne locale des Impôts, avec Trésor Public ; gendarmerie (la nôtre, en chef-lieu de canton va disparaître en février). Hopital et judiciaire étant dans le département voisin.
Un Service Public de citoyenneté, sorte de Grand Débat permanent où seraient archivées contributions et discussions sur elles, par thèmes ; où l’on pourrait solliciter l’avis de parlementaires de toutes obédiences politiques… Pour les autres services, Internet est la pire des dérives, économisant en acculant aux échecs car les programmes –comme les modes d’empli !- sont illisibles et inintelligents.
Oui
Non
Le « oui » et le « non » sont incertains, notre commune ayant installé une « Maison des Services Publics » mais qui s’est limitée à une Poste cantonnée à la distribution de courrier, sans guichet –et que le regroupement communal a vite transféré à la Communauté de Communes d’une ville moyenne proche. Par conséquent l’amélioration souhaitée consiste dans l’extension des services à y accueillir… Les autres formules citées semblent astucieuses, à expérimenter en vue de les généraliser… Leurs descriptions de fonctionnement avec témoignages sont à répandre pour information.
Aucun. Les fonctionnaires ne sont pas en cause : dévouement dans les hopitaux ; enseignants qui s’échinent à des prouesses psycho-pédagogiques, pris dans la course aux diplômes et des programmes décousus, patchwork dénué de sens, aux prises avec des contrôles aléatoires, face à des élèves peu motivés ; poste tant bien que mal efficace… Judiciaire, police, SNCF : j’ai trop peu d’usage en ces services. Mais conditions de travail, précarité grandissante avec les contractuels, et techocratisme durci des démarches, suppressions de postes, introduction d’une rentabilité hors de propos pour des services publics, induisent fatalement une dégradation croissante. Le présent augure mal d’un redressement : on se dirige vers un effacement des droits du citoyen, géré comme une marchandise, sans droit à l’expression. Il en sera comme de l’économie : un droit formaliste, où une apparence de légalité s’applique coutumièrement, à la tête du client. « Selon que vous seres puissants ou misérables », des portes s’ouvrent ou restent closes…
Instruction publique d’abord ; santé préoccupante étant données les pollutions et la malbouffe, un vieillissement non encore pris en charge. Sécurité lacunbaire, non en raison de manifestations répétées puisque colère populaire non reconnue, laissée sans réponses autres que des slogans frustrants, mais parce que poches de non droit et de tensions ethniques non résorbées, sources d’incivilités qu’une polica répressive ne saurait endiguer. Impôts sans personnel de contrôle suffisant, transports publics en voie de privatisation désastreuse. Bref, les orientations malsaines risquent de donner lieu à un matraquage de propagande politicienne justifiant ses démissions.
Non
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J’ignore à quoi se réfère « l’administration », n’ayant affaire qu’à des individus accomplissant une fonction. Les « règles » sont implicites : politesse, calme, patience ; quant aux « normes » qui régissent les procédures, leur logique interne ne peut que nous échapper. J’ai enseigné la psycho-pédagogie, j’ai corrigé les copies de bas, fait passer des oraux : dans tous ces cas, on constate les décalages entre ce qu’on sait de l’apprentissage de la lecture et les pratiques des instituteurs, on note des élèves qui se conforment à des rituels tirés d’annales, tâchant de déceler ce qui serait personnel dans des clichés aussi éculés que les journaux télés ou radios. « Administrer », « gérer », sont étrangers à des relations humaines visant à s’accorder sur du sens : on est face à des matrices, des schémas conducteurs ; pas étonnant que l’administration centrale soit fascinée par des serveurs et algorithmes plaquant mécaniquement des items qu’aucun interlocuteur ne peut questionner afin qu’il corresponde à ses demandes !
Oui
Comme doit fonctionner une économie assainie, sans creuser de distance entre cadre technocrates et « exécutants » enjoints de se plier aux ordres sans penser, sans les « cercles de qualités » qui virent le jour il y a des décennies de cela.
Oui
Conjuguer les nouvelles technologies avec une instruction à des sciences humaines : linguistique, psychologie, sociologie ; orientées vers leurs applications pratiques aux relations humaines, à l’écoute empathique, au discernement de lignes de forces sociales qui traversent les itinéraires individuels. Sur le droit, rendre attentif aux 3 sources du droit autres que les lois et rèfglements, à savoir les coutumes, la jurisprudence et la doctrine.
C’est le but propre de ma contribution, renvoyant à son intitulé : ma formation, mes recherches et un passage en cabinet ministériel m’ont permis de mettre au point une méthode de prospection sur les innovations solidaires, qui a abouti à engranger près de 4 millions d’entreprises innovantes créatrices d’emploi, classées en 12 gisements thématiques. Cette recherche-action s’est poursuivie par un rapport sur la PAC pour la CFDT, identifiant un million d’activités employeuses gravitant autour d’une agriculture conjuguant produire-transformer-distribuer en circuits courts. Et d’élaborer un diagnostic sur le Grand Ouest, pour le compte d’un labo CNRS. Ces ressources sont restées inemployées, politiques et administrations ne voulant pas en entendre parler… Or, en fouillant dans les dizaines de statuts d’entreprises existants, ce que ne fait pas l’INSEE (qui accumule des « divers, non comptabilisés ailleurs »), on localise un patrimoine laissé en friches capable de réindustrialiser le rural sur des segments à valeur ajoutée. Une telle dynamique déplacerait des populations vers des pôles attractifs, les doteraient de moyens financiers et d’un rayonnement culturel, appelant à y réinstaller des services publics de proximité
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Liste dérisoire, malingre ! Avec un littoral intrus... Plaisanterie ?
Que faire pour vaincre une surdité qui croit détenir le vrai alors qu’elle est sous-informée sur les alternatives et leurs sympathisants ? Un seul exemple : un ex-député vert m’a déniaisé sur les potentiels du transport de fret lourd par aéroneks à hélium ; en dépit de sa position, puisqu’il est devenu Secrétaire d’Etat, il a échoué à intéresser des politiques englués dans leurs visions à court terme. Non pas "ce" problème, puisque l'environnement inclut des dizaines de pollutions concrètes que vous gommez. A côté du kérosène non taxé, comme le fioul lourd des porte-containers, les routiers invasifs, tous ces transports industriels imposés par des transnationales avides et destructrices de lien social comme de la planète, s’ajoutent pesticides, ordinateurs et téléphones mobiles, objets connectés surconsommés et incitant à accroître le désastre en cours, arnaque d’une voiture électrique portée par le lobby nucléaire et hypothéquant les recherches d’alternatives. Comme il semble que les réponses politiques tournent le dos à cet ensemble de problèmes concrets, seraient à étudier des pistes parsemées dans les contributions. Parmi celles accessibles, on relève des orientations vers la consommation de proximité, l’énergie marémotrice, les moteurs tels qu’à eau de mer (?), au presses à huiles (tracteurs), le fret fluvial et ferroviaire, réparations et recyclages, l’interdiction des plastiques, les déforestations, etc. Penser à la réussite européenne d’EADS dans l’aérien fait mesurer la disproportion scandaleuse des politiques d’investissement gouvernementales successives, qui ne semblent pas se corriger avec un nucléaire à bout de souffle et hors de prix. Si la duperie est trop fortement enracinée dans la technocratie dirigeante, au moins, les suggestions modestes, qui peuvent sembler ridiculement modestes font nombre, et valent mieux que les incitations rabâchées à changer de voiture, de chauffage, qui ne profitent qu’à des constructeurs mensongers et polluants, comme le scandale des diésels l’a montré
Oui
Nous affrontons le pétrole, avec gazole qui a été promu mensongèrement ; scandales du kérosène et du fioul lourd pour porte-containers, faisant honte d’être français subissant les chantages de compagnies mondialisées ; les ruches du voisin terrassées par les pesticides ; les manoeuvres d’Areva et d’EDF pour imposer un compteur Linky en se conduisant en voyous, sous-marins d’une arnaque à la voiture électrique… Etre citoyen, c’est s’informer sur le monde, les pays, la planète. Les déforestations par Ikéa, les palmiers à huile-soja OGM du Brésil en Amazonie me touchent. Ne pouvant rien faire à mon niveau, je me repie sur l’accueil de réfugiés climatiques, une chance pour réindustrialiser nos zones périphériques et rurales, deux enjeux qui me touche de près. Il faut lire « L’entraide, l’autre loi de la jungle », édifiante pour contrebalancer les hurlements anti-migrants minoritaires dans les consciences. Et placer les catholiques devant les vertus de fraternité christique rappelées par le Pape…
Oui
Contraint de répondre "oui" alors que "oui et non" sont logiques ! Je ne peux que répéter de lire et collecter les propositions qui abondent, pour les unifier dans le « Plan Marshal » recommandé par Hulot. Qui, individuellement peut « faire » à hauteur des besoins quand notre gouvernement baisse les bras d’avance sur les pollutions majeures ? Nous mangeons bio, local, avons investi lourdement dans une chaudière à pellets. Mais ces « petits gestes » sont un leurre, à la limite de l’injure car traitant le citoyen responsable en consommateur « cochon de payant », à qui on fait des aides aumônes pour des mesures non écologiques !
Question qui véhicule une réponse préalable insidieuse, contraignant à restreindre un "débat" à des dépenses individuelles à consentir sur la voiture, le chauffage, ou encore à passer aux améliorations dans les transports collectifs, voire à inciter aux recherches-développement accentuées sur les modes de motorisation alternatifs au pétrole et au nucléaire... La thèse des "petits gestes" qui incrimine le consommateur individuel tout en exonérant de leurs responsabilités producteurs et commerciaux polluants est irrecevable. Le climat est planétaire, sa dérégulation est contemporaine de l'industrialisation hystérique mondialisée, ayant généré des énergies polluantes, encouragé des surconsommations. Un chantage à la compétitivité et aux emplois est imposé, qui barre la route aux inflexions nécessaires pour solutionner à la fois notre économie et l'écologie : transports de marchandises aériens et maritimes, plus routiers, longues distances, pesticides-intrants-perturbateurs endocriniens effondrant la viabilité d'une agriculture soumise aux trusts chimiques et entraînant malbouffe et incidences sur obésité-diabète-cancers probables qui ruinent notre santé publique... La liste est accablante, alors reporter les efforts, dérisoires, sur des individu en bout de chaîne, maintenus dans des achats de produits "moins polluants", relève de la médiocrité politique, à la limite de la malhonnêteté...
Question quelque peu injurieuse, car il y a très longtemps que notre ménage se soucie d’acheter bio et de proximité, de scruter les étiquetages afin de refuser les provenances qui ne respectent ni les droits humains du travail ni les normes environnementales. Et malgré une retraite stagnante, nous avons assumé une dépense « moins supportable » encore afin de nous doter d’une chaudière automatisée à pellets de bois… La suite va regarder le changement de véhicule puisque notre situation en rural profond nous prive de transports collectifs. Là, nous estimons que l’essence est préférable à une voiture électrique dont on tait le caractère anti-écologique : dossier qui mérite un débat en lui-même, en liaison avec un nucl »aire qui nous entraîne toujours plus dans des impasse de risques et de surcoûts, et avec un compteur Linky (objet de protestations nombreuses dans le débat) qui engage le boulet anti-démocratique et anti-environnemental des objets connectés.
Oui
Oui, mais très peu si l’on raisonne sur des salariés et chomeurs au trop faible pouvoir d’achat, que des aides minimes ne pourront accompagner. Car dans notre cas, le changement vient d’être effectué ! Et vos questionneurs sont des sophistes accomplis, car au lieu d’ouvrir sur « ne pas changer en pire, avec l’électrique ou le fioul », et de s’interroger sur la production de poèles à bois au lieu de les chercher en Autriche, et d’inventorier nos ressources en résineux pour un système aux pellets, ils insistent lourdement pour « convaincre », ce qui veut dire nous persuader de renoncer au bon sens pour s’endetter à des offres rétrogrades…
Oui
Mais qui est l'auteur de ce mode de questionnement semi-ouvert qui méconnait les possibles réponses d'un interlocuteur ?! Le "oui" parce que "autre" ci-dessous ne consent aucun espace !... Retraités, nous n'utilisons pas la voiture pour des déplacements quotidiens, groupant nos achats bio à une ville voisine. Notre chef lieu de canton rural n’a pas de transports en commun ; quant au vélo, pour charroyer le valeur d’un coffre de voiture… Le covoiture se pratique dans le cadre d’un cercle d’amirtié. Un transport à la demande me semble tout aussi dispendieux qu’abuser de son véhicule, et s’il s’agit d’uberisation, beurk ! Ce type de sous emploi à l’Allemande vers lequel semble loucher le gouvernement faute de résoudre le chômage de masse, fait et ferait galoper un nouveau servage –comme font les franchises… Auto-partage est loin de nos mœurs, or, cela fait déjà longtemps que l’économisme mythologique, avec son individu « rationnel » et calculant ses intérêts (sans réfléchir à ses besoins et demandes) est discrédité. Si je demande à un ministre, à un milliardaire, de prendre le métro en renonçant à sa voiture de fonction, de ne pas mener son yacht en rade se Saint Trop l’été, je suis un malapris qui se rêve inquisiteur… On ne change pas des meours, elles évoluent soit pas pression de catastrophes et crises trop lourdes, soit en temps long par école, jeux intelligents, clubs de lectures-écritures et autres, soit pas soulèvement social-sociétal imprévu qui s’empare des consciences.
Le "oui" ci-dessus
Réponse ci-dessus : je me garderai bien de décider pour des intéressés, à leur place. Il est positif que vous citiez ces alternatives, mais non pour mettre un interlocuteur au pied du mur. Répandre, diffuser des témoignages instructifs serait une voir : ce qui induit d’infléchir le désastre publicitaire, le marketing storytelling qui assomme, est une des sources du désastre climatique…
Les rencontres entre chefs d’Etats drainent des industriels et commerciaux à leur suite ; Erasmus englobe les écoles de commerce, d’ingénieurs, et les universités comme les chercheurs tissent des relations d’échanges. Ces voient ne forment-elles pas une diplomatie des cultures économiques, propres à propager ces coopérations entre fabriquants en photovolta£ïque, géothermie, usines marémotrices, isolations de l’habitat et matériaux à base de chanvre déjà très populaires ?
Mon propos est déjà excessivement détaillé ! Et cette question, par courtoisie citoyenne, aurait à être posée en premier, non en codicille « autres »… Ah si, un point clé : écologie n’a pas grand-chose à voir avec « environnement », incluant la dignité sociale et humaine du travail, l’éradication des pauvretés en tous pays (étant mondiale, et non cloîtrée dans des écosystèmes locaux). De même, le durable exige une réforme culturelle, réhabilitant les techniques souples face à des technologies rigides et brutales. Or la teneur d’injustice sociale maintenue à propos de la fiscalité va à l’encontre du présent thème
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