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La progressivité de l'impôt est un principe fondamental (fraternité) qui est violé par les taux uniformes de la CSG-CRDS. Cette violation est inadmissible.
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Reculer l'âge de la retraite
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Une bonne chose
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LA LAÏCITÉ EST D'ABORD CELLE DU CORPS HUMAIN. 1/ L'excision et la circoncision violent les articles 222-23 et 222-26 du code pénal : - "Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence,… est un viol." - "Le viol est puni de la réclusion criminelle a perpétuité lorsqu'il est précédé, accompagné ou suivi de tortures ou d'actes de barbarie." 2/ Avec leurs nauséabonds relents de supériorité morale, l'excision et la circoncision ne sont pas seulement une discrimination (de l'enfant, de la communauté, et de l'humanité entière), comme l’a rappelé Madame Christine Lazerges, présidente de la Commission nationale consultative pour les droits de l’homme, en ouvrant la réunion constitutive d'"Excision, parlons-en" le 14 juin 2013 à la Sorbonne. Elles sont aussi le pire de tous les racismes, chirurgicalement imposé au prix de traumatismes amnésiés à vie. Chez les plus atteints, cette exclusion aussi barbare que fanatique s’accompagne de terrorisme mégalomane et constitue le terreau de la radicalisation. Un eugénisme négationniste du droit le plus élémentaire de la personne – dans son jeune âge où elle est incapable de se défendre – est inadmissible. Ce n'est pas l'identité nationale qui est en jeu, c'est l'identité humaine. 3/ On ne pratique pas sa religion sur le corps d'autrui. 4/ L'intégrité physique est la base de la démocratie, c'est le tout premier des droits de la personne humaine, inviolable et sacré. Le droit au corps des enfants doit être respecté dans ses trois dimensions d'intégrité, dignité et autonomie. MISE EN ŒUVRE : - interdiction absolue de toutes mutilations sexuelles féminines et masculines, sans pénalisation possible puisque les auteurs d'une part n'ont pas l'intention de nuire (article 121-3 du code pénal), d'autre part "agissent sous l'empire d'une force ou d'une contrainte à laquelle ils ne peuvent pas résister." (article 122-2 du code pénal) mais avec l'octroi de dommages et intérêts civils élevés pour les victimes, ce qui sera vite dissuasif. - interdiction aux non-médecins (loi pénale nouvelle) - interdiction aux médecins, sous peine de prison (il y faut une loi pénale nouvelle et pas seulement l’article 16-3 du code civil : “Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans l'intérêt thérapeutique d'autrui.”), de mutiler quiconque, homme ou femme, sans "très sérieux motif médical" comme le prescrit le code de déontologie, et y compris sous couvert d’esthétique. - DÉPISTAGE (pratiqué en l’Espagne et au Kenya) SYSTÉMATIQUE (DE L'ENSEMBLE DES JEUNES) UNE FOIS PAR AN JUSQU'À LA FIN DES ÉTUDES UNIVERSITAIRES. - Les migrants devront s’engager à abandonner la pratique sous peine d’exclusion immédiate.
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Papiers, mégots, etc. jetés partout, notamment à mi-hauteur.
Amendes
Faire tomber par terre où elles seront balayées toutes ordures placées à mi-hauteur par les agressifs.
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Faire signer une charte d'engagement à ne pas pratiquer de mutilation sexuelle masculine ou féminine sous peine d'exclusion immédiate.
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