Faire clair sur l’imposition du patrimoine S’agissant d’imposer la détention régulière d’un patrimoine il faut distinguer si ce patrimoine (financier ou matériel: immobilier, véhicules, art…) est productif de revenus (imposables par définition) ou s’il est improductif. Taxer le patrimoine improductif serait plus juste qu'une taxation indifférenciée type ISF ou IFI et les 214 taxes diverses attachées à des quantités de services (publicité, sucre, huissiers, vins, eau, taxe de séjour…)!, dont on n’a pas de bilan de l'efficacité et de leur justification
Simplicité: principe de base: éviter les double-impositions: tous les impôts directs devraient être déductibles du revenu imposable à l’IR; pourquoi une partie de la CSG , la taxe foncière etc… ne sont-ils pas déductibles ? Universalité: imposer tout le monde: Tout le monde devrait payer une contribution minimale à l’impôt sur le revenu car tout le monde utilise les services publics tous les types de revenus devraient être pris en compte dans l'assiette de l'impôt : les aides sociales, les revenus catégoriels significatifs de certains salariés qui ne sont pas toujours pris en compte en tant qu’avantage en nature dans leur base imposable tout le monde devrait être informé de son niveau d'impôt direct par rapport a son niveau de revenu, cela donnerait une plus grande lisibilité à la progressivité de l’impôt sur le revenu Imposer aussi le patrimoine lorsqu’il est improductif (mais pas quand il est productif, puisque déjà imposé au niveau des revenus (ex: loyers immobiliers) Stabilité: Ne pas changer constamment par de nouvelles mesures de plus en plus complexes et parfois incohérentes (les TPE et indépendants n’en peuvent plus!), et instaurer un principe de non rétroactivité. Combattre la fraude fiscale On a pu limiter les excès de vitesse sur la route en mettant force moyens, je pense qu’on peut faire de même en ce qui concerne le respect de ses devoirs fiscaux
On ne peut pas réduire le montant global des impôts tant que l’on est en déficit, il faut donc drastiquement réduire la dépense publique Ne pas baisser le niveau global mais s’attacher à rendre certains impôts plus équitables et éviter les concentrations sur certaines cibles: - Le foncier (taxé à l’achat, à la revente, à l’IFI, sur les revenus…) De nombreux retraités et indépendants ont été conduits par le passé à financer leur retraite par le foncier (à l’époque c’était un choix recommandé car tout le monde n’avait pas la possibilité à cotiser pour sa retraite); c’est un revenu comme un autre au moment de la retraite, on pourrait envisager de mettre la CSG à 9,1% sur le foncier productif. au lieu de 17,2% - la voiture (taxée à l’achat, à la revente, carte grise, TICPE, amendes, péages…) et on a recommandé le diesel durant des années!
supprimer les dépenses inutiles, libérer le temps de travail, augmenter la contribution des retraites à l'assurance maladie (voir détail dans la dernière question)
de préférence limiter - les abus de dépenses sociales: les aides attribuées frauduleusement ou devenues sans objet. Ex: le RSA à ceux qui ont du patrimoine et pas de revenus, aides maintenues alors que les conditions du foyer ont changé etc… - les dépenses abusives de maladie: prendre modèle sur le Danemark, médecins salariés respectant une éthique pratiquant sur place certaines analyses, délivrance des médicaments au nombre etc…
La dépendance La lutte contre la drogue et la prise en charge des drogués Ce secteur mérite un travail approfondi. Traiter les drogués en milieu ouvert est hypocrite et se répercute sur le malaise actuel du secteur de la psychiatrie. Je crains qu’une grande partie des cas sociaux soient des conséquences de la drogue et que l’on ferme les yeux sur ce sujet….de même que toute cette économie souterraine échappe au fisc
- La dépendance - Le remboursement de la dette : pourquoi ne pas percevoir, au dessus d’un certain niveau de revenu, (IR>45%) et pour les entreprises réalisant des profits importants une contribution au remboursement en capital de la dette ?
Parmi les dépenses de l’état et des collectivités territoriales, dans quels domaines faut-il faire avant tout des économies? Aucun de ceux proposés ou partout!. Ce qu’il faut faire: dépenser le moins possible et au bon endroit. Traquer toutes les dépenses de fonctionnement inutiles, Se séparer du personnel administratif lorsqu’il est incompétent comme c’est possible dans le privé (principal poste des dépenses publiques: le personnel) - Evaluer les personnels de toutes les administrations en fonction des objectifs publics et traquer tous les postes inutiles, en attente d’affectation ou placards… - Supprimer les salaires majorés pour les expatriés, DOM etc… - Supprimer les doublons administratifs et mettre en oeuvre partout le principe de subsidiarité - Supprimer le papier et simplifier les procédures: numériser; chaque français a un état civil connu, cela doit faciliter les inscriptions et demandes en tout genre - Supprimer les emplois permanents dans les commissions « bidule » ; chaque fois que l’on a besoin d’expertise ou d’avis, faire appel à des citoyens soit tirés au sort, soit experts dans le domaine, rechercher et mobiliser les intelligences; cela fait partie de leurs devoirs envers la nation - Traquer le népotisme et les petits arrangements entre amis. - Donner de la lisibilité à l’impôt; abroger la règle de la non affectation qui est déjà largement transgressée par la création de multiples taxes justifiées par un objet… Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous…. - Supprimer les dépenses inutiles de toute sorte Prendre en compte sur ce sujet tout le travail de la Cour des Comptes, Ifrap, Observatoire des inégalités, reportages des journalistes etc… qui restent lettre morte. - Libérer le temps de travail (y compris au delà de l’âge légal de la retraite): c’est la première liberté de l’homme, pourquoi la réglementer à la baisse et ne pas laisser de liberté à la hausse, alors que les indépendants sont libres (parfois contre leur gré car pressurés!!) de leurs horaires??? - Augmenter les cotisations maladie des retraités: au moins pour le futur, si cela semble inacceptable pour une majorité des retraités actuels… Aujourd’hui les retraités ne cotisent que 1% et sur leurs seules retraites complémentaires… la durée de vie augmente et corollairement, l’état accompagne les opportunités médicales pour un meilleur confort de vie (vue, auditions, dents, protection arthrose, cures rhumatismes et pulmonaires etc…) Il faudra également trouver le moyen de financer la nécessaire prise en charge de la dépendance. Il faut acter des progrès scientifiques et de l’augmentation de l’espérance de vie et donc payer le prix du confort . En tout cas cette mesure me paraît plus justifiée que la hausse de la CSG.
Ma réponse à la question dans l’idéal serait: j’ai confiance en les parlementaires, les conseillers régionaux et le maire. En réalité actuellement seul le maire représente quelque chose pour moi. Pourquoi ce manque de confiance dans les élus nationaux et régionaux? Parce que on ne sait pas très bien ce qu’ils font et parce qu’on ne les voit jamais. Le seul lien possible c’est de lire les informations locales et les magazines d’info et sites diffusées par les collectivités publiques.. et on y trouve soit des grands objectifs verbeux soit les actions locales qui majoritairement ne nous concernent pas.
Non
None
Moraliser la vie publique en sorte qu’il n’y ait plus de scandales qui brisent la confiance. Contrôler a priori la probité des candidats à une élection publique, (ce que ne fait pas l’AHPVP pour l’instant). Publier individuellement ce que les élus gagnent dans leurs fonctions (rémunération et avantages). Associer les citoyens le plus possible aux décisions et au fonctionnement des administrations (sans aller jusqu‘à un conseil d’administration au même titre que dans les entreprises, on pourrait imaginer un comité citoyen qui fasse valoir le point de vue du public client de l’administration). Donner à la population civile une représentativité et un poids au moins équivalent à celui des associations, organisations professionnelles et syndicats dans les consultations. Impliquer les citoyens. Faire une déclaration des devoirs de l’homme, à juxtaposer à celle des droits de l’homme… Accompagner chaque loi d’une synthèse lisible pour les citoyens résumant: le sujet, l’orientation politique voulue par le législateur, les droits mais aussi les devoirs du citoyen. Lui expliquer le sens par rapport aux grandes priorités politiques et quel impact cela aura sur son quotidien. Former tous les scolaires dès le plus jeune âge à leur statut de citoyen, et organiser des formations volontaires pour les civils qui le souhaitent et s’estiment mal informés et insuffisamment formés.
Une mauvaise chose
Il a éloigné les députés des citoyens. On pourrait les limiter à 2, dont 1 national et un municipal dans une commune de taille raisonnable, et on pourrait convenir qu’un suppléant exerce en pratique le mandat local.
Sans doute introduire la proportionnelle au niveau de l’assemblée nationale; mais cela n’a pas de sens dans le fonctionnement actuel, compte tenu du nombre limité de députés par départements. Seuls une trentaine de départements ont un nombre de députés suffisants pour représenter potentiellement les différentes sensibilités, on pourrait envisager d'élargir la taille des circonscriptions.
Oui
Etant par ailleurs favorable à la suppression des départements, cela supprime les conseillers généraux... quitte à redéfinir la composition du conseil régional
Elle est déconcertante, mais les premiers responsables sont les politiques qui ne sont pas motivants. Le vote obligatoire ne me semble pas approprié, surtout si la seule sanction est le paiement d'une amende!
Oui
il faut éviter que cela anesthésie la vie politique; il faut donc définir précisément les conditions de mise en oeuvre Voila peut être une question à soumettre à referendum sous réserve de bien communiquer au préalable sur les avantages, inconvénients et conséquences sur la vie démocratique.
A tous les niveaux, au lieu (ou conjointement) de faire appel à des comité d’experts ou des commissions diverses, on pourrait consulter et mobiliser des citoyens volontaires, experts ou choisis pour leur sensibilité selon les sujets à traiter pour éclairer les décisions du « bon sens » du terrain./ - Associer et consulter les citoyens (et pas seulement les corps intermédiaires) avant de prendre certaines décisions, notamment chaque député devrait consulter les citoyens avant le vote d’une loi, de même les sénateurs pourraient consulter plus systématiquement leur collège électoral./ - Réduire le nombre de commissions et comités « bidule « à tous les niveaux. Ou pour le moins remplacer une majorité des membres permanents par des membres ponctuels mobilisés pour traiter le dossier en question. Informer: utiliser de manière plus systématique les médias nationaux, développer les rencontres citoyennes/ Chaque député devrait avoir l'obligation au moins une fois par trimestre de rencontrer les citoyens pour prendre connaissance des préoccupations majeures, soit sur un sujet précis, soit plus librement. Cela se peut se faire soit de manière volontaire soit par tirage au sort ou encore par sélection « d’experts » de son ressort territorial, ou encore comme dans le cadre de ce grand débat: faire remonter des points de vue sur des questions d’actualité de la vie publique par internet.(Bien sûr, il faut que le citoyen voit que l’on en tient compte, sinon ça ne marchera pas.)/ - Rendre compte aux citoyens, par une note ou sur Internet, des décisions qui sont prises, du contenu des nouvelles lois et des conséquences qu’elles auront sur la vie des citoyens: nouvelles dispositions, nouveaux droits, nouveaux devoirs.
Non
None
Prendre en compte toutes les remarques et suggestions qui sont formulées par la Cour des Comptes, les médias, les organismes d'études comme l’Ifrap par exemple …pour que tous ces travaux ne restent pas être lettre morte renforçant les points négatifs de l’image de l’administration; si les observations ne sont pas justifiées ou non pertinentes, les faire savoir (au même titre que le citoyen a eu connaissance des critiques); valoriser le droit de réponse et expliquer. Dénoncer les fake news et communiquer sur la vérité./ Expliquer aux citoyens ou va leur argent, notamment s’agissant des quelques 240 taxes attachées a un objet précis. Ne pas hésiter à demander une contribution (même si elle doit rester symbolique) à l’utilisation des services publics et Afficher publiquement et de manière lisible les budgets: d’ou vient l’argent, il sert à quoi, quel est le recours? De nombreuses associations subventionnées par l'état ou les collectivités locales fonctionnent souvent (pas toujours bien) dans une totale opacité ...
- C’est l’Assemblée nationale qui représente la population civile; Le Sénat représente les collectivités locales, or depuis que l'on est passé au quinquennat, il y a correspondance entre l'élection du président la république et celle de l’assemblée nationale donc il n'y a aucun temps de respiration pour les citoyens qui n'ont pas l'occasion d'exprimer leur désaccord en cours de mandat. De plus, avec la disparition du cumul des mandats, le député aujourd’hui n’a plus d'occasion de contact avec la population de base alors que l'essentiel de son activité est de voter les lois. Certes nous sommes en démocratie représentative et leur rôle et de représenter les citoyens qui les ont élus, mais par définition personne n’a de compétence universelle et les parlementaires devraient régulièrement revenir devant leurs élus (les citoyens et les grands électeurs) pour débattre, discuter, s’informer, expliquer. De même pour les conseillers régionaux siégeant en assemblée régionale et représentant également la population de leur territoire pour décider des orientations de l’administration de la région. Au CESE sont réprésentés exclusivement les corps intermédiaires (organisations de la société civile, syndicats et associations et organismes professionnels) et il faudrait également prendre l’avis des citoyens qui, en grande majorité, ne sont pas représentés,
Oui
Compte tenu que nous faisons partie de l’Europe, on devrait réduire les échelons et se limiter aux régions, métropoles, lcommunautés de communes et enfin lcommunes; le département est sclérosant: c’était valable du temps de Napoleon quand il fallait limiter les distances de transport à une journée à cheval mais en plus de 2 siècles les moyens de transport et surtout de communication ont considérablement évolué. En 1810 iI y avait 30 millions de français, contre 65 millions aujourd’hui…il faut revoir le dimensionnement des unités clé. De même l’unité territoriale de base devrait être de l’ordre de 1000 habitants (regroupant plusieurs communes), alors que près de la moitié des communes ont moins de 500 habitants. Voir ensuite comment on fait la part des choses entre régions/etterritoires correspondants aux circoncriptions et métropoles/intercommunalités… les missions de ces deux catégories étant différentes et complémentaires. Les conseillers généraux (departementaux) devraient être supprimés, au profit de la région.
Les principes sont bons. C’est l’application qui est contestable.
La première condition est que ces valeurs intangibles de la république soient clairement définies. La République a donc le devoir de donner à tous la même connaissance de ces valeurs.. C’est quoi exactement ? Liberté, Egalite, Fraternité, indivisibilité, Laicité, Démocratie, Solidarité sociale, Liberté d’expression, Consentement à l’impôt….autre???? Rappeler les principes en toute circonstances, expliquer ce que cela implique dans les comportements (droits et devoirs des citoyens). Garantir le respect par tous est impossible si tout le monde n’adopte pas ces principes. Exemple : l’égalité homme femme (qui est une valeur) est elle compatible avec la culture musulmane ? Pour garantir ce respect il faut appliquer la loi, la faire respecter, mettre en exergue les condamnations pour montrer que l’on fait appliquer la loi (avec la même détermination que l’état a agi pour limiter la vitesse). Donner aux aux policiers des consignes, des moyens appropriés et avoir une justice qui applique la loi.
Compléter la déclaration des droits de l’homme et du citoyen par une charte de devoirs de l’homme et du citoyen
Voter, ne pas frauder l’état, respecter la police, respecter les institutions, en premier lieu le Président de la République, respecter le drapeau français et l’arborer en de multiples occasions (et pas seulement lors de événements sportifs),respecter les lieux publics et les bâtiments ,encourager et organiser le signalement des comportements abusifs.....
Former les enfants dès le plus jeune âge et s’appuyer sur eux pour développer les comportements civiques dans leur famille et voisinage. Faire en sorte qu’ils donnent l’exemple./ Faire en sorte qu’un citoyen puisse faire une remarque à un autre lors d’une incivilité sans risquer de prendre des injures ou des coups; chacun doit s’impliquer pour généraliser l’exemplarité. (Mettre des cameras partout pour ensuite s’en remettre à l’état pour rechercher les auteurs des infractions et les sanctionner est une chose, mais le citoyen doit aussi se sentir concerné et contribuer au respect de l’ordre public et à l’amélioration des comportements collectifs.)/ Encourager et organiser le signalement des comportements abusifs / Valoriser les comportements civiques (par exemple agression dans les transports en commun… personne n’intervient car on craint pour son intégrité physique… )/Contribuer à l’intégration des immigrés.
Communiquer dans les médias et dans les écoles sur des comportements civils remaquables, Créer des émissions télévisées ou radio sur la vie citoyenne. Réinventer la distinction civile qui concerne le peuple (la légion d’honneur étant désormais réservée au sportifs, hauts fonctionnaires et autres people, et l'ordre du mérite un peu déprécié…).. le citoyen d'honneur reconnu par la nation peut être sollicité plus souvent par exemple.../ Solliciter l’avis sur internet: cela peut s’envisager autant au niveau des personnes morales que physiques, et à tous les niveaux local, régional, national.
Les comportements insultants notamment de la part automobilistes et dans les transports en commun.Le bruit abusif: mobylettes et motos, téléphone à haute voix dans les lieux publics, radios à fond…./Irrespect ostentatoire des moeurs et coutumes de notre pays/L'encombrement et la saleté des trottoirs (ex: ne pas ranger sa poubelle… jeter des déchets et mégots..)/les crottes de chien et les morsures des chiens errants./ On devrait pouvoir civiquement rappeler à l’ordre les contrevenants. En fait devant ces incivilités on ne proteste pas soit par hypocrisie, soit pas peur.. Cela ne dépend pas de l’état mais de l’individu concerné. Chaque citoyen qui s’estime méprisé devrait être encouragé à réagir directement… mais cela est une question d’éducation et de de culture
Eduquer le citoyen: campagnes de sensibilisation, encourager les comportements citoyens, soutenir les citoyens qui osent réagir.
Réagir civiquement: Si on fait une remarque ou si on intervient pour défendre quelqu’un on risque parfois sa vie… Il faut malgré tout se prendre en charge, réagir de manière civile sans être donneur de leçons… On peut créer des pratiques, des gimmicks, des codes, encourager, positiver sur ce type de comportement citoyen par la communication et faire évoluer les mentalités..
A 70 ans, on est juste plus dans notre monde…je ne ressens pas une discrimination mais parfois une marginalisation… J’ai été victime de discrimination professionnellement en tant que femme.. mais les lignes bougent, heureusement. Un certain racisme antiblanc??? et à force… est ce bien normal d’être hétérosexuel??? Plus sérieusement, en tant que témoin, ce qui me touche le plus c’est la discrimination envers les handicapés; j’ajoute, en ce qui me concerne que, pour moi, le port de la burka est un signe extérieur de discrimination de la femme et je le vis comme une provocation.
Tout mettre en oeuvre pour mieux intégrer les handicapés dans la vie de tous les jours .. on le fait avec force communication pour réduire les discriminations envers les femmes, les homosexuels, pour les étrangers.. A l’égard des chômeurs qui témoignent de discrimination, leur donner un travail d’utilité collective permettait de les réintégrer dans la vie sociale en même temps que ce serait une légitime contrepartie de l’aide qu’ils reçoivent de la société..
Oui
La seule contrepartie qui me vient à l’idée c’est du demander du temps de travail au profit de la collectivité, donc oui, pour les sans emploi en état de travailler (chômage, RSA, … par exemple). Il faut surtout supprimer ces aides quand elles ne sont plus justifiées ou quand l’allocataire commet des incivilités et des infractions à la loi./ On peut aussi aller plus loin et envisager que les étudiants dont les études supérieures sont payées par l’état consacrent une période de leur vie à l’action publique. Pour l’instant on le fait pour les étudiants qui sont payés par l’état durant leurs études , mais est ce utopiste de penser que chaque jeune donne un ou 2 mois de son temps par année d’études supérieures pour une activité rémunérée au service de l’état en fin de cursus??
La politique n’est pas claire, et son application n’est pas maitrisée; et si la politique ne dépend que de nous, nous n’avons pas à nous seuls la maitrise des frontières (qui dépend de l’Europe ). La politique devrait être claire, connue, limpide pour tout le monde: elle s’appuie sur 4 critères 1 - La capacité de la France à intégrer en terme de nombre; il faut l’évaluer a partir de critères objectifs/ 2 - l’engagement de s’intégrer et de respecter les lois de la république/ On doit donc avant d’intégrer vérifier l’absence chez ces migrants de critères incompatibles avec une intégration sereine en France ( corpus de règles de vie qui les empêche de s’intégrer et auxquelles qu’ils veulent au contraire que la France s’adapte ex: polygamie, statut de la femme…).Il faut mettre en place les éléments discriminants qui permettent de vérifier que le migrant s’intégrera de manière compatible avec les valeurs de la république. Ensuite, il faut lui en faire prendre connaissance et s’engager à les respecter, et a abandonner ce qui n’est pas compatible, s’il y en a. / 3 - retour dans son pays d’origine encas de non respect des engagements.Bien sûr, il faut accompagner l’adaptation des migrants: apprentissage de la langue, histoire et culture, citoyenneté, apprentissage dans un emploi… Parmi ces critères, devrait être pris en compte dès le début la question du regroupement familial; autrement dit, l’intention de rapatrier sa famille dans le futur; on saurait ainsi dès le début à quoi on s’engage et à quelle échéance en terme de nombre./ 4- période minimale d’observation avant d’obtenir la nationalité française et le regroupement familial au cours de laquelle on a les preuves de cette intégration. (Critères et niveaux à définir)
Oui, mais sur la base des critères définis préalablement par le gouvernement. Ne pas oublier que parmi les obligations d’asile, il ya aussi l’obligation de reconduire à la frontière ceux dont l’asile n’a pas été accepté.
En période de pression migratoire, on devrait renoncer au droit du sol et appliquer le droit du sang. Plutôt que d’intégrer un afflux de migrants, on devrait plutôt aider les populations dans leur pays d’origine… financièrement mais aussi physiquement (transferts d’expertise pourquoi pas dans la cadre de travaux d’intérêt général pouvant mobiliser des énergies citoyennes , mais aussi, des étudiants en fin de cursus, et des sans emploi )
Apprendre le français/ Etre formé aux valeurs de la république, à la culture française et à la citoyenneté/ Après une période de formation financée par l’aide sociale, trouver un emploi dans un certain délai; en attendant être employé dans des travaux d’interêt général à temps partiel, et être autant que possible intégré dans une famille, soit pour un emploi d’aide familial, soit pour un logement, ce qui permet une familiarisation avec les coutumes françaises
Durée du mandat présidentiel : la déconnecter des élections législatives, porter la durée à 7 ou 8 ans avec mandat unique (neutraliser l’enjeu de la réélection et se consacrer à 100% à son mandat jusqu’au dernier jour). L'appel au débat citoyen sur le mode du grand débat pourrait être pratiqué plus systématiquement pour traiter des nombreux sujets: j’en cite quelques uns qui me paraissent d’actualité: la sécurité (qui reste fondamentale), le numérique, la politique du logement, le chômage et les chômeurs, les banlieues, la drogue, la vie quotidienne, l’excès de publicités et de promotions….
Un grave problème d’image Tout ce qui est administratif est perçu comme lourd, complexe, contraignant, consommateur de temps. Bien qu’incontournable, le citoyen s’y résout, mais dans de nombreux cas renonce à faire valoir ses droits soit parce qu’il les ignore, soit parce qu’il est découragé (c’est souvent le cas pour une demande d’aide sociale, un dépôt de plainte, une action en justice, la contestation d’un PV, le signalement d’un dysfonctionnement, le recours devant un refus de l’administration…) Fréquemment, nous sommes en présence de situations ubuesques, incohérentes incompréhensibles .. on est désarmé et on finit par en sourire - l’humour dérisoire des français! -(et par se débrouiller autrement) car on n’y peut rien!! (je peux donner des exemples très concrets par exemple au sujet d’une situation de curatelle) Et cela est renforcé par les scandales, abus et erreurs rapportés chaque jour par les médias et les réseaux sociaux (dont sans doute beaucoup de fake news) mais « calomniez, il en restera toujours quelque chose! ». Au mieux on parle d’inertie, au pire de résistance de l’administration; mais le résultat est là: les politiques publiques ne sont pas toujours correctement mises en oeuvre. proposition: Les ministres devraient être garants de la mise en oeuvre de leurs décisions: ils devraient expliquer, contrôler la mise en oeuvre et rendre compte des résultats. De quelle manière cette organisation devrait elle évoluer? - Réduire les échelons, - Elargir les zones de compétence pour harmoniser les pratiques - Eviter les doublons de compétence - Mieux contrôler les activités des services associatifs, notamment ceux qui oeuvrent à la mise en oeuvre des politiques publiques et sont subventionnés par l’état ou les collectivités publiques
Oui
Il y a trop d'administrations et d'échelons administratifs en France. Ce qui me semble le plus grave, c’est le manque de lisibilité des grandes orientations de la politique publique au fur et à mesure de leur mise en oeuvre au niveau des différents échelons administratifs. On sait qu’il y a une foule d’actions, décisions, subventions mises en oeuvre, mais on ne sait plus quels grands axes prioritaires ils sont censés servir. Au bout du compte, on constate un traitement des mêmes questions très différent d’une commune, région ou département à l’autre et selon des procédures très variables. D’ou multiplication des coûts de mise en oeuvre et les inégalités de traitement des citoyens Pourtant, j’ai l’impertinence de croire que notre président et son gouvernement ont une VISION et développent une stratégie cohérente, mais il y a tant à faire et partout que les priorités ne sont pas lisibles ni pour les administratifs, ni pour la population. Je ne crois pas à une fédération des régions françaises, mais à une décentralisation constructive fonctionnant selon le principe de subsidiarité: Dans le cadre d’une politique générale dont les priorités et les standards minima sont définis par les pouvoirs publics et connus de tous, chacun à son niveau prend en charge et assume tout ce qu’il est capable de faire et qui est cohérent avec les caractéristiques de son territoire. Toutes les collectivités devraient, chacune à leur niveau de compétence oeuvrer prioritairement pour déclinaison et la mise en oeuvre des politiques publiques . Chaque action retenue devrait, pour être lisible par le citoyen s’inscrire dans une ligne de la politique publique priorisée par le gouvernement comportant un bénéfice et/ou des obligations pour le citoyen.
Non
L'assistance téléphonique et les transports transversaux. 1/ On se plaint beaucoup de la disparition des services publics dans les territoires notamment les territoires ruraux. Personnellement dans les 40 dernières années de ma vie, j'ai peut-être au maximum eu 10 fois la nécessité d’un contact physique avec les services d’une administration dans ma vie quotidienne. La plupart de mes relations avec l'administration se sont résolues par téléphone par Internet. Les sites Internet du service public sont en général de grande qualité. La critique principale que l'on peut formuler est la très mauvaise qualité de l'assistance téléphonique. (Et on en a besoin car, soit le cas n’est pas explicitement prévu, soit on ne comprend pas pourquoi ni comment on résout son problème, soit encore le site buggue ou est indisponible) Pour les personnes qui ne maitrisent pas internet ou ont des difficultés de connexion, il existe les maisons de service public mais cela exige se déplacer pour s’y rendre et il n’y en n’a pas partout. De plus elles ont souvent le rôle d'information mais n’ont pas les moyens ou la compétence pour résoudre concrètement les problèmes du public. Quant aux transports publics territoriaux on a le choix entre le désert ou des horaires et temps de transport incompatibles en pratique avec les contraintes quotidiennes, donc il reste la voiture.
Le citoyen ne sait pas toujours à quoi il a droit ou quelles sont ses obligations et il ne sait pas non plus à quelle administration et à quel niveau il doit s’adresser. De plus, il doit, a chaque fois et pour chaque démarche auprès d’une administration constituer un dossier, et ce dossier il doit le constituer à nouveau chaque fois qu’il change de département ou d’administration: exemple carte grise, curatelle, hôpital de proximité…. Plusieurs améliorations sont envisageables: 1/Automatiser l’accès des citoyens aux administrations et simplifier les procédures Mettre en oeuvre un dispositif pour identifier automatiquement chaque citoyen dans toutes les administrations sur tout le territoire dès lors qu’il est français Chaque citoyen est connu au moins des impôts, de la sécurité sociale et de l’état civil, de la mairie(listes électorales) et du service national de l'identité.. À partir d'un numéro (comme par exemple numéro de sécurité sociale) tout dossier administratif pourrait être pré- rempli au moins ce qui concerne ses rubriques génériques. Le citoyen n’aurait alors qu’à compléter les rubriques liées spécifiquement au sujet de sa requête. 2/L’attribution des aides sociales devrait être automatique: le citoyen ne devrait pas avoir à les demander ex: départ en retraite, allocation chômage, ASS puis RSA, aides au handicap, Allocation logement etc…. on devrait pouvoir détecter automatiquement les cas à traiter… Pas de besoins particuliers spontanément., beaucoup de sujets sont pris en compte et bien réalisés… le bémol c’est que peu de personnes y recourent, et ce n’est pas qu’une question de génération; les habitudes sont difficiles à changer. En revanche une remarque sur ce sujet: la vie des citoyens est compliquée et internet devrait permettre de gagner du temps. C’est loin d’être le cas. On doit sans cesse prendre connaissance de conditions générales longues et impossibles à lire, (cela s’est gravement empiré de puis la loi sur la protection des données), ce qui fait qu’on clique pour se débarrasser et pouvoir continuer ce que l’on fait sans perdre de temps. On est constamment pollué par la publicité, les sites frauduleux…. Par ailleurs le numérique est un bon prétexte pour compliquer la vie des citoyens: cartes de fidélité, promotions, codes barres, tags, QR codes permettent un peu trop facilement aux entreprises d’externaliser leurs charges sur les citoyens et de leur compliquer la vie sous prétexte d’avantages divers.. et au moment ou on veut s’en servir…on n’a pas de connexion ou l’avantage est inaccessible ou périmé!!!
Non
None
Pour les personnes qui ne maitrisent pas internet ou ont des difficultés de connexion, il existe les maisons de service public mais cela exige se déplacer pour s’y rendre et il n’y en n’a pas partout. De plus elles se limitent souvent à un rôle d'information et n’ont pas les moyens ou la compétence pour résoudre concrètement les problèmes du public.
L'administration fiscale
En priorité la justice
Oui
Oui
Exemple de manque de discernement dans l'application de la loi: ma fille vétérinaire habitant à plus de 30km de son cabinet et assurant toute la semaine les gardes de nuit et de WE (obligation légale)à commis par inattention et pour la première fois une infraction: dépassement de vitesse a plus de 130 sur une zone limitée (rétrécissement à une voie) sur autoroute... bel emplacement pour surveillance par la police... elle était seule dans la voiture avec son bébé de 3 mois et s'est vue retirer son permis sur le champ... 4 à 5 mois de retrait.. j'ai eu beau demander une adaptation la mesure au préfet et signaler à mon député ce manque de compréhension des situations particulières dans l'application de la loi, rien n'y a fait.. dura lex sed lex!!! quant on voit tous les abus autour de nous , on ne peut manquer de se sentir inconsidéré...dans ce cas le droit à l'erreur (ou la voie de recours) pourrait être exercé au moins pour la première fois et si des contraintes particulières le justifient.
Mise sous curatelle et demandes d'aides sociales pour une adulte majeure sous curatelle, obligation de se réaffilier dans diverses administrations dès que l'on change de département, et refaire la totalité du dossier pour une demande de renouvellement d'autorisation, plages horaires inadaptées aux personnes en activité qui ne peuvent faire leur démarches de leur lieu de travail... Exemple de manque de discernement dans l'application de la loi: ma fille vétérinaire habitant a plus de 30km de son cabinet et assurant toute la semaine les gardes de nuit et de WE (obligation légale)à commis par inattention et pour la première fois une infraction: dépassement de vitesse a plus de 130 sur une zone limitée (rétrécissement a une voie) sur autoroute... bel emplacement pour surveillance par la police... elle était seule dans la voiture avec son bebe de 3 mois et s'est vue retirer son permis sur le champ... 4 a 5 mois de retrait.. j'ai eu beau demander une adaptation la mesure au préfet et signaler à mon député ce manque de compréhension des situations particulières dans l'application de la loi, rien n'y a fait.. dura lex sed lex!!! quant on voit tous les abus autour de nous , on ne peut manquer de se sentir inconsidéré...
Oui
à condition qu'ils soient compétents, affables et qu'ils se conduisent avec la conviction qu'ils sont au service du public et pas là seulement pour faire respecter leurs procédures et rappeler la loi!!!
Oui
1-/ Elargir les plages horaires au moins au téléphone .Le public devrait pouvoir trouver un interlocuteur immédiatement disponible et compétent sur des plages horaires élargies (8H/22H), et un délai d’attente inférieur à 3 mn: les personnes qui travaillent ne peuvent pas toujours joindre les administrations pendant leurs heures de service, ils devraient pouvoir le faire le soir ou le samedi…) (ex après 3 essais infructueux, et 15 mn d’attente au téléphone, on joint enfin un responsable pour s’entendre dire »ah ben madame X ne travaille pas le mercredi, rappelez demain… « ou « les services sont ouverts de 14h 30 à 17 heures les lundi jeudi et vendredi, veuillez rappeler ultérieurement». /2 - Réduire les délais de réponse. Au téléphone, comme dans les maisons (ou points) de service publics, l’objectif est de donner la solution. Si la question posée par le citoyen nécessite des démarches complémentaires ou le recours à une personne plus compétente sur le sujet, l’assistant téléphonique ou l’agent de la maison de service public doit prendre en charge la question, trouver la solution, recontacter la personne et l’accompagner dans sa démarche. Les assistants publics au téléphone ou physiques devraient avoir accès aux services spécialisés compétents de façon prioritaire et en permanence pour pouvoir accompagner efficacement les demandeurs et aller jusqu’au bout de leur démarche. L’administration devrait avoir l’obligation de répondre a toute question ou demande dans un délai précis et uniforme sur tout le territoire (ex: délais pour les passeports vont de 15 jours à 3 mois ou plus suivant les endroits). / 3 -Donner des voies de recours chaque fois qu’ils rencontrent des difficultés ou une anomalie de procédure ; L'administration devrait avoir l’obligation de répondre à toutes les demandes et proposer une médiation s’il y a contestation. / 4 - Valoriser le service public; Valoriser l’image: Utiliser les médias, notamment la télévision et la radio publique pour expliquer plus souvent et mieux les politiques publiques, leur utilité , leurs succès, présenter les initiatives qui marchent. Au lieu de laisser majoritairement place aux critiques négatives permanentes et aux mauvaises nouvelles. / 5 - Faire contribuer les citoyens: Chaque fois que cela est justifié, il faut faire payer une contribution minimale au citoyen. Il le fera volontiers s’il mesure le bénéfice que lui procure l’administration ou le service public en question; (bien sûr cela doit être manié avec toutes les précautions sur le plan politique et social), mais la poste est payante, les musées sont payants, le téléphone, la télé, les transports publics, l’électricité, les cartes IGN… etc… le cas des consultations médicales est particulier puisque l'on cotise pour cela, mais les abus devraient être régulés; au delà d’un nombre raisonnable par exemple, on devrait faire payer une participation aux frais de santé ( très souvent je vois des demandes de deuxième avis ou des consultations de confort)…Tout ce qui est gratuit n’est pas valorisé. Tout ce qui ne se voit pas n’est pas valorisé.Ou bien les administrations sont fantômes et dans ce cas elles sont inutiles, ou elles ont un rôle, une justification et dans ce cas leur efficacité doit être perceptible par le citoyen; leur image doit être un bénéfice et non une contrainte. / 6 - Donner aux administrations des objectifs d’efficacité: information, rationalisation des procédures, 0 papier, disponibilité des agents, justification et efficacité de la mission….au lieu de prendre des mesures sans fondement pour rationaliser les coûts et procédures de l’administration (ex: non remplacement d’un fonctionnaire sur 2, supprimer 2 commissions lorsqu’on en crée une, compenser la création d’une norme par la suppression d’une autre etc….). / 7 - Mobiliser les citoyens dans le cadre du service public: Certes de nombreux de citoyens oeuvrent à titre bénévole dans les associations mais au-delà chaque citoyen devrait pouvoir contribuer la vie de sa collectivité. exemples:Mobiliser les jeunes scolaires pour qu’ils donnent une journée pour une politique publique exemple: journée de l'écologie; nettoyage des plages, des forêts, des trottoirs… Demander à chaque étudiant de donner au moins 1 mois par année d’études supérieures au service de l’état et des citoyens; période qui peut être rémunérée par l’état mais au service de la collectivité…- Faire appel à la contribution volontaire des retraités selon leurs compétences; par exemple: soit pour le fonctionnement du « point de service public » de la commune, soit pour l’aide aux devoirs, soit pour débattre au sujet d’une décision à prendre niveau du conseil municipal ou de la communauté communes (au lieu des enquêtes d’utilité publique)…., ou encore pour l’assistance des personnes non familiarisées avec le numérique…- Et surtout, mobiliser utilement tous les actifs sans emploi, bénéficiant d’aides sociales de la collectivité , au service de cette collectivité.. cela aurait un impact positif pour tous ceux qui contribuent financièrement et faciliterait grandement la resocialisation et/ou éviterait la désocialisation de ceux qui sont à la recherche d’un emploi. La même recommandation pourrait être faite au sujet le l’intégration des immigrés légaux, c’est en les faisant participer à la vie des familles et de la communauté citoyenne qu’ils comprendront et partageront les valeurs françaises, et rendre service n’est pas dégradant, mais valorisant.
Les échelons région, métropole, communes devraient fonctionner sur un mode de décentralisation et non pas d’autonomie. La priorité est la démultiplication des politiques publiques spécifiquement dans la région, avec une délégation pour les optimiser et les adapter chacun à son niveau…cela éviterait le saupoudrage des aides et subventions et donnerait du sens à l’action publique et les inégalités de traitement dans certains registres
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Manque d'anticipation dans l'information et les précautions à prendre pour constituer sa retraite; on devrait avoir chaque année une information sur les droits acquis. Refus catégorique l'administration pour valider une période d'activité en tant que salarié du Credit Lyonnais durant les mois d'été... (mes parents ne m'avaient pas donné mon bulletin de salaire à l'époque) et l'administration a refusé de faire des recherches... délais de liquidation de la retraite trop longs.
C'est en général rapide et efficace.. mais certains médecins (et autres commerçants d'ailleurs) refusent les moyens de paiement légaux .. c'est une infraction à la loi qui devraient être sanctionnée; par ailleurs ils ne font pas tous le tiers payant et enfin la coordination MSA/SS avec les mutuelles est très aléatoire...
Notre fille majeure handicapée est sous curatelle.. Obtenir la curatelle et la reconnaissance d'un handicap n'est pas simple , et ensuite le parcours reste semé d'embûches, c'est trop long à commenter ici, mais rien n'est facile et rien n'est fait pour faciliter les choses.. L'allocation adulte handicapée n'est acquise automatiquement qu'avec un taux de 80%. Quand le handicap est de nature psychologique, on a toutes les chances de la voir refusée... mais pour autant le handicapé reste souvent sans ressources et dans l'incapacité de gérer raisonnablement sa situation, donc de faire les démarches pour obtenir d'autres aides. Le curateur est censé l'aider..mais je peux raconter comment cela se passe avec l'UDAF..c'est ubuesque!!! (j'ai cherché à connaitre son budget, et quel était l'organisme de contrôle... aucune information!). Finalement il faut s'en remettre à la justice: elle fait son oeuvre, on arrive à des solutions mais connait les délais et la lourdeur des procédures. et pendant ce temps la famille paye sans qu'il soit tenu compte de son engagement...
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Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Changer nos modes de consommation. En tablant sur la consommation comme premier facteur de croissance, on est dans la fuite en avant. Il faut consommer moins et mieux. Produire en respectant l’environnement, moins de déchets, plus de recyclage, Réduire les transports quotidiens de personnes (travail à distance) et de marchandises … Produire et consommer en utilisant en priorité les ressources disponibles et renouvelables autour de nous et en respectant les ressources naturelles; arrêter le gâchis (emballages, obsolescence programmée, gadgets inutiles..)
Oui
Certes les hivers sont moins rigoureux et les températures sans doute plus élevées en moyenne. Quand on écoute les informations, on constate également qu’il y a de nombreuses catastrophes naturelles, et on ne peut manquer d’être alerté sur ce sujet. On est également sensible à la disparition des espèces, mais est ce cohérent de réintroduire des ours et des loups là on l’on a bataillé pendant des décennies pour les chasser???
Oui
Oui, par un comportement respectueux de la nature et de vie en société: trier les déchets, ne pas les jeter n’importe où; éviter d’acheter des matières non recyclables; prendre les transports en commun quand on le peut; ne pas utiliser de produits toxiques; manger sain, cuisiner…économiser l’eau, limiter les consommations d’électricité…
- Une forte action pédagogique des pouvoirs publics pour faire prendre conscience d’une urgence collective - Une politique environnementale sur le long terme lisible et cohérente. Le politique doit primer sur l’économique Par exemple, - Eduquer les enfants dès le plus jeune âge pour faire entrer le nouveaux comportements dans les familles (étendre l’instruction civique à l’instruction écologique). Développement du transport routier au lieu de ferroutage.. ou la marche arrière sur le diesel
1 - Du point de vue politique, que les directives de l’état et les stratégies des entreprises montrent l’exemple (sur le plan de la production comme du commercial) Ne pas proposer à la vente des produits nocifs pour l ‘environnement Eviter d’importer ce qu’on peut trouver sur place ( ex: interdire ou surtaxer l’huile de palme) 2 - Prendre à la fois des mesures - qui pénalisent les comportements non respectueux de l’environnement, (on le fait pour le tabac- santé publique, pour les excès de vitesse -sécurité publique…on peut le faire avec la même détermination sur l’écologie) ex: :pollueur payeur …les entreprises sont à sanctionner et à contrôler en premier lieu, - et qui accompagnent et valorisent (récompensent) les comportements respectueux de l’environnement (exemple proposer les voitures électriques à un prix bien plus avantageux que diesel -sous réserve qu’on nous éclaire sur la pertinence de cette technologie sur le long terme -je fais allusion à la question du recyclage des batteries et leur perspectives d’autonomie-). 3 - simplifier les aides qui sont de véritables usines à gaz… let les faire distribuer par les fournisseurs pour que le prix final soit simple, clair, certain, sous contrôle et convaincant pour le citoyen. (et c’est plus facile de contrôler les pratiques des distributeurs que les éventuels erreurs, négligences ou abus des milliers de citoyens). En résumé: Une technologie au point, des entreprises qui apportent le bon conseil, ne cherchent pas d’abord à faire du business et qui ne déposent pas le bilan pour échapper à leurs responsabilités (expérience vécue)
Oui
individuellement, le retour sur investissement est beaucoup trop lointain.Une solution possible: la fourniture collective d’énergie renouvelable (solaire , éolienne ...) pour le quartier ou la commune???
Non
qu'elles existent!
Les transports en commun
la région, la communauté de communes , la commune
Politique européenne cohérente et priorité aux échanges européens. Cofinancer un plan d’investissement pour changer les modes de production. Prioriser l’uniformisation des pratiques européennes. Concentrer nos aides à l’international sur l’aide à la production sur place avec des méthodes respectueuses de l’environnement, dans les pays que nous aidons. Taxer les produits importés qui dégradent l’environnement
L’écologie est un sujet éminemment scientifique. Le citoyen ne peut qu’écouter ce qu’on lui dit, et le croire ou non. Mais il ne faut pas lui demander de changer ses comportements alors qu’il est englué dans une société de consommation entretenue par les politiques et les industriels et hélas aussi des mafieux. Il est le dernier responsable et le payeur final. L’état et les entreprises doivent donner la ligne à suivre et donner l’exemple…inciter former montrer, accompagner…le reste suivra. Ex fabriquer des emballages biodégradables et se limiter à l’utile et pratique… sanctionner l’obsolescence programmée; Eviter d'écrire fumer tue sur les paquets de cigarettes et continuer à se soumettre aux lobbies. En cette matière, le politique doit primer sur l'économie. Donc pour initier de nouveaux comportements, il faut: Parler vrai, clairement et avec des propos cohérents sur le long terme et pas en naviguant à vue. Former les citoyens à des comportements respectueux de la nature des le plus jeune âge, et ensuite par la communication et l’information Encourager les politiques industrielles écologiques et sanctionner les mauvaises pratiques Rechercher une cohérence en Europe et dans le monde ( je constate qu’on avance au moins dans la déclarations d’intentions) Simplifier la vie du citoyen en lui évitant d’avoir à tout moment à arbitrer dans ses choix de consommation…si on ne lui propose que ce qui est bon, cela sera plus facile..mais hélas, on va plutôt dans le sens contraire en lui faisant payer cher ce qui n’est pas toujours écologique, en le taxant de sucroît pour le décourager, alors que le pauvre n’a pas souvent le choix!!!
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