Aux élus : maire et conseillers municipaux, députés. Au président de la république (dans une moindre mesure, car il est seul représentant de tous les français). Et au gouvernement.
Oui
Il faut savoir écouter toutes les sources : syndicales, ONG, sciences. Cela ne veut néanmoins pas dire être d'accord avec tous. C'est la représentation nationale qui doit trancher, si possible avec des données les plus fiables possibles (science), sans nier le côté politique de chaque décision.
Ne jamais se lasser de faire de la pédagogie. Travailler sur des solutions pour lutter contre les fake news. Les plus efficaces sont probablement d'ordre éducatives, mais demandent des générations avant d'en voir les effets.
Une bonne chose
Cela permet d'avoir des députés et des élus locaux plus focalisés sur leur rôle. Il faut néanmoins aussi mettre en place un non cumul dans le temps pour certains postes. Un effet pervers du non cumul est une petite déconnexion de la représentation nationale sur des sujets locaux. Je pense néanmoins que cet effet va s'estomper dans le temps, surtout si des règles de non cumul dans le temps sont mises en place (il est probables que les élus passent tentant de la représentation locale a la représentation nationale).
on pourrait imaginer une part de proportionnelle. Néanmoins elle doit rester faible. Il faut garantir l'efficacité des parlements. Cela veut dire qu'il faut éviter le plus possible de se retrouver avec une majorité relative. Il faut aussi, tout en garantissant les droits de l'opposition, lutter contre les phénomènes préjudiciables tels que l'obstruction parlementaire.
Oui
Si chaque député / sénateur a plus de moyens pour préparer ses dossiers, il semble envisageable de réduire leur nombre. La réforme de fusion partielle des départements / région n'était pas si absurde, et certaines idées pourraient être reprises. Dans certains territoires, intercomunalités et départements pourraient être fusionnés, sur l'exemple de Lyon.
Il est triste que la participation aux élections baisse. Je pense que c'est en grande partie par méconnaissance du rôle du vote. On pourrait imaginer regrouper certaines élections pour limiter le nombre d'appels à aller voter - 4 tours d'elections lors des présidentielles / législatives semblent conduire à l'épuisement de certains. On pourrait aussi déplacer les municipales le jour des européennes pour augmenter la participations aux européennes.
Oui
Je suis assez partagé sur cette mesure. Un vote blanc, c'est laisser aux autres le choix. Néanmoins, on pourrait imaginer qu'a partir d'un taux très important de vote blanc (à définir, mais à minima supérieur au résultat du premier, et on pourrait aller jusqu'a dire représentants 50% des suffrages exprimés), le vote serait annulé. Un nouveau scrutin devrait alors être organisé. De nouveaux candidats pourraient être proposés pour ce scrutin. Lors de ce second scrutin, le vote blanc ne pourrait être pris en compte.
Je pense que les mesures de démocratie participative sur internet mises en place par le gouvernement actuel (retraites, grand débat, égalité H/F,…) vont dans le bon sens. Dans tous les cas, la décision doit être prise par des élus - mais il est utile de faire participer les citoyens à cette décision.
Non
None
None
None
None
None
Je pense que la loi est déjà très équilibrée sur le sujet. Il faut surtout éviter d'instrumentaliser le débat, et de déformer la laïcité. La laïcité n'est pas l'absence d'expression religieuse dans l'espace public.
L'éducation doit être la première solution.
La participations des plus jeunes aux décisions de la cité me semble être des solutions utiles (conseils de jeunes). Il serait bien que les outils de démocratie participative (conseils de quartiers, conseils d'anciens, …) ne soient pas dévoyés de leur but initial en étant transformés en outils de communication politique.
La fraternité, le respect des lois, des autres, des différences.
Valoriser encore plus le bénévolat, peut être dès le plus jeune âge. Pourquoi pas le valoriser au niveau de certains diplômes / concours (quelques points en plus - épreuve optionnelle).
None
Harcèlement de rue, comportements de certains dans le transports publics, dégradations des biens publics. Il faut une tolérance zéro sur ces sujets - et là encore de la pédagogie
Tolérance zéro - tout en expliquant les raisons de cette politique. Favoriser les peines alternatives, si possible en lien avec l'infraction commise. Par exemple, entretenir l'espace publique en cas de dégradation.
Il faudrait stopper l'individualisme et que chacun se sente responsable de la vie de la cité.
None
None
Non
None
La politique migratoire est instrumentalisée par les partis extrémistes, mais l'immigration n'est actuellement pas importante en France comparée à d'autre pays. Il ne faut pas revenir sur nos principes intangibles d'accueil des populations en dangers, il faut continuer a défendre la famille en ne les séparant pas par des règles d'immigrations absurdes, etc. Néanmoins, cela n'empêche pas l'angélisme. Il faut que les personnes accueillies veuillent s'intégrer dans notre république, et que l'immigration illégale ne soit pas en défaveur des personnes présentes légalement sur notre territoire.
Non.
Que l'on répète inlassablement les faits : non, en france l'immigration n'est pas massive comparée au reste de l'OCDE.
L'intégration la plus efficace, c'est le travail. L'école, la vie associative, culturelle sont aussi d'autre moyens de s'intégrer sur un territoire. C'est valable pour un immigré, comme pour un français venant de changer de région.
Il ne faut PAS mettre en place le RIC. Le RIC est un danger pour la démocratie. Si un président élu avec 20 millions de voix ne peut mettre en place son programme à cause d'un RIC qui ne recueillerait que 15 millions de voix (par le jeu des participations), où serait la démocratie? La démocratie représentative permet plusieurs choses que la démocratie directe ne permet pas : - une cohérence des politiques publiques - une responsabilisation de la prise de décision - une adaptation à un environnement qui peut changer Sur le RIC, il est certain que la participation sera boostée par les camps aux extrêmes. Au final, ce sont eux qui prendraient le pouvoir en France.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
La taxe carbone était une bonne mesure. Il faut la remettre en place, quitte à mieux accompagner les ménages a faibles revenus (avec un chèque énergie, des aides a la transition vers des moyens de transports moins polluants, …). Il doit être recherché des solutions pour que chaque moyen de transport soit touché par une taxe carbone proportionnelle à son impact sur le climat (avion, bateau), mais cela ne peut être un préalable au retour de cette taxe.
Non
None
Oui
En limitant les déplacements - et en favorisant les moyens de transports les moins polluants, en limitant les déchets, en valorisant l'économie circulaire.
En tant que cycliste et piéton, je ne peux que constater que dans de nombreux lieux, la voiture est le moyen de transport pivillégié
None
Oui
Mon moyen de chauffage est déjà assez écologique, la différence ne justifie pas l'investissement.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
None
None
None
None
Votre message a bien été envoyé.