Une bonne information simple, accessible et compréhensible par tous désamorcerait sans doute bien des conflits. Présenter sous forme de tableaux illustrés, simples pour expliquer graphiquement comment sont utilisés les revenus générés par les impôts. Pour illustrer la solidarité sociale, expliquer le coût réel par exemple de la scolarité, ou des soins et le prix payé par l'usager. Sur le même principe communiquer de façon très transparente sur les revenus (et charges) des élus et des commis de l'état. Utiliser tout ce qui peut faciliter la compréhension. La vérité est toujours bonne à dire pour apaiser le climat social. Expliquer ce qu'est l'ISF, qui le paye, à partir de quel revenu (là aussi illustrer : combien de smic, combien de maisons…).
Prélever les impôts à la source pour tous les sportifs (quelle que soit la discipline) qui jouent en équipe de France qu’ils résident ou non en France. Trouver un système équivalent pour les artistes de nationalité française. Idem pour les grands capitaines de l’industrie. Toutes ces personnes génèrent de la richesse et cela profite à beaucoup de personnes par ruissellement mais il faut trouver des formules plus équitables. Motiver financièrement (salaires, charges, impôts) les travailleurs créé aussi de la richesse. Proposer un pacte républicain de solidarité aux grandes fortunes françaises par une contribution volontaire exceptionnelle en 2019 qui servirait à financer un grand projet social. Par exemple créer des lieux de parole libre. En plus d'aider l'état, et donc les citoyens, ce geste serait un signe fort de solidarité qui faciliterait la réconciliation nationale. Rétablir l'ISF pour ceux qui n'ont pas investi dans l'économie réelle. Faire participer TOUS les citoyens à l’impôt sur le revenu. Même de façon symbolique pour que chacun sache qu'il profite mais aussi qu'il participe. Par soucis d'équité, prendre en compte dans le calcul de l'impôt sur le revenu les avantages en nature (notamment comités d'entreprises grands groupes, collectivité). Réduire sérieusement les avantages des anciens présidents de la république. Mais également des députés et sénateurs. À la fin de leur mandat, leur laisser 60% de leur salaire pendant maximum un an le temps de se réorganiser.
Ceux qui pénalisent les plus faibles dans leur quotidien. Proposer des abattements (sur justificatif) pour inciter TOUS les citoyens imposables à investir dans les entreprise et pas uniquement pour ceux assujettis à l’ISF.
Imposer les bénéfices générés par les entreprises qui ont bénéficié d'aides (locales, état, Europe…).
Il faut des aides plus incitatives par rapport à l'emploi. Accompagnées de formations efficaces et en accord avec les attentes du marché de l'emploi. Des formations qui "réhabilitent" le travail, qui donnent l'envie de travailler pour soi mais aussi pour le développement des entreprises et donc l'enrichissement de la société française.
L'éducation et la santé. Bien expliquer que ça n'est pas un dû automatique mais une spécificité française à laquelle chacun doit participer à son niveau et selon ses possibilités réelles pour la préserver.
Les deux piliers du système français : l'éducation et la santé.
Pour ceux qui sont en responsabilité, avoir toujours présent à l'esprit leur devoir d'exemplarité. Qu'ils adoptent une attitude irréprochable. S'ils trichent = tolérance zéro.
Aux élus que j'ai choisis et pour qui j'ai voté.
Oui
Après le Grand Débat, proposer un vrai pacte social et républicain qui implique beaucoup de structures différentes pour centraliser les "remontées" du terrain. Il faut créer des passerelles entre ces diverses structures, les inciter à travailler ensemble, à faire remonter les remarques, les doléances des citoyens. Peut-être créer des outils communs pour recueillir des informations utilisables rapidement grâce à des grilles de lecture prédéfinies. L'idée serait d'avoir un baromètre de la société, de pouvoir "sentir" le climat social et répondre rapidement pour éviter qu'il se dégrade. Quelques exemples de structures : Les associations de proximité (immeuble, quartier, sportives, culturelles, loisir). Elles ont l'avantage d'être au contact des "gens" avec leur problèmes et leur envies au quotidien et cela sans filtre. Les syndicats (travailleurs et patrons) en les réformant pour qu'ils soient plus engagés dans une représentation des salariés plutôt qu'à défendre leur prés-carré. Les associations professionnelles : organismes de représentation, les associations corporatistes, mais aussi les clubs…
Après le Grand Débat, sceller le "Pacte de confiance". - Rappeler à tous les élus, responsables de cabinets, chefs de services … leur devoir d’exemplarité. - Communiquer en toute transparence pour éviter de donner prise aux complotistes. - Préserver et sans doute réformer les instances existantes : députés, sénateurs. Mettre à plat les fonctions et les fonctionnements, mieux équilibrer les pouvoirs, réduire leur nombre. - Parallèlement, créer des instances officielles d’expressions et de régulation populaires. Par exemple, au niveau national, un groupe de citoyens lambda tirés au sort qui se réunissent régulièrement pour réagir à propos de décisions importantes ou pratiques, la préparation de certaines lois par exemple. Pour qu'elles aient les moyens d'agir en connaissance, il faudrait structurer ces instances avec un service d’accompagnants spécialisés selon les sujets , indépendants et régulièrement renouvelés. - Cette structuration peut fonctionner également pour des décisions plus locales. Cela permettrait une lecture « populaire » qui peut apporter un regard et un éclairage différent et complémentaire à celui des élus. Régulateurs et lanceurs d'alerte, ils seraient une représentation citoyenne directe et indépendante. Il ne faut surtout pas que ce soit un alibi. Sans avoir un pouvoir de blocage si leurs remarques et propositions sont pertinentes il faut que cela ait une suite tangible.
Une bonne chose
Les élus sont concentrés sur leurs tâches spécifiques. Le citoyen a un interlocuteur pour chaque "niveau".
Après le Grand Débat, le débat permanent. Introduire progressivement de la proportionnelle. Instaurer des lieux de paroles et de débats publics, favoriser l'organisation de réunions publiques en prolongement du Grand débat. Faciliter la prise de parole et le débat direct entre citoyens en créant des Agoras sur les places des villages, dans les jardins publics, sur les campus, sur les plages… partout où c'est possible. Accompagner les projets transversaux qui facilitent l'échange entre porteurs d’opinions différentes.
Oui
Trop de communes en France. Réduire leur nombre en faisant des regroupements. Moins de communes = moins d'élus et économies d'échelle. Réduire le nombre d'élus des départements. Regrouper certaines compétences région, département commune.
Pour chaque élection l'État dans sa neutralité doit délivrer une information plus simple et plus complète sur les enjeux. Étudiants, travailleurs, intellectuels, manuels, quel que soit l'âge, la condition sociale, l'implantation géographique, chaque citoyen doit se sentir concerné et pour cela il doit en comprendre les enjeux. Profiter des réseaux sociaux mais aussi privilégier le contact humain direct. Pour les élections créer des "boutiques citoyennes" où chacun peut s'informer et repartir avec sa boîte à outils de décryptage des enjeux. Pou renouer avec la confiance des électeurs : - Les élus doivent se rappeler tous les matins leur devoir d'exemplarité ! La transparence et bien sur l’honnêteté, la rigueur, autant d'attitudes qui doivent devenir la règle pour tous les élus. Aucune clémence pour ceux qui transgressent les règles.
None
Je n'ai pas d'avis mais je pense que cela mérite réflexion. Les votes blancs témoignent d'une mobilisation même s'ils sont un non choix. Choix injuste pour le votant car sa voix profite au candidat le mieux placé.
Proposer au niveau local des réunions publiques avec une réelle écoute. Pas des réunions où les élus déroulent leur communication sans laisser la place aux questions ou suggestions. Pas des réunions d'autosatisfaction comme c'est souvent le cas. Instaurer des systèmes (numériques ?) qui permettent de s'exprimer pour ceux qui ne sont pas à l'aise dans une assemblée, pour ceux qui poursuivent la réflexion les jours suivants. Créer un conseil citoyen de gens tirés au sort qui ont en main tous les compte-rendus et exercent un droit de suite.
Oui
Préserver le coté exceptionnel par un encadrement juridique qui évite le foisonnement et la dispersion. Qui évite également le blocage du fonctionnement des institutions par des groupes de pression organisés.
Créer un conseil citoyen de gens tirés au sort qui ont en main tous les éléments et exercent un droit de suite. Accompagnés et soutenus pédagogiquement par des experts indépendants. Avec le retour d'expérience du Grand débat, mettre en place des consultations régulières simples et directes.
Le sénat je ne vois pas bien vu qu'ils ne sont pas élus d'un vote direct du citoyen.
Oui
Le sénat aujourd'hui me semble-t-il défend les intérêts de ses électeurs ; qui sont eux-mêmes des élus. Il devrait avoir moins de pouvoir (et moins d'élus).
Gérer les rapports entre l’État et les représentants des différentes religions avec rigueur et de façon totalement équitable. Exiger des pratiquants un respect total des règles de la laïcité et des principes républicains. Exiger que l'enseignement des valeurs fondamentales de la laïcité et de la république soit intégrés à la formation des responsables religieux. Ne pas hésiter à sanctionner sans discrimination mais avec fermeté ceux qui transgressent les lois.
Après le Grand Débat, le Contrat National. C'est dès le plus jeune âge, à l'école, mais aussi dans les structures fréquentées régulièrement par les jeunes (club sportif, centre culturel, …) que doivent être enseignées les valeurs intangibles de la république. Il faut les répéter inlassablement à chaque occasion (remise de diplôme, remise de coupe, présentation des vœux, organisation d'une manifestation…). Remettre à toutes les associations (bénévoles, professionnelles…) un document qui explicite les valeurs. Il faut les rappeler à chaque étape de la vie (rentrée scolaire …). Il faut s'appuyer sur les sportifs de haut niveau, les artistes … plus globalement sur ceux qui font fantasmer et enthousiasment les jeunes. Leur parole est écoutée, aussi doivent-ils contribuer à véhiculer et affirmer ces valeurs. Il faut également rappeler clairement les valeurs à ceux qui ont un comportement "limite" et qu'ils soient informés des peines encourues le cas échéant. Impliquer les structures religieuses qui doivent s'engager à expliquer et soutenir les valeurs de la république.
Un grand projet (défit) national et en même temps des choses simples. Proposer un contrat de société. Qui dit contrat dit engagement et implication réciproque : État/citoyen. Remobiliser par ce contrat toutes les bonnes volontés silencieuses, resserrer les liens individus/élus, réveiller les envies de s'impliquer. Enthousiasmer les jeunes par des défis à relever. Investir sur l'avenir par exemple en créant les conditions pour que tous les jeunes (apprentis, lycéens…) puissent partir six mois ou un an à l'étranger (type Erasmus). Faciliter la mixité sociale. Relancer l'ascenseur social. Le service civique, service national sont des dispositifs essentiels pour faciliter la rencontre et le brassage entre des jeunes gens d'origines sociales différentes, de confessions différentes, de niveaux scolaires différents. Partager des expériences de vie peut faciliter l'écoute, la découverte et l'acceptation de la différence. Tout ce qui est source de connaissance participe à l'apaisement des relations. Investir sur la fraternité.
Valoriser les gestes et attitudes simples du quotidien qui permettent la cohabitation de communautés ou d'individus très différents. Profiter de moments (coupe du monde) et d'individus exceptionnels pour mettre un éclairage particulier et fort (naturalisation du sans papier après l’attentat au magasin casher).
Comme pour les valeurs de la république enseigner, expliquer inlassablement dès le plus jeune âge. Valoriser les jeunes qui ont des comportements exemplaires. Recueillir leurs témoignages pour le partager avec ceux qui "dérapent". Repérer et réagir fortement aux premières incartades. Favoriser le partage d'expériences. Organiser (ou faciliter) des rencontres entre "anciens" et jeunes. Des rencontres simples et ludiques entre université populaire et pique nique informel. Solliciter les associations de retraités, lancer un appel aux bonnes volontés…
None
Pour lutter contre les incivilités, il faut éduquer les plus jeunes. Peut-être mettre en place des outils ludiques (applications, jeux pour smartphones…). Créer des "brigades" d'anciens qui interviennent pédagogiquement auprès des jeunes dans les écoles, les centres de formations… Lorsqu'on est jeune et un peu "rebelle" on est en approche frontale avec les adultes mais souvent plus perméable "aux vieux" qui en plus leur témoignent plus d'empathie.
Il y a plusieurs nivaux d'incivilités. On pense immédiatement à des comportements identifiés et répréhensibles. Pour celles-là il faut faire encore et encore de la prévention. Par exemple par des travaux d'intérêt général soutenu par des discussions pédagogiques. Là encore pourquoi ne pas "utiliser" des figures populaires chez les jeunes et la population. Selon l'incivilité permettre la rencontre et la discussion entre les protagonistes. Sans être "bisounours" certains peuvent ainsi se rendre compte que l'autre n'est pas si différent, qu'il existe des terrains d’entente, des préoccupations communes … Sanctionner en cas de récidive. Trouver des sanctions "positives" pas uniquement répressives. Il y a aussi les comportements d'incivilités plus "sournois" que chacun à pu commettre et/ou expérimenter. Se garer en double file, ou sur un trottoir, se faufiler pour gagner des places dans une file d'attente, avoir une attitude méprisante vis à vis d'un quidam, prendre le trottoir pour un vélodrome, … des incivilités qui créent un climat délétère mais ne sont jamais sanctionnées car considérées comme mineures par rapport à celles citées plu haut. Elles sont souvent commises par des gens suffisants qui dénoncent les incivilités de "la racaille". Il y a là un vrai sujet. Il faut réfléchir à l'identification de ces incivilités "sournoises" à leur dénonciation et pourquoi pas à leur répression.
Si l'on est parfois témoin ou victime, on se sent démuni et la première réaction c'est souvent la peur d'envenimer la situation.
Les comportements individuels dans le quotidien.
Les discriminations sont souvent liées à la méconnaissance de l'autre et/ou à la peur générée par la différence. Tout ce qui peut faciliter le "brassage" de populations, tout ce qui permet de partager avec les autres augmente le seuil de tolérance. La rencontre et l'échange sont essentiel et générateurs de modération. Il faut accompagner toutes les initiatives qui rapprochent les gens différents. Il faut éviter les ghettos et quand ils existent, les réduire sinon les détruire. Il faut imaginer des structures, des occasions pour que les gens se croisent, se parlent, partagent des activités. Campagne/ville, quartiers difficiles/quartiers bourgeois, ouvriers/cadres, salariés/entrepreneurs, agnostiques/croyants (quelque religion que ce sot), fan de foot/fans de rugby… réunir le plus souvent possible les opposés et les contraires. Réparer et relancer au plus vite l’ascenseur social !
Oui
Il faut faire prendre conscience à ceux qui en bénéficient que ce n'est pas un dû. C'est un contrat social. Si je reçois des aides c'est que d'autres personnes ont alimenté une caisse par leurs contributions quelles qu’elles soient (impôts…). Il faudrait déjà expliquer le principe des vases communicants et dire qu'il n'y a pas de fatalité. Faire signer un reçu ou pourquoi pas un contrat. Pour faciliter la prise de conscience. Trouver un système donnant/donnant qui implique sociétalement celui qui reçoit une aide. Pour motiver ceux qui se sentent "perdants" ou qui traversent une mauvaise passe les mettre en relation avec des personnes de leur âge qui ont réussi. Démontrer par des témoignages, par exemple, que c'est plus valorisant d'être donneur que receveur.
Difficile car ce n'est pas la politique migratoire qui gère le flux des migrants. C'est la nécessité et la survie (guerre, dérèglement climatique, famine…). Il faut trouver l'équilibre entre humanité et capacité d'accueil.
Que vaut le législation face au désir de survivre ? Et en même temps il faut un cadre légal.
Préparer la population au fait que cela va durer. Surement que la réponse est plus à construire au niveau de l'Europe en coordination avec les pays limitrophes.
Valoriser et utiliser les capacités et les compétences des migrants pour les intégrer plus facilement. Ainsi la collectivité profite aussi. Un contrat donnant/donnant, gagnant/gagnant. Accompagné d'un contrat d'engagement républicain.
Créer des structures intermédiaires qui impliquent directement les citoyens. Pour qu'elles soient représentatives, les participants seraient tirés au sort avec un renouvellement annuel pour éviter qu'elles se sclérosent. Les bénéfices seraient multiples : formation civique, responsabilité, engagement, indépendance, crédibilité, gestion et implications plus transversales. Cela renforcerait le sentiment d’appartenance à la France, permettrait de participer concrètement à sa marche. C’est aussi une reconnaissance pour les individus participants et ceux qui se projettent en eux. Ces structures peuvent exister à toutes les strates décisionnelles : Mairies ou communautés de communes, département, région, assemblée nationale… Ces structures travailleraient directement avec les élus et joueraient un peu la mouche du coche. Leur rôle régulateur et leur fonctionnement devrait "réhabiliter" la politique et remobiliser globalement les électeurs tout en crédibilisant les élus. Notre société compte de plus en plus de retraités. Certains sont isolés, d'autres s'impliquent dans des associations. Pourquoi ne pas leur proposer un pacte. Le pacte des ainés. Ils ont des compétences, des savoir faire, qu'ils peuvent partager, mettre au service de la société. Surement aussi au service des jeunes. Ils sont plus disponibles. Ils sont plus libres dans leurs propos et leurs actes car ils n'ont plus d'enjeux professionnel. Créer les conditions et le cadre pour qu'ils puissent s'impliquer dans la vie sociale. Utiliser leurs compétences, leur expérience pourrait enrichir la société et les valoriseraient.
Compresser le mille feuille. Regrouper des services. Simplifier l'identification du service interlocuteur en fonction de la demande du citoyen.
Oui
Tout ce qui concerne les démarches de proximité et du quotidien.
Oui
None
Toutes les démarches basiques et simples qui peuvent être automatisées (comme la demande de carte grise).
Non
None
None
None
None
Oui
Non
None
None
Oui
Par des formations complémentaires qui lui permettent d'élargir son champ d'action.
Oui
Adapter le fonctionnement de l'administration aux besoins des usagers et non l'inverse. Par exemple plus de souplesse dans les horaires d'ouverture adaptés aux disponibilités des travailleurs. Pour faire gagner du temps à tout le monde, pour certains dossiers, pouvoir préparer le dossier en amont sur Internet.
Faire preuve de plus de souplesse pour s'adapter aux attentes des citoyens et aux réalités du terrain. En rendant mobiles certains services : bus pôle emploi, camping car médical, …
None
None
None
La CARSAT a été efficace. Le RSI un parcours du combattant galère.
Totalement satisfait.
None
Complexité des démarches. Manque de prise de risque de la part des banques. Manque de pertinence de la part des services chambre de commerce. Décalage entre les propos des conseillers et la réalité du terrain.
Je n'ai jamais eu de propositions de pôle emploi. J'ai toujours recruté par moi même ou en faisant jouer mes relations. J'ai monté des dossiers pour des embauches spécifiques, assujetties à des aides, avec la Région dont les services ont été efficaces.
Manque de suivi pour les apprentis et les contrats professionnels.
Petit problème avec l'URSSAF. Le système est trop complexe, on peut commettre des erreurs en étant totalement de bonne foi. Il faut SIMPLIFIER les règles du jeu pour les rendre accessibles à tous.
J'ai voulu me faire accompagner dans la transmission de mon entreprise par la chambre de commerce. La personne référente voulait imposer ses analyses et sa méthodologie alors qu'elle ne connaissait rien au secteur d'activité. Son intervention auprès d'un repreneur à carrément fait capoter la vente.
None
None
Hélas tous ces domaines posent problème et sont liés. Il faut essayer de construire des réponses globales.
Considérer l'ensemble des problèmes identifiés et leur inter-action. Combiner la théorie du colibri et des mesures plus globales et plus radicales.
Oui
Les "caprices" de la météo : températures anormales, précipitations diluviennes ou au contraire longues périodes sans précipitations.
Oui
Tri des ordures. Compostage = je sors mes poubelles moins souvent. Je suis plus attentif pour mes consommations : eau, gaz, électricité. En ville, je ne me déplace qu'en vélo ou à pied. J'utilise les transports en commun. J'ai recours au covoiturage pour mes loisirs.
Avoir accès à des informations simples, claires et qui proposent des solutions efficaces. Peut-être éditer de petits guides écologique à usage familial : ma maison, mes déplacements … d'autres spécifiques pour les entreprises. Guides illustrés qui identifient les problèmes et mettent en vis à vis des réponses simples et efficaces. Guides accessibles sur Internet.
None
Oui
Il faudrait me proposer un bilan énergétique objectif et fiable effectué par un professionnel indépendant mais qui ne propose pas de solution commerciale. Un bilan-diagnostic qui permette d'identifier les problèmes d'isolation ou d'équipement et propose des solutions argumentées. Pour m'inciter à améliorer ou changer mon système de chauffage, il faudrait me proposer des aides financières (déduction d'impôts au autre) calculées en fonction du coût et de mes revenus.
Oui
Adapter le coût des transports en commun proportionnellement aux revenus de l'utilisateur. Un coup de pouce pour l'achat d'un vélo. Pour le covoiturage et l'autopartage mettre en place des incitations financières. Ces incitations peuvent passer par les entreprises employeurs. Réfléchir à des partenariats avec les constructeurs. À problème global chercher des réponses globales.
Les transports en commun|Le covoiturage|L'auto partage|Le vélo
Les collectivités locales en priorité. C'est peut-être également un nouveau marché pour des entreprises innovantes. Le tissu associatif doit avoir également un rôle à jouer dans ce domaine.
Créer une structure européenne qui mette en commun les analyses, les expériences, et travaille à la recherche de solution novatrices. Sorte de laboratoire expérimental, peut être indépendant.
Il faudrait développer le ferroutage et réglementer le transport routier. Un camion qui traverse la France devrait obligatoirement être aiguillé vers le ferroutage. Pour ce qui est du vélo, il est important que les villes mettent en œuvre un réseau conséquent de pistes cyclables sécurisées. Il faudrait également alerter les cyclistes sur leurs responsabilités et les conséquences de leurs comportements. Obliger les constructeurs de vélos (ou les revendeurs) à fournir avec chaque vélo vendu un petit fascicule expliquant la législation et les bonnes pratiques.
Votre message a bien été envoyé.