Faire un tableau simple RECETTES et DEPENSES du budget de l'Etat (RECETTES : IR + IS + TVA +autres impôts + autres recettes non fiscales ET DEPENSES : Etat et territoires + Education/recherche + Défense + autres ministères + autres dépenses + remboursement de la dette). Mettre en exergue le déséquilibre et le poids des intérêts de la dette. Puis affiner par une courbe sur la progression de cette dette sur les 40 dernières années et faire "un camembert" sur le coût des fonctionnaires (salaires, retraite, fonctionnement). Envoyer cette mise au point avec la déclaration papier des impôts, le placer sur le site web du gouvernement, le diffuser dans les médias etc.. Il est tout de même effarant qu'une majorité de français n'est aucune idée des "chiffres" du budget de l'Etat. Les différentes aides de l'Etat, des régions, des communes aux particuliers doivent être regroupées. Là encore , le maquis est trop important.
Tout le monde doit payer un impôt sur le revenu. Débuter la première tranche à 10 ou 20 euros euros par an, mais il faut marquer les esprits et que tout le monde se sente concerné. Abaisser de 1% ou 2% toutes les tranches en vigueur et ainsi rajouter une tranche (celle de 48% passerait à 46 %) à 50% pour les gros salaires. Remettre à plat les différentes TVA et n'en faire que 4 (2%, 8%, 15% et 21% par exemple). Augmenter les différentes TVA de 1 ou 2 point (et abaisser la TVA sur les produits de première nécessité) pourrait permettre de faire rentrer de l'argent dans les caisses de l'Etat, la mesure à 21% pouvant être annoncée pour 2 ou 3 ans seulement. Augmenter le SMIC de 10 ou 20 euros/mois pour que les petits salaires ne soient pas pénalisés par un prélèvement d'impôts de 10 ou 20 euros annuels. Puisque que vous avez commencé, il faut supprimer la taxe d'habitation pour tous et peut-être augmenter la taxe foncière pour les biens de plus de 700 000 euros. Vous pourriez jouer sur la TVA également pour les petits commerces qui s'ouvrent de nouveau en centre ville, afin de relancer ces centres ville désertés et qu'ils soient compétitifs par rapport aux grandes surfaces.
Actuellement, et compte tenu du contexte, il faut baisser l'impôt sur le revenu. Bien qu'il ne rapporte pas tant que cela c'est le seul connu par les français.
Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
La rémunération du chômage selon l'âge des personnes (allant de 2 mois pour un jeune d'une vingtaine d'année et 2 ans pour une personne de 55 ans ayant travaillé toute sa vie) Concernant les aides familiales, il est certain que les contrôles doivent être plus rigoureux.
La santé de manière générale et les conditions de vie des personnes âgées à petites retraites.
Le renforcement de l'éducation professionnelle pour les jeunes de 16 à 20 ans. Les conditions de vie pour les personnes âgées à petites retraites. Pour la protection de la planète (mais actuellement rien de sérieux n'est proposé, la cacophonie des propositions est trop importante).
Il faut vraiment qu'une personne qui travaille gagne plus qu'une personne en bonne santé qui est au chomage.
Le Président de la République doit donner les grandes orientations sociétales, économiques et géopolitiques. Le Maire, élu démocratiquement, est normalement au plus près de ces concitoyens et répond au mieux à ses attentes. Il faut simplifier toutes les représentations étatiques et garder REGION, DEPARTEMENT, COMMUNE. Il faudrait néanmoins accélérer la fusion des communes, mettre en commun les moyens administratifs et logistiques. - Créer des maisons de service public en réponse aux situations d’isolement. - Recentrer les responsabilités sur les régions et sur les communes nouvelles dans une répartition des activités tenant compte l’exigence plus ou moins grande de proximité avec les administrés. - Supprimer en conséquence les communautés de communes -qui ne font que déresponsabiliser et ajouter à la dépense.
Non
Il faut réinventer le syndicat professionnel. Toute ma carrière professionnelle (éducation nationale) j'ai vu les syndicats réclamés "des postes et des sous", sans analyse fine des problématiques et surtout sans réflexion sur l'avenir. Et voilà où nous en sommes.
Le Président doit s'adresser à ses concitoyens au moins deux fois par an pour rendre compte de ses actions. Compte tenu du contexte actuel, trois fois par an semble le minimum. Le Maire, le Président du département, le Président de région doivent s'adresser à leurs élus au moins deux fois par an, pour rendre compte de leurs travaux particuliers et communs. Ces derniers le font souvent par une lettre dédiée. Celle dernière doit être obligatoire.
Je ne sais pas
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C'est très compliqué. La cacophonie actuelle montre combien cela est difficile. Nous pourrions imaginer que les différentes commissions du parlement arrivent, en concertation, a des consensus. Mais nous sommes dans une ère ou celui qui parle le plus fort à raison. Le parlement serait pourtant la meilleure instance pour arriver à des compromis.
Non
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Il faut d'abord s'assurer que les citoyens soient bien informés des enjeux avant de les faire voter ! Les 30% ou 40 % qui ne votent pas sont-ils bien insérés ? bien informés ? Si c'est pour se retrouver avec 30 ou 40% de vôtes aléatoires, nous serions bien avancés !!
Oui
Si les gens se sont déplacés et ont voté blanc, cela signifie qu'ils ne sont pas en phase avec ce qui leur est proposé. C'est ensuite aux Politiques élus d'en tenir compte.
Faire un "référendum de consultation", sous forme dématérialisée et a distance, ce qui permettrait au plus grand nombre de participer facilement. Le but étant de donner l'avis du peuple au gouvernement. La décision finale reviendra au gouvernement, qui aura tous les éléments en sa possession (données techniques des experts, etc.. ainsi que l'avis des concitoyens).
Oui
Faire un "référendum de consultation", sous forme dématérialisée et a distance,
Faire un "référendum de consultation", sous forme dématérialisée et a distance,
Visiblement personne ne sait à quoi sert le conseil économique, social et environnemental. Concernant le Sénat, leur dernière commission d'enquête ne les fait pas sortir grandi pour leurs travaux. Nous avons vu des hommes et des femmes diplomatiquement haineux, à charge, se régalant des petites phrases et des insinuations.
Oui
Nous n'avons pas besoin de tant de sénateurs. Revoir leur composition et leur âge.
Il faut remettre en place les leçons de morale dans les petites classes pour aider au vivre ensemble (école primaire et collège). Ces dernières sont les mêmes dans toutes les religions. Les professeurs d'histoire.géographie doivent expliquer les grandes religions du monde. Il faut ré-instaurer les leçons d'instruction civique (collèges et lycées) et expliquer chaque année au lycée les enjeux du budget de l'Etat et des orientations choisies par la France et s'assurer que les enseignants dominent bien aussi le sujet !.
Il faut redonner l'amour de la France. Pour ce faire, l'histoire générale, les grandes conquêtes intellectuelles, le siècle des lumières et expliquer les valeurs de la République. S'assurer là encore que les enseignants sont bien à niveau.
Pour les fonctionnaires, il serait bien qu'un rappel des droits et devoirs soit traduit dans une fiche (et non un livret épais que personne ne lit) , pour tout nouveau arrivant... et distribuer aussi aux anciens. Depuis des années l'on embauche sans rappeler les droits et devoirs des fonctionnaires. De même pour l'attribution de la nationalité française, il est important de distribuer une fiche papier de rappel et de faire une cérémonie officielle où les gens s'engagent.
Rappeler le respect des institutions, le respect des biens publics, le respect des anciens et le respect des femmes.
C'est en effet difficile de re-culturer un pays. Faire des clips télévisés, faire des affichages dans les villes.
Tous les moyens qui permettent de rentrer dans les foyers et expliquer encore et encore.
Nous observons trop de vols (maison particulière, dans les magasins, à la tire...). Les jeunes femmes ne sont plus en sécurité dans la rue.
L'école, les parents, les lieux de culte doivent ré-inculquer ces valeurs. L'Etat et les institutions doivent s'adresser à eux et les obliger à le faire (école et lieux du culte). Concernant les parents, l'Etat pout faire aussi des clips de rappel ou des courriers papier adressés à chacun.
Les maires peuvent faire des campagnes de rappel.
Les vols et le harcèlement des jeunes femmes.
C'est bien sûr compliqué. Le discours du Président de la République doit être ferme et rappeler les valeurs du vivre ensemble. Tout élu doit se les approprier et les répéter encore et encore dans ses discours.
Oui
Quelques heures de bénévolat selon les compétences de chacun.
Actuellement la politique migratoire est correcte et répond (c'est l'impression que j'en ai) aux droits de l'homme et à nos capacités d'asile. Concernant les sans-papiers c'est une autre affaire et nous n'avons pas vraiment les moyens de les empêcher, me semble t-il.
Oui, une politique clairement annoncée est une bonne chose.
Concernant l'Afrique c'est une histoire de long terme. Tant que ces pays n'auront pas relevé leurs défis économiques, nous n'y pourrons rien. L'éducation et la recherche, la santé, l'industrialisation, ne fonctionnent pas ; C'est normal que les jeunes veuillent faire leur vie ailleurs. Tant que ces pays n'offriront pas un avenir professionnel à leur jeunesse, ce phénomène s'amplifiera, d'autant que le taux de natalité est en expansion. Il n'y a pas ou peu de SCIENTIFIQUES en Afrique (et ce sont eux qui créent les activités du secteur secondaire). Le secteur primaire est souvent pris par des consortiums internationaux, et le secteur secondaire est inexistant. Seul le secteur tertiaire est florissant. Concernant les SCIENCES, nous avions fait une petite enquête dans le cadre de mes anciennes fonctions, concernant la désertion des élites" scientifiques" en Afrique. Il ressortait que sur 100 étudiants qui venaient faire un doctorat en pays occidental, 40 étaient des littéraires et historiens/géographes, 30 autour du droit-gestion, 10 d' autres champs disciplinaires et seulement 20 étaient des scientifiques. Si 60% des littéraires, droit ,gestion etc. rentraient au pays, seulement 10% des scientifiques rentraient. Si nous extrapolons sur 40 ans cela explique le peu de scientifiques en Afrique. Et en plus, bien que cela ne soit pas correct de le dire, peu de ceux qui rentraient le faisaient par patriotisme, mais souvent parce qu'ils n'avaient pas été pris en occident. C'est humain, c'est une réalité. Maintenant, compte tenu des moyens financiers dont ont besoin les scientifiques pour monter un labo de pointe, on peut comprendre qu'un jeune docteur scientifique brillant regarde à deux fois pour rentrer chez lui où souvent les labos ne sont pas opérationnels et qu'il sait que sa carrière sera chaotique. Il faut donc bien séparer les champs disciplinaires : - ceux qui ne demandent aucun moyen financier et où les docteurs rentrent au pays auréolés de leur diplôme international (cette majorité à déséquilibrer les sociétés africaines, qui sont de plus en plus sciences humaines que scientifiques) ; - ceux qui demandent de gros moyens (sciences et médecine) financiers. La Chine , par exemple, a misé sur de très grosses universités scientifiques dans lesquelles elle met les moyens. Leurs labos sont très au dessus de certains de nos labos français. Si l'Afrique de l'ouest avait une stratégie plus extra nationale, elle pourrait miser sur 3 ou 4 très grosses universités dans cette région ainsi que sur de gros hôpitaux.. Les salaires en Afrique subsaharinne des enseignants chercheurs ont sérieusement augmenté, il faut le dire, et cela rapatrie certains docteurs. Donc, il me semble essentiel que l'Afrique envoie ses futurs docteurs à l'étranger pour faire leur thèse (il est trop tôt pour encourager que les thèses scientifiques se fassent sur place (sauf exception), car elles ne sont pas toujours au niveau et le refus de certains collègues africains d'accepter l'évaluation internationale en est un bon indicateur), qu'elle fasse tout pour créer qq labos de pointe dans les différents pays, et qu'elle oblige ses docteurs à rentrer. Ceci pourrait se faire sous forme de contrat. Il faut exiger des conventions entre le labo d'accueil et l'université du doctorant. Il ne faut plus laisser les étudiants sans université d'attache en Afrique. Les universités d'origine doivent être responsabilisées sur le suivi de leur doctorant. Aider le Maghreb et les pays d'Afrique sub-saharienne à se structurer économiquement. C'est là que cela doit se jouer.
Là encore, une cérémonie officielle, rappelant les valeurs de la République française doit être imposée à tout demandeur d'asile.
Comme tout français, je suis effarée de voir combien l'islamisme radical est venu empoisonner nos vies. La fermeture de certaines mosquées identifiées comme non conforme à nos valeurs doivent être fermées ou réaménagée, les zones de non-droit dans les cités devraient pouvoir être démantelées. Mais cela est plus facile à dire qu'à faire !!
Il faut revenir à la commune, le département et la région. Supprimer les instances intermédiaires que personne n'a intégré. En s’appuyant sur les rapports de la Cour des Comptes : -supprimer les services administratifs devenus inutiles. - Revoir l’avancement à l’ancienneté et mettre en place partout un management fondé sur la reconnaissance du mérite et encourager la mobilité. - Mettre en œuvre dans chaque administration sans délais les recommandations de la Cour des comptes sur le niveau des effectifs, à la baisse ou à la hausse. - Réduire le nombre des agents de l’Etat, y compris dans l’éducation nationale, sauf pour les armées, les forces de l’ordre et la fonction publique hospitalière. Collectivités territoriales : - Accélérer la fusion des communes, mettre en commun les moyens administratifs et logistiques. - Créer des maisons de service public ambulantes en réponse aux situations d’isolement. - Recentrer les responsabilités sur les régions et sur les communes nouvelles dans une répartition des activités tenant compte l’exigence plus ou moins grande de proximité avec les administrés. - Supprimer en conséquence les communautés de communes -qui ne font que déresponsabiliser et ajouter à la dépense- et les départements. - Créer sous l’autorité des régions des pôles de compétence dispersés sur le territoire régional, éventuellement assortis d’antennes locales (développement économique et action sociale notamment). Regrouper sur une même entité (la région par exemple) toutes les aides de l'Etat.
Oui
Je ne connais pas assez bien le sujet, mais les missions ne devraient pas être émiettées, par exemple toutes les écoles, collèges et lycées devraient être attribués au département, la gestion des routes et des rivières aux régions, l'urbanisme aux communes etc. Afin que chacun est une vision claire de qui fait quoi et à qui il doit s'adresser.
Oui
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De gros efforts informatique ont été faits, me semble t'il.
Non
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L'informatisation des demandes usuelles (carte d'identité, impôts etc..).
Ce n'est pas une évolution, c'est surtout de savoir qui fait quoi.
Oui
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L'éducation nationale que je connais bien et le milieu universitaire en particulier croule sur une paperasserie qui nous fait perdre beaucoup de temps. Exemple : la demande chaque année aux intervenants extérieurs que nous employons chaque année de toute sorte de papiers personnels, alors que nous les avons en archive. Les plans quadriennaux que nous préparons en x exemplaires tout au long des 4 ans. etc..
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Oui
Là encore, c'est un peu au cas par cas. Mais un rappel des droits et devoirs des fonctionnaires me semble une nécessité.
Le regroupement dans un même lieu de plusieurs services publics (Maisons de services au public) semble être une très bonne initiative.
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Pour les fonctionnaires, les services sont efficaces.
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Les prélèvements fiscaux pour les aides à domicile sont trop élevés pour les particuliers. Le CESU fonctionne bien et est bien simplifié.
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Multiplier un réseau de maisons de service public dans chaque commune nouvelle, permettant à chacun de bénéficier si besoin d’un contact de proximité. Concernant la santé, remettre en place des dispensaires dans chaque commune nouvelle. Déléguer au préfet le partage du territoire entre routes à 90km/h, routes à 80km/h et routes à 70km/h (petites départementales étroites).
Pollution de l'air et des sols
Etre vigilant sur tous les éléments qui sont rejetés dans l'atmosphère et épandus sur les sols (usine, transport et épandage)
Oui
Via l'alimentation et via l'air que je respire en Ile de France
Oui
Pas grand chose, hormis le fait de trier mes poubelles et faire attention à l'isolation de ma maison.
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Non
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Non
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Les transports en commun|Le transport à la demande|Les taxis sont vraiment coûteux pour les retraités
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Notre Président doit être convaincant.
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Votre message a bien été envoyé.