Date de publication : 2019-02-05
Code postal : 74800

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

None

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

None

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Il faut baisser la fiscalité des produits de premières nécessités : - L'eau potable : Elle est indispensable à la vie et pourtant, nous la payons un prix différent en fonction de l'endroit où nous vivons. Je crois que nous devons tous la payer au même prix mais avec une fiscalité évolutive en fonction du volume que nous consommons. Par exemple : Sur une année et par habitant, nous aurions les 10 premiers m3 avec une TVA de 2 %; de 11 à 30 m3, une TVA à 5.5%; de 31 à 50, une TVA à 12% et au delà, une TVA de 20%. - Les légumes et fruits frais de saison. Il faut aussi développer la vente des produits "pas beaux" à des prix réduits pour limité le "gâchis" alimentaire. Des légumes secs et des pâtes (pas toutes les catégories) - Le lait et produits laitiers de base comme les yaourts natures,... - Les œufs et la viande.Je n'entre pas dans cette catégorie "les plats cuisinés". - Le pain blanc. Mais aussi : -Des produits d’hygiène corporel. -... Cette baisse doit toucher l'ensemble des produits de base dans les domaines de l'alimentaire, de la santé,de l’hygiène,..., pour permettre aux moins fortunés d'entre nous d'avoir une vie descente.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Refondre le fonctionnement de l'administration pour la rendre plus efficace. Revoir le statut des fonctionnaires et des hauts fonctionnaires.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Toutes ! L'attribution d'une allocation doit être en fonction des ressources du citoyen. Une aide sociales n'est pas un dû. C'est l'aide de la république au titre de la fraternité, pour permettre au bénéficiaire de traverser une mauvaise passe. Les citoyens doivent en avoir la préférence sans pour autant que les étrangers ne puissent en bénéficier mais dans des conditions plus restrictives. De cette règle, Je ferai abstraction des aides accordés à des bénéficiaires pour des "dommages" dont il leur est matériellement impossible de s'échapper (Invalidité,...)

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

- La santé : Au titre de "l'égalité", chaque citoyen doit avoir droit au même soins quelque soit son niveau sociale. Pour ce faire, il faudra réformer le monde médicale et ses pratiques scandaleuses : - Coût de la médecine non conventionné, mais aussi les pratiques du type "- fait moi voir comment tu es remboursé par ta mutuelle et je te dirai le prix de l'opération." - Le doublement des analyses médicales pour mieux amortir les investissements (ou avoir plus de bénéfice) - Les marges réalisées par les fabricants ou les distributeurs sur des appareils auditifs, les lunettes,... - La justice : Elle doit être facilement accessible et à la porté de tous les citoyens. Par contre, Il faut mieux accompagner les repris de justice lors de leur libération pour éviter la récidive. - La fin de vie : Avec des établissements publiques dignes de ce nom et non des "boîtes à friques".

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

La devise de la république est "Liberté, Egalité, Fraternité". A mes yeux, "Egalité" + "Fraternité" doivent conduire à "Équité" . La mission de l'état est de garantir pour l'ensemble des citoyens l'application de cette devise. Pour ce faire, elle a besoin de ressources financières. Chaque fois qu'elle défaille, elle est en général compensé par un "privé" que le citoyen doit financer individuellement pour en bénéficier, faut-il encore qu'il en est les moyens. Je suis donc prêts à payer plus d’Impôts si cela permet à la république de remplir complètement ce que je considère être sa mission, faut'il encore qu'elle est réformé son admiration, c'est à dire : - Moins de bureaucratie et de technocratie pour plus d’efficacité sur le terrain. - Un statut des fonctionnaires proche des autres citoyens (droits, devoirs, salaires et retraite)

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

En matière d’impôts sur le revenu, je pense qu'il faut maintenir le prélèvement à la source mais il faut en modifier le fonctionnement. Il faut dans un premier temps modifier la feuille de paye. Les notions de "part employé" et "part employeur" doivent être supprimés et remplacé de la façon suivante : - Le salaire de référence : Il correspond au salaire négocié lors de la création du contrat. C'est le salaire mensuel, annuel,... - Le salaire net : C'est le salaire versé sur le compte de l'employé. Il correspond au salaire de référence + les heures supplémentaires + les primes mensuelles ou annuelles. Il a en déduction les cotisations spécifiques au salarié (exemple : les options de la mutuelle, les achats au CE, les tickets restaurants,...) - Le salaire imposable : C'est le salaire net avec en plus les avantages divers comme : les voitures et logements de fonction, les stocks options, les pourcentages sur les dividendes,... - Le coût employeur : C'est le salaire imposable auquel s'ajoute les divers cotisations (retraite, maladie,....) et l’impôt sur le revenu. L’impôt sur le revenu est un pourcentage du salaire imposable mais ce pourcentage n'est pas lié au condition de ressource du salarié. Il a une progression logarithmique. Le point de départ est un SMIC sur une base de 35 heures avec un taux de 5 %, par exemple. A 3 fois le SMIC, on est à 8%; a 6 fois le SMIC, 13%, a 30 fois le SMIC, 100%. Si les conditions de ressource d'un salarié lui donne droit à une aide, elle lui est directement versé par la caisse d'allocation familiale. L'objectif est de limiter la fraude fiscale, limiter les "oublis" mais d'être plus égalitaire avec les hauts revenus, baisser la pyramide des salaires. Parallèlement, Toutes les entreprises installées sur le territoire français doivent payer les impôts sur le revenu de tous les salariés qu'elle rémunère. Un salarié travaillant sur un site français ne peut être rémunéré par un autre site du même groupe installé dans un pays étranger.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

None

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Toutes associations ou organisations regroupant un nombre suffisamment important de citoyens pour être représentative d'une frange de la population. Elles doivent être d'avantage consulté dans les différentes commissions.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Trop souvent, j'ai le sentiment d’entendre des débats partisans plutôt que des débats d'idée. A l'assemblé, les députés d'un même groupe répètent à peu prés tous la même choses et celui qui dit autre chose est le "mouton noir" qu'il faut chasser. Cela donne l'impression de député très attaché à leur carrière, docile pour ne pas perdre leur étiquette et ainsi se garantir la conservation de leur fauteuil, de leur pouvoir. En conséquence : - Il est capital que nos élus ne soient pas déconnecté du "monde réel". Pour cela, je pense qu'il faut limité à deux le nombre de mandat consécutif. Cela pour les députés, sénateurs, maire des grandes villes et la représentation régionale. Pour briller un nouveau mandat, une période transitoire de 2 ans minimum hors des circuits du pouvoir me semble nécessaire. - Par ailleurs, je pense qu'il faut limiter les "privilèges"pendant et surtout après le mandat. Il ne doit pas y avoir de "caisse noire". Les dépenses des élus doivent être contrôlées et justifiées. A la fin de son mandat, un élu retourne à la vie civil au même titre qu'un salarié change de travail. Il n'a pas à recevoir de rémunération ou autre avantage à vie. Il doit rester un citoyen comme les autres. - Etre élu est un choix. Il choisis de représenter les citoyens. A ce titre, il ne doit pas déroger à cette tache et il a le devoir d'être présent là où le peuple à besoin d'être représenté. Il doit se rappeler qu'il est au service des citoyens et que son mandat ne le place pas au dessus des autres. Il n'est pas élu pour donner son avis mais pour traduire la volonté du peuple. - Renouveler le lien impose de renouveler la confiance, confiance dans l'égalité de traitement qu'il puisse y avoir entre un élu et un simple citoyen. Pour cela, je pense qu'il faut déconnecter la justice du pouvoir politique. Je propose que les juges, voir les avocats, puissent élire leur "président"pour un mandat de cinq ans. Celui-ci répondra de la bonne et complète application des lois, sous le contrôle du sénat. - Enfin, nous devons mettre à 65 ans la limite d'age pour prétendre à un mandat, exception faite des conseillés municipaux et des maires des communes inférieures à 10 000 habitants.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Il renforce la démocratie. je pense qu'il faudrait étendre cette loi au maire, voir à d'autre mandat. Cela ne permet plus de justifier l'absentéisme aux sièges qu'ils occupent.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Il faut amener une dose de proportionnel à l'assemblé nationale. Je pense que 15 à 20 % des députés pourraient être issus d'une proportionnel régional. Sur les 577 députés, 104 seraient élus à la proportionnel. 8 par région.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

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10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Malheureusement trop faible. Comment les inciter ? Mais n'est ce pas là une des réponses que doit apporter "le grand débat" ?

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Le bulletin blanc permet à chaque citoyen d'affirmer son attachement à la démocratie mais aussi de marquer son insatisfaction devant les choix qui lui sont proposés. Il faut que chaque citoyen puisse glisser un bulletin blanc dans l'urne. Au décompte des voies, si les bulletins blanc fonds plus de 50% des suffrages, la consultation doit être annulé.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Il faut mettre en place des référendums citoyens sur des sujets débattus au parlement, sans que la mise en forme de cette consultation ne prennent l'importance d'une élection. Le lieu doit rester la mairie, mais les systèmes informatiques actuels doivent nous permettre de sécuriser un vote avec l'aide d'une simple carte d'identité présenté dans un lecteur. Il ne s'agit pas de mettre tous les sujets au jugement du peuple mais de prendre sa position sur des choix de société importants.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Je pense que lorsqu'un texte arrive en deuxième lecture devant les députés, avant le vote définitif, si un tiers des députés sont en désaccord avec cette proposition de loi, ils doivent pouvoir faire appel à un référendum populaire. Le résultat de celui-ci, validera ou non le texte. Une question reste en suspens : les députés qui n'utilisent pas le RIP actuel, utiliseront-il ma proposition ?

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

None

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Il faut développer une éducation sur l'histoire des religions au collège. L'objectif n'est pas d'apprendre la bible ou le coran, mais de les situer dans le temps et d'apprendre leurs différences les unes par rapport au autres mais aussi à l'intérieur d'elle même. Combien de citoyens connaissent la différence entre un catholique et un orthodoxe, ou encore, entre un chiite et un sunnite. Très peu d'entre nous choisissent leur religion. Elle leur est imposé par leur famille, leur environnement. Il faut apprendre et comprendre la différence pour l'accepter puis la respecter. Parce que les religions sont multiples sur notre territoire, leur pratique ne peut s'exercer que dans le respect des lois de la république. Aucune règle religieuse ne peut justifier le non respect des lois républicaines. En suite, nous devons permettre à tous les citoyens de pratiquer la religion qu'il souhaite dans des locaux adaptés.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Il faut être intransigeant sur nos valeurs. Je comprends parfaitement que l'on puisse ne pas être en accord avec nos règles mais nous n'obligeons personne à vivre sur notre territoire. La diversité du monde permettra surement à ces personnes de trouver un autre pays proche de leurs convictions.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

S'engager dans la société, c'est vouloir partager, échanger. L'élitisme, le "premier de cordé", c'est dominer, briller, être au dessus des autres. Nos écoles supérieurs prônent l’élitisme. "- Pour que tu puisse dire que tu as réussi ta vie, il faut que tu soit le premier, il faut que tu écrases les autres il faut que tu sois le chef ,..." pour cela, pas d'échange, pas de partage, chacun pour soi. Changeons les valeurs de la réussite. Inculquons le partage, le travail en groupe et la réussite collective.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

"Si tout travail mérite salaire, tout salaire mérite travail". Mais il y a plusieurs "allocations de solidarité". La première, c'est l'addition de "l'égalité" et de la "fraternité" de notre devise. C'est permettre à chacun d'avoir une vie. Elle sert à surmonter le handicape. Cette handicape que vous n'avez pas choisi et qu'il sera impossible d'effacer. La seconde, c'est uniquement l'aspect "fraternité". Elle est là pour aider le citoyen(ne) à sortir du mauvais pas, de la difficulté passagère. Elle n'est pas un dû, elle est une aide. Dans ce cas, elle implique le respect absolu des règles de la république. Elle implique aussi une volonté de sortir de cette situation.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Emmigrer n'est jamais souhaitable pour un être humain. C'est une rupture avec ses traditions, sa culture, ces croyances. La France doit donc tout mettre en oeuvre pour éviter que ces gens quittent leur pays d'origine. Elle doit être un médiateur dans les conflits, une aide dans le développement. Nous ne devons gardez sur notre territoire que ceux et celles qui veulent y rester. Que ceux et celles qui ont bien compris que la vie ici était différente de celle qu'ils connaissaient dans leur pays d'origine. Il ont pour devoir de respecter nos règles, nos coutumes et nos valeurs. Leurs non respects volontaire doit entraîner une expulsion du territoire.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

None

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Il faut maîtriser la langue. Connaitre nos traditions, notre culture et surement une partie de notre histoire. Il faut donc les former, ce qui leur donnera les outils pour mieux comprendre notre société et mieux ci intégrer.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faut changer notre république. Nous avons aujourd'hui des élections présidentielles où les citoyens choisissent leur représentant en fonction d'un programme. Pour appliquer ce programme, le nouveau président aura besoin d'une assemblé nationale qui lui soit favorable. Les élections législatives se déroulent quelques semaines plus tard et là, rien ne garanti que le nouveau parlement sera favorable au programme du président. Si il n'est pas favorable, il y a deux solutions : soit nous vivons cinq ans de cohabitation (cela me semble stupide), soit le président démissionne... et on recommence pour une troisième consultation. Je crois donc que le président doit sortir de l'assemblé nationale à la suite des élections législatives. Dans cette nouvelle république, il sera nécessaire d'inscrire que seul un référendum citoyen peut modifier la constitution.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Vu de l'extérieur, le système semble "tentaculaire", inefficace. L'exemple type est la modification d'une adresse, ou d'une situation sur une déclaration d'impôts. On doit s'y reprendre à plusieurs reprises... Je crois qu'il faudrait modifier "l'interface" entre le citoyen et l'administration. Il faut dans un premier temps, que le citoyen puisse s'adresser à une personnes capable d'analyser la situation et de l'orienter vers le bon bureau, le bon interlocuteur. Ensuite, je pense qu'il faudrait transversaliser les compétences pour éviter d'aller d'un bureau à l'autre. Un interlocuteur pour traiter les problèmes les plus récurrents des citoyens. D'un point de vu territorial, les nouvelles régions me semble très éloigné de nos problèmes quotidiens. C'est un état dans l'état. Je plaiderai plutôt pour un regroupement de quelques départements ayant les mêmes problèmes (départements montagnards ou du littorales, par exemple)

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

None

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

None

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Il est important de respecter le droit de chaque citoyen à ne pas avoir d'internet !.. Ou ne pas avoir de téléphone portable. C'est là l'aspect "liberté" de notre devise. En conséquence, l'internet ne peut être une fin en soit et l'administration doit permettre à chacun de faire ses démarches sans avoir l'obligation de passer par des outils particuliers.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

None

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Il doit y avoir une augmentation des contrôles sur les produits mis en circulation sur le marché. Ce contrôle ne doit pas ce borner à vérifier les résultats des tests réalisés par les concepteurs, mais à faire les tests. Comme il ne serra pas possible de tout vérifier, il faut imposer au fabricant de faire passer les approbations de la mise sur le marché dans des laboratoires privés agréés, laboratoires eux même contrôlés par des prélèvements effectués et analysés par des laboratoires publics. Si les résultats ne correspondent pas, le laboratoire privé perd l'agrément. Il faut augmenter le nombre de contrôle sanitaire et le respect des règles de mise sur le marché. En matière de santé, il faut développer les centres médicaux dans les agglomérations. Il faut que ces centres puissent permettre aux citoyens de consulter un médecin dans des horaires qui n'impliquent pas la nécessité de prendre un congés... Autrement dit, il faut une plage d'ouverture minimum de 8 h à 20 h. En conséquence, il peut être nécessaire de modifier le statut des médecins en les passants de profession libérale à un statu de salarié. Si j'admet que l'on ne peut maintenir des hôpitaux avec des services performant dans toues les agglomérations, je pense qu'il faut maintenir un service minimal de proximité. Le postopératoire doit pouvoir y être traité. Le transport entre ces différents points (Centre médical, hôpital de proximité, centre hospitalier) doit pouvoir ce faire par des moyens des publics, voir gratuits. Je suis scandalisé de voir aujourd'hui des centres hospitaliers implantés très loin des habitations, avec une simple ligne de bus comme moyen de transport public et des parkings payants. Il est indispensable de développer l’accueil des personnes âgées. La population vieillissante, nous devons pouvoir proposer différentes possibilités qui vont du maintien dans son logement avec une aide journalière, aux maisons spécialisées permettant de recevoir des personnes ne pouvant plus rester seul, souffrant de maladie nécessitant une assistance. Ces centres d’accueils doivent resté dans le domaine public pour permettre à tous les citoyens de pouvoir en profiter. La réinsertion et le suivi des délinquants. Le non respect de la loi implique une punition, mais aucun d'entre nous n'est à l’abri de suivre un mauvais chemin. Pour que la récidive ne soit pas une fatalité, il faut donner les "outils" aux condamnés de pouvoir se réinsérer dans la société. Cela passe par des formations et un suivi sérieux après la remise en liberté. Par contre, il faudra être plus sévère pour ceux qui n'auront pas voulu prendre la main qui leur aura été tendue. Il faut renforcer le contrôle du logement locatif et mettre de très lourdes amendes et des peines de prison pour les marchands de sommeil. En terme d'éducation, il faut poursuivre l'objectif que chaque jeune sortant de l'école primaire doit savoir lire, écrire et compter couramment. Pour ce faire, il faut réduire le nombre d’élèves par classe mais aussi ouvrir l'école aux différentes méthodes pédagogiques. Chaque élève est différent et ne perçois pas les choses de la même façon. Du fait de l'augmentation du nombre de classe, l'école doit pouvoir proposer à chacun plusieurs voies éducatives pour atteindre l'objectif. Il est probable qu'il faille faire des tests à chaque enfant afin de savoir quelle est la ou les méthodes qui lui sont le mieux adapté. Il est évidant que plus l'école est petite, plus il est difficile de proposer des voies différentes. Une fois de plus, la province est défavorisé. Mais même s'il me coûte d'accepter cette inégalité, il nous faut le faire.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

None

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

None

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

En conséquence des déserts médicaux, il faut supprimer le "médecin référant". Dans ces territoires, les médecins refusent les nouveaux clients. L'assuré a donc une partie de la consultation à sa charge alors qu'il n'a pas le choix du médecin. Il faut revoir le mode d'inscription des mutuelles dans les dossiers des clients de l'assurance maladie. Ce doit être a l'assuré de dire quelle mutuelle il veut voir inscrite et non aux mutuelles de ce positionner automatiquement.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

En ces temps, il n'est pas possible de ne pas aborder le problème de la circulation et de l'automobile. Le conducteur est l'une des cibles privilégié des administrations. Il est racketté par beaucoup de communes lorsqu'il veut s'arrêter ou même entré dans la ville avec le retour de la vignette (sous couvert d'écologie, cette fois), par les sociétés d'autoroute (voir les bénéfices qu'elles réalisent) et par l'état aux travers des carburants mais aussi des radars fixes. On justifie ces dernier pour des raisons de sécurité mais beaucoup sont placés au milieu de grandes lignes droites que les automobilistes avertis franchissent en ayant un œil sur le compteur. Il me semblerais plus sécuritaire de placer ces outils à quelques dizaines de mètres d'une intersection, de l'entrée d'un village, d'un passage pour piétons, d'un échangeur,.... Il s'agirait pour ces appareils de contrôler la bonne application d'une réduction de la vitesse pour le franchissement de la zone à risque. Le contrôle de la vitesse sur les routes et autoroutes pour les portions non limitées étant faite par les forces de gendarmerie, soit en utilisant des tachymètres portatifs ou sur trépieds, ou encore par des véhicules banalisés pilotés par des fonctionnaires de l'état (pas par des sociétés privés) Je pense que dans ce cadre, ils seraient mieux acceptés et moins dégradés On ne peut parler d'automobile sans avoir un mot sur l'état des chaussées du réseau secondaire qui se dégrade. Mais je comprends bien qu'il est plus économique de réduire la vitesse de 90 à 80 km/h que de maintenir en état le réseau routier. Il faut maintenir en vie les centres villes. Sans commerces, la ville devient une ville dortoir. Mais pour qu'il y est des commerces, il faut des clients et pour qu,il y est des clients, il faut des prix attractifs tout en permettant au commerçant de vivre. Je propose trois mesures : - Imposer à la grande distribution de financer des "petits commerces" dans les centres villes et les "quartiers", situés dans leur zone de chalandise. Ces commerces devront bénéficier des prix négocier par les centrales d'achat des groupes et donc proposer à leur clientèle, des prix identiques à ceux pratiqués dans la grandes surface (A marque et produit égal, prix égal) - Réguler et contrôler les prix des baux et pas de porte. - Utiliser une partie de l'imposition des "GAFA"pour faciliter l'installation des commerces de centre ville.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Il faut sortir du système économique actuel. Nous glissons de plus en plus vers un système ultralibérale. C'est un système qui n'existe que par la rentabilité immédiate. Il repose sur un "château de cartes" qui est la bourse. Il permet à une minorité de "s’engraisser" outrageusement au détriment d'une majorité. C'est une course effréné après l'argent mais pourquoi faire ? Pour traiter les problèmes environnementaux, il faut investir dans des solutions qui n'aurons comme rentabilité que la santé des citoyens et, plus largement, des habitants de cette planète. Si nous construisons une éolienne offshore, ce n'est pas pour gagner de l'argent sur l'électricité qu'elle va produire par rapport à une centrale thermique, mais bien pour limiter la pollution de l'air. Il ne s'agit pas de faire n'importe quoi, à n'importe quel prix, sous prétexte que cela va protéger l'environnement, mais il est sûr que les codes de financement actuel sont dépasser. Si, comme on nous le dit, il y a péril en la demeure, c'est un plan "Marshall"qu'il faut mettre en place. C'est prendre l'argent là ou il est pour financer la transition écologique. Mais même si nous arrivions à mettre en place un plan "Marshall", pour être efficace, faudrait-il qu'il soit appliqué par une très grande partie des pays du globe. L'exemple récent des Etats Unis montre que ce n'est pas gagné.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Par le matraquage médiatique cherchant à nous culpabiliser. On nous a montré du doigt avec nos automobiles, alors que ce sont les pouvoirs publiques qui ont incités à son développement en construisant des zones industrielles ou commerciales sans prévoir de transports en commun.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

None

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

None

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

None

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

J'ai une pompe à chaleur depuis 9 ans que je ne rentabilise pas, et que l'augmentation de l'électricité va "plomber" encore un peu plus. Mais avant de remplacer les chaudières, c'est d’isolation qu'il faut parler. Remplacer le mode de chauffage d'une passoire thermique est un non sens. Il faut commencer par traiter le bâtiment pour pouvoir dimensionner le moyen de chauffe à sa juste puissance et ainsi, limiter la consommation d'énergie.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

None

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Sortir de cette Europe pour construire autre chose. Dans les année 70, je la soutenais, je la défendais; Aujourd'hui, j'en ai honte. Pourtant, quoique nous fassions, si nous le faisons seul, cela ne servira à rien. Mais cette Europe là, cette Europe des 28, cette Europe qui à mis ses peuples en concurrence pour mieux les asservir, cette Europe avant tout financière, ne fera rien.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Je suis scandalisé par ce document. Les questions qui y sont posées traitent beaucoup trop des problèmes de transport et plus particulièrement du transport individuel. Pourtant, l'ensemble des transports ne représente que 30% de la pollution du pays et 15% à l'échelle mondiale. Quid des 70% restants ? Quid de la pollution industrielle ? Et de la déforestation ?... Mais il est tellement plus simple de profiter de l'environnement pour mettre en place des taxes sur les carburants, l'automobile et d’orienter le marché du renouvellement (discrimination du diesel entraînant une augmentation des véhicules essences dont la consommation est plus importante, donc plus de taxes encaissées.. pour le réchauffement, on verra plus tard) sans même chercher à les cacher derrière un semblant de plan d’aménagement du territoire. Nous avons déjà le soutient pour les personnes âgés avec le lundi de Pentecôte travaillé qui n'est rien d'autre qu'une augmentation de l'impôt sur le revenu. Aujourd'hui, c'est l'écologie qui justifie d'une augmentation des taxes... Enfin qui justifiait. Merci aux gilets jaunes pour ce répit.