Une émission télévisuelle en prime time qui explique : - de quoi est fait l'impôt ? - à quoi sert l'impôt ? - comment est géré le budget de l'Etat ? - par qui le budget de l'Etat est il contrôlé ? - comment décoder une fiche de paie ?
- Des impôts proportionnels aux revenus (y compris taxe d'habitation, audiovisuel, taxe foncière....) - que tout le monde participe à l'impôt.
Pas de baisse d'impôts nécessairement. Seulement, des impôts justes, qui correspondent à la situation des gens en temps réel, et pas des impôts ou même des aides (exemple Caf) qui soient calculées en fonction de vos revenus de l'année N-1 ou même N-2.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Toutes !
- la santé - le chômage
- la santé - l'éducation - la justice
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Personne. C'est triste à dire mais actuellement, personne. Le maire : je n'ai aucun contact avec les représentants de ma commune. Je ne sais pas qui ils sont. Hormis le maire. Cependant, je ne rencontre pas de difficultés particulières, et donc je n'ai pas besoin d'eux. Le député : je ne sais même pas qui c'est. Le président de région : je la connais de nom et je ne suis pas une grande fan. Le préfet : je ne sais pas qui c'est. Le président et le gouvernement : je les connais très bien via les médias. Je suis capable de les nommer, de les identifier et de parler de la politique qu'ils mènent.
Oui
Je pense que les associations effectivement peuvent être un bon relais. Toutes les associations liées au logement, à la restauration, à l'éducation peuvent certainement faire de bonnes remontées de terrain.
Un dialogue Une identification Pas de langue de bois ! Je trouve que les élus ont très souvent un langage polissé, formaté (ils reçoivent des directives de leurs partis et des clefs de langage comme ils disent). Mais tout cela manque de spontanéité, d'authenticité, et du coup, cela biaise le débat et les rapports humains.
Une bonne chose
Parce que si on veut faire preuve d'efficacité, on ne peut pas tout faire en même temps. Il faut choisir.
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Non
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Je trouve que les citoyens ne participent pas assez. On a l'impression que le seul vote qui compte réellement est celui pour l'élection présidentiel. Or, à côté, il y a : les municipales, les législatives, les européennes...etc. Il faudrait davantage de visibilité pour ces élections là. On connait mal aussi les candidats qui sont sur ces listes. Encore une fois, je pense que la télé, des grandes émissions, comme "l'Emission politique", sur France 2, peuvent aider dans cette démarche.
Oui
De la même manière qu'on compte l'abstention, il faut compter les votes blancs. Les votes blancs représentent la volonté de citoyens qui font l'effort de se déplacer, de voter, de donner leur opinion en disant : "je participe, je suis intéressé par le débat. Simplement, je ne me retrouve pas dans les propositions faites par les candidats."
Je trouve l'idée du Grand débat national excellente. Mais, avant de débattre, il faudrait que le Gouvernement ait une prise de conscience, une photographie, de ce qu'est la réalité. Comme disait Bruno Latour (sociologue) sur France Inter le 17 janvier 2019, : “Il ne faut pas demander aux gens leurs opinions, il faut leur demander de décrire les situations dans lesquelles ils sont”. Cela me semble indispensable. Et peut-être créer des assemblées citoyennes dans chaque commune / département qui se réunirait mensuellement ou trimestriellement pour faire remonter des difficultés rencontrées par des citoyens ou des idées. Et laisser des cahiers de doléances ou des boîtes à idées dans les mairies.
Je ne sais pas
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Créer des assemblées citoyennes dans chaque commune / département qui se réunirait mensuellement ou trimestriellement pour faire remonter des difficultés rencontrées par des citoyens ou des idées. Et laisser des cahiers de doléances ou des boîtes à idées dans les mairies.
Sur le rôle du CESE, je pense que cette institution est méconnue, voire pas du tout connue du grand public. Moi, la première d'ailleurs. Donc, j'aurai du mal à donner mon opinion sur le sujet.
Oui
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Je suis une personne athée. Je suis catholique, non pas par choix, mais quand je suis née on m'a baptisé et on m'a pas demandé mon avis. Mais je ne suis pas croyante (en tout cas, pas comme l'Eglise catholique l'entend, et surtout je ne suis pas pratiquante). Je pense que l'Etat est une chose publique et que la religion est une chose privée. Et, étant donné qu'il existe différentes religions dans notre pays et qu'il faut arriver à faire cohabiter des citoyens de différentes religions, je pense que la religion doit rester dans la sphère privée et ne pas se manifester en public. Je pense également que l'Etat et les religions doivent être indépendants les uns des autres financièrement.
Par l'éducation, dès la maternelle.
Nous laisser le temps de l'avoir. Mais, c'est compliqué. Quand on a un travail à temps une famille, des amis, des activités, il reste finalement peu de temps à consacrer à la société.
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En tant que femme, je répondrai que les "ouesh mademoiselle t'es bonne" sont INADMISSIBLES. Aujourd'hui je vais travailler en voiture dans le département des Yvelines. Mais, à une époque où j'allais travailler en train sur Paris, j'avais droit à ce genre de remarques tous les jours matin et soir. C'est franchement usant et dégradant.
Eduquer, encore une fois, et sanctionner.
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Sur l'immigration, je pense qu'il faut relativiser. Nous sommes 66 millions de français, et ce ne sont pas quelques migrants qui vont nous "envahir" (et ce qu'ils soient des centaines ou des milliers). Je pense également qu'il faut savoir faire preuve d'empathie et d'humanité : on ne quitte pas son pays de gaité de cœur, on ne risque pas sa vie par plaisir, on n'abandonne pas sa famille parce qu'on le veut. Ce sont des choix fait par nécessité, par espoir. Un espoir souvent déçu d'ailleurs. Certains disent également que l'argent que l'on met pour les migrants est de l'argent qui n'est pas mis pour les français SDF ou mal logés... Ce sont deux problèmes différents et je ne comprends pas pourquoi on ne pourrait pas s'occuper des deux à la fois. Si nous Français, étions un jour, pour X raison, obligés de quitter notre pays, nous serions bien heureux de trouver une terre qui veuille bien nous accueillir.
C'est une question de cas par cas. Il faut voir qui mérite ou non d'être accueilli chez nous, quelles sont les difficultés rencontrées par ces personnes dans leurs pays d'origine (économiques, sociales, cas de guerre, crise, chômage, alimentation...)
Nous pouvons accueillir des gens. Mais, il faut que les personnes accueillies veulent s'intégrer en retour, donc pas de délit, un travail, l'apprentissage de la langue, le respect des valeurs républicaines, des habits à l'européenne...etc.
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Les 4 évènements sont liés. Le réchauffement climatique est dû à l'émission de CO2. Cette émission est due à une agriculture intensive, à un recours à des modes de transports polluants (voiture, avions, bateaux, camlons). Tout ceci entraîne une pollution de l'air. Cette pollution de l'air, mais aussi, de l'eau, des sols, entraîne la disparition de certaines espèces (abeilles, poissons, papillons, certaines plantes, planctons, coraux, mammifères, poissons...). Parfois, cela entraîne également des déréglements climatiques tels que : incendie, sécheresse, crue, vents violents... Ces épisodes autrefois exceptionnels, deviennent plus récurrents. Et, en dernier, ont une incidence sur l'érosion du littoral.
La priorité est de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Cela induit : - un changement dans les transports : voiture hybride ou électrique, camion électrique ou hybride, priorité au réseau ferroviaire pour le transport des marchandises, priorité aux tramways. Recherche de nouveaux carburants (plus écologiques, autre que la gasoil ou l'essence). - un changement d'énergie : la FIN des énergies fossiles. - une nouvelle agriculture : privilégier une agriculture raisonnable. Privilégier la qualité à la quantité. Privilégier le bien-être et le respect des animaux que nous consommons. Interdire les pesticides (oui, il faut interdire le glyphosate, et non, ce n'est pas négociable). Privilégier les circuits courts : l'achat des produits directement au producteur afin que ce dernier soit rémunéré de manière juste. L'autre priorité est la protection des sols/ de l'eau : - interdire les produits d'entretien/ ménager : qui ont un impact sur l'environnement et autoriser seulement les produits qui ont label ECO CERT ou BIO, et privilégier les kits qui permettent de fabriquer ses produits d'entretien soi-même à partir de produits "bruts" : savon noir, vinaigre blanc... - interdire les emballages plastiques et sacs plastiques. Privilégier le carton, le bois, le verre. - réduire au maximum le packaging. Privilégier, quand on va faire ses courses, le "en vrac" pour que les consommateurs apportent leurs contenants et qu'ils se servent directement. Une autre priorité : le bien-être animal - interdire les produits cosmétiques testés sur les animaux ou issus de la mort d'un animal. N'autoriser que les produits cosmétiques qui portent les labels : CrueltyFree / CrueltyFreeandVegan / EVE Vegan
Non
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Oui
- je souhaiterais changer de voiture. Actuellement, j'ai une Renault Clio II Campus diesel et je voudrais une Renault Zoe, électrique donc. Mais je n'ai pas d'apport, et la revente de mon véhicule actuel ne sera pas suffisante pour me permettre d'acquérir une Zoe. Ce que je regrette car mon travail est à 50 km de mon domicile et je dois me déplacer en voiture car je mettrais plus de temps à me rendre à mon travail si j'y allais en transports, mais du coup je pollue pas mal aussi. En plus, je vis en maison et j'ai un garage donc j'aurais ce qu'il faut pour accueillir une voiture électrique.
- sur le chauffage, rien de particulier, j'ai une maison bien isolée et je chauffe au gaz. - sur la conduite, j'en ai parlé juste au dessus. Je voudrais une voiture électrique. Et si je ne peux pas l'acheter, alors pourquoi pas la louer ?
- une aide pour changer de véhicule ou qu'on accepte de me faire un prêt plus facilement. Je suis en CDD d'1an et du coup, on me refuse tout prêt.
Non
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Non
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Le covoiturage
Ma commune
Commencer petit, par un partenariat France -Allemagne par exemple et prouver ainsi aux autres pays que ça marche. Ainsi, par démonstration, par preuve de résultats, les autres pays adhéreront plus facilement.
Le nucléaire Il faudra bien s'en séparer un jour mais tant qu'on a pas de solutions alternatives aussi efficace, on est obligé de faire avec.
Votre message a bien été envoyé.